Voilà le chapitre 16 : merci pour toutes vos reviews cela faisait longtemps
que je n'en avais pas eu autant ! continué comme ça !
Voilà un chapitre très attendue par certainES ! je me suis débrouillé pour faire un chapitre long pour me pardonner de mon retard !
Disclamer : aucun personnage ne m'appartient mais j'aimerais bien étriper Rowling pour avoir tué... !!!! Je pense que certain son du même avis que moi !
Bonne lecture !
Chapitre 16 : première leçon
Ils débarquèrent dans l'infirmerie et déposèrent les deux enfants sur le lit le plus proche. Mme Pomfresh qui soignait une élève se précipita vers eux :
- Que ce passe t-il ? Demanda-t-elle en voyant leur visage grave. Qui sont ses enfants ?
McGonagall lui répondit avec un sourire crispé :
- Ce sont messieurs Potter et Weasley.
La pauvre infirmière failli avoir une crise cardiaque, elle s'approcha du lit. Les deux bambins se regardaient avec curiosité et s'amusaient à se tirer les cheveux. On pouvait apercevoir une fine cicatrice qui ornait le front de Harry.
- Comment-ce arrivé ? S'enquit Mme Pomfresh.
Dumbeldor semblait songeur, il regarda l'assemblée et décréta :
- C'est sans doute un cou de Voldemort - tout le monde tressailli, a part Hermione- mais se peut être aussi une blague de leur camarade. Miss Granger ?
Elle sursauta légèrement, elle n'avait pas suivi la conversation, elle avait sombré dans ses propres pensées.
- Oui, professeur ?
- Avait vous une idée de qui pourrait avoir eu l'envi de jouer un tour à vos camarades ?
Elle réfléchit à toutes vitesses, elle ne pouvait pas dénoncer qui que ce soit. Son ancienne elle ne dénoncerait pas ses amis griffondor, et puis elle pouvait s'attendre à une colère de Drago si.tien mais c'était une excellente idée, quoi de mieux que de faire enrager ce bon vieux Dray !
- Et bien, oui, je pense qu'un groupe de serpentard pourrait être dans le coup mais je ne veux pas avoir d'ennui.
- Parlez sans crainte Miss Granger, la rassura son professeur de métamorphose, il faut punir les coupables !
- Quand je suis sorti de l'infirmerie avec Malfoy, Harry et Ron se sont disputé avec lui et bien qu'il m'est sauvé la vie, il n'est pas redevenu bon pour autant. Je pense qu'il a fabriqué une potion de jouvence en secret et qu'il la mit dans la nourriture de Harry et de Ron.
Dumbeldor l'observa un moment avec une lueur indescriptible dans les yeux, comme s'il savait qu'elle mentait. Mais finalement il hocha la tête :
- Oui, je pense que Miss Granger à raison, professeur McGonagall allait me chercher le fautif et emmenait-le dans mon bureau. Miss Granger, vous devriez allait en cours.
Elle acquiesça et demanda avant de sortir :
- Qu'allez vous faire pour Ron et Harry ?
- Ils vont resté ici jusqu'à ce que le professeur Rogue prépare la contre potion.
Elle partit, souriant intérieurement, Drago allait être furieux mais il ne pouvait rien contre elle. Elle se dirigea vers la classe de Binns. Encore une heure à s'ennuyer, bon au moins elle pourrait rattraper quelques heures de sommeil, elle se sentait encore un peu engourdie à cause de la potion.
Lorsqu'elle pénétra dans la classe ou le cours avait déjà commencer, elle s'assit sans s'excuser auprès du professeur d'histoire de la magie, qui de toute façon ne l'avait pas remarqué. Tout le monde se précipita sur elle pour avoir des nouvelles de leurs camarades miniatures.
Elle leur expliqua que c'était un cou des serpentards et qu'ils seraient sévèrement punis. Les autres griffondors s'exclamèrent de joie quand elle leur apprit la nouvelle.
