Chapitre 2 : A la recherche de l'étoile perdue

Disclameur : bon ben vous savez quoi ? non ? les perso de GW ne sont pas à nous (oua super grande nouvelle)

Ce chapitre est pas fait pour rire mais plutôt déprimant à mort

Supervovo : je laisse Iria vous presenté son G-boys preféré et vous retrouve a la fin de ce chap !

Iria : YES ! g le chapitre pr moi tte seuleuh ! nananananananannèèèrrrreeeeuh !

Un jeune homme errait dans les rues de la grande cité, seul, ne portant qu'un tee-shirt et un jean noir qui étaient depuis longtemps imbibés de cette eau si froide s'écoulant comme une longue litanie de larmes. Et plus le temps passait, plus les nuages se déformaient pour créer une atmosphère oppressante se traduisant par un ciel noir digne des abysses dans lequel aucun rayon qu'ils proviennent de la Lune ou des astres ne pouvait passer. Le vent qui la journée était doux et réconfortant devenait la nuit un amas de bourrasques aussi froides que les gouttes qui s'écrasaient à présent avec violence sur le tapis noir sur lequel l'adolescent évoluait avec difficulté. Mais son rythme ne s'accéléra pas bien au contraire, des fois il s'entravait dans ces lacés défaits et il tombait, tombait, se blessant aux genoux ainsi qu'aux bras. Et même lorsqu'il trébucha dans un trou recouvert de cette eau gelée, rampant sur deux ou trois mètres incapable de se relever, il ne dit aucune parole et continua sa terrible ascension, mais le plus choquant c'était la réaction des gens devant ce spectacle frôlant la tragédie, les quelques passants ne dévièrent pas d'un pouce leurs chemins, et quand une petite fille voulut l'aider, sa mère l'emprisonna dans ses bras en lui répétant : Ne t'approches pas, ne t'approches pas, … Les immeubles devenaient de plus en plus ténébreux se confondant avec ce ciel si inhumain et à la lueur des lampadaires on pouvait distinguer le rideau de pluie s'écroulant avec fracas dans la rue devenue à présente déserte. Le garçon boitant, se recroquevillait sur lui-même pour conserver le peu de chaleur qu'il produisait, puis bientôt les lumières des grandes avenues disparurent pour laisser place à l'obscurité.

Le bidonville, cette chose que la plupart des gens comparent à une légende pour essayer d'oublier la misère dans laquelle se traîne l'homme, le bidonville où naissent et meurent des milliers d'enfants sans que personnes ne les pleurent, le bidonville où seul résiste les plus forts et les plus malins. Le garçon maintenant déambulait lamentablement à travers ce nouveau monde où règne la mort, la misère et la maladie. Les chemins jonchés de débris quelconques représentaient pour l'adolescent un véritable champs de mine, le début fut un réel succès mais cela ne dura pas, une planche agrippa le jean déjà déchiré et fit tomber le jeune homme en plein sur des débris de verres. Le choc fut si effroyable que tous les alentours furent réveillés par le bruit, l'enfant se blessa à la jambe droite où on pouvait distinguer un léger filé de sang rampant le long de sa cuisse. Son ventre était entaillé à une dizaine d'endroits mais ses blessures s'avéraient sans grande gravité. Et une coupure sur le front qui commençait à répandre le liquide visqueux sur la peau fine de son visage, ses cheveux à présent se répandaient autour de lui formant un cercle noir se mélangeant au rouge du sang et au marron de la boue.

Une jeune fille d'une vingtaine d'année se fraya un passage dans la foule qui entourait le jeune garçon, et qui l'aidait à se remettre debout.

Oh Duo, je t'avais dit de ne pas y retourner ! Regarde dans quel état tu es !

Le dénommé Duo répliqua presque instantanément dans le reste de souffle qui lui restait.

Je suis désolé. Mais….

Et soudain la douleur s'insinua, brutale, terrassante. Mais aucun son ne sortit de sa bouche bien que celle-ci soit presque insoutenable.

Mène-moi à l'église. Je dois me confesser.

Mais t'es complètement taré t'a vu l'heure ?

Non, ….. tu sais bien… que je ne peux pas m'acheter une montre. Répondit-il avec un pauvre sourire.

Non, on ira demain, le curé dort à cette heure là.

Et sans même demander l'approbation de son ami, elle le prit sous le bras et à l'aide d'un autre porteur, et ils l'emmenèrent dans sa maison.

