P'tit blabla de moi : J'avais raison, j'ai put faire ce chapitre bien plus rapidement avec vos reviews pour me soutenir. Bonne lecture.
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Le jeu des serpentards.
Quand il sortit de la cheminée de ses appartement à Poudlard, les deux premières choses avec lesquelles Harry fut en contact furent le sol et ensuite la main de son frère. Autant il s'écrasa sur le premier, autant la deuxième s'écrasa sur sa joue.
La giffle n'avait pas été forte, elle ne contenait ni rage, ni énervement, plutôt une sorte de sanction. Mais tout comme pour Rémus, ce n'était pas la désobéissance qui était punie mais l'inquiètude qu'elle avait engendrée.
Harry toucha par reflexe sa joue rougie, n'accordant ainsi qu'une attention relative à son frère, ce qui permis à ce dernier de l'attraper dans une étreinte digne d'un ours. Legerement surpris, le survivant mit un instant avant de passer ses bras autour du cou de son ainé.
Ben ne se fit pas prier pour le porter jusqu'au canapé. Harry grogna quand son frère relacha son étreinte, il était tout prêt à exprimer son mécontentement quand il croisa les yeux de son grand frère. Le survivant deglutit difficilement, le regard de son ainé était on ne peut plus clair, aussi surement que s'il avait parler, Ben lui « disait » : tu es mort !
Harry ouvrit la bouche pour s'expliquer mais Ben leva une main, le coupant ainsi dans son élan. D'une voix lasse l'ainé dit :
« Je ne veux pas entendre d'excuses ou d'explications. Tu as fait ce que tu croyais nécéssaire, très bien ! Mais n'attends pas de moi que j'accepte que tu te mette ainsi en danger ! C'est pour ca que tu es puni, interdiction de sortir de l'appartement pour autre chose que pour tes cours ! »
L'adolescent faillit protester mais le regard de son frère l'en dissuada, il était clair que Ben n'admeterais aucune plainte. Malgré cela il tenait à expliquer à son frère qu'il n'avait pas eu le choix, d'une petite voix il dit :
« Ben, c'était la seule solution, Max m'a donner le pouvoir de vaincre Tom en le transformant en moldu. C'est le seul moyen de le vaincre. »
Ben s'assit sur le canapé et attira son petit frère sur ses genoux avant de répondre :
« Je le sais bien Harry, Max me l'a dit, mais il n'empeche. Tu m'a fait très peur, je ne veut pas te perdre petit lion, tu comprends ca ? »
Harry hocha timidement la tête avant d'enfouir son visage dans le cou de son frère, en murmurant :
« Je suis désolé grand frère. »
Le chevalier de platine sourit :
« J'espere bien sale gosse, et estime toi heureux que je me contente de t'interdire de sortir, j'aurais tout aussi bien pu te mettre une fessée, des fois je me dit que c'est tout ce que tu mérite. »
Harry laissa échappé un petit rire nerveux, pas vraiment sur que son frère n'oserait pas, il ouvrit néanmoins la bouche pour exprimer une indignation totalement feinte mais son frère parla le premier :
« Harry j'ai appris plusieurs choses durant ton absence, des choses qui te concernent…….
