Titre : Sortir de l'enfer
Genre : slash ( SS/HP)
Auteur : Sindra et correctrice Tolkiane.... Très gentille Tolkiane remerciez- la.
Disclaimer : rien ne m'appartient sauf l'histoire.
Résumer : Harry potter a 16 ans, mais qu'est-il advenu de lui. Pendant 8 mois le survivant avait disparu, Severus Snape le retrouve dans un vieux taudis où l'opium et le sexe sont choses courantes. Réussira-t-il à le sauver de lui-même.
NA : je tiens à avertir le public que cette fiction contient non seulement des scènes de slashs, drogues, violences et autres mais, aussi des spooliers du tome 5. Alors homophone faite demi-tour ou venez jeter un coup d'œil.
NNNAAA : Allô! tout le monde, je voudrais savoir avant tout, si cette fiction vous intéresse encore toujours autant, je le demande car j'aime écrire pour que ce soit lu alors... c'est ça qui est ça. Bref j'espère que ce chapitre vous à plus la première partie vient en faite du mangas onegai teatcher qui est vraiment une histoire très ultra bonne donc, c'est pas à moi, même si, je lai changé beaucoup, au cas ou quelqu'un d'autre s'en rendrait compte.
Chapitre 5 : Tu vas t'arrêter.
Les phrases en italique sont de l'homme. L'homme l'avait suivi toute la journée sur le Chemin de Traverse puis, Harry, intrigué par celui-ci, l'avait suivi jusque dans les rues malfamées de Londres. Au tournant d'une maison délabrée, il était entré dans une grande battisse aux briques roses cendrées et l'avait suivi sachant que malgré tout, il se pourrait que ce soit un piège. Attablé l'un devant l'autre, ils s'étaient observés longtemps puis, l'homme habillé tout de noir avait sortit une cigarette d'un étui, l'avait allumée, inhalant sa saveur fauve et douceâtre.
-Entre mes sentiments et les tiens, il y a un grand vide.
Harry avait brusquement sursauté, cette voie si familière mais, tout à la fois étrangère l'avait captivé à ses tous premiers sons.
-Nous ne ressentirons jamais la même chose.
-Que dites-vous?
Le survivant avança sa chaise un peu plus vers celui-ci.
-Je ne comprends pas.
-Les sentiments d'une personne évoluent avec le temps.
-Je...
-Ressent un grand vide en moi, je ne peux le supporter, avança l'homme en expirant une longue bouffée dans l'air nauséabond qui les entourait.
Harry trop déboussolé se contenta de hocher la tête.
-La réponse est simple.
-Tu te fais une montagne de petits ennuis.
-Parfois tu ne trouves pas les bonnes réponses.
-En réalité, parfois tu ne peux pas trouver ces réponses.
-Le bonheur c'est... Il leva les mains vers le ciel. S'aurais-tu, me le dire ?
Harry ne bougea pas, restant pensif, absorbé par les paroles de l'homme.
-Les petits problèmes doivent être ignorés.
-C'est la seule option.
D'un mouvement leste, il sortit une boîte de fer de sa poche qu'il posa sur la table.
-Un endroit ou vivre en paix.
Les yeux de Harry étaient fixés sur la boite, se questionnant sur son contenu.
-Le sentiment de tristesse existe.
- Et il m'entraîne hors de la réalité.
-Le bonheur, il fit un geste de la main dans le vague... comme pour chasser une mouche.
-La réponse est simple...
-Avant que quelqu'un ne souffre, il vaut mieux tout arrêter.
-Si tu ne veux pas souffrir.
-Tu n'as qu'à prendre ceci.
Il ouvrit la boite, révélant son contenu.
-Qu'est ce que ...?
-Harry...
-Tout le monde ne peut devenir heureux.
-Pourquoi?
-Parce que le bonheur corrompt les gens.
-Nous nous accoutumons au bonheur ressenti la première fois.
-Et nous cherchons à l'avoir constamment et même plus.
-Nous sommes avides de bonheur.
-N'est-ce pas?
-C'est pour cela que les gens ressentent le bonheur, mais aussi la souffrance.
-Si les gens ne connaissent pas la souffrance, ils ne sauront pas ce qu'est le bonheur?
-Malgré la contradiction, Oui.
L'homme referma la boite et la reposa sur la table.
-Je n'ai pas besoin d'un monde si contradictoire.
-Je m'arrêterai, quand j'aurai trouvé le bonheur.
-Je me suis libéré de la réalité.
-Vers un endroit où, je ne cherche rien, où je ne souffre pas, où j'existe paisiblement.
-Tu as le même caractère que moi.
-Tu peux suivre le même chemin.
-C'est pourquoi tu es venu à moi, demanda Harry?
-Oui
-Pour me montrer, Comment?
-Oui
-Je...
-Je...
-Ne veux plus continuer.
L'homme prit la boite et là tendit à Harry.
-Vue, ouïe, odorat, goût, toucher, temps, conscience, chair, espace... L'homme ouvrit les bras pour lui montrer que tout cela disparaîtrait.
-Je veux tout arrêter.
L'homme hocha la tête.
