Titre : Sortir de l'enfer

Auteur : Sindra

Disclamer : rien ne m'appartient sauf l'histoire.

Résumer : Harry potter à 16 ans, mais qu'est-il advenu de lui. Pendant 8 mois le survivant avait disparu, Severus Rogue le retrouve dans un vieux taudis où l'opium et le sexe sont choses courantes. Réussira-t-il à le sauver de lui-même.

NA : je tiens à avertir le public que cette fiction contient non seulement des scènes de slashs, drogues, violences et autres mais, aussi des spooliers du tome 5. Alors homophone faite demi-tour ou venez jeter un coup d'œil.

N/N/A : j'ai décidé que comme je n'aimais pas particulièrement le chapitre 2 que je trouvais franchement endormant de vous donner aussi le chapitre trois qui est vraiment très bien et que j'adore. A+ mais comme j'ai décidé d'en donner 2 plus que 1 chapitre donc pas de review dls mais trop déborder.

Chapitre 2 : A la maison.

Je transplannai chez moi, le serrant toujours contre mon torse. Au dehors toujours cette même neige grisâtre et morne, tombait sur les collines environnantes. Je montai directement les escaliers, l'emmenant dans ma chambre, il n'était pas question qu'il soit ailleurs, je n'aurais pas supporté de le voir aussi loin. Moi, si froid et dénudé de tout repentir, j'étais là, à m'occuper de lui, comme si ma vie était entre ses mains.

Je m'approchai du lit, soulevai les draps froids et le déposai tendrement entre ceux-ci. Là, je le vis se recroqueviller au milieu du grand lit, cherchant la chaleur de mon corps. Je sonnai Herby qui apparu aussitôt.

-Maître, le maître est de retour, que puis-je faire pour le maître.

-Apportez-moi le plus d'eau chaude possible et faite cuir un bouillon de poulet.

L'elfe de maison disparu aussitôt dans un nuage de fumé turquoise.

Le garçon se tordait toujours dans le lit, emprisonner dans ses rêves éphémères créer par la drogue. Mais que lui avaient-ils fait?

Je fit apparaître une baignoire d'un simple coup de baguette au milieu de la pièce et j'allumai les chandelles.

Il était aussi pale que la mort elle-même et je crus un instant de ne pas pouvoir faire quoi que se soit pour lui. Son corps famélique se tordait incessamment.

Herby apparu avec les baquets d'eau chaude. Je les prit et les transvidai dans la baignoire, pendant que l'elfe allumait un feu grésillant dans le foyer. Il disparut peut après.

Je m'approchai du lit et repoussai les couvertures. Les vêtements qu'il portait étaient élimés et crasseux mais, il m'importait peu. Je le soulevai une nouvelle fois le mettant sur mes genoux et commençai à le déshabiller.

Son corps apparaissaient peu a peu à ma vue et je ne put pas m'empêcher de le regarder, de l'effleurer de mes doigts. Sa maigreur faisait peur à voir mais, il était beau, d'une splendeur tel que je n'avais jamais vu. Son torse blanc invitait au baisser, ses clavicules traçaient un chemin, que je voulais parcourir sans cesse. La mince ligne de poil noir sillonnait de son nombril vers son pubis m'affolant.

Son pantalon suivi le chemin du Chandail, me laissant k.o. il était à coupé le souffle. Je le portai jusqu'à la baignoire et l'y déposai. Il remua, essayant de sortir de l'eau, sa tête roulant d'un coté à l'autre. Je fit apparaître une éponge et la trempai dans l'eau la portant ensuite à son visage, le lavant de ses huit longs mois de calvaire. Il vint à se calmer entre mes mains, sa tête coucher sur le rebord de la baignoire, ses grands yeux fermés sur des rêves tranquilles. Mes mains caressaient chaque parcelle de ce corps si fragile, l'idolâtrant de mes gestes doux et fluides. Il fut bientôt propre. Je le retirai de la baignoire, saisissant ma baguette au passage pour faire apparaître de nouveaux draps, ce qui fut vite fait. Je le reposai de nouveau au milieu des draps frais et il s'endormit de nouveau.

Herby revint avec le bouillon de poulet qu'il posa sur la table de chevet et re-disparu nous laissant seul. Je n'avais pas envie de le réveiller mais, il était impératif qu'il soit nourrit. Je m'assit près de lui et il vint immédiatement se coller à moi. Je le soulevai un peu le recouchant sur mon torse.

-Harry, Harry réveille toi, il faut que tu mange.