Tu va me dire que je suis l'élu de la prophétie de la balance, mais je le sais déjà rassure toi. »Ben leva les yeux aux ciel et murmura pour lui-même :
« Evidemment, Max n'a pas put s'empecher de te le dire. Il t'a révéler la prophétie en entier je suppose ? »
Harry hocha doucement la tête et déclama :
« Lorsque les ténèbres, une nouvelle fois, seront près de vaincre la faucheuse
Un enfant de lumière apparaitra, de par ses peines et ses joies il atteindra la puissance. De par cette puissance il pourra réunir ce qui fut séparé. Ce qui fut désuni mis en pièce et briser, deux redeviendront un et un serra entier, à jamais l'avatar sera un. »
L'ainé se tendit et cracha :
« Lucifer ! »
Le survivant hocha de nouveau la tête et descendit des genoux de son frère, apeurré par la fureur qui émanait de lui, Ben en profita pour bondir sur ses pieds et cria :
« NON ! JE REFUSE QUE TU AFFRONTE CA, TU AS SUFFISAMENT FAIT POUR LE MONDE, NOUS AVONS SUFFISAMENT SOUFFERT, NOTRE FAMILLE C'EST SACRIFFIEE PENDANT DES GENERATION POUR CE RAMASSIS D'IMBECILES QU'ON APPELLE HUMAINS . POURQUOI DEVONS ENCORE UNE FOIS SUPPORTE CELA ? NOUS N'AVONS PEUT ETRE PAS ASSEZ SOUFFERT ? HEIN DIT MOI MAX, NOTRE FAMILLE N'A PAS ASSEZ DONNEE ? NE C'EST PAS ASSEZ SACRIFIEE ? TOUS, DU PREMIER AU DERNIER, TOUS NOUS AVONS AFFRONTER LES TENEBRES, POURQUOI DEVRAIT-IL ENCORE SUBIR CELA ? »
Harry était terrifier, même la colère que son frère avait manifester contre lui et Rémus n'était rien comparrer à celle-ci. L'adolescent c'était roulé en boule sur le canapé, les yeux fermer, les mains sur les oreilles, refusant de voir son frère, habituellement maitre de ses émotions dans un tel état. Encore une fois c'était à cause de lui, il faisait souffrir les gens qui l'aimait, au mieux, au pire il les menait à la mort. Harry tremblait de tout ses membres, terriffié par la réaction de con frère, il connaissait trop bien la violence que pouvait engendré la colère, il en avait fait plus d'une fois l'experience avec Vernon. Tendu au-délà du possible il poussa un cri de terreur quand il sentit une main se poser sur son poignet.
Plus rien n'existait pour lui, le salon confortable et la présence de son frère avaient été remplacés par le minuscule placard sous l'escalier et la fureur de Vernon. Il tenta de se débattre tant bien que mal, mais la poigne, bien que douce, était trop forte pour qu'il puisse y resister. Ses mains furent chassées de ses oreilles et la voix pénétra lentement sa conscience, il mit quelques minutes pour comprendre que ce n'était pas son oncle qui l'appellait, pour la bonne et simple raison que son oncle ne l'appelllait jamais par son prénom et surtout n'aurait pas mit autant d'inquiètude dans sa voix.
Il consentit finalement à ouvrir les yeux, revelant ainsi le visage inquiet de son frère, le retour à la réalité fut aussi brutal que son départ, toute la tension disparu de ses muscles. Ce fut une poupée de chiffon que Ben prit tendrement dans ses bras en murmurant des paroles réconfortantes. L'adolescent mit un long moment à recouvrer le controle de son corps, la première chose qu'il fit ensuite fut de se blottir de totues ses forces contre son frère, le reste n'avait pas d'importance, tout ce qu'il voulait c'était ressentir cette chaleur et cette impressionde sécurité qui caractérisaient ces instants.
