Une dernière danse 2

Auteur : Iria-chan

Disclaimeur :Gundam Wing, les personnages ne sont pas à moi ce qui est vraiment dommage (surtout un certain Duo)

Disclaimeur 2 : histoire....émouvante ; OOC mais vraiment OOC, yaoi

Disclameur 3 : je sens que ce chapitre va être vraiment n'importe quoi. Alors je vous souhaite du courage.

Pendant le court trajet qui séparé la cafétéria du dortoir, seul un silence plus que pesant s'instaura entre les deux adolescents. Heero était toujours égal à lui-même quant à Duo il essayait de se concentrer sur leur mission. (C'est pour dire ). Au grand soulagement du japonais, il ne restait q'une dizaine de mètres à parcourir pour entrer dans le self. Malheureusement ce fut à ce moment que choisi son portable de sonner. _ Putain j'ai oublié d'étendre ce c****** de portable ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! Il fouilla dans son pantalon (il ne faut pas oublier que le port de l'uniforme est obligatoire) et sortit le fautif, celui-ci affichait « 01 vs ete mort ». Dés que Heero eut lu le message il l'effaça avant que 2 prunelles violettes se pose sur l'écran. _ C'était quoi ton message ? _Un SMS de Rélena. _QUI DISAIT QUOI ? ? ? ? ? ? ? _Je t'aime à la folie. Répondit Heero le plus stoïque possible. _Le cancan habituel. Enfin. je suis sur que ca va passer avec un bon croissant. C'est ainsi que Duo traîna son compagnon jusqu'à une table et qu'il lui dit : _Bouge pas je reviens. Voyant l'américain s'éloigner Heero décida de faire le point sur la situation : _Bon premièrement qui m'a envoyé ce message ? Pas quelqu'un qui me connaît ....C'était un numéro étranger à mon répertoire.....je ne connais que 2personnes possédant mon numéro à par le reste de l'équipe.Rélena et J .....Ce qui me ramène inexorablement vers OZ ....Mais pourquoi m'envoyer une preuve qu'ils connaissent mon emplacement....donc s'est une personne étrangère à toute l'organisation. Il fut coupé par la baffe monumentale que Duo lui assena. _Oups ....Un peut trop fort, je suis désolé mais j'avais cru que tu avais sombré dans le coma.(et oui je le fais sadique notre petit dieu de la mort) L'américain mit instinctivement ses bras devant le visage, qui s'avéra être payant car une main s'écrasa sur son bouclier de fortune quelques nillisecondes après la fin de sa phrase. _BAKA ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! _Pas frapper ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! Puis sentant la colère de son compagnon se transformer en gêne il lui dit : _ Pour me faire pardonner voilà 2 supers croissants encore tièdes et un super chocolat chaud. Plus en bonus... Heero n'eut même pas le temps de réfléchir que son amant était sur lui en train de lui rouler une pelle. Bien que ce dernier n'était pas consentant il ne fit rien pour repousser l'assaut un peu osé de l'américain. (On est dans la cafétéria tout de même). Mais ils furent contraints de se séparer quand un petit toussotement se fit entendre au-dessus de leurs épaules. _Hurm ... Messieurs je crois que nous devrions éclaircirent quelques petits problèmes dans mon bureau après votre petit déjeuner. _Bien monsieur le directeur. Répondit Heero revenu sur son visage de soldat parfait. Toute la salle était en arrêt, pas un lycéen n'oser bouger. Ce ne fut que lorsque nos deux G-boys sortirent de la pièce que le bruit se refit réentendre. Ils suivirent le principale à travers les longs couloirs lugubres des bureaux de l'administration (remarquer la lourdeur de la phrase T.T) .Pour arriver devant une porte noire où était accroché une petite pancarte : PRINCIPALE. Heero avait toujours en action son masque d'impassibilité, tandis que Duo possédait un visage serein. Tous deux entrèrent dans la pièce sans accorder un seul regard au principale et s'assirent sur les fauteuils qui se situaient devant eux. _Bien, ......... amorça le directeur d'une voix embarrassée. _Oui ? Répondit expressément Duo pour montrer qu'il sera prés à répondre à la moindre offense. Heero ressemblait à un robot, le dos droit, les