Le garçon bougea mais, ne se réveilla pas. Il était peut-être trop tôt pour le nourrir de cette façon alors, je fit apparaître une seringue et j'enlevai l'aiguille. J'aspirai avec celle-ci un peu de bouillon et ouvrit quelques peux les lèvres gercées du garçon, laissant coulés quelques gouttes sur sa langue. Il l'ingurgita, je sourie, s'étais déjà ça. Je recommençai le manège jusqu'à ce qu'il ne reste plus que quelques cuillères de soupe, je posai le bol sur la table et me perdit dans mes pensées.

Au dehors la nuit s'était installé recouvrant de son voile les sombres collines qui entouraient le domaine, la neige les tapissant toujours, la tempête se levait lentement, le vent sifflant contre les vitres, les recouvrant de givre.

Le garçon m'avait toujours intrigué. Fort de caractère, il était un meneur d'homme, un guerrier. Lorsqu'il avait fouillé dans ma pensine, j'aurais aimé lui tordre le cou sur l'instant mais, plus tard quand, je fut moins amers je réalisai que tout ceci ne serait pas arrivé si je ne l'avais pas laissé là, malgré le fais que je sache le garçon extrêmement curieux. Vu la façon dont je le traitais depuis des années, il était normal qu'il ait voulu savoir. Puis, il y avait eu la mort de black.

Encore aujourd'hui je lui en veux à ce crétin, je lui en veux d'être partit aussi vite, il était tout ce qui restait au garçon. Tout ceci ne serait pas arrivé si, il n'avait pas basculé derrière le voile emmenant le cœur du garçon avec lui.

Puis les jours défilèrent, Harry Potter le garçon qui à survécu se mit à dépérir puis, quand les vacances d'été commencèrent, le garçon disparu. La société magique en émois vint quémander des réponses auprès de ses relatifs mais, ceux ci restèrent intransigeants, le garçon avait disparu, alors qu'ils étaient à Londres, entrain de faire les boutiques et ils ne l'avaient jamais revu. Dumbledore avait failli lui-même les étriper sur place. Puis, les mois passèrent, Voldemort se fit plus présent. Mais, Harry ne réapparut pas.

Dumbledore tomba malade, gravement malade. Les recherches finirent par aboutir et le vieil homme lui confia sur son lit de mort ou se trouvait le jeune homme, lui confiant ainsi la garde de celui-ci du même coup.

Qu'est ce qu'ils lui avaient fait et qui par Merlin?

Alors l'intrigue commence à s'installer, j'espère que vous aimez toujours autant et ne cesserai de m'écrire car j'adore vraiment toutes vos reviews. Je vous adore.

Sindra XXXXX

(Bon v'la ma contribution très, très généreuse )

Titre : Sortir de l'enfer

Auteur : Sindra

Disclamer : rien ne m'appartient sauf l'histoire.

Résumer : Harry potter à 16 ans, mais qu'est-il advenu de lui. Pendant 8 mois le survivant avait disparu, Severus Rogue le retrouve dans un vieux taudis où l'opium et le sexe sont choses courantes. Réussira-t-il à le sauver de lui-même.

NA : je tiens à avertir le public que cette fiction contient non seulement des scènes de slashs, drogues, violences et autres mais, aussi des spooliers du tome 5. Alors homophone faite demi-tour ou venez jeter un coup d'œil.

Chapitre 3 : Le masque

Mais que lui avait-ils fait et qui par Merlin?

Severus se réveilla aux petites lueurs du matin, le soleil illuminait de ses rayons leurs deux corps enlacés, les bras de Harry toujours autour de sa taille le serrant contre lui, sa tête reposant sur sa poitrine. Le garçon ne s'était pas encore réveiller et Severus appréhendait cet instant plus que tout. Le jeune homme n'avait pas manifesté son envie de drogue, pas encore. Les délices de la trompeur et de l'irréalisme l'appellerait bientôt à lui le réclamant entre ses bras sinueux d'une douceur euphorique.

Severus se leva prenant soin de ne pas réveiller le jeune homme. Il passa dans la salle de bain et commença à se dévêtir. L'odeur de pourriture emprisonnée encore dans ses vêtements de la veille, le fit stopper. Il jeta un regard au miroir devant lui. Et rencontra un regard noir charbon, si caractéristiquement impassible, des yeux de nuit. Mais, que lui arrivait-il donc depuis hier, il avait changé. Lui, si arrogant et inflexible s'était laissé aller, il ne fallait pas que cela se reproduise, jamais. Était-ce l'endroit qui lui avait valu d'être aussi sentimental, de se sentir si proche du garçon et ce baiser si simple, rempli de toute la douleur du monde, de la souffrance qui les entouraient, mince étincelle dans cet univers de tourment. C'était tout simplement stupide, il ne fallait pas que cela se reproduise, jamais.

