Ptit blabla de moua : Bon d'abord désolé pour le retard, mais j'était en panne d'inspi, et oui ca arrive même à moi (quoi ? qui à dit « chevilles enflées » ? même pas vrai d'abord !) Je sais que ce chapitre est un peu plus court que les autres, faudra vous y habituer, puisque les deux prochains chapitres (qui accessoirement seront les derniers de cette deuxième partie) le serront encore plus (pas par fainéantise, mais pour ménager les éffets.) Ah encore un détail, pour ce qui est du slash, j'ai décider de ne pas en faire un………………..dans cette partie, mais je pense qu'il prendra place dans la troisième (et dernière) partie, que je ne vais certainement pas écrire tout de suite vu que je veut tenter de finir toutes mes autres fics en cours ( ca fait trois je crois).
Voila, bisous à tous.
C'est toutjours quand on s'y attend le moins
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Harry resta une semaine entière à l'appartement, ne sortant que pour ses cours, qui fort heureusement pour Drago étaient peu nombreux. Il ne lachais que très rarement le serpentard, à chaque fois qu'il devait donner un cours il s'assurait pendant dix bonnes minutes que son protégé ne manquais de rien. Drago voyait avec amusement le chevalier être déchirer de le laisser seul, et il devait user de toute sa persuasion pour qu'il accepte de le laisser seul pendant quelques heures.
Un autre que Drago aurait été étouffé par tant attention, mais pas lui, non il était trop heureux d'avoir quelqu'un veillant sur lui, toujours là s'il en avait besoin.
Allongé sur le canapé, le serpentard laissa échappé un petit rire triste au souvenir de la première fois où Orion avait du le laisser seul. Ca ne faisait pas 20 minutes que le chevalier était parti, qu'une sourde angoisse l'avait envahi, sans raison autre que l'absence de cette présence rassurante. Sans comprendre comment, il c'était retrouvé en larmes sur le canapé, sursautant à chaque bruit aussi infime soit-il, et dans un chateau aussi vieux que Poudlard ils étaient très nombreux. Il avait du réunir tout son courage pour ce décider à sortir, presque dans un état second, il avait érrer jusqu'à la salle de DCFM où Orion faisait ses cours. Il n'avait croiser personne dans les couloirs, heureusement pour lui car il était vêtu uniquement d'un pyjama et son visage était baigné de larmes, timidement, il avait tapoter à la porte. Orion était sorti et avait laisser échappé un léger cri de surprise de le voir dans cet état. S'assurant qu'aucun élève ne pouvait voir Drago il avait ordonné à Granger de garder la classe, prevenant qu'il enleverais de nombreux points à ceux qui refuserait de lui obéir. Il n'avait même pas attendu de réponse, un instant après avoir refermer la porte, Drago était dans les bras de son ami. La peur avait refluée, remplacée par la honte, fallait-il qu'il soit définitivement une larve pour agir comme un bébé ?
Et encore une fois Orion l'avait rassurer du mieux qu'il avait pu. Il l'avait porter jusqu'à l'appartement, c'était assis sur le canapé en le prenant sur ses genoux et l'avait étreint lui communiquant tout l'amour dont il était cappable. Après quelques instants silencieux, Orion avait voulu comprendre, le problème avait été que Drago ignorait totalement ce qui lui avait pris. Orion avait donc du se contenter de le réconforter sans comprendre.
Le cours était fini depuis longtemps quand Drago c'était dégagé, suffisament rassuré. Mortellement inquiet à l'idée que cela puisse se reproduire, le chevalier avait ensorcellé une sphère de cristal pour permettre à Drago de l'appeller s'il en avat besoin. Orion avait du insister, et insistait maintenant à chaque fois, pour que le blond ne se sente pas gêner d'en user et même d'en abuser. Cette sécurité avait fait merveille, sachant qu'il suffisait qu'il le veuille pour que son ami arrive en quelques instants, Drago avait été considérablement moins inquiet de rester seul.