jambes serrées, le regard flou (Heero quoi !). L'homme se calla dans son fauteuil en cuir, scruta un à un les deux adolescents, pris sa respiration et commença : _Je vais essayer de me faire bien comprendre, vous êtes tous les deux des hommes, donc vous ne pouvez pas dépasser une certaine frontière qui s'appelle l'amitié. _Et pourquoi ? Demanda Duo d'un air de défis. _....Pardon.... _Je vous demande pourquoi deux garçons ne peuvent pas s'aimer. Ce n'est pas vous qui réclamez les droits des jeunes théoriquement. _Ce n'a aucun rapport et je vous pris de vous réassoir M. Maxwell. Duo obéit, puis jeta un regard à son amant, celui-ci n'avait pas encore bougé mais son regard en disait long. Surtout lorsqu'il croisa celui du proviseur qui ne put s'empécher de frissonner. _M. le proviseur, je ne vois pas le problème. Vous dîtes que l'on ne peut pas franchir le seuil de l'amitié. Mais réfléchissez rien q'une seconde à ce que vous venez de dire. _Eh bien .....................continuer. Répondit le proviseur d'un ton cynique. Heero pris le plus menaçant de ses regards de la mort qui tue la vie et bien plus encore. _Je veux dire que vous nous supprimer le droit de penser, d'agir, et d'agir librement et intelligemment. Et rien que pour ça on pourrait vous conduire devant un tribunal. _Ce que vous ne ferrait pas bien entendu. Coupa d'un ton sec le principale. _Vous nous mettez au défi ? Duo était tout simplement stupéfait de la tournure des évènements ; d'abord un soldat parfait qui se révolte contre le symbole de l'autorité ; puis cette conversation ne devait pas se terminer en un duel oratoire. _Je vous pris de ne pas me menacer avec vos sottises. Déclara le directeur d'un air qui se voulait modérateur. Je veux juste que vous ne soyez plus ensemble pendant le reste de l'........ Il ne put finir sa phrase qu'il était allongé sur le bureau avec un bras sous le cou qui le serrer de plus en plus fort. _DUO!!!!!!!!!!!!! Rugit Heero. L'intéressé pour seule réponse posa son index devant la bouche. Puis fit glissé celle-ci jusqu'à l'oreille du proviseur : _Je vous préviens, je suis loin d'être aussi patient que mon petit ami, alors ne commençait pas à m'échauffer les oreilles. Est-ce suffisamment clair ou faut-il que je bousille votre gueule d'enfoiré. Et pour montrer qu'il ne plaisantait pas il appuya un peu plus sur la gorge fragile de l'homme. _D'accord, d'accord, oubliez ma dernière phrase. Mais enlevez votre bras, je vous en supplie. Le jeune américain obéit en affichant un sourire de triomphe. Puis comme si rien ne s'était passé il se remis dans sa position initiale. Heero était complètement sur les fesses, il avait déjà vu son partenaire sous la forme du shinigami en mission, mais là s'attaquer à un civil. _C'est trop, on doit protéger les civils et non les menacés. Duo vit le regard presque horrifié de son compagnon et ne mis pas longtemps à en connaître la raison. _Ne t'inquiète pas mon petit Heero, tu sais très bien que je suis impulsif parfois. Mais ne t'inquiète pas je ne m'attaque qu'aux Ozzies. Lui souffla t'il à l'oreille sous le regard apeuré du proviseur qui n'osait même plus bouger. Sans se laissé démonter par le regard de Heero, le jeune américain continua la conversation et réussi à négocier une ou deux séances chez le psychiatre (Duo : Quoi ?!!! Mais je n'ai jamais dit ça !!!!!!!!!)pour troubles mentaux (Duo : mais je vais le tuer ce dirlo à deux balles !!!!). la conversation se termina, et les edux adolescents retournèrent dans leurs chambre sans dire un mot. Heero était encore plus silencieux que d'habitude mais ce silence pour son amant était comme la plus horrible des tortures. En effet il avait enfin réussi à rendre le soldat obsolète, et à présent son petit ami retournait dans sa coquille de glace. Lorsque la porte de la chambre se ferma, Heero se dirigea d'un pas préssé vers la sale de bain mais fut arrêté par une main sur son poigné. _ Ecoute, je sais que j'ai fais une connerie en menaçant le pro mais tu ne vas pas en faire une montagne, tout de même.