Retour à Poudlard.

Harry se laissa tomber sur son lit en soupirant de soulagement, deux heure à affronter Dumbledore et à supporter la complicité existante entre son frère et Rogue, un cauchemar ! Il pesta contre son frère qui c'était bien gardé de lui dire que Dumbledore les attendraient à la sortie de la cheminée, et qui l'avait laisser se débrouiller tout seul pendant un bon moment.

################flash-back################

Harry venait d'apparaître dans la cheminée du bureau du directeur, et ce sous le regard intrigué du dit directeur et de ses deux plus proches collaborateurs. Au début il avait marmonner un vague bonjour avant d'enlever la suie qui le recouvrait d'un mouvement de main, il c'était ensuite tenu à coté de la cheminée, attendant l'arrivée de son frère, qui ne venait pas.

Rogue avait fini par perdre patience :

« A moins que le voyage vous ai affecter le cerveau, pour peu que vous en ayez un, nous apprécierions de savoir qui vient de débarquer. »

Le survivant c'était retenu de ne pas l'envoyer valser contre un mur, histoire de lui apprendre les bonnes manières, mais fort heureusement l'arrivé de Fumsek l'avait détourné de ses envies macabres. L'oiseau, qui revenait sans doute de porter une lettre, c'était dirigé immédiatement vers lui et c'était posé avec grâce sur son épaule avant de commencé à chanter. Harry avait sourit, bien évidemment le phénix le reconnaissait, ce qui n'était heureusement pas le cas des trois sorciers assis dans le bureau. Maudissant intérieurement son frère de le mettre dans cette situation il c'était présent :

« Je suis le chevalier d'or Orion Black, il m'a sembler que c'était évident mais j'avais oublier que les serpentard n'était doués que pour le sarcasme et pas pour la réflexion. »

Etonnamment Rogue se mit à rire et dit :

« Vous, vous êtes un ancien élève de Ben ! »

Harry ne put s'empêcher de sourire et hocha la tête, Rogue se leva et lui serra la main en disant :

« Ravi de voir que vous avez du répondant, c'est trop rare de nos jours. »

Le survivant cacha son étonnement, c'était la première fois qu'il voyait Rogue ainsi, et ca ne correspondait absolument pas à l'homme méchant et renfermé qu'il avait supporter pendant 5 ans. Il sourit à son ancien professeur et inclina la tête en remerciement.

Dumbledore, qui avait suivit la petite scène avec amusement, l'invita alors à s'asseoir et dit :

« Je suis ravi que le conseil vous ai envoyé, mais…. »

Il en put en dire plus, Harry l'avait coup :

« Mais j'ai l'air trop jeune pour enseigner. »

Dumbledore hésita une seconde et répondit :

« Oui j'avoue. »

Harry prit une voix froide pour répondre :

« Professeur Dumbledore, il me semblait avoir été clair en me présentant, je suis chevalier, mon âge n'a rien à voir avec ma puissance, et mon statut de chevalier impressionnera suffisamment les élèves pour que je n'ai pas à faire la police. De plus il me semble que la moindre des politesses serait d'attendre de me voir à l'œuvre avant de juger. »

McGonagall prit un air outré, tandis que Rogue souriait de toutes ses dents, apparemment ravi que quelqu'un n'ai pas peur de répondre ainsi à Dumbledore. Il aimait beaucoup l'homme et lui devait encore plus, mais son coté « tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil » l'énervait au plus haut point, sans compter ses idées farfelues sur les bonbons moldus ou les farces des élèves.

Dumbledore eut le bon goût de paraître gêner, et répondit :

« Vous avez parfaitement raison chevalier, je vous prie de m'excuser, comprenez seulement qu'en tant que directeur je m'inquiète quelque peu. »

Harry eut un rire sans joie et répondit :

« Vous auriez mieux fait de vous inquiéter l'année dernière, je crois savoir que la « grande inquisitrice » n'était pas vraiment le professeur rêver. – son ton ce fit plus chaud et il continua – Mais je comprends parfaitement vos réticences, c'est d'ailleurs pour cela que je suis encore ici, le conseil nous a laisser toute liberté pour juger si oui ou non nous devions vous aidez. »

Dumbledore tiqua :

« Nous ? »

