Voilà le chapitre 17 tellement attendu ( deux mois je crois ???) assé de
Bla-bla, voilà l'histoire ! N'oubliez pas que j'adore les reviews !!!
BONNE LECTURE !
Chapitre 17 :
Cela faisait deux semaines que Hermione et Drago étaient de retour a Poudlard. La vie était redevenue normal, en apparence. Les professeurs les criblaient de devoirs d'une longueur interminable et même Hermione devait passer de longues heures à travailler dans sa salle commune de préfet. Ca, c'était la version qu'elle avait donnée aux griffondor pour justifier ses rares visites dans leur salle commune, beaucoup trop bruyante selon elle.
En fait, Hermione travaillait beaucoup mais pas du tout de la façon dont ses camarades le pensé ; elle faisait beaucoup de séances de combat avec un certain préfet de serpentard, essayant de maîtriser ses nouveaux pouvoirs. Et comme tout combat qui se respecte, cela se finissait souvent au corps à corps dans le lit des jeunes sorciers ou sur le divan, les combattant n'ayant plus la force de se transporter plus loin.
En apparence, ils étaient toujours ennemis et quand ils se croisaient dans les couloirs en présence des autres élèves, ils se jetaient des regards de haine ou s'ignoraient. Tout le monde n'y voyait que du feu. Mais s'ils se retrouvaient seuls, ils entraient dans la salle désaffectée la plus proche et rattrapaient le temps perdu.
Ce jour-là, Hermione faisait des recherches à la bibliothèque sur une ancienne créature mystique, pour son devoir de soin aux créatures magiques, Hagrid était toujours amoureux des grosses bestioles qui effrayaient la plupart du monde sorcier. Elle esquissa un sourire ironique, son père avait réussi à faire renvoyer ce gros benêt à cause de sa passion. Elle fut tirée de ses pensées par l'arrivé bruyante, de ses « pots de colles » comme elle les appelait, de Harry et de Ron, aussi rouges l'un que l'autre et soufflants comme des phoques.
Elle sourit intérieurement, se remémorant leur mésaventure. Le professeur rogue avait dû les garder en pension pour faire ses expériences. Après avoir avalé une potion qui apparemment n'était pas a son goût, bébé Harry avait tout recracher sur la robe noire de son cher professeur, qui avait hurlé au scandale. Albus, lui avait gentiment proposé d'aller se changer et lui rappela qu'il faisait sa pour la bonne cause, un sourire au coin des lèvres. Hermione qui avait assistée à la scène était partie en courant dans les toilettes les plus proches pour exploser de rire.
Elle avait dû s'occupé d'eux pendant une heure, le temps que leur maître des potions est retrouvé sa pâleur habituelle et son sang froid. Il les avait repris avec regret et résignation la gratifiant d'un « enlevez-moi ce sourire idiot miss Granger ou j'enlève 50 points a griffondor ! . Le soir même, les garçons avaient retrouvé leur taille et age mental normal et griffondor avait perdu 50 points et pour une fois ce n'était pas la faute des deux garçons.
Elle se concentra pour revenir à la réalité, les deux lascars avaient enfin retrouvé leur rythme cardiaque et s'assirent à coté d'elle.
- Qu'est-ce qu'il y a, vous ne voyez pas que je travaille ? Demanda-t-elle, essayant de cacher son exaspération.
Harry parla en premier, alors que Ron levait les yeux au ciel se demandant comment par Merlin cette fille faisait pour passer autant de temps sur ses études :
- Dumbeldor vient de nous informer que la première réunion de l'ordre du ph?nix allait avoir lieu samedi soir, il a des choses importantes à nous dire.
L'intérêt de la jeune fille augmenta sensiblement, elle était toute ouïe au dire de garçon.
- A quelle heure et où est le lieu de rendez-vous ? Le questionna-t-elle.
- Le lieu habituel à 22h, répondit le jeune homme. Je pense que Dumbeldor va te demander quelques petits renseignements sur les activités de Voldemort.
- Je m'en doute bien, je ferais du mieux que je peux pour aider l'ordre.
- Nous n'en doutons pas un instant, Hermione, grogna Ron, mais on peut y allez maintenant Harry, mon estomac ne peux plus supporter d'attendre pour goûter aux pâtisseries de Dobby.
Hermione leva un sourcil septique en direction de Harry, ce dernier haussa les épaules de découragement et accompagna son ami aux cuisines du château. Elle les regarda s'éloigner, et se replongea dans son bouquin. C'était parfait, elle avait reçu le hibou grand duc des malfoys avec un mot de son père lui disant qu'il attendait son rapport sur Poudlard et ses défenses impatiemment.
