CHAPITRE 10
Le diner était achevé, tout le monde avait regagné sa chambre .Bill était couché, toute lumière éteinte. Les yeux fermés, il tentait vainement de s'endormir. La porte s'ouvrît, il ne vacilla pas. Tout d'un coup, le matelas se fit plus lourd, quelqu'un s'était couché a ses cotés il sentit des pieds froids se coller aux siens.
« Ginny, je t'ai déjà dit que tu était trop vieille pour dormir avec moi. » murmura-t-il dans un souffle.
« Dis-moi, tu as de drôles de rapports avec ta sœur ! » lui répondît -on. Il se retourna .Le visage collé a celui de tonks, il la regardait..
« Tu rentres tard . T'étais ou ? »
« Avec ton frère. » Il se releva brusquement. « Pardon ? Mon frère ? »
« Oui, Percy ton frère , ainsi que Fudge et une douzaine de gens du ministère... ! » répondit elle amusée. Bill se recoucha auprès d'elle, sa réaction de jalousie le surprit lui même .il la prit dans ses bras « de toute façon, tu a le droit de voir qui tu veux » cette phrase sonna étonnamment faux dans sa voix.
Le lendemain matin, aucun d'eux n'entendit le réveil . Seulement , vers 10h, la porte s'ouvrit , laissant entrer un Fred visiblement ravi de sa découverte. Tonks et Bill, tous deux endormis n'entendirent pas le jeune homme arriver.
« Oh ! mais que vois-je ? George « murmura-t-il « viens ici, on va rigoler ! ! » Bill, se réveilla, ouvrit un œil et entendit le deuxième frère rire allègrement à son tour. Il leva la tête, et de sa voix éraillée
« Hmmm sortez d'ici les jeunes, ca ne vous regarde pas » et après cet effort démesuré, reposa sa tête sur l'oreiller, passa son bras sur les épaules de tonks, et se rendormit.
Une heure plus tard ,ils se réveillèrent enfin. Tonks s'étira longuement, tandis qu'il peinait a ouvrir les yeux.
« Je crois que nous sommes démasqués » grogna-t-il
« Ah ? » murmura-t-elle tout en continuant a faire le chat matinal.
« Les jumeaux, ils sont entrés tout a l'heure, tu dormais »
« C'est pas grave...mais quelle heure il est exactement ? Bill jeta un œil sur le réveil et d'un bond, se précipita vers ses vêtements.
« Il est 11 heures passées , je vais me faire tuer ! !» dit-il en s'habillant le plus vite possible. Elle en fit de même. Habillé, sa cape sur les épaules, il l'embrassa hâtivement.
« A ce soir nymphadora » il sourît et disparut
Il réapparut a la meme seconde dans son bureau, ou plutôt, sur son bureau, le transplanage lui étant toujours aussi fastidieux.
« Bonjour William, comment va tu ? tu n'es pas en retard ?... »
« Jeune fille, sache qu'il ne faut jamais m'appeler William. Et encore moins engager la conversation avec moi lorsque je n'ai pas bu mon café du matin .» répondit-il dignement alors qu'il descendait de son bureau de façon ridicule. Il s'assit sur son fauteuil, fit apparaître une tasse devant lui.
« Ragnok est passé ce matin ? , il est au courant pour mon absence ? »
« Non, il n'est pas venu .Je m'inquietais ne te voyant pas arriver, j'ai donc commencer ton travail, tu ne m'en veux pas j'espère ? » affirma Fleur.
« Oh nullement » répondit il d'un ton faussement ravi. »C'est pas l'heure de déjeuner maintenant ? j'ai trop travaillé, je suis mort de faim » dit il en remettant sa cape.
Le diner était achevé, tout le monde avait regagné sa chambre .Bill était couché, toute lumière éteinte. Les yeux fermés, il tentait vainement de s'endormir. La porte s'ouvrît, il ne vacilla pas. Tout d'un coup, le matelas se fit plus lourd, quelqu'un s'était couché a ses cotés il sentit des pieds froids se coller aux siens.
« Ginny, je t'ai déjà dit que tu était trop vieille pour dormir avec moi. » murmura-t-il dans un souffle.
« Dis-moi, tu as de drôles de rapports avec ta sœur ! » lui répondît -on. Il se retourna .Le visage collé a celui de tonks, il la regardait..
« Tu rentres tard . T'étais ou ? »
« Avec ton frère. » Il se releva brusquement. « Pardon ? Mon frère ? »
« Oui, Percy ton frère , ainsi que Fudge et une douzaine de gens du ministère... ! » répondit elle amusée. Bill se recoucha auprès d'elle, sa réaction de jalousie le surprit lui même .il la prit dans ses bras « de toute façon, tu a le droit de voir qui tu veux » cette phrase sonna étonnamment faux dans sa voix.
Le lendemain matin, aucun d'eux n'entendit le réveil . Seulement , vers 10h, la porte s'ouvrit , laissant entrer un Fred visiblement ravi de sa découverte. Tonks et Bill, tous deux endormis n'entendirent pas le jeune homme arriver.
« Oh ! mais que vois-je ? George « murmura-t-il « viens ici, on va rigoler ! ! » Bill, se réveilla, ouvrit un œil et entendit le deuxième frère rire allègrement à son tour. Il leva la tête, et de sa voix éraillée
« Hmmm sortez d'ici les jeunes, ca ne vous regarde pas » et après cet effort démesuré, reposa sa tête sur l'oreiller, passa son bras sur les épaules de tonks, et se rendormit.
Une heure plus tard ,ils se réveillèrent enfin. Tonks s'étira longuement, tandis qu'il peinait a ouvrir les yeux.
« Je crois que nous sommes démasqués » grogna-t-il
« Ah ? » murmura-t-elle tout en continuant a faire le chat matinal.
« Les jumeaux, ils sont entrés tout a l'heure, tu dormais »
« C'est pas grave...mais quelle heure il est exactement ? Bill jeta un œil sur le réveil et d'un bond, se précipita vers ses vêtements.
« Il est 11 heures passées , je vais me faire tuer ! !» dit-il en s'habillant le plus vite possible. Elle en fit de même. Habillé, sa cape sur les épaules, il l'embrassa hâtivement.
« A ce soir nymphadora » il sourît et disparut
Il réapparut a la meme seconde dans son bureau, ou plutôt, sur son bureau, le transplanage lui étant toujours aussi fastidieux.
« Bonjour William, comment va tu ? tu n'es pas en retard ?... »
« Jeune fille, sache qu'il ne faut jamais m'appeler William. Et encore moins engager la conversation avec moi lorsque je n'ai pas bu mon café du matin .» répondit-il dignement alors qu'il descendait de son bureau de façon ridicule. Il s'assit sur son fauteuil, fit apparaître une tasse devant lui.
« Ragnok est passé ce matin ? , il est au courant pour mon absence ? »
« Non, il n'est pas venu .Je m'inquietais ne te voyant pas arriver, j'ai donc commencer ton travail, tu ne m'en veux pas j'espère ? » affirma Fleur.
« Oh nullement » répondit il d'un ton faussement ravi. »C'est pas l'heure de déjeuner maintenant ? j'ai trop travaillé, je suis mort de faim » dit il en remettant sa cape.
