Il est...23h58 !! Je suis pas en retaaaaard ! Ma fic' a bien été postée aujourd'hui ! Hey je fais des efforts quand même...C'est dur de bosser pendant les vacs je trouve... Enfin bref, c'est la suite qui vous interresse je suppose alors Go ! Go ! Go !

Et nan...pas toute de suite...d'abord les reponses aux reviews !

U.$.Hermy: Pitetre que oui...pitetre que non... Mais qui sait, c'est peut-être lui qui va tomber sous le charme de ma Lily...

Lily078: Oh ba tu sais y a certaines choses qui sont relou à entendre tous le temps ( Range ta chambre !!!) mais y en a d'autres dont on se lasse pas ! Alors à chaque fois que le besoin de dire que tu adore ma fic' te prend, ba vas y je t'en prie ne te gène pas ! ;)

kritari: Voili Voilou ! Une suite toute fraiche, et je suis dans les temps en plus...

patmol potter: Hi, j'adore les messages comme ça, c'était une review vivante ! merchi !

Bisous de Miss Pouk !

- JE NE TE SUPPORTE PLUS JAMES POTTER !!!!

- TRES BIEN ! SI CA POUVAIT TE TENIR A L'ECART, TRES A L'ECART DE MOI ALORS CE SERAIT PARFAIT !!!!

- ET MOI JE NE SUPPORTE PLUS DE VOUS ENTENDRE VOUS DISPUTER CONTINUELLEMENT !!!!

- JE SUIS D'ACCORD AVEC SIRIUS ! DETESTEZ-VOUS EN SILENCE BON SANG !

Dans le dortoir de nos quatre adorables personnages, l'excitation est à son comble. Après quelques jours de cohabitation difficile, s'annonce la rentrée. Harry et Lily reprennent les cours, Sirius quant à lui sort rechercher des informations sur ces explorateurs du passé, et le petit James quant à lui reste coincé au lit. Bref, beaucoup d'animation en ce bon matin...

Du côté de Lily et Harry :

Poudlard qui pendant ces vacances avait été bien calme et silencieux se caractérisait en ce jour par l'effervescence qui y régnait. Si l'ont dit que les murs ont des oreilles, il semblait qu'ils eurent une bouche aussi car de tout cotés on entendait des bavardages et des cris. Lily avait décidé de prendre Harry sous sa croupe malgré les deux ans qui les séparaient - une sorte d'instinct qui la poussait à s'en occuper...- et elle le fit directement entrer en contact avec sa petite bande :

- Patty Shadow, Lucius Malefoy, Arthur weasley , Narcissa Black, je vous présente Harry... Harry comment déjà ?

- Harry Pott...Potterson, Harry Potterson !

Il fut brièvement salué par les membres de la bandes qui ne lui accordèrent pas plus d'attention que ça, mais qui semblaient plutôt intéressés par l'histoire de Lily, car bien sur, l'attaque de ses parents était parus dans la gazette. Pendant qu'elle narrait son récit en l'embellissant quelque peu, en noircissant le personnage de James et en omettant volontairement de parler de l'identité et l'origine de ses agresseurs ; Harry prit le temps de se remettre à nouveau de sa surprise. Sa mère, ennemie jurée de celui qui devait être son père- il avait eut le temps de le constater tout le temps où il avait été contraint de partager leur chambre- et amie d'un des plus fidèles partisans de voldemort, lui qui détestait les sangs de bourbe. Il fut prit d'une aversion violente envers Lucius puis, jetant un coup d'œil dans la direction du professeur Dumbledore, il se ravisa, il ne devait rien révéler de ce que serai le futur à Lily pour ne pas changer le cours des choses et, même si c'était dur, il allait s'y tenir.
Il se sépara d'eux au moment de se rendre en cours et ne prêta pas la moindre attention à ceux qui allaient être ses camarades. A vrai dire, Ron et Hermione lui manquaient et il ne souhaitait pas les remplacer. Il laissa donc tout le monde passer pour rentrer en salle de cours et n'y pénétra que le dernier en espérant trouver une place seule. Malheureusement, la seule classe qui demeurait disponible était celle à coté d'un petit brun maigrichon qui ne leva même pas la tête lorsqu'il vint s'asseoir à coté. Le professeur fantôme débuta son cours aussi ennuyeux que dans le futur et l'on vit progressivement toutes les têtes s'écraser sur leurs feuilles de notes, signe d'endormissement incontrôlable.

- Ce professeur devrait se faire engager dans une crèche, un petit cours sur les gobelins et hop, tout le monde s'endort ! grogna Harry pour lui-même.