- Ils n'auront que ce qu'ils méritent ses serpents visqueux, déclara Dean.
Seamus approuva son ami « petit ami » pensa Hermione, en effet elle avait découvert le secret des deux garçons alors qu'elle revenait de la bibliothèque un soir très tard. Elle les avait surprit en train de s'embrassait et leurs vêtements à moitié enlevés.
Ils avaient rougi comme des débutants quand ils s'étaient aperçut de sa présence. Elle avait rit et leur avait conseillé une pièce cachée dans le septième étage qui leur conviendrait mieux que derrière une vulgaire statue.
Ils l'avaient remercié et couru au septième étage comme des forcenés en se tenant la main. C'était l'année d'avant, quand elle était encore une petite griffondor studieuse. Elle n'avait pas trahit leur secret, mais peut-être qu'un jour elle pourrait un peu s'amusé avec eux..
La sonnerie la sortie de ses pensées. Les étudiants parlaient entre eux de l'événement du midi et Hermione répondit avec exaspération à leur question et prétexta avoir un cours à l'autre bout du château pour ne pas s'attardait devant leur futilité, elle regarda à gauche et à droite, elle ne tenait pas à voir Drago.
Bien sur, elle ne se cachait pas par ce qu'elle avait peur de lui, mais elle ne voulait pas qu'il fasse un scandale dans les couloirs et fiche sa couverture en l'air sous le coup de l'emportement. Elle le verrait après le dîner dans sa chambre à l'abris des oreilles indiscrètes.
Le reste de la journée nu rien d'extraordinaire à part le fait que Drago avait failli l'apercevoir dans le couloir du troisième étage, mais elle s'était glissé derrière un groupe de serdaigle de cinquième année qui discutait d'une boutique branché du chemin de Traverse.
Il avait l'air d'un dragon prêt à cracher le feu. Elle l'avait entendu dire à ses gardes du corps grâce à son ouie développé :
- Attendez que je lui mette la main dessus, elle va voir ce qui se passe quand on affronte un Malfoy !
- Tu veux que l'on s'occupe d'elle Drago ?
- Non, Crabbe, c'est entre elle et moi.
Elle avait attendu qu'ils partent à leur cours de métamorphose et était sortie de sa cachette, un sourire en coin, « oui, en verra mon Dragon ».
Elle avait préféré demander aux elfes de maison de lui donnait un panier pic-nique pour manger au bord du lac plutôt que de se montrait dans la grande salle ou le serpentard l'attendrait certainement.
L'après midi se déroula calmement, quand la dernière sonnerie de la journée retentit et que les autres élèves se dirigeaient vers la grande Salle, elle prit la direction du lac avec quelque livre à étudier.
L'air était frais mais pas glaciale, elle avait emmené un pull pour couvrir ses épaules. Elle s'installa dans un coin isolé, le dos appuyé sur un tronc d'arbre. Elle déballa son pic-nique et ouvrit son livre de métamorphose avancé en mangeant un sandwich.
Quand le crépuscule ne lui permit plus de lire et que l'air se rafraîchissait, elle rangea ses affaires et se dirigea vers sa chambre.
Quand elle rentra dans leur salle commune, Drago tournait en rond pestant entre ses dents. Quand il la vit, il se dirigea vers elle d'un pas furieux.
Elle fit comme s'il n'était pas là et rangea ses affaires sur son bureau alors qu'il s'approchait dangereusement d'elle.
-On peut savoir où tu était passé, je ne t'ai pas vu de l'après midi, ni au dîner, Hurla-t-il.
Elle se retourna vers lui calmement et l'observa, ses yeux avaient prit une teinte d'orage. Le gris avait pris le dessus sur le bleu signe qu'il était dans une grande fureur.
- J'ai voulu prendre l'air, répondit-elle, tu as un problème avec le fait que je me promène ?