Cela n'empechait pas que Orion soit toujours acquelli par un adolescent extremement soulagé, qui à chaque fois qu'il rentrait, lui sautait litéralement dessus pour se pellotoner contre lui et ne pas le lacher pendant une bonne demi-heure.
Malgré ce bonheur apparent, aucun des deux n'étaient totalement à l'aise, pour la bonne et simple raison qu'aucun des deux ne savait exactement ce qu'il ressentait vis à vis de l'autre. Durant les cours de Orion, Drago réfléchissait souvent à cela, que ressentait-il pour Orion ? D'une certaine façon les principes du cercle n'aidaient pas vraiment ici, cette acceptation du besoin de contact humains quelque soit l'âge le faisait douter. Oui il adorait que Orion s'occupe de lui comme d'un gosse, oui il adorait qu'il le prenne sur ses genoux et le serre contre lui, oui il se sentait en sécurité quand le chevalier partageait son lit et qu'il se pellotonait contre lui. Tout cela était sur, mais pourquoi ? Pourquoi appréciait-il cela au point d'en ressentir le manque quand Orion n'était pas là ? Drago, malgré ses dénégations, avait perdu son pucelage depuis un certain temps, mais il ne se souvenait pas avoir jamais été attiré par un garçon. Il avait certe été obsédé, et l'était toujours d'ailleurs, par Potter, mais uniquement parcequ'il était un des rares à ne pas reculer devant lui, parceque sa première rencontre avec le survivant n'avait pas été désagréable. Il souriait à chaque fois qu'il y pensait, ce fameux jour chez Mme Guipure où ils étaient rester tout deux sur debout sur les tabourets à imaginer ce que serrait leur vie à Poudlard. Ce jour là il ne savait pas évidemment pas avec qui il parlait, mais il avait bien aimer parler avec cet inconnu. Et puis son sourire s'éffacais quand il repenssait à ce premier voyage à bord du Poudlard Express, ce jour où il avait refuser son amitié, lui préférant cet imbécile de Weasley.
Il savait ce que pensaient les autres, qu'il haïssait les trois gryffondors, mais en réalité il n'en haïssait qu'un : Weasley, ce rouquin débile qui lui avait retirer l'amitié de Potter. Granger ? Il n'en avait rien à faire, il ne l'insultait que pour le plaisir d'énnerver la bellete, au début il avait éspérer montrer ainsi à Potter à quel point son ami était stupide, mais Potter ne voyait rien, ou ne voulais pas voir. La routine avait fait le reste, il avait commencer, il ne pouvait plus arreter ca aurait été louche.
La tristesse l'envahissait alors, quand il repenssait à ce qu'aurait pu être sa vie si Potter avait accepter son amitié, tout aurait été différent. Lucius aurait été forcé d'arreter ses maltraitance, tout simplement parceque Potter s'en serrait rendu compte et se serrait précipiter vers Dumbledore pour le protéger, et de là sa vie aurait été tellement plus facile, tellement plus douce. Mais tout cela n'était que des conjectures.
Tout cela ne menait pas à grand chose en ce qui concernais Orion, il n'était pas obsédé par le chevalier, enfin pas tout à fait, mais ce manque l'inquiètait plus que tout. Quelques temps avant il ne se serrait pas poser de questions, il l'aurait fait sortir de sa vie en étant le plus odieux possible, mais aujourd'hui il ne voulait pas, il ne pouvait pas. Pourquoi ? Par faiblesse, tout simplement parcequ'il lui était impossible de renoncer à cette impression d'amour et de sécurité qui l'envahissait quand il prenait place dans les bras du jeune homme.
Toutes ces questions il se les repassaient cent fois dans sa tête quand il était seul, mais dès que Orion revenait il oubliait tout pour uniquement savourer cette chance de ce comporter comme un gosse.