- Voulez vous nous faire partager vos états d'âme monsieur Potterson ?! intervint le professeur qui l'avait vu remuer les lèvres.

- Je...Je...

- Il me rappelait simplement le principe de la hiérarchie gobeline. Répondit à sa place son voisin de table, le nez toujours plongé dans ses notes.

- Ah...c'est très bien...mais je préfère que vous me le demandiez la prochaine fois.

- Bien monsieur, je m'en souviendrais, puis plus bas : A- t'on idée de nommer un imbécile de fantôme comme professeur...Tssssss.

- Euh, merci pour le coup de main, lui dit Harry.

- Tu me le revaudras. C'était plutôt drôle au fait.

- Quoi donc ?

- Ce que tu as dit...sur la crèche.

- Oh...tu n'as même pas esquissé un sourire quand je l'ai sortit !

- Certes, sourire ne me paraissait pas nécessaire. Lorsque c'est inutile, je m'en passe. Mais cela n'en était pas moins drôle.

- Si tu le dis.

Complètement barge...Mais il est marrant...Surtout ne pas regarder ses cheveux...

- Je ne t'ai jamais vu dans le coin, t'es un nouveau ?

- Ouais voilà c'est ça.

Ne surtout pas regardez ses cheveux...

- Tu t'appelle ?

- Harry Potterson.

Ses cheveux...

- Un lien de parenté avec James Potter ?

- Aucun, mais je vois à qui tu fais allusion.

SES CHEVEUX SONT DEGOUTANTS ! BEURK BEURK ! ILS SONT GRAS !

- Bien, alors tu ne seras pas étonné que je le qualifie comme un parasite. Mais je ne t'ai pas dit mon nom. Tu ne me l'as d'ailleurs pas demandé mais je te devance. Ta tête me revient, tu peux m'appeler Sev'.

- Et pour ceux dont la tête ne t'inspire rien c'est comment.

- Severus Rogue, le seul, le vrai, l'unique.

Il serait difficile de vous décrire exactement l'expression qui vint se peindre à ces mots sur le visage de Harry mais je pense que vous le devinez aisément. Elle n'échappa pas à Severus non plus, mais il l'interpréta différemment :

- Je vois qu'on t'a parlé de moi, je suis probablement le garçon le plus intelligent de cet établissement - ceci dit sans me vanter - et la plupart des personnes que tu trouveras ici ont du mal à le supporter. J'ai été dans la classe de ce James Potterparasite, on m'a fait sauter deux classes ! Mais j'ai jugé utile de revenir en arrière et d'effectuer ces classes auxquelles ont m'offrait l'opportunité d'échapper et ce, pour mon enrichissement personnel.

- C'est passionnant...

- Je trouve aussi. Bon, nous discuterons après le cours, il me faut quelques notes sur ces gobelins, affreux hybrides...

Harry était partagé entre l'idée de fuir à toute jambes et celle de découvrir un peu plus ce garçon pour le moins étrange... Il choisit la dernière en se disant que comprendre le jeune Rogue l'aiderait peut-être à supporter l'ancien...

Pendant ce temps, Lily essayait d'échapper aux regards insistants de Lucius. Non pas qu'il ne fut pas à son goût, au contraire, ce grand blond avait tout pour lui faire tourner la tête, mais depuis le temps où ils étaient amis, elle ne l'avait jamais envisagé comme un petit ami potentiel. D'ailleurs elle pensait qu'il avait un faible pour Narcissa, chose qui n'était pas tout à fait réciproque... A midi, alors qu'ils se dirigeaient tous vers la grande salle, il profita d'un moment d'inattention de la jeune fille pour lui coller un gros bisou sonore sur la joue.

- C'est en quel honneur ? fit-elle en esquissant un sourire.

- Parce que je te trouve très jolie aujourd'hui...

- Aujourd'hui seulement ? C'est vexant !

- Réglons le problème, je te ferai un bisou tous les jours !

- Bon tu active Lulu au lieu de faire l'imbécile, on va encore se taper une place avec les premières années. Rien que de les voir manger grrrr ça m'indispose ! coupa Narcissa d'un ton sec.

Ils s'attablèrent à leur lieu fétiche depuis plusieurs années, Lily fit signe à Harry et ce dernier vint se joindre eux sous le regard noir de Lucius.

- Alors tous les deux, entonna- t'il, vous ne nous avez pas expliqué les circonstances de votre rencontre, tu craque sur les petits chiots maintenant Lily ?!