- La n'est pas la question, répliqua-t-il, pourquoi as-tu dis au directeur que j'étais la cause de la jeunesse de tes deux amis de griffondor ?
Alors qu'elle se dirigeait vers sa chambre, il lui attrapa violemment le bras et la plaqua contre la porte de sa chambre avant qu'elle n'ait eu le temps de l'ouvrir.
- Répond-moi !
Son visage était déformé par la fureur.
- Lâches-moi, tu me fais mal espèce de Dragon cracheur de feu.
Il desserra sa pression sous le coup de la surprise, jamais on ne l'avait appeler comme ça, c'était du suicide.
Elle en profita pour filer à quelques mètres.
- Bon, tu veux une réponse je vais te répondre : premièrement je n'allait pas dénoncez les griffondor ou les autres maisons amis des griffondor. Deuxièmement les serpentard n'aime pas les griffondor. Troisièmement tu détestes Potter et Weasley. Quatrièmement, si je ne dénoncer personne mon père aurait été mis en cause et je ne pense pas qu'il aime mon initiative et cinquièmement je veux que tu me prennes, maintenant.
Il la regarda éberlué, comme il ne réagissait pas, elle s'approcha de lui et le gifla, il lui stoppa le bras quand elle voulu reproduire le geste. Il l'embrassa sauvagement l'entourant de ses bras pour la collait à lui. « Dieu que cette fille est géniale »pensa-t-il alors qu'il enfonça la porte de sa chambre( à Hermione) du pied, et porta Hermione sur son lit.
Ils se déshabillèrent en quatrième vitesse toujours en s'embrassant désespérément. Il ce mis au dessus d'elle et la pénétra violemment, elle gémi en s'arquant contre ses hanches, elle passa ses jambes autour de ses fesses pour qu'il aille plus profond en elle. Il mordilla ses seins alors qu'elle promenait ses mains sur son crâne lui ébouriffant les cheveux. Elle poussa un cris de plaisir quand il accéléra le rythme déjà intense. Elle murmura des paroles inaudibles sous ses cris rauques.
- Draggggooooo, s'écria-t-elle alors qu'elle atteignait l'orgasme.
Il se vida en elle dans un dernier mouvement de bassin, alors qu'il allait se retirer, elle le retint :
- non, attend.
Il fit ce qu'elle demandait et s'écroula de fatigue sur elle. Leur respiration saccadées se mêlaient alors qu'il essayait de reprendre un rythme normal. Il reposa sa tête sur la poitrine de la jeune femme. Il pouvait entendre son c?ur battant à la chamade. Elle l'entoura de ses bras et essuya son front couvert de sueur.
Quand ils eurent retrouvé un rythme cardiaque stable, et qu'ils commençaient à s'endormir Hermione prit la parole :
- Alors comment as-tu trouvé cette technique ?
- C'était mieux que tout ce que j'aurais pu imaginé, mais comment.
- Et bien, cela fait partie des technique que j'ai découvert pendant mes lectures, leçon n°1 la colère est un bon catalyseur d'énergie physique. Et vu la crise que tu avais c'était le bon moment pour passer à la pratique.
- Tu avais tout prévu hein, ma colère et tout le reste.
- Non, en fait j'ai improvisais ce matin quand ils m'ont demandé si je connaissais le coupable.
- Très intéressant, tout les vieux snocks qui ont écrit ton bouquins avaient de l'idée dans l'esprit !
- Oui et t'en mieux pour nous.
- Espèce de petite dévergondée.
- Et fière de l'être, surtout dans les bras d'un mec comme toi.
Il eu une lueur de désir dans les yeux, il commença à bouger son bassin faisant crié Hermione de surprise.
- Laisse-moi le faire à ma manière maintenant, la lenteur il n'y a rien de mieux pour te rendre folle.
- Mnnhh, tu es un vrai Dragon.