-Tout va s'arrêter.
************************************************************************
Je fus réveillé au petit matin par des gémissements près de moi. Mon esprit, toujours embrouillé par l'alcool que j'avais ingurgité la veille, sembla se remettre en marche. Je me levai prudemment sur un coude, me frottant les yeux de ma main droite. Le gosse près de moi recrachait ses tripes sur le sol. Qu'est ce que j'avais fait à la vie pour mériter pareil châtiment, devoir s'occuper du gosse alors que je savais qu'il me détestait toujours et qu'il me détesterait encore plus, quand il serait sur pieds.
Je me levai lentement, sortant ma baguette de sous l'oreiller, précaution que j'avais appris à mettre en exécution alors que je n'avais que 14 ans, il fallait toujours être prudent quand on jouait un double jeu.
Cela devait faire un moment que le jeune homme régurgitait tout ce qu'il avait, les draps sous lui étaient poisseux de bile et du contenu de son estomac. Ma baguette en main, je le fis léviter jusqu'à la salle de bain, salissant tout sur son passage. Mais peut m'importait, cela ne semblait pas vouloir s'arrêter. Une fois le garçon déposé dans le bain, je ressortais et allais dans ma réserve pour en sortir deux éprouvettes afin de calmer son mal.
Dans la salle de bain, Harry rendait toujours le contenu de son estomac, je passais la main derrière sa tête et posais la première éprouvette sur ses lèvres pendant qu'il avait un moment de répit. Il l'avala sans protester, j'attendis quelques minutes avant de lui faire avaler l'autre. Puis tout cessa, il redevint calme, sa respiration normale.
Le monde s'acharnait contre moi. Il fallait que je le lave encore. Encore résister à mon corps qui, contre ma volonté, répondait à celui si proche du mien. C'est hésitant que je lui enlevai un par un ses vêtements, révélant peu à peu son corps famélique. J'ouvrit les robinets d'une secousse de ma baguette. Harry ne bougea pas, les yeux toujours fermés, profondément endormi. Le savon dans une main et une éponge dans l'autre je le savonnais lentement.
-Ça vous plait professeur.... Non?
C'est chien mais j'avais vraiment envie de finir comme ça ce chapitre, enfin un autre de bouclé, dans le prochain chapitre Harry va commencer à être plus présent... donc le slash commence hé hé pas le sexe encore bande de pervers(es).. Bien alors à plus tard je vous souhaite plein de Harry et de Severus (NU) si souhaité... comme m'en a souhaité une revieweuse très gentille.....
Sindra XXXX qui vous adore toujours autant
Genre : slash ( SS/HP)
Auteur : Sindra et correctrice Tolkiane.... Très gentille Tolkiane remerciez- la.
Disclaimer : rien ne m'appartient sauf l'histoire.
Résumer : Harry potter a 16 ans, mais qu'est-il advenu de lui. Pendant 8 mois le survivant avait disparu, Severus Snape le retrouve dans un vieux taudis où l'opium et le sexe sont choses courantes. Réussira-t-il à le sauver de lui-même.
NA : je tiens à avertir le public que cette fiction contient non seulement des scènes de slashs, drogues, violences et autres mais, aussi des spooliers du tome 5. Alors homophone faite demi-tour ou venez jeter un coup d'œil.
NNNAAA : Allô! tout le monde, je voudrais savoir avant tout, si cette fiction vous intéresse encore toujours autant, je le demande car j'aime écrire pour que ce soit lu alors... c'est ça qui est ça. Bref j'espère que ce chapitre vous à plus la première partie vient en faite du mangas onegai teatcher qui est vraiment une histoire très ultra bonne donc, c'est pas à moi, même si, je lai changé beaucoup, au cas ou quelqu'un d'autre s'en rendrait compte.
Chapitre 5 : Tu vas t'arrêter.
Les phrases en italique sont de l'homme. L'homme l'avait suivi toute la journée sur le Chemin de Traverse puis, Harry, intrigué par celui-ci, l'avait suivi jusque dans les rues malfamées de Londres. Au tournant d'une maison délabrée, il était entré dans une grande battisse aux briques roses cendrées et l'avait suivi sachant que malgré tout, il se pourrait que ce soit un piège. Attablé l'un devant l'autre, ils s'étaient observés longtemps puis, l'homme habillé tout de noir avait sortit une cigarette d'un étui, l'avait allumée, inhalant sa saveur fauve et douceâtre.
-Entre mes sentiments et les tiens, il y a un grand vide.
Harry avait brusquement sursauté, cette voie si familière mais, tout à la fois étrangère l'avait captivé à ses tous premiers sons.
-Nous ne ressentirons jamais la même chose.
-Que dites-vous?
Le survivant avança sa chaise un peu plus vers celui-ci.
-Je ne comprends pas.
-Les sentiments d'une personne évoluent avec le temps.
-Je...
-Ressent un grand vide en moi, je ne peux le supporter, avança l'homme en expirant une longue bouffée dans l'air nauséabond qui les entourait.
Harry trop déboussolé se contenta de hocher la tête.
-La réponse est simple.