Allongé sur le canapé, Harry blottit entre le dossier et lui, Ben dit :
« Harry je n'ai pas appris que cela, Albus m'a reveler autre chose, un fait que je n'aurais jamais soupçonné. »
Le survivant hocha péniblement la tête, l'invitant à continuer, soupirant lourdement le chevalier de platine dit :
« Albus est le grand père de maman. »
S'il avait compter sur une explosion de la part de son frère, Ben fut déçu, la seule réaction que son cadet afficha fut une paire d'yeux ecarquillés, tres rapidement suivit d'un haussement d'épaules et d'un murmure :
« C'est pour ca qu'il s'interessait tellement à moi. »
Ben ne put qu'acquiesser à cette constatation. Ils resterant silencieux un long moment, puis Ben decida de changer de sujet :
« Tabris m'a dit de t'emmener à l'infirmerie dès ton retour, ce que nous allons faire tout de suite ! »
Harry grimaca et tenta de plaider sa cause :
« Mais elle va encore me forcer à rester clouer dans un lit pendant je sais pas combien de temps. »
Ben ouvrit la bouche pour répondre, mais son frère le coupa :
« Je sais ! Tu va me dire que je l'ai chercher ! »
Les lèvre étirées en un grand sourire, Ben hocha la tête avec force. Harry soupira :
« Pfff, arrange toi au moins pour venir me voir avec Drago et Mark, Rémus le ferras de lui-même. »
Le chevalier de platine acquiessa et demanda :
« Je dois te porter jusque là bas ? »
L'adolescent hésita un moment à répondre « chiche » mais renonca, sachant pertinement que son frère le ferrait. Non pas qu'il n'aurait pas apprécier, mais traverser toute l'école en étant porter comme un bébé, n'était pas vraiment le meilleur moyen pour s'assurer du respect durable de ses élèves. C'est pourquoi il se contenta de seccouer la tête en disant :
« Accompagne moi seulement. »
C'est ainsi qu'ils se retrouvèrent quelques minutes plus tard devant l'infirmerie, le voyage n'avait pas réellement été une partie de plaisir pour Ben, qui dut empecher son frère de s'eclipsser à plusieurs reprises. C'est en maugréant contre les frère aînés tyraniques et « méssant » que le survivant entra dans ce qu'il pouvait appeller sa deuxième chambre à Poudlard.
Mme Pomfresh penchée sur un lit, se retourna en entendant la porte s'ouvrir et, ayant identifier les deux chevalier lacha :
« Ce n'est que quelques bleus et un bras casser, il n'aura pas de sequel ! »
Ni Harry, ni Ben ne comprirent de quoi parlait l'infirmière, du moins jusqu'à ce que Harry voit le patient en question. Après un rapide regard colèreux pour son frère il se précipita vers le lit et posa doucement la main sur le front de l'adolescent blond.
Drago ouvrit péniblement les yeux, ayant identifier son visiteur il eut un grand sourire fatigué et murmura :
« Je me suis fait du soucis pour toi, je suis content de voir que tu va mieux. »
Harry sourit tendrement à son élève et répondit :
« Ne t'en fait pas pour moi, ce qui m'interesse c'est toi ! Qui t'as fait ca petit dragon ? »
Drago eut un petit sourire au surnom qu'utilisa Orion et murmura :
« Devine ! Ceux pour qui je suis un traitre, sans doute sur recommandation de Tom. »
Harry fronca les sourcils en répondant :
« Epargne moi tes sarcassmes jeune homme ! Et dit moi qui exactement t'as fait ca ! »
Le serpentard se recroquvilla legerement sous le ton du chevalier et lacha :
« Crabbe, Goyle et Zabini. »
Le survivant caressa doucement les cheveux du blond en disant :
« Je vais me faire un plaisir de m'en occuper. – Il se tourna vers l'infirmière – Pompom, quand pourra-t-il regagner nos appartements ? »
Mme Pomfresh ne sembla pas très enthousiaste à laisser filer le blond mais ceda sous le regard de chien battu que lui fit Harry :
« Vous pourrez venir le chercher ce soir, mais il devra rester au moins une semaine au lit. »
Drago poussa un grognement mécontent, mais Harry le fit taire d'un geste, il savait mieux que perssonne comment se débrouiller pour faire sortir quelqu'un de l'infirmerie, et rechignez devant les exigences de l'infirmière, après qu'elle vous ai relacher n'était pas le meilleur moyen. D'un ton tout à fait professoral il dit :
« Mr Black restera sous ma surveillance, je vous promet qu'il ne quitteras pas son lit de la semaine. »
Ben, qui avait suivit l'histoire avec un certain détachement malgré le regard noir de son frère, lacha :
« Et toi non plus si tu ne te fait pas examiner tout de suite ! »
Harry grogna de mécontentement, ce qui fit rire légerement Drago, amusé de voir son professeur se comporter comme lui quand il s'agissait de rester enfermer.
Ravie d'avoir trouver une nouvelle proie à martyriser, Mme Pomfresh lui sauta dessus et l'examina attentivement pour finir par lacher, avec un dépit non dissimul :
« Quelques jours de repos serront suffisants. »
Harry hocha la tête d'un air soulagé, et après avoir promis à Drago de venir lui-même le chercher le soir, sortit à la suite de son frère. Ils firent quelques pas, puis le survivant arreta son frère et dit :
« Je sais très bien que tu ne pouvais pas le suivre partout, mais je suis assez deçu que tu n'ai pas pu empecher ca. »
Ben haussa les épaules :
« Je suis désolé Harry, pas tellement pour lui je l'avoue, mais plutôt de t'avoir déçu, comme tu l'as dit je ne pouvais pas être constament derrière lui et puis je t'avoue que j'avais d'autre choses en tête. »
Il lui lanca un regard appuyé, lui signifiant clairement que c'était lui qu'il avait en tête. Harry sourit légèrement :
« Bah il s'en remettra, ce que je ne peut pas garantir en ce qui concerne ses agresseurs. »
Le chevalier de platine ne tenta même pas de le dissuader d'exercer sa vengeance il savait parfaitement qu'il n'y arriverais pas, alors autant économiser son souffle. De plus les trois personnes incriminés n'étaient pas ses élèves, il avait donc encore moins de raison de s'en mêler.
Midi approchant, ils se dirigèrent vers la grande salle, la chance voulu (nda : oui bon c moi qui veut lol) qu'ils tombèrent sur un charmant tableau, qui était extremment familier à Harry, du moins si l'on exceptait deux changement.
La scène en question était un charmant affrontement, pour le moment verbal, entre Hermione et Ron d'un coté, et de l'autre le nouveau trio maudit des serpentards. Un sourire carnassier sur le visage, le survivant se fondit dans l'ombre, rapidement rejoins par son frère. Il eut ainsi le plaisir infini d'entendre Zabini :
« Dommage pour toi que le sang pur n'aille pas de paire avec la richesse la belette, mais c'est pas une raison pour trainer avec une sang-de-bourbe doublé d'une miss-je-sais-tout. Enfin vu que tu as à peu près autant d'intelligence que de gallions, faut pas s'étonner. »
Comme à son habitude, le rouquin était tout pret à sauter à la gorge du serpentard, et Hermione n'était pas loin de partager son avis. Non pas que les insultes de Blaise l'atteigne, elle avait eu largement le temps de se détacher de cela grace à Malefoy, mais les critiques sur la famille de Ron l'ennervait au plus haut point. N'obtenant pas de réponse satisfaisante le serpentard continua :
« Pff entre une sang-de-bourbe et un lâche doublé d'un meurtrier tu était bien entourré la belette. Peut-être que Potter à enfin compris qu'il n'avait aucune chance, ou alors il en a eu marre de vous, à moins que ce ne soit toi qui l'ai chasser. »
Harry vit avec un certain plaisir mêler de fierté son ami prendre violement sa défense :
« HARRY VAUT CENT FOIS MIEUX QUE TOI ! ET PUIS JE N'AI RIEN A FAIRE D'UNE PALE COPIE DE MALEFOY, TU AURAS BEAU ESSAYER TU NE SERRA JAMAIS QU'UN REMPLACANT. »
S'il n'avait pas tenu à garder secrete sa présence, Harry aurait applaudit. Ron avait frappé juste, et il savourait l'ennervement visible de Zabini, qui ne savait que trop bien qu'il était devenu le chef des serpentards que parceque Drago avait trahi. D'un geste le serpentard lacha ses deux gorilles sur les gryffondor. C'est alors que Harry jugea opportun d'intervenir, un double stupéfix, qu'il hésita longuement à coupler avec un petit sort de métamorphose en souvenir de l'épisode mémorable de la fouine bondissante, figea les deux primates qui tombèrent lourdement à terre. Furieux de cette intervention, qui le mettait en minorité, Blaise cracha :
« Espece de lâche, montrer vous au lieu de vous cachez, bande de cons ! »
Avec un sourire digne de Rogue, Harry et Ben sortirent de l'ombre, d'une voix douceureuse, soigneusement copiée sur celle de son ex professeur de potions Harry demanda :
« Vous disiez Mr Zabini ? »
Le serpentard déglutit péniblement, il ignorait que le chevalier était revenu, c'était d'ailleur son absence qui l'avait convaincu de « punir » Drago pour sa trahison, ce que ce dernier ne manquerait pas de lui faire payer, et en plus il venait sciement d'insulter deux chevaliers. Bredouillant il répondit :
« Ri….rien monsieur. »
Le professeur resta un instant silencieu puis demanda :
« Est-ce que vous sous-entendez que j'ai quelques problème d'audition Mr Zabini ? »
Le serpentard seccoua la tête, de plus en plus mal à l'aise :
« Non, non monsieur. »
Le sourire du survivant s'élargit :
« Ah vous me rassurez, je réitère donc ma question, qu'avez vous dit ? »
Sachant pertinement que le chevalier l'avait entendu et qu'il jouait sciemment avec ses nerfs il répéta doucement :
« Espece de lâche, montrer vous au lieu de vous cachez, bande de cons ! Monsieur. »
Le survivant hocha la tête d'un air satisfait :
« Il me semblait bien que c'était ce que j'avais entendu. Laissez moi me souvenir…….. il me semble que le reglement interieur est asse strict en ce qui concerne les élèves qui insultent leurs professeurs…….. Voyons, le renvoi ? non je ne crois pas. Ah oui la sanction est laissée à la discretion de l'insulté. Mais il me semble qu'avant même votre démonstration de poesie, vous étiez déjà en train d'enfreindre le reglement, insulte envers un préfet, menace, tentative d'agression……… - il claqua des doigts – ah oui, agression sur un préfet. Je crois que j'ai fait le tour de vos dernière activités Mr Zabini, non ? »
L'adolescent tenta de se défendre :
« Je ne les ai pas agresser monsieur, ni menacer. »
Harry hocha la tête :
« Je ne parlais pas d'eux Mr Zabini, mais de Mr Black, qui vous a formellement identifier, sous véritassérum, comme étant présent lors de son agression. »
Ignorant totalement les interactions possibles entre les potions de guérision et le veritasserum, Zabini ne douta pas un instant que cela fut possible, bien sur il ne s'agissait que d'un coup de bluff pour le faire avouer. Et le serpentard tomba droit dans le piège, se croyant pris il jugea plus opportun d'avouer en tentant de minimiser sa participation pour charger les deux autres, qui de toute façon ne crompenaient jamais rien :
« Je ne l'ai pas toucher moi monsieur, c'est eux – il désigna les deux armoires à glaces sur le sol – qui l'ont frappé, je sais bien que j'aurais du les arreter mais je n'ai pas oser, physiquement je ne fait pas le poids contre eux et comme la magie est interdite dans les couloirs….. »
Le chevalier sourit :
« Je comprends Mr Zabini, mais dans ce genre de cas il est plus grave de ne rien faire que de lancer deux sorts pour les arreter. Mr Crabbe et Mr Goyle devront bien sur répondre de leurs actes, et vous de ce que les moldus appelle « non assistance à personne en danger. » Mais je en doute pas que le professeur Rogue intervienne en votre faveur, même si vous devez comprendre que cette attitude lâche va vous portez préjudice, d'autant plus que vous trainer avec les coupables. Certaines personnes à l'esprit tortueux pourrait douter de votre bonne foie, que voulez-vous les gens sont si prompts à sauter aux conclusions. »
Harry avait garder un air désolé durant tout son discour, comme s'il regrettait que Zabini doivent payer pour les erreurs des autres. Le silence plana un instant puis Ben claqua des doigts, l'air ravi :
« J'ai une solution pour vous Mr Zabini, qui vous permettra de garder toute l'estime des autres – il sorti une fiole de liquide transparent de sa poche – Une dose de veritasserum, et vous aurez deux professeurs, et deux Gryffondors pour témoigner que vous êtes innoncent. »
Blaise avala difficiliment , ses choix étaient limités, soit il buvait et serait obliger d'avouer qu'il avait prit une part active dans la « punition » de Drago, soit il refusait et les deux professeurs comprendraient qu'il avait participer. Il devait trouver autre chose, quelque chose qui le ferrait se sortir de cette impasse au moins temporairement, il garda le silence un moment puis soupira légèrement, il avait trouver !
« Monsieur je prendais le sérum de vérité avec plaisir, mais je suis allergique aux plumes de jobarille…. »
Harry applaudit mentalement le serpentard, les plumes de jobarille étaient l'ingrédient principal du véritassérum, le coup était osé, en effet ce genre d'allergie devait être enregistré par l'infirmière, au cas où. Si jamais ils vériffiaient, le serpentard serrait encore plus dans la m….. Il fit un sourire rassurant au serpentard :
« Voila un nouvelle qui ne vous arrange pas Mr Zabini, vous n'avez décidement pas de chance…………… oh je sais ! Vous l'ignorez sans doute mais tous les chevaliers sont très doué en ce qui concerne la légilimencie, je en devrais avoir aucun problème à pénétrer dans votre mémoire pour vérifier, et ainsi affirmer que vous n'êtes pour rien dans la mésaventure de Mr Black ! »
Ben toussa pour masquer son rire, Harry prenait un plaisir évident à mettre mal à l'aise le serpentard. Ron ne comprenait pas pourquoi le chevalier était aussi gentil avec Zabini, alors que Hermione avait parfaitement compris ce que son professeur faisait, c'était évident.
Blaise ferma les yeux un moment, une solution, il devait trouver une solution ou il était mort ! Le problème, enfin le nouveau, c'était que même la patience du chevalier allait finir par s'épuisée s'il trouvait une autre excuse pour ne pas subir l'interogatoire mental. Dégoutter, il comprit que le seul moyen de s'en sortir sans trop de casse était d'avouer comme un vulgaire Gryffondor. Mais qu'il soit maudit s'il devait perdre la face devant deux Gryff, timidement il demanda :
« Je pourrais vous parlez seul à seul monsieur ? »
Harry avait suffisement de pratique avec les serpentards pour savoir que plus que tout ils detestaient être humilier devant leur némésis, à savoir les Gryffondors. Un professeur issus de Gryffondor ou d'une autre maison que Serpentard, aurait compris et même accepter, malheureusement pour Zabini, Harry avait aussi un coté Serpentard et en tant que tel il n'allait le laisser s'en sortir aussi facilement. Affichant un air légèrement niais il demanda :
« Pourquoi dons Mr Zabini, après tout vos camarades ont suivi notre échange depuis le début, ils sont certainements curieux de savoir ce que vous avez à me dire. »
C'est alors que Blaise comprit, le chevalier savait parfaitement qu'il était coupable, tout son dialogue était une mascarade, saluant malgré lui la performance, après tout c'était plutôt les serpentards qui manipulaient les gens, il déposa les armes :
« D'accord monsieur, vous avez gagné. Oui j'ai moi aussi participer au chatiment de ce traitre ! »
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RAR :
MERCI A
Aikopotter
Andromede
Chessandmat
Fanli
Fiero
Godric2
JOB3-14 ( Félicitations !)
Jo-hp5
Leira
Léna Potter
Lunenoire
Lyls
M4r13
Mirug
Nana13
Nienna-lo
Philippe Gryffondor
Rémus James Lupin