Il la fit passer en position dominante et la regarda se mouvoir langoureusement sur lui.
Ils continuèrent comme ça pendant un bon bout de la nuit avant de tombé exténué dans les bras de l'autres.
A suivre
Bon je pense que vous serez satisfait de ce Lemon, j'ai mis le paquet !
Alors si vous en voulait d'otre Reviews !!!
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Disclamer : aucun personnage ne m'appartient mais j'aimerais bien étriper Rowling pour avoir tué... !!!! Je pense que certain son du même avis que moi !
Bonne lecture !
Chapitre 16 : première leçon
Ils débarquèrent dans l'infirmerie et déposèrent les deux enfants sur le lit le plus proche. Mme Pomfresh qui soignait une élève se précipita vers eux :
- Que ce passe t-il ? Demanda-t-elle en voyant leur visage grave. Qui sont ses enfants ?
McGonagall lui répondit avec un sourire crispé :
- Ce sont messieurs Potter et Weasley.
La pauvre infirmière failli avoir une crise cardiaque, elle s'approcha du lit. Les deux bambins se regardaient avec curiosité et s'amusaient à se tirer les cheveux. On pouvait apercevoir une fine cicatrice qui ornait le front de Harry.
- Comment-ce arrivé ? S'enquit Mme Pomfresh.
Dumbeldor semblait songeur, il regarda l'assemblée et décréta :
- C'est sans doute un cou de Voldemort - tout le monde tressailli, a part Hermione- mais se peut être aussi une blague de leur camarade. Miss Granger ?
Elle sursauta légèrement, elle n'avait pas suivi la conversation, elle avait sombré dans ses propres pensées.
- Oui, professeur ?
- Avait vous une idée de qui pourrait avoir eu l'envi de jouer un tour à vos camarades ?
Elle réfléchit à toutes vitesses, elle ne pouvait pas dénoncer qui que ce soit. Son ancienne elle ne dénoncerait pas ses amis griffondor, et puis elle pouvait s'attendre à une colère de Drago si.tien mais c'était une excellente idée, quoi de mieux que de faire enrager ce bon vieux Dray !
- Et bien, oui, je pense qu'un groupe de serpentard pourrait être dans le coup mais je ne veux pas avoir d'ennui.
- Parlez sans crainte Miss Granger, la rassura son professeur de métamorphose, il faut punir les coupables !
- Quand je suis sorti de l'infirmerie avec Malfoy, Harry et Ron se sont disputé avec lui et bien qu'il m'est sauvé la vie, il n'est pas redevenu bon pour autant. Je pense qu'il a fabriqué une potion de jouvence en secret et qu'il la mit dans la nourriture de Harry et de Ron.
Dumbeldor l'observa un moment avec une lueur indescriptible dans les yeux, comme s'il savait qu'elle mentait. Mais finalement il hocha la tête :
- Oui, je pense que Miss Granger à raison, professeur McGonagall allait me chercher le fautif et emmenait-le dans mon bureau. Miss Granger, vous devriez allait en cours.
Elle acquiesça et demanda avant de sortir :
- Qu'allez vous faire pour Ron et Harry ?
- Ils vont resté ici jusqu'à ce que le professeur Rogue prépare la contre potion.
Elle partit, souriant intérieurement, Drago allait être furieux mais il ne pouvait rien contre elle. Elle se dirigea vers la classe de Binns. Encore une heure à s'ennuyer, bon au moins elle pourrait rattraper quelques heures de sommeil, elle se sentait encore un peu engourdie à cause de la potion.
Lorsqu'elle pénétra dans la classe ou le cours avait déjà commencer, elle s'assit sans s'excuser auprès du professeur d'histoire de la magie, qui de toute façon ne l'avait pas remarqué. Tout le monde se précipita sur elle pour avoir des nouvelles de leurs camarades miniatures.