Il s'immergea dans la baignoire, la chaleur détendant ses muscles réticents, quand une brûlure sur son bras lui embrasa les tendons, parcourant un chemin sous sa peau en feu jusqu'à son cerveau. Il retint un cri, serrant les lèvres, laissant échapper malgré tout un gémissement a de douleur. Il l'appelait à lui. Il pris trois grandes inspirations pour calmer les battements effrénés de son cœur.- Pourquoi aujourd'hui, pourquoi maintenant - Il sortit de la baignoire, s'épongea rapidement et revêtit la robe noire.

La robe des mangemorts, l'image même de la répugnance et de l'ignominie. Il avait tellement envie de tout abandonner, maintenant que Dumbledore n'était plus là pour le guider et le soutenir, seule lanterne au bout d'un tunnel d'une noirceur infini. Il n'y avait plus aucune raison pour lui de subir cette torture, jour après jour et de supporté ses yeux rouge sang fixé sur lui, ce double jeu, où la vérité et la tromperie se jouaient sans cesse l'une de l'autre.

Là où, il avait vu, il y a bien des années, une façon d'aider les autres, de sauvé le monde, de pouvoir sauver les fils et les filles de mangemorts de leurs destins déjà écrits d'avance, leurs donnés le choix qu'il n'avait jamais eu. Non, aucune raison n'était assez importante, pour lui faire subir ça. Mais en émergeant de la salle de bain, son regard porta vers le grand lit, là où le survivant était profondément endormit, ses cheveux lui dissimulant le visage, ses lèvres pleine à peine ouverte, son visage blanc comme le marbre. Il restait lui. – Severus prenez soins de lui- Oui, il restait Harry.

Il sortit de ses poches le masque d'argent aux miles facettent luminescente, tel son vrai visage. Appelant la mort de tout son être et la repoussant tout à la fois le plus loin possible, il le posa sur son visage. Froideur et chaleur tout à la fois. Miles reflets de morts et de tortures, il avait vu attravers les minces interstices de ce masque. Masque de fantaisie, masque de honte, cachant son visage à la vue de tous.

Il toucha la marque, se sentant aussitôt transporté dans un autre lieu. Le maître l'appelait.

Il apparut dans le Hall du château, au milieu des ses confrères, qu'il trahissait sans aucun remord, invisible dans la multitude de masque identique. Le château avait depuis longtemps retrouver son faste et chatoyant luxe, sa richesse d'autrefois et son abondance. Mais aussi, sa noirceur et la peur que cet endroit engendrait. Les murs gris placardés de tableaux tous aussi morbide les uns que les autres se succédaient montrant le chemin vers le trône. Ses même murs cachant les salles de torture, les prisons remplient de moldus et de sorciers, tous confondus. Severus regarda droit devant lui, restant impassible à tout ce qui se passait autour de lui, se faufilant habillement attravers la foule, les suivant vers le seigneur noir et refoulant son angoisse derrière son masque.

Il était là assis nonchalamment sur son trône, regardant les silhouettes noires s'avancé vers lui, se prosterné puis, repartir de chaque coté de la salle. Severus s'avanca jusqu a Voldemort, ne voyant que le bord de sa robe et le renflement de ses chaussures, se baissa et en embrassa l'ourlet de la robe. Une odeur de sang et de souffre si accrochant lui souleva le cœur et la bile remonta dans sa gorge, laissant un goût âpre dans la bouche de l'homme. Il se releva et tout en reculant, alla se positionner jusqu a l'un des piliers qui soutenait la pièce, s'appuyant contre la pierre brute et froide. Tentant de soulager l'envie de recracher tous ses boyaux. Pourquoi les avait-il appelez en maintenant ?

Voldemort se leva et fit signe aux mangemorts de l'écouter. La centaine de capes noires, immuables se tourna vers lui, attendant le moindre de ses désirs pour l'exécuter. Il s'adressa à ses fidèles, la voie acérée et acide, s'avançant attravers la salle.

-Aujourd'hui, j'ai découvert un traître parmis nous.

Les masques aux milles reflets, se tournèrent dans tous les sens, s'inspectant, essayant de transpercé les masques à la recherche d'un indice, cherchant le traître. La bile dans la gorge de Severus tenta de remonter une fois de plus, la sueur recouvrant de son manteau glacé tout son corps, il avait été découvert. Que deviendrait le mince corps étendu dans son lit, à l'agoni, perdu dans ses songes, sans lui ?