Cela tombait vraiment bien, Dumbeldor allait tout lui servir sur un plateau, ce vieux fou amoureux des moldus allait bientôt connaître une cuisante défaite fasse aux forces du mal. En plus, et cela la rendait euphorique, apprendre que deux des espions de Voldemort se promenaient sous son nez crochu à son insu pendant une longue période, le rendrait malade ,si jamais il ne périssait pas dans la bataille bien entendue.
Elle esquissa un sourire de satisfaction, rangea sa plume et ses parchemins. D'un claquement de doigt sec, les livres réintégrèrent leur place initiale. Heureusement qu'à cette heure personne d'autre ne fréquentait pas bibliothèque, tout du moins, c'était ce que croyait la jeune fille.
Elle rentra dans sa salle commune et trouva Drago, allongé sur le dos dans un divan confortable, qui dormait comme un bébé. Elle se rapprocha doucement pour le contempler. Avec ses cheveux blonds-argentés qui lui tombé devant la figure, il avait l'air d'un ange. « mon ange »pensa-t-elle.
Elle avança son bras pour lui replacer une mèche rebelle derrière son oreille, alors que sa main se trouvait à quelques centimètres du visage de son ange, une poigne de fer arrêta net son geste. Elle ne cria pas, mais observa les deux glaciers qui brillaient de milles feux qu'avait découvert les paupières du jeune homme. Il la fixa intensément pendant un moment puis relâcha un peu la pression qu'il exerçait sur son poignet.
Voyant qu'elle avait été découverte, elle se retrancha dans sa carapace. Elle lui fit un de ses plus beaux sourire satisfait.
- Bon réflexe, lui dit-elle en retirant sa main.
Pas dupe pour deux mornilles, il se redressa et l'attira à lui.
- Qu'est-ce que tu voulais faire ?
Il s'avait très bien ce qu'elle aurait fait s'il l'avait laissé faire, mais il voulait l'entendre de ses propres oreilles. Bien sur, ils avaient une relation très proche, mais a aucun moment il ne s'étaient échange un mot doux ou un aveu d'amour. Il s'avait qu'elle était sous l'emprise d'une potion préparer par un sbire de Voldemort et quelle avait affectée la perception du bien et du mal chez Hermione, son père l'avait mis au courant du plan de leur maître. Mais il voulait croire que c'était plus fort que ça entre eux.
Cela pouvait paraître risible, un Malfoy romantique. Mais il se rendait bien compte depuis quelques temps qu'il tenait beaucoup à la jeune fille et qu'il pourrait tout faire pour elle. Tout. Ce mot résonnait dans sa tête, comme une prière.
Les yeux de Drago était imperceptibles et elle ne pouvait rien lire dans ses iris d'argent, elle pouvait sentir son souffle lent et chaud sur sa joue. Elle n'avait pas peur. Cela leur arriver de retrouver leur caractère d'autrefois, surtout pour Drago. Hermione, elle, avez toujours cette sensation étrange au plus profond d'elle, qu'elle ne se comportait pas comme elle le devrait. Mais bien vite, une autre partie d'elle reprenait le dessus et lui disait que c'était mieux ainsi.
Elle soupira et s'abandonna à l'étreinte de son ange, ne disant rien, mais profitant du moment. Puis elle repensa à la cause de sa présence, plus tôt que prévu, dans leur salle commune. Elle se redressa et quitta les bras réconfortant du serpentard pour lui faire face. Elle avait retrouvé un visage sans émotion naturel et un regard sombre avait transformé ses yeux chocolat au lait en chocolat noir.
- J'ai une bonne nouvelle, lui dit-elle.
Aucune chaleur n'était présente dans sa voix. Il soupira intérieurement et ce remis en mode je-suis-un-homme-de-glace-et-rien-n'y-changera-sa et haussa un sourcil pour l'inviter à continuer.
- Potter ma annoncé que l'ordre du ph?nix allait reprendre du service ce week-end.
- Et que compte tu faire ?
- Récolter le plus d'info possible sur les capacité de défense du vieux fou et faire mon rapport à mon père dès lundi soir.
- Lundi soir ? et de quel manière, un hibou c'est trop dangereux, Dumbeldor pourrait l'intercepter et ta couverture serait griller.
- Tu as raison, je vais utiliser la poudre de cheminette pour me rendre à Malfoy Manor et je reviens une heure plus tard, ni-vue ni-connue.
- Sa pourrait marcher, confirma-t-il.
- Et sa marchera, affirma-t-elle d'une voix sans réplique.