Ce que le serpentard ignorait c'était que son protecteur avaient eus les mêmes doutes. « Avaient eu » parceque Harry avait tout simplement décidé que tant qu'il serrais Orion Black rien ne serrait possible et que donc il n'avait aucun interet à se torturer les meninges pour découvrir si oui ou non il voyait Drago comme un amant potentiel.
Le seul qui n'était pas perturbé par tout cela c'était évidemment Ben, le seul changement notable dans l'attitude du chevalier de platine était qu'il avait totalement accepter Drago. Les quelques rares fois où il c'étaient retrouvés seuls, Ben avait pris la place de Orion, s'occupant de l'adolescent comme il le faisait avec son frère. Le changement avait eu lieu peu parès son retour de l'infirmerie, Orion était en train de superviser une des nombreuses retenues des agresseurs de Drago, Russard avait dû s'occuper d'autres élèves, Drago et Ben c'était donc retrouver seuls. L'adolescent était mal à l'aise, il savait que l'homme le voyait comme un danger pour son petit frère, voulant se soustraire à cette ambiance étouffante, il avait pretexter être fatiguer et c'était dirigé vers sa chambre. Mais Ben l'avait arréter d'une phrase :
« Je te fais peur à ce point ? »
Drago avait rougit, que répondre ? Que répondre quand un homme cappable de tenir tête au seigneur des ténèbres lui-même, vous demande ca ? Oui aurait eu l'avantage de l'honneteté, mais il ignorait si le chevalier ne serrait pas blesser de cette réponse. Non aurait l'avantage de peut être ménager la susceptibilité du chevalier mais aurait été un mensonges éhonté. Ne sachant que répondre, il était rester silencieux.
La réaction de l'homme n'avait pas vraiment été celle qu'il attendait, il avait rit. Sans un mot il c'était approché et l'avait pris dans ses bras. Incertain, Drago ne c'était pas débattu et résultat : il c'était retrouvé assis à ses cotés sur le canapé, le bras du chevalier le serrant contre lui. Et puis l'homme avait parler :
« J"admet t"avoir mal jugé petit dragon, mais aujourd"hui je sais que tu ne trahira jamais Orion. Je sais également qu"il n"est pas content que nous ne nous entendions pas. Nous l"aimons tout les deux, alors faisons un éffort, oublie tes craintes je ne te ferrais jamais de mal, et moi j"ai déjà renoncer à mes soupçons. Donc je te propose un truc, conduis toi avec moi comme avec lui. »
Drago avait hésité, non pas qu'il ne croyait pas le chevalier, mais s'il n'avait eu aucune difficultés pour oublier d'avoir honte quand il était avec Orion, faire de même avec Ben n'était pas évident. A mi-vois, craignant de vexer le chevalier de platine il avait répondu :
« Je suis d"accord mais j"ai besoin….
….de temps. Rassure toi je comprends parfaitement. »« Heureusement », l'occasion d'oublier ses réticences se présenta rapidement au serpentard. Cette occasion pris la forme d'un cauchemar, il en faisait de plus en plus souvent depuis qu'il avait renoncer à servir Voldemort, mais c'était toujours Orion qui venait le réconforter. Mais ce soir là, Orion était toujours à supperviser le retenue des serpentards, et c'était Ben qui était venu, Drago ne c'était alors pas fait prier. Il avait trouver refuge dans les bras de l'homme de la même façon que dans ceux de son ami, il était un peu moins à l'aise mais Ben lui avait communiquer la même chaleur, la même sentiment de sécurité. Alors les dernières barrières étaient tombées, c'est ainsi que lorsque Harry revint durant la nuit il fut acceuilli par une scène qu'il désesperait de voir un jour. Drago était endormi dans les bras de son frère, lui même somnolent dans le canapé.
En l'entendant, Ben c'était lever et avait légèrement rougit sous le regard amusé de son petit frère.