Harry se retint de lever les yeux au ciel tout en se promettant de tuer son frère dès qu'il apparaîtrais, il s'expliqua :

« Nous sommes deux, mon frère devrais me rejoindre sous peu. »

D'une voix impatiente, Rogue demanda :

« Ben ? »

Harry hocha la tête et le professeur de potions continua :

« J'ignorais qu'il avait un frère. »

Harry haussa les épaules :

« Si ca peut vous rassurez professeur, je l'ignorais tout autant avant mon sacre »

Dumbledore, qui regardait avec plaisir son professeur de potion avoir un comportement humain, intervint :

« Pourquoi n'est il pas venu en même temps que vous ? »

Cette fois, Harry leva réellement les yeux au ciel et répondit :

« Il a sans doute trouver très amusant de me laisser me débrouillé seul. »

Rogue eut un petit rire à cette déclaration et Dumbledore sourit, Harry detecta une pointe de soulagement dans l'attitude du directeur, sans doute était-il content de voir qu'on ne lui avait pas envoyer des machines de guerre sans aucun humour, McGonagall quant à elle garda son air pincé habituel.

Ils restèrent tout les 4 silencieux, attendant l'arrivé du deuxième chevalier, puis Dumbledore demanda :

« Auriez-vous des nouvelles concernant Harry Potter ? »

Harry bénit son maître de lui avoir appris à garder un visage neutre et répondit d'une voix sure :

« Aucunes, vous pensez bien que nous vous aurions prévenus. »

Dumbledore hocha la tête, à cet instant il n'était ni le « vieux fou », ni « le plus puissant sorcier de ce siècle » mais seulement un vieil homme qui semblait porter un poids trop lourd pour lui. Comme se parlant à lui-même il dit :

« Je n'aurais pas du me fier autant aux sorts de Privet Drive. Encore une erreur qui lui a porter préjudice. »

Rogue renifla d'un air méprisant :

« Ce garçon n'en fait qu'à sa tête Albus, vous le savez bien, il aura sans doute voulu jouer les héros une nouvelle fois. »

Harry se retint une nouvelle fois de ne pas incruster son ancien professeur dans le mur, mais il n'était pas dit qu'il laisserait Rogue baver sur lui sans intervenir, d'une voix froide il demanda :

« Savez-vous au moins par quoi il est passé professeur Rogue ? »

Rogue leva les yeux aux ciel, comme si la réponse était évidente :

« Bien sur, tout le monde le sait, le survivant, celui qui a sauver la pierre philosophale, celui qui a tué un basilic etc… Il adore jouer les héros ! »

Un masque impénétrable sur le visage, Harry répondit :

« Je ne parlais pas de cela professeur, je suppose que vous imaginé qu'il a eut une enfance digne d'un prince, durant laquelle ses moindres désirs étaient immédiatement satisfait. Et bien je vais vous faire une révélation, il a passer dix ans de sa vie à être traiter de monstre par sa seule famille, il a passer dix ans dans un placard sous un escalier alors que son cousin avait une chambre ET une salle de jeu, il a passer dix ans à être traiter aussi bien qu'un elfe de maison. Il ne vous ai jamais venu à l'esprit qu'il aurait préféré vivre avec ses parents plutôt que d'être le survivant ? »

Harry se calma au prix d'un gros effort de volonté puis lâcha :

« Si vous ignoriez tout cela alors vous auriez du vous renseigner avant d'échafauder de grande théorie qui vous donnais une pseudo-raison de le haïr. Et si vous le saviez alors il n'y a pas de mot pour décrire ce que vous êtes ! Que vous jouiez la comédie devant les élèves en rabaissant le survivant, c'est normal pour un espion et je pense que même lui l'avait compris, mais vous attaquez ainsi à ce gosse alors qu'il n'est même pas présent et qu'il n'y a personne pour rapporter tout cela à Tom c'est inacceptable ! »

Rogue avait perdu le peu de couleur qu'il avait, il connaissait suffisamment Ben pour voir quand un chevalier était hors de lui, et c'était précisément le cas, et pour rien au monde il ne voudrait affronter un chevalier, il préférait encore affronter une trentaine de mangemorts !