C'était en réalité plus une grosse cabane qu'une maison à proprement dit, les cloisons étaient un mélange de taules et de plaques de fer ; La porte, elle, était en bois, sculptée par le père Maxwell, c'était la plus belle porte de tout le bidonville. D'une seule pièce de bois elle représentait un dragon et un ange s'enlaçant au milieu d'une clairière et au-dessus d'eux une étoile brillait. Celle-ci avait fait de la famille Maxwell la plus respecter du quartier, reconnue comme étant l'exemple à suivre. En effet le père essayait malgré son handicap de travailler le plus possible pour nourrir sa famille et aider ses voisins, mais ces deux jambes sectionnées avaient besoins de soins réguliers, et ce luxe ruinait la famille. La mère avait été blanchisseuse jusqu'au jour ou elle attrapa le cancer de la peau. Et les médicaments coûtaient horriblement chers. Quant au petit, on le considérait comme un courageux petit homme, car jamais ces parents n'avaient eu besoin de se priver de leurs soins respectifs, même si l'enfant devait travailler plus de 15 h par jour pour cela. Malheureusement se ne suffisait pas toujours et le vol était obligatoire pour la survie de la famille.

Sur ce sujet tout le monde pardonnait, même le curé avait dit au jeune garçon que le vol si c'est la seule solution pour la survie des être qui nous sont chères est pardonnable. Mais la famille Maxwell était très pieuse, et Duo supporter mal le fait qu'il doive voler ce qui le poussa à prendre la résolution suivante : Il donnera la moitié des biens récoltés à l'église pour qu'il puisse se confesser une fois par jour.

Lorsque la porte s'ouvrit, Duo sauta au coup de son père en lui donnant l'argent nécessaire pour l'achat des médicaments, oubliant complètement ces blessures et s'approcha du lit de sa mère, déposant un léger baisé sur le front bouillant de celle-ci. Puis retrouvant la réalité, il s'arque bouta sous la prise de la douleur.

Mon dieu, mais tu es blessé ! s'écria le père

Ce…. N'est rien papa, juste quelques égratignures…..

Et soudain Hilde qui n'avait pas réagit depuis les retrouvailles intervint :

Ne fais pas l'enfant Duo, il faut soigner tes plaies elles vont s'infecter si ce n'est pas déjà fait.

Le père complètement paniquer chercha dans le carton destiné aux médicaments et sortit un peu brutalement la bouteille d'alcool qui se brisa et qui par la même occasion coupa la peau de la main de celui-ci.

Oh mais c'est pas vrai, je ne suis même plus capable de prendre une bouteille correctement.

Mais non papa ce n'est rien…….. Il ne put terminer sa phrase qu'un hoquet de douleur le renversa en arrière.

DUO ! S'écria-t-il alors que Hilde le coucha sur le lit le plus droit possible.

Il faut panser la plaie de papa. murmura-t-il .

Mais arrêtes 5 minutes, t'es mourant et tu veux que l'on s'occupe de ton père ! Je vais appeler un médecin !

Non arrêtes, on n'a pas d'argent pour……arght... ça.

Hilde n'écoutant même plus les paroles de l'adolescent regarda son père en attente d'une réponse.

Dépèches-toi. Je t'en supplie.

N……..Oon…..

Tais-toi mon fils, ne te rends pas ridicule.

Bien………………pa…..pa

Puis trop fatigué pour dire un mot de plus il s'endormit, pendant que son père commençait à panser ces diverses blessures et à le veiller d'un air protecteur réalisant que la vie de son fils était véritablement en danger.

Et c'est sous la pluie battante q'une jeune femme courrait à en perdre haleine pour sauver la vie de son meilleur ami.

A suivre….

Supervovo : humhum…c bon t'a fini avec ce povre Duo TU VX VRAIMENT KI CREVE OU KOI ?

Iria : mé nonnnn, l'm bien Duo. C juste ke…

S : KE T SADIIIIKKE !

Duo: j'ai maaaaaaalllll...

Iria

S: j'vous rassure ça va aller mieux…

I : mieux…enfin si on veut..

Duo mode tt palo, tente désespérément de partir loin, très loin (ds une fic ou il é une star du rock par exemple) mé se fé chopé par la natte par Iria (dommage)

S : un peu qd meme ? c plus marrant apres !

Et pui t'inkiete po Duo, on a une ptte surprise pr toi…

Duo : c vrrrrrraaiii ?

I : donc si vous aimez les trucs tristes yen aura….et si vous aimé les gros delires yen aura plein ossi ! (et voila tt le monde é content !)