- Harry est mon correspondant français, il vient Beauxbatons et, étant un ami à moi, je tiens à ce que tu nous préserve de ce genre de remarques acides à l'avenir s'il te plait Lucius.

Refroidit, il contempla son assiette avec une moue puis détourna le regard lorsque ses yeux croisèrent ceux de Harry. Il ne parvenait pas à comprendre toute la haine qu'il pouvait trouver dans les yeux du jeune homme. Après tout, on n'en vient pas à haïr une personne simplement parce qu'elle a hasardé une remarque dont elle aurait pu s'abstenir... étrange... Mais bon peu lui importait après tout, l'important c'était Lily, et il prenait plus de plaisir à la séduire qu'il ne l'aurait cru. Et puis, quoi qu'en dise son père, sang de bourbe ou pas, elle valait aussi bien l'arrogante Narcissa.
Il se leva et fit signe à Narcissa pour qu'ils regagnent leur table. C'était un peu comme une coutume, ils s'asseyaient tous ensemble à la table des Poufsouffles qu'ils considéraient comme une maison neutre, ils mangeaient leur entrée ensemble, le temps de se raconter les derniers potins, puis chacun retournait s'attabler à sa maison respective. En plusieurs années, c'était les seuls qui avaient osé défié la loi des 4 maisons, choses qui avait fort déplu à James qui trouvait cela inadmissible qu'une Gryffondor copine avec des Serpentard. Ce faisant, il s'était mit Lily à dos dès leur rencontre, et cela avait été probablement le coup d'envoi de leur guerre sans fin.

Du coté de James :

- AIE ! Vous pourriez faire attention quand même !

- Ecoutez James, je fais ce que je peux, un peu de patience !

James était en pleine séance de " massage " par Mrs Pomfresh. Elle lui avait assuré que d'ici la fin de la journée il pourrait recommencer à marcher sur ses deux jambes, mais qu'après ces longues journées de convalescence, il lui fallait se réhabituer et donc passer par quelques étapes obligatoires.

- C'est bon ! Ca suffit j'en ai assez ! Je veux me lever !

Mais l'infirmière ne lui prêta pas la moindre attention et se tourna directement vers la porte qui venait de s'ouvrir.

- Ah Albus ! Essayez-donc de lui faire entendre raison, il n'en fait qu'à sa tête !

- Allons, je suis sure que Mr Potter à l'intention de se montrer plus raisonnable qu'il n'e donne l'impression, n'est ce pas ?

- Grumph...

- Bien. Maintenant que vous allez pouvoir retrouver l'usage de vos jambes, vous allez avoir l'occasion de vous consacrer entièrement à votre mission.

- Je suis tout à fait prêt oui ! Je peux rejoindre Sirius immédiatement.

- Ce n'est pas à cela que je pensais. Sirius se débrouille très bien et Harry l'aidera pour ses recherches durant le Week-end. Votre présence serait superflue, c'est ici que nous avons besoin de vous.

- Autrement dit ?

- Autrement dit, nous connaissons tous deux le caractère un peu fantasque de Lily et nous savons qu'elle court un très grand danger, c'est pourquoi il vous faudra garder constamment un œil sur elle.

- Autrement dit...

- Nous avons besoin de quelqu'un pour assurer la sécurité pour aider un peu Mr Rusard, et vous seriez l'homme de la situation.

- Vous plaisantez ?

- Jamais James, je suis quelqu'un de sérieux, dit- il avec un grand sourire compatissant, la couverture est idéale, c'est une mission que l'on voit confiée aux stagiaires apprentis Auror.

- Je suppose que je n'ai pas le choix...

- Malheureusement non. Ceci est entendu avec votre supérieur. Bienvenu parmis nous. Et...il y a autre chose dont je voudrais vous entretenir...

- Allez-y, ça ne peut pas être pire ...

- Et bien ça dépend du point de vue... Lily ne peut pas continuer à dormir dans le dortoir des garçons, pas plus que vous étant donné que vous n'êtes plus élève.

- Et... ?

- Et je vais donc vous proposer une pièce de préfets avec chambres séparées et commodités communes. C'est une assez vieille pièce et pas du plus grand luxe, mais vous pouvez être certains que personne ne se doutera de l'endroit où vous dormez. S'il l'on vous demande, envoyez gentiment la personne se mêler de ses affaires et il n'y aura aucun problème. Ceci étant réglé, je vous souhaite une bonne fin de journée, et un bon rétablissement !

Il partit avec sa bonne humeur coutumière, laissant un James, la bouche grande ouverte, tellement estomaqué qu'il en oubliait même de râler au sujet de sa jambe.

Le pire reste à venir...