McGonagall les détournas tout deux de leur pensées en se tournant vers Harry et en demandant d'un ton suppliant :

« Nous nous inquiétons beaucoup pour lui, vous êtes certains de n'avoir aucune nouvelles ? »

Le chevalier eut un sourire chaleureux à l'égard de la vieille dame et répondit :

« Aucune hélas, mais je suis persuadé qu'il n'est pas en danger. Si Tom l'avait attrapé ou tué, nous en aurions tous entendu parler. »

McGonagall hocha péniblement la tête, Harry eut ressenti une vague de culpabilité face à la détresse évidente de son professeur, il renforça son sourire tentant de la rassuré en ayant l'air sur de lui. Dans le même temps il fit un petit mouvement de la main pour lancer un petit sort d'allégresse sur elle, la vieille dame se reprit. Dumbledore eut un sourire reconnaissant envers le chevalier, il l'avait vu lancer le sort et approuvait pleinement cette initiative.

Le vieil homme reprit alors son rôle de directeur et demanda :

« Comment comptez vous, vous répartir les classes ? »

Harry faillit avouer qu'il n'en savait rien, puis il sourit intérieurement, puisque son frère voulait qu'il se débrouille il en pariait les conséquence, d'un ton sur de lui il répondit :

« Nous avons prévu que je m'occupe des trois dernières années, mon frère s'occuperas des plus jeunes. »

Dumbledore hocha la tête :

« Très bien, mais vous n'aurez que deux années, il n'y a aucun élève en DCFM en septième année, conséquence directe de la présence du professeur Ombrage.

Ah ? Parfait, cela me laissera plus de temps pour surveiller le château. »

Le directeur sourit :

« Je ne saurais vous dire à quel point je suis soulagé de vous savoir ici. »

Harry sourit à son tour et dit :

« Ce n'est rien, de plus je ne pense pas que notre présence soit nécessaire, si le survivant n'est pas ici, il y a peu de chance que Tom attaque, à moins qu'il ne pense que quelqu'un sache où il se trouve évidemment. »

Ce fut McGonagall qui répondit :

« Vous pensez qu'il ne reviendras pas pour l'année scolaire ? »

Harry haussa les épaules :

« Je l'ignore, mais s'il ne c'est pas manifesté pendant toute les vacances il n'y a pas de raisons pour qu'il revienne pour les cours. Si comme je l'espère il à trouver quelqu'un pour apprendre comment vaincre Tom, il ne va pas laisser tomber pour de simple cours, sans vouloir vous vexer. »

Les trois professeurs hochèrent la tête et Dumbledore dit :

« Oui, il n'y a aucune raison pour qu'il revienne, je ne pense pas qu'il en ai envie de toute façon il doit encore m'en vouloir. »

McGonagall tenta de réconforter le vieil homme :

« Voyons Albus, vous avez fait ce que vous pensiez le mieux pour lui.

Ce que je PENSAIS le mieux oui, mais c'était loin d'ETRE le mieux.

Harry tient beaucoup à vous, il vous pardonneras, il est juste un peu perdu c'est normal. »

Harry se retint d'intervenir, et observa Rogue qui semblait approuver pleinement les paroles de la directrice adjointe, même s'il trouvait toujours que c'était ce donner beaucoup de mal pour un élève, surtout pour celui-là.

Ben se décida enfin à apparaître et fut accueilli par une étreinte du maître des potions, cela sous le regard noir de son petit frère qui n'appréciait pas vraiment ce genre de familiarité. Dumbledore et McGonagall, quand à eux le saluèrent avec déférence, et Ben fut mit au courant des dispositions quand à la répartition des classes. Mentalement il envoya un « joli coup » à son frère, Dumbledore demanda ensuite à Rogue de les mener jusqu'à leur appartements, après qu'ils lui eut précisé qu'il partageraient la même chambre sans aucun problème. Durant le trajet à travers les couloirs familier du château, Harry sentit un sentiment nouveau poindre en lui, la jalousie, il était vert de jalousie devant la complicité qu'entretenais Rogue avec son frère, et si Ben ne lui avait pas préciser avant leur départ que c'était lui, Harry, qui comptait le plus pour lui, il aurait déjà étranglé le maître des potions.