Drago se leva en baillant, c'était inouï à quel point ce reposer pouvait être fatiguant. Il s'étira longuement faisant allègrement craquer son dos, puis ce décida finalement à jeter un oeil à ses devoirs. C'était la seule chose, en-dehors de lire, et encore seulement certains livres judicieusement séléctionnés, que Orion l'avait autorisé à faire. Un nouveau sourire pris place sur le visage du serpentard, durant sa propre convalescence, Orion avait tout fait pour échapper à son frère, donnant ainsi naissance à quelques scènes hilarantes. Drago pouffa légèrement en se souvenant de la fois où Ben avait traîner Orion par l'oreille jusqu'au canapé transformé en lit, d'après ce qu'il avait compris ce n'était pas la première fois que le chevalier d'or subissait ce traitement. Orion c'était assis sur le lit, les bras croisés, le visage légèrement rougit et les lèvres esquissant une mimique boudeuse. Drago l'avait regarder quelques instants avant d'éclatter de rire, tentant de parler en même temps pour expliquer que son ami avait tout du petit garçon qui boude suite à une réprimande. Ben avait confirmé ce fait, et Orion après quelques instants à bouder davantage les avaient rejoints dans leur rire, jusqu'à ce qu'il décide de se venger. C'était évidemment le plus jeune qui en avait fait les frais, plaquer sur le lit il avait du subir une longue séance de chatouilles.
Laissant ses joyeuses réminiscences quitter son esprit, l'adolescent se pencha sans motivation sur ses devoirs. A défaut d'avoir des examens à la fin de l'année, ils étaient submergés de devoirs, même Orion leur en donnait, apparemant à contre-coeur mais le résultat était le même. Drago regarda la liste que lui avait transmis son ami, par l'intermédiaire de Granger, chose que le blond reconnaissait comme la plus sure, et constata qu'il ne lui restait plus que le devoir de DCFM. Il sourit, Orion faisait en sorte de ne pas donné de devoirs trop « chiants » c'était le mot même qu'il avait employé, à l'ébahissement de beaucoup. Le devoirs portait sur les formes de leurs patronus et leurs significations, pourquoi le patronus prenait tel ou tel forme, en clair en quoi les élèves mettaient-ils leurs espoirs.
Drago grimaca, bien qu'il ai désormais, grâce à Orion, plusieurs souvenirs heureux il n'arrivait pas à former un patronus corporel. On devinait qu'il aurait la forme d'un humain, en tout cas d'un bipède, mais le reste restait flou, comme si le patronus hésitait entre plusieurs formes. Drago en avait longuement parler avec Orion, qui avait émis la théorie, osée, que Drago ignorait en qui il devait croire, et donc qui symbolisait son espoir.
L'adolescent n'eut pas le temps de se poser davantage de questions, Orion entra un grand sourire sur le visage :
« Salut petit dragon. »
Drago lui sauta immédiatement dessus, il fut promptement attrapé par le chevalier qui le serra contre lui en demandant :
« Alors tu faisais tes devoirs ? »
Drago hocha la tête sans parler, il aimait préserver le silence quand il était dans les bras de son ami. Harry qui comprennait parfaitement son désir de ne pas être assaillit de question, se contenta donc de s'asseoir sur le canapé, son ancien ennemi toujours contre lui. Le serpentard se serra contre lui en soupirant de bien être. Ils restèrent silencieux jusqu'au retour de Ben, ce dernier, sans un mot s'assis à coté de son petit frère et ébouriffa les cheveux de l'élève, provoquant immanquablement un grognement de la part du serpentard.