Elle leur expliqua que c'était un cou des serpentards et qu'ils seraient sévèrement punis. Les autres griffondors s'exclamèrent de joie quand elle leur apprit la nouvelle.
- Ils n'auront que ce qu'ils méritent ses serpents visqueux, déclara Dean.
Seamus approuva son ami « petit ami » pensa Hermione, en effet elle avait découvert le secret des deux garçons alors qu'elle revenait de la bibliothèque un soir très tard. Elle les avait surprit en train de s'embrassait et leurs vêtements à moitié enlevés.
Ils avaient rougi comme des débutants quand ils s'étaient aperçut de sa présence. Elle avait rit et leur avait conseillé une pièce cachée dans le septième étage qui leur conviendrait mieux que derrière une vulgaire statue.
Ils l'avaient remercié et couru au septième étage comme des forcenés en se tenant la main. C'était l'année d'avant, quand elle était encore une petite griffondor studieuse. Elle n'avait pas trahit leur secret, mais peut-être qu'un jour elle pourrait un peu s'amusé avec eux..
La sonnerie la sortie de ses pensées. Les étudiants parlaient entre eux de l'événement du midi et Hermione répondit avec exaspération à leur question et prétexta avoir un cours à l'autre bout du château pour ne pas s'attardait devant leur futilité, elle regarda à gauche et à droite, elle ne tenait pas à voir Drago.
Bien sur, elle ne se cachait pas par ce qu'elle avait peur de lui, mais elle ne voulait pas qu'il fasse un scandale dans les couloirs et fiche sa couverture en l'air sous le coup de l'emportement. Elle le verrait après le dîner dans sa chambre à l'abris des oreilles indiscrètes.
Le reste de la journée nu rien d'extraordinaire à part le fait que Drago avait failli l'apercevoir dans le couloir du troisième étage, mais elle s'était glissé derrière un groupe de serdaigle de cinquième année qui discutait d'une boutique branché du chemin de Traverse.
Il avait l'air d'un dragon prêt à cracher le feu. Elle l'avait entendu dire à ses gardes du corps grâce à son ouie développé :
- Attendez que je lui mette la main dessus, elle va voir ce qui se passe quand on affronte un Malfoy !
- Tu veux que l'on s'occupe d'elle Drago ?
- Non, Crabbe, c'est entre elle et moi.
Elle avait attendu qu'ils partent à leur cours de métamorphose et était sortie de sa cachette, un sourire en coin, « oui, en verra mon Dragon ».
Elle avait préféré demander aux elfes de maison de lui donnait un panier pic-nique pour manger au bord du lac plutôt que de se montrait dans la grande salle ou le serpentard l'attendrait certainement.
L'après midi se déroula calmement, quand la dernière sonnerie de la journée retentit et que les autres élèves se dirigeaient vers la grande Salle, elle prit la direction du lac avec quelque livre à étudier.
L'air était frais mais pas glaciale, elle avait emmené un pull pour couvrir ses épaules. Elle s'installa dans un coin isolé, le dos appuyé sur un tronc d'arbre. Elle déballa son pic-nique et ouvrit son livre de métamorphose avancé en mangeant un sandwich.
Quand le crépuscule ne lui permit plus de lire et que l'air se rafraîchissait, elle rangea ses affaires et se dirigea vers sa chambre.
Quand elle rentra dans leur salle commune, Drago tournait en rond pestant entre ses dents. Quand il la vit, il se dirigea vers elle d'un pas furieux.
Elle fit comme s'il n'était pas là et rangea ses affaires sur son bureau alors qu'il s'approchait dangereusement d'elle.
-On peut savoir où tu était passé, je ne t'ai pas vu de l'après midi, ni au dîner, Hurla-t-il.
Elle se retourna vers lui calmement et l'observa, ses yeux avaient prit une teinte d'orage. Le gris avait pris le dessus sur le bleu signe qu'il était dans une grande fureur.