Ils parvinrent finalement à leurs appartements, Ben fut un instant tenté de faire entrer Severus, mais la raideur de son frère, signe, évident pour lui, de sa colère, l'en empêcha. Il remercia Rogue et ils entrèrent tout les deux, dès que la porte fut refermée, Ben prit son petit frère dans ses bras et dit :

« Ne soit pas jaloux petit lion, je te l'ai dit et je te le répéterais autant de fois que nécessaire pour que ca rentre dans le morceau de bois qui te sert de tête : tu es la personne qui compte le plus pour moi. »

Harry soupira de soulagement de sentir les bras de son frère autour de lui et dit :

« Je sais, c'est d'ailleurs ce qui m'a empêcher de le tuer, mais je ne peut pas m'empêcher d'être jaloux devant toutes les expériences que vous avez en commun. Pourquoi est-ce que je ne peut pas avoir autant de souvenir commun avec toi ? »

Il avait dit la dernière phrase avec une voix brisée, Ben le serra plus fort contre lui et dit :

« Je suis désolé Harry, je n'avais pas vu ca comme ca, la seule chose que je puisse faire c'est te promettre que tu passeras toujours avant Sev. »

Harry s'accrocha désespérément à son frère, il venait de comprendre que même si son frère le laissait se conduire comme un enfant, il n'en serrais plus jamais un, et jamais il n'aurait la même tranquillité à aller se blottir dans ses bras quand il avait fait un cauchemar. Il enviait les gens qui avaient eu cela, ces instants si précieux, où la candeur de l'enfance empêche d'avoir honte de réclamer attention, amour et protection, pour lui il était trop tard, malgré les paroles de Ben il avait un peu honte de se conduire ainsi, même s'il n'y renoncerait pour rien au monde. Rien que pour cette acceptation du fait de devoir le cajoler comme un enfant, rien que pour cela il aimait déjà son frère plus que tout.

Ils restèrent ainsi un long moment, Harry ne voulant pour rien au monde lâcher son frère, puis ils se séparèrent. Ben jeta un coup d'œil à l'horloge en pieds située dans un coin et demanda :

« Tu veut dîner ici ou dans la grande salle avec les autres profs ? »

Harry soupira de résignation et répondit :

« Ca le ferrais pas de se démarquer d'eux, dès le premier jour. Et puis je suis censé ne rien connaître de Poudlard et le plafond de la grande salle est censé être un des enchantements les plus réussis du monde magique, Albus trouverait ca louche que je n'en profite pas. »

Ben sourit, il était fier que son élève pense avant tout à sa mission, même s'il devait passer un temps indéterminé, mais pour lui toujours trop long, à jouer la comédie. C'est ainsi qu'ils se rendirent dans la grande salle pour le dernier dîner sans les élèves, tous les professeurs, sauf Trelawney heureusement, étaient là et Harry s'aperçut qu'il n'en connaissait pas un certain nombre. Il sourit intérieurement, au moins pas besoin de faire attention avec eux, il perdit son sourire quand il vit Rogue leur faire de grands signes en désignant les places situés de part et d'autre de la sienne. Ben se retint de sourire, devinant sans peine ce que pensais son petit frère « comment voulez que je mange avec ce bâtard graisseux à coté de moi ? ». Harry voulu prendre place en bout de table, à coté de Rogue certes mais avec un accès direct à la sortie, mais Ben ne lui en laissa pas le temps, résultat Harry se retrouva entre Rogue et Dumbledore, les deux professeurs les plus à même de le percer à jour. Il se demanda un moment si Ben voulait réellement que son identité reste secrète, heureusement Rémus n'était pas là, c'était le seul qui aurait pu réellement le percer à jour, à cause de son odeur !

Contrairement aux sortilèges d'apparences, le physique de Harry n'était en rien une illusion, pour comparer c'était comme s'il avait prit du polynectar, son corps avait réellement changé, et même Dumbledore, qui était à même de voir au-delà des sortilèges d'apparence, ne pouvait rien voir dans ce cas, de même que l'œil magique de Maugrey.