-Tu te fais une montagne de petits ennuis.
-Parfois tu ne trouves pas les bonnes réponses.
-En réalité, parfois tu ne peux pas trouver ces réponses.
-Le bonheur c'est... Il leva les mains vers le ciel. S'aurais-tu, me le dire ?
Harry ne bougea pas, restant pensif, absorbé par les paroles de l'homme.
-Les petits problèmes doivent être ignorés.
-C'est la seule option.
D'un mouvement leste, il sortit une boîte de fer de sa poche qu'il posa sur la table.
-Un endroit ou vivre en paix.
Les yeux de Harry étaient fixés sur la boite, se questionnant sur son contenu.
-Le sentiment de tristesse existe.
- Et il m'entraîne hors de la réalité.
-Le bonheur, il fit un geste de la main dans le vague... comme pour chasser une mouche.
-La réponse est simple...
-Avant que quelqu'un ne souffre, il vaut mieux tout arrêter.
-Si tu ne veux pas souffrir.
-Tu n'as qu'à prendre ceci.
Il ouvrit la boite, révélant son contenu.
-Qu'est ce que ...?
-Harry...
-Tout le monde ne peut devenir heureux.
-Pourquoi?
-Parce que le bonheur corrompt les gens.
-Nous nous accoutumons au bonheur ressenti la première fois.
-Et nous cherchons à l'avoir constamment et même plus.
-Nous sommes avides de bonheur.
-N'est-ce pas?
-C'est pour cela que les gens ressentent le bonheur, mais aussi la souffrance.
-Si les gens ne connaissent pas la souffrance, ils ne sauront pas ce qu'est le bonheur?
-Malgré la contradiction, Oui.
L'homme referma la boite et la reposa sur la table.
-Je n'ai pas besoin d'un monde si contradictoire.
-Je m'arrêterai, quand j'aurai trouvé le bonheur.
-Je me suis libéré de la réalité.
-Vers un endroit où, je ne cherche rien, où je ne souffre pas, où j'existe paisiblement.
-Tu as le même caractère que moi.
-Tu peux suivre le même chemin.
-C'est pourquoi tu es venu à moi, demanda Harry?
-Oui
-Pour me montrer, Comment?
-Oui
-Je...
-Je...
-Ne veux plus continuer.
L'homme prit la boite et là tendit à Harry.
-Vue, ouïe, odorat, goût, toucher, temps, conscience, chair, espace... L'homme ouvrit les bras pour lui montrer que tout cela disparaîtrait.
-Je veux tout arrêter.
L'homme hocha la tête.
-Tout va s'arrêter.
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Je fus réveillé au petit matin par des gémissements près de moi. Mon esprit, toujours embrouillé par l'alcool que j'avais ingurgité la veille, sembla se remettre en marche. Je me levai prudemment sur un coude, me frottant les yeux de ma main droite. Le gosse près de moi recrachait ses tripes sur le sol. Qu'est ce que j'avais fait à la vie pour mériter pareil châtiment, devoir s'occuper du gosse alors que je savais qu'il me détestait toujours et qu'il me détesterait encore plus, quand il serait sur pieds.
Je me levai lentement, sortant ma baguette de sous l'oreiller, précaution que j'avais appris à mettre en exécution alors que je n'avais que 14 ans, il fallait toujours être prudent quand on jouait un double jeu.
Cela devait faire un moment que le jeune homme régurgitait tout ce qu'il avait, les draps sous lui étaient poisseux de bile et du contenu de son estomac. Ma baguette en main, je le fis léviter jusqu'à la salle de bain, salissant tout sur son passage. Mais peut m'importait, cela ne semblait pas vouloir s'arrêter. Une fois le garçon déposé dans le bain, je ressortais et allais dans ma réserve pour en sortir deux éprouvettes afin de calmer son mal.
Dans la salle de bain, Harry rendait toujours le contenu de son estomac, je passais la main derrière sa tête et posais la première éprouvette sur ses lèvres pendant qu'il avait un moment de répit. Il l'avala sans protester, j'attendis quelques minutes avant de lui faire avaler l'autre. Puis tout cessa, il redevint calme, sa respiration normale.
Le monde s'acharnait contre moi. Il fallait que je le lave encore. Encore résister à mon corps qui, contre ma volonté, répondait à celui si proche du mien. C'est hésitant que je lui enlevai un par un ses vêtements, révélant peu à peu son corps famélique. J'ouvrit les robinets d'une secousse de ma baguette. Harry ne bougea pas, les yeux toujours fermés, profondément endormi. Le savon dans une main et une éponge dans l'autre je le savonnais lentement.
-Ça vous plait professeur.... Non?
C'est chien mais j'avais vraiment envie de finir comme ça ce chapitre, enfin un autre de bouclé, dans le prochain chapitre Harry va commencer à être plus présent... donc le slash commence hé hé pas le sexe encore bande de pervers(es).. Bien alors à plus tard je vous souhaite plein de Harry et de Severus (NU) si souhaité... comme m'en a souhaité une revieweuse très gentille.....
Sindra XXXX qui vous adore toujours autant