- J'ai voulu prendre l'air, répondit-elle, tu as un problème avec le fait que je me promène ?
- La n'est pas la question, répliqua-t-il, pourquoi as-tu dis au directeur que j'étais la cause de la jeunesse de tes deux amis de griffondor ?
Alors qu'elle se dirigeait vers sa chambre, il lui attrapa violemment le bras et la plaqua contre la porte de sa chambre avant qu'elle n'ait eu le temps de l'ouvrir.
- Répond-moi !
Son visage était déformé par la fureur.
- Lâches-moi, tu me fais mal espèce de Dragon cracheur de feu.
Il desserra sa pression sous le coup de la surprise, jamais on ne l'avait appeler comme ça, c'était du suicide.
Elle en profita pour filer à quelques mètres.
- Bon, tu veux une réponse je vais te répondre : premièrement je n'allait pas dénoncez les griffondor ou les autres maisons amis des griffondor. Deuxièmement les serpentard n'aime pas les griffondor. Troisièmement tu détestes Potter et Weasley. Quatrièmement, si je ne dénoncer personne mon père aurait été mis en cause et je ne pense pas qu'il aime mon initiative et cinquièmement je veux que tu me prennes, maintenant.
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Ils se déshabillèrent en quatrième vitesse toujours en s'embrassant désespérément. Il ce mis au dessus d'elle et la pénétra violemment, elle gémi en s'arquant contre ses hanches, elle passa ses jambes autour de ses fesses pour qu'il aille plus profond en elle. Il mordilla ses seins alors qu'elle promenait ses mains sur son crâne lui ébouriffant les cheveux. Elle poussa un cris de plaisir quand il accéléra le rythme déjà intense. Elle murmura des paroles inaudibles sous ses cris rauques.
- Draggggooooo, s'écria-t-elle alors qu'elle atteignait l'orgasme.
Il se vida en elle dans un dernier mouvement de bassin, alors qu'il allait se retirer, elle le retint :
- non, attend.
Il fit ce qu'elle demandait et s'écroula de fatigue sur elle. Leur respiration saccadées se mêlaient alors qu'il essayait de reprendre un rythme normal. Il reposa sa tête sur la poitrine de la jeune femme. Il pouvait entendre son c?ur battant à la chamade. Elle l'entoura de ses bras et essuya son front couvert de sueur.
Quand ils eurent retrouvé un rythme cardiaque stable, et qu'ils commençaient à s'endormir Hermione prit la parole :
- Alors comment as-tu trouvé cette technique ?
- C'était mieux que tout ce que j'aurais pu imaginé, mais comment.
- Et bien, cela fait partie des technique que j'ai découvert pendant mes lectures, leçon n°1 la colère est un bon catalyseur d'énergie physique. Et vu la crise que tu avais c'était le bon moment pour passer à la pratique.
- Tu avais tout prévu hein, ma colère et tout le reste.
- Non, en fait j'ai improvisais ce matin quand ils m'ont demandé si je connaissais le coupable.
- Très intéressant, tout les vieux snocks qui ont écrit ton bouquins avaient de l'idée dans l'esprit !
- Oui et t'en mieux pour nous.
- Espèce de petite dévergondée.
- Et fière de l'être, surtout dans les bras d'un mec comme toi.
Il eu une lueur de désir dans les yeux, il commença à bouger son bassin faisant crié Hermione de surprise.
- Laisse-moi le faire à ma manière maintenant, la lenteur il n'y a rien de mieux pour te rendre folle.
- Mnnhh, tu es un vrai Dragon.
Il la fit passer en position dominante et la regarda se mouvoir langoureusement sur lui.
Ils continuèrent comme ça pendant un bon bout de la nuit avant de tombé exténué dans les bras de l'autres.
A suivre
Bon je pense que vous serez satisfait de ce Lemon, j'ai mis le paquet !
Alors si vous en voulait d'otre Reviews !!!