Au début du repas, Harry se détendit rapidement, Dumbledore était un convive enjoué et incroyablement bavard, parlant des nouvelles inventions des jumeaux comme d'un nouveau sortilège, mais Harry comprit le jeu du vieil homme quand au détour d'une phrase il demanda avec nonchalance :

« Et dans quel maison étiez-vous ? »

Fort heureusement, Harry avait appris à ne pas répondre sans réfléchir, son hésitation fut imperceptible et d'une voix tout aussi calme et désintéressée que celle du directeur répondit :

« Je n'ai jamais dit que j'avais été à Poudlard professeur ! »

Il lança un regard éloquent à Dumbledore pour bien lui faire comprendre qu'il n'avait rien manquer de sa petite manœuvre, le vieil ne sembla absolument pas gêner et dit :

« Oh appelez moi Albus. Je croyais que vous aviez été élève ici, vous me rappelez quelqu'un mais j'ignore qui, que voulez-vous c'est l'âge je perd un peu la tête. »

Harry sourit et répondit :

« Allons Albus, n'allez pas à la pêche aux compliments, vous êtes encore un jeune homme. »

Ils rirent tout les deux, mais Harry resta sur ses gardes tout les reste du repas, évitant ainsi d'autre pièges du directeur. Le pire dans l'histoire, enfin pour Harry, c'est qu'il entendait les éclats de rire de Rogue et de son frère pendant que lui-même devait faire attention à tout ce qu'il disait.

C'est tendu que Harry quitta la grande salle, après avoir envoyé à son frère un petit message télépathique lui disant de rester avec son ami, Ben le remercia et lui promis de venir rapidement. Le jeune chevalier regagna donc leur appartement, et, après s'être dévêtu, se laissa tomber sur le lit en soupirant de soulagement.

################fin du flash-back#################

Ben était dans les appartements du maître des potions, à discuter de tout et rien avec son vieil ami. Au détour d'une phrase Rogue s'aventura sur un sujet glissant en disant :

« J'ai l'impression que ton frère ne m'aime pas. »

Ben hésita un moment sur la manière de répondre puis dit :

« C'est pas faux, Orion ne me connais que depuis le début de sa formation, et il n'a jamais pu être réellement un gosse. Tu connais la mentalité du cercle, il c'est un peu rattrapé avec moi, mais au même titre qu'un môme il est jaloux que je soit aussi proche de toi. »

Rogue eu un reniflement méprisant face à cette attitude puérile et ouvrit la bouche pour balancer un commentaire sarcastique mais Ben l'arrêta :

« Sev' je veut que les choses soient clair, j'adore mon petit frère et toute attaque de ta part contre lui, serait une attaque contre moi ! De plus tu n'es pas très bien placé pour te moquer de lui, quand tu était au cercle tu ne valais pas bien mieux, combien de fois es-tu venu dormir dans le lit de Tabris ? Et tu était plus vieux que lui ! »

Rogue resta silencieux un moment puis dit :

« Tu as raison, mais j'avoue être, moi aussi, un peu jaloux, j'ai bien vu comment tu le couvait du regard. »

Le chevalier sourit :

« Je te promet que ca ne sortira pas d'ici, tu imagine si les gens apprenait que Severus Rogue a des sentiments humains. Nous devrions faire face à une vague de crise cardiaques. »

Ils rirent tout les deux, et la conversation dériva sur des sujets moins importants, Ben quitta le directeur des serpentards, une demi-heure plus tard. Il regagna l'appartement qu'il partageait avec son frère, Harry lui sauta dessus dès qu'il entra dans la chambre, Ben l'attrapa au vol et le porta jusqu'au lit en disant :

« Le petit lion à besoin de câlins ? »

Harry hocha la tête d'un air enfantin et prit une voix de bébé pour répondre :

« Oui, câlins ! »

Le chevalier de platine sourit et s'exécuta, tenant son frère serrer contre lui un long moment. Puis il se détacha, engendrant un grognement mécontent de la part de son frère, mais il revint à ses cotés dès qu'il fut en caleçon. Comme pour un enfant, il ouvrit le lit et y déposa son frère avant de le border et se coucha finalement à ses cotés, Harry vint instantanément se blottir contre lui, finalement ce retour à Poudlard n'était pas aussi dur qu'il l'avait craint puisqu'il pouvait toujours dormir dans les bras de son grand frère.

Petite note à propos des RAR :

Je ne répondrais pas aux RAR du 14° chapitre de la première partie ici, je posterais plutôt un 15° chapitre dans ce but, mais pas tout de suite, vu que je suis un peu pris j'ai préféré prendre un peu d'avance pour cette fic et ainsi pouvoir commencée à la mettre en ligne plutôt que de répondre aux reviews j'espere que vous préferez ce choix.