Les portes s'ouvrirent et deux détraqueurs apparurent traînant un corps derrière eux. Les battements toujours plus présents dans la poitrine de Severus atteignirent leurs summums. Ils laissèrent tombé le corps meurtri au milieu de la salle sur le carrelage de marbre noir marbré de bleu roi et sortirent par la porte d'où ils étaient entrés. L'homme se releva tremblant sur ses avant-bras lançant un regard de défi aux mangemorts, ses cheveux Platine poisseux de sang, lui collant au visage souillé de terre et d'urine, sa bouche formant malgré tout un rictus de haine quand il aperçut le mage noir s'approcher de lui..

Voldemort sortit sa baguette, s'approchant toujours de la silhouette a demi levé, ses pas se répercutant dans la vaste pièce sonnant le glas de sa pénitence.

-Prosterne-toi vermine, conspua-t-il.

L'homme cracha à ses pieds, du sang poisseux rouge comme les yeux de son maître.

-Cette immondice a tenté depuis ma renaissance de s'approprié ma place et aujourd'hui j'ai eu la preuve, qu'il donnait des renseignements à l'ennemie. Que tous ici, il fit un tour sur lui-même pointant d'un doigt grêle ses mangemorts, sachez que le maître des ténèbres ne laissera pas cela impuni et qu'il recevra son châtiment !

-Draco.

La silhouette fine et élancée s'avanca au centre de la pièce, encerclé par les tuniques noires de toute part, touts le regardant, attendant l'instant fatidique où Voldemort prononcerait ces mots, sa sentence. Le fils unique de Lucius Malfoy se mit à genoux face à son père. La chair de sa chair, le même sang, le même regard de glace, l'un attravers les fentes du masque argenté, l'autre cerné de rouge et de bleu, brûlant de rage.

-Toi! Son fils, est-tu aussi un espion à la solde de ce bourbeux de ministère, cracha voldemort, essaie-tu aussi de prendre ma place.

Il ne parla pas.

-Relève-toi. Le garçon le regarda.

-Non. La voie était ferme et sèche. -La chair de sa chair-.

-Très bien, alors prouve-moi à quel point tu m'obéis. Tue-le.

Draco commença à formuler l'Avada kedevra sans hésitation mais, Voldemort l'arrêta d'un signe de la main.

-Oh! Non, ce serait trop facile. Tue-le, lentement.

Alors, sous les yeux ébahis de tous, Draco Malfoy, fils de l'ancien bras- droit de Voldemort, reprit sa baguette en main et jeta l'Endoloris sur son père jusqu a ce que celui-ci rende l'âme.

Les cris remplissaient encore la pièce alors que, le supplice de Lucius avait prit fin, il y avait quelques minutes.

Voldemort s'avanca et posa la main sur l'épaule du jeune homme, content de son fidèle mangemort.

-Sachez mangemort que si, il y a un traître dans mon camp, il sera bien vite découvert et que, je ne laisserai pas cela impuni. Partez tous, sauf toi Severus.

Il sentit ses entrailles se congelé. Il attendit patiemment que les autres sortent pour s'avancer vers Voldemort y voyant à la place la mort l'attendant avec sa faux. La peine dans l'âme se préparant à mourir.

-Severus, fidèle d'entre tous mes fidèles, aurait-tu apprit quelques choses à Poudlard. Les yeux rouges le fixaient sans ciller. La sueur lui collait à la peau, le fiel remontant dans sa bouche.

-Non.

Voldemort fit quelques pas et revint vers lui, le corps de Lucius, toujours au milieu d'eux les séparant.

-Il semblerait qu'on n'ait retrouvé le survivant, Harry potter, cracha-t- il. Le savais-tu.

-Non-maître.

-Bien severus, fais ta petite enquête auprès de tes collègues, va et ne me fait pas attendre.

Severus marcha lentement vers la sortie s'empêchant de courir.

Mais voldemort l'arrêta à nouveau.

-Ne me déçoit pas, Severus, sinon tu le regretteras.

Severus sortit à l'extérieur prendre l'air et regarda le ciel de l'Albanie s'embraser derrière les montagnes, retenant son envie de régurgiter tout le contenu de son estomac. Quelqu'un l'attrapa par le bras, le prenant par surprise. Le masque d'argent devant lui quitta le visage de l'inconnu pour révéler des yeux ruisselants de larmes et un visage aussi blême que la mort elle-même.

Draco!

Fini, lalalalla c'était bon non, hum troisièmes chapitres en une journée, je me surpasse et alors, comment avez vous trouvez, je sais, j'ai encore retardé le réveil de Harry mais, il faut bien vous mettre dans l'ambiance, très Noir d'un avenir sans Dumbledore. Je vous adore toujours autant!

Sindra XXXXX En passant j'aime les reviews, vraiment.... Allez quest ce que vous attendez, envoyez m'ent.