L'adolescent dégagea sa tête du cou de son ami pour lâcher :
« Quand va tu laisser mes cheveux tranquilles ? »
Ben sourit :
« Quand tu arretera de les enduire de gel, tu es bien mieux sans. »
Drago seccoua la tête en prenant un air niais :
« Et gnagnagna, tu radote vieillard. »
Harry pouffa à la réponse du serpentard, Ben prit un ton faussement outré pour réprimander son frère :
« Si en plus tu le soutient, comment veut tu l"éduquer, il est encore petit et influencable, il lui faut des repères stricts. »
Comme à chaque fois que le chevalier de platine partait dans ce genre de délire, Drago lui sauta dessus pour le chatouiller, mais comme à chaque fois il échoua et se retrouva dans la position de l'arroseur arrosé, ou dans ce cas du chatouilleur chatouillé. Harry seccoua la tête en voyant ses deux « collocataires » agirs comme des gamins. Il allait faire une reflexion sur l'âge mental des chevaliers et des élèves quand on frappa timidement à la porte. Les deux combattants s'arreterent immédiatement, et Drago lacha :
« Combien de fois va-t-il falloir lui dire qu"il n"a pas besoin de frapper ? »
Ben haussa les épaules :
« Bonne question, sans doute à peu près autant de fois qu"on doit te dire que tu peut venir dormir avec nous quand tu en as envie. »
Drago fit la moue, tandis que Orion allait ouvrir, comme d'habitude, Mark semblait gêner d'envahir leur intimité, mais le frère de son professeur le prit immédiatement dans ses bras et l'ammena jusqu'au canapé. Mark sauta au cou de Drago, qu'il avait appris à considérer comme un grand frère et salua avec respect son professeur. Bien que ce dernier lui ai dit un nombre incalculable de fois qu'il pouvait très bien l'appeller par son prénom et le tutoyer quand ils étaient entre aux, mais l'enfant semblais craindre de faire une gaffe durant les cours et donc continuais à lui donner du « professeur ».
Drago s'installa immédiatement sur le canapé, Mark sur ses genoux, tout comme Orion il avait découvert le plaisir de prendre soin de quelqu'un, et Mark était ce quelqu'un. Le petit garçon était bien moins intimidé par Drago que par les deux chevaliers, même s'il adorait Orion, ce dernier était un adulte alors que Drago n'avait que 5 ans de plus que lui. C'est comme cela que leur petite bande avait fini par compter un membre de plus avec le jeune gryffondor qui ironiquement était sous la protection du serpentard.
A cet instant, le serpentard était bien, mieux qu'il ne l'avait jamais été, c'était ces moments qu'il appréciaient par dessus tout. Il était heureux ainsi, pellotoné entre les deux chevalier et son « petti frère » comme il l'appellait, sur ses genoux, pour lui c'était le bonheur, ces gens étaient sa famille plus surement que ceux qui partageaient son sang.
Harry aurait été tenté de s'abandonner lui aussi à ce bonheur somme toute, simple. Mais il y avait toujours ce secret qui lui bouffait la tête, il ne se faisait pas de soucis pour la réaction de Mark, il savait qu'il comprendrait. Mais Drago malgré le fait qu'il ai appris à le connaitre restait un mystère quant à sa réaction. Le survivant avait plus d'une fois été tenté de tout leur dire, mais la peur l'avait toujours retenu, la peur de leur réaction, ou plutot de SA réaction, et également la peur qu'ils deviennent des cibles pour Voldemort, encore plus qu'ils ne l'étaient. Chose en réalité difficilement faisable, Drago était un « traître » et Mark avait échappé au Seigneur des ténèbres, chacun d'eux étaient une épine dans le flanc de Voldemort, pas dangereuse mais irritante.
Ils en étaient à savourer malgré tout, ce moment quand une grande explosion résonna dans le chateau, faisant trembler les murs. Harry et Ben se jetèrent un regard entendu, les évenements les avaient empeché de renforcer complètement la protection du chateau, c'était un travail de plusieurs jours, mais ils en savaient assez pour comprendre ce que cette explosion signifiait : les barrières étaient tombées. La guerre était là !
A défaut d'avoir finit leur travail de renforcement, ils avaient, à l'aide des professeurs, mit au point des consignes de sécurité dans le cas d'une attaque. Tout les résidents devaient se rendre immédiatement dans la grande salle, le lieu, en-dehors de la source des protections, le plus sur du chateau.