- Le débat est donc clos, il bailla( c trop choux) et repris, je vais me coucher à demain ma diablesse.
- Moi aussi, elle se leva et lui donna un léger baiser du bout des lèvres, à demain.mon ange.
Elle l'avait murmurer tellement bas, qu'il se demanda s'il n'avait pas rêver.
Longtemps après qu'elle soit partie, il était toujours la à contempler sa porte de chambre derrière laquelle elle avait disparu. Le hululement d'un hibou le sorti de son songe. Il regarda sa montre, 21h45, et se leva.
Il allait avoir de l'avance, mais connaissant son interlocuteur, cela ne changerait pas grand chose, il prit donc sa cape et sortit en direction d'un passage secret, connu par très peu de gens, il ne figuré même pas sur la carte des maraudeurs.
A suivre
Voilà, je veux plein de reviews !!!!!! Mais ou donc est parti Dray et qui est se mystèrieux interlocuteur et puis qui vous dit que c un mec ou m^me un humain ? héhéhéhé, si vous voulez savoir.REVIEW !!!! J'ai la suite en tête ! donc a vous de me décider a écrire la suite, vu que je suis en vacances sa devrait aller plus vite !
BONNE LECTURE !
Chapitre 17 :
Cela faisait deux semaines que Hermione et Drago étaient de retour a Poudlard. La vie était redevenue normal, en apparence. Les professeurs les criblaient de devoirs d'une longueur interminable et même Hermione devait passer de longues heures à travailler dans sa salle commune de préfet. Ca, c'était la version qu'elle avait donnée aux griffondor pour justifier ses rares visites dans leur salle commune, beaucoup trop bruyante selon elle.
En fait, Hermione travaillait beaucoup mais pas du tout de la façon dont ses camarades le pensé ; elle faisait beaucoup de séances de combat avec un certain préfet de serpentard, essayant de maîtriser ses nouveaux pouvoirs. Et comme tout combat qui se respecte, cela se finissait souvent au corps à corps dans le lit des jeunes sorciers ou sur le divan, les combattant n'ayant plus la force de se transporter plus loin.
En apparence, ils étaient toujours ennemis et quand ils se croisaient dans les couloirs en présence des autres élèves, ils se jetaient des regards de haine ou s'ignoraient. Tout le monde n'y voyait que du feu. Mais s'ils se retrouvaient seuls, ils entraient dans la salle désaffectée la plus proche et rattrapaient le temps perdu.
Ce jour-là, Hermione faisait des recherches à la bibliothèque sur une ancienne créature mystique, pour son devoir de soin aux créatures magiques, Hagrid était toujours amoureux des grosses bestioles qui effrayaient la plupart du monde sorcier. Elle esquissa un sourire ironique, son père avait réussi à faire renvoyer ce gros benêt à cause de sa passion. Elle fut tirée de ses pensées par l'arrivé bruyante, de ses « pots de colles » comme elle les appelait, de Harry et de Ron, aussi rouges l'un que l'autre et soufflants comme des phoques.
Elle sourit intérieurement, se remémorant leur mésaventure. Le professeur rogue avait dû les garder en pension pour faire ses expériences. Après avoir avalé une potion qui apparemment n'était pas a son goût, bébé Harry avait tout recracher sur la robe noire de son cher professeur, qui avait hurlé au scandale. Albus, lui avait gentiment proposé d'aller se changer et lui rappela qu'il faisait sa pour la bonne cause, un sourire au coin des lèvres. Hermione qui avait assistée à la scène était partie en courant dans les toilettes les plus proches pour exploser de rire.
Elle avait dû s'occupé d'eux pendant une heure, le temps que leur maître des potions est retrouvé sa pâleur habituelle et son sang froid. Il les avait repris avec regret et résignation la gratifiant d'un « enlevez-moi ce sourire idiot miss Granger ou j'enlève 50 points a griffondor ! . Le soir même, les garçons avaient retrouvé leur taille et age mental normal et griffondor avait perdu 50 points et pour une fois ce n'était pas la faute des deux garçons.
Elle se concentra pour revenir à la réalité, les deux lascars avaient enfin retrouvé leur rythme cardiaque et s'assirent à coté d'elle.
- Qu'est-ce qu'il y a, vous ne voyez pas que je travaille ? Demanda-t-elle, essayant de cacher son exaspération.
Harry parla en premier, alors que Ron levait les yeux au ciel se demandant comment par Merlin cette fille faisait pour passer autant de temps sur ses études :
- Dumbeldor vient de nous informer que la première réunion de l'ordre du ph?nix allait avoir lieu samedi soir, il a des choses importantes à nous dire.
L'intérêt de la jeune fille augmenta sensiblement, elle était toute ouïe au dire de garçon.
- A quelle heure et où est le lieu de rendez-vous ? Le questionna-t-elle.
- Le lieu habituel à 22h, répondit le jeune homme. Je pense que Dumbeldor va te demander quelques petits renseignements sur les activités de Voldemort.
- Je m'en doute bien, je ferais du mieux que je peux pour aider l'ordre.
- Nous n'en doutons pas un instant, Hermione, grogna Ron, mais on peut y allez maintenant Harry, mon estomac ne peux plus supporter d'attendre pour goûter aux pâtisseries de Dobby.
Hermione leva un sourcil septique en direction de Harry, ce dernier haussa les épaules de découragement et accompagna son ami aux cuisines du château. Elle les regarda s'éloigner, et se replongea dans son bouquin. C'était parfait, elle avait reçu le hibou grand duc des malfoys avec un mot de son père lui disant qu'il attendait son rapport sur Poudlard et ses défenses impatiemment.
Cela tombait vraiment bien, Dumbeldor allait tout lui servir sur un plateau, ce vieux fou amoureux des moldus allait bientôt connaître une cuisante défaite fasse aux forces du mal. En plus, et cela la rendait euphorique, apprendre que deux des espions de Voldemort se promenaient sous son nez crochu à son insu pendant une longue période, le rendrait malade ,si jamais il ne périssait pas dans la bataille bien entendue.
Elle esquissa un sourire de satisfaction, rangea sa plume et ses parchemins. D'un claquement de doigt sec, les livres réintégrèrent leur place initiale. Heureusement qu'à cette heure personne d'autre ne fréquentait pas bibliothèque, tout du moins, c'était ce que croyait la jeune fille.
Elle rentra dans sa salle commune et trouva Drago, allongé sur le dos dans un divan confortable, qui dormait comme un bébé. Elle se rapprocha doucement pour le contempler. Avec ses cheveux blonds-argentés qui lui tombé devant la figure, il avait l'air d'un ange. « mon ange »pensa-t-elle.
Elle avança son bras pour lui replacer une mèche rebelle derrière son oreille, alors que sa main se trouvait à quelques centimètres du visage de son ange, une poigne de fer arrêta net son geste. Elle ne cria pas, mais observa les deux glaciers qui brillaient de milles feux qu'avait découvert les paupières du jeune homme. Il la fixa intensément pendant un moment puis relâcha un peu la pression qu'il exerçait sur son poignet.
Voyant qu'elle avait été découverte, elle se retrancha dans sa carapace. Elle lui fit un de ses plus beaux sourire satisfait.
- Bon réflexe, lui dit-elle en retirant sa main.
Pas dupe pour deux mornilles, il se redressa et l'attira à lui.
- Qu'est-ce que tu voulais faire ?
Il s'avait très bien ce qu'elle aurait fait s'il l'avait laissé faire, mais il voulait l'entendre de ses propres oreilles. Bien sur, ils avaient une relation très proche, mais a aucun moment il ne s'étaient échange un mot doux ou un aveu d'amour. Il s'avait qu'elle était sous l'emprise d'une potion préparer par un sbire de Voldemort et quelle avait affectée la perception du bien et du mal chez Hermione, son père l'avait mis au courant du plan de leur maître. Mais il voulait croire que c'était plus fort que ça entre eux.
Cela pouvait paraître risible, un Malfoy romantique. Mais il se rendait bien compte depuis quelques temps qu'il tenait beaucoup à la jeune fille et qu'il pourrait tout faire pour elle. Tout. Ce mot résonnait dans sa tête, comme une prière.
Les yeux de Drago était imperceptibles et elle ne pouvait rien lire dans ses iris d'argent, elle pouvait sentir son souffle lent et chaud sur sa joue. Elle n'avait pas peur. Cela leur arriver de retrouver leur caractère d'autrefois, surtout pour Drago. Hermione, elle, avez toujours cette sensation étrange au plus profond d'elle, qu'elle ne se comportait pas comme elle le devrait. Mais bien vite, une autre partie d'elle reprenait le dessus et lui disait que c'était mieux ainsi.
Elle soupira et s'abandonna à l'étreinte de son ange, ne disant rien, mais profitant du moment. Puis elle repensa à la cause de sa présence, plus tôt que prévu, dans leur salle commune. Elle se redressa et quitta les bras réconfortant du serpentard pour lui faire face. Elle avait retrouvé un visage sans émotion naturel et un regard sombre avait transformé ses yeux chocolat au lait en chocolat noir.
- J'ai une bonne