Sans réfléchir davantage, Harry récupéra Mark tandis que Ben faisait de même avec Drago. Ils usèrent de leurs magie pour se déplacer à une vitesse folle dans les couloirs. En quelques instants ils furent dans la grande salle, fort heureusement c'était l'heure du repas et la majorité des élèves et des professeurs étaient déjà là.
Un rapide charme permis à Dumbledore de constater l'absence de nombreux serpentards, personne, pas même le viel homme, ne se fit d'illusion sur où et avec qui ils étaient.
Suivant le protocole, les portes furent scélleés, tandis que les armures, innombrables, prenaient position pour empêcher au mieux l'avancement de l'ennemi.
De par leur connections avec le chateau, Dumbledore comme directeur, Ben comme descendant de Gryffondor et Harry comme descendant de Gryffondor et de Serpentard d'une certaine façon ; ils purent constater avec éffroi que Voldemort avait lancer toutes ses forces dans la bataille. Vampires, détraqueurs, loups-garoux, géants, trolls, tout ce que le monde magique comptait de créatures des ténèbres et de parias c'était rassemblées autour de l'héritier de Serpentard. Mais en plus de toutes ces créatures, le seigneur des ténèbres était venu avec ses fidèles et en plus de cela, les trois hommes purent voir leur plus grande crainte se révéler exact : Akito était à ses cotés.
Les deux chevaliers communiquèrent rapidement par télépathie, et tombèrent d'accord sur certains points, ils devaient couper la tête du serpent pour que son armée perde sa cohésion, mais également éliminer le chevalier corrompu qui à lui seul pouvait faire pas mal de dégats. Le seul point sur lequel il ne tombèrent pas d'accord ce fut pour accepter que chacun d'eux doivent en affronter un. Ben voulait la tête de son vieil ami, et Harry devait affronter Voldemort, mais aucun des deux frères ne pouvait se résoudre à laisser l'autre affronter un adverssaire aussi puissant.
A défaut de trouver un accord satifaisant à leur yeux, ils se résolurent à au moins protéger les élèves en dressant une barrière magique tout autour de la grande salle. Les professeurs, comprenants leurs intentions, se joignirent à eux en ajoutant certains sorts à la barrière. Ce que Voldemort voulait comme une attaque éclair, ce transformais en guerre de position.
LA barrière en place, les professeurs rassurèrent les élèves, tandis que Harry était soudain pris d'un doute, mentallement il interrogea son frère :
« Comment ca ce fait que Tommy ignore que Orion Black et Harry Potter soit la même personne ? Akito à bien du vendre la mèche. »
Il reçut un sentiment de fausse indignation de son frère :
« Je veux bien que le conseil est été stupide de ne pas le tuer petit lion, mais ils ont préféré éffacer définitivement certains détails te concernant. Akito à oublier que tu était Harry Potter. »
Harry hocha la tête, cela pouvait servir, Tommy serrait surpris de voir que Orion et Harry était la même personne. Toujours « connecté » au chateau, Harry vit les armures tombées sous l'assaut des forces des ténèbres. Bientôt l'armée de Voldemort serrait aux portes de la grande salle. Pour la première fois de sa vie, Harry pria, il pria pour tout ceux qui risquaient leur vie, tout ces innocents qui étaient en danger à cause d'un fou. Les élèves autour de lui virent avec stupeur, leur professeur mettre un genoux en terre alors qu'une larme unique coulait de son oeil. Et pourtant aucun d'eux ne paniqua, malgré cette apparente manifestation de faiblesse, le chevalier respirait l'assurance et le courage.
Sous les ordres de Dumbledore, tous les professeurs se postèrent devant les grandes portes, au cas où l'armée des ténèbres puissent passer outre. Sans raison apparente, le silence envahi la grande salle, et tous entendirent le choc sourd d'un bélier contre les lourdes portes de chêne.
Littéralement la guerre était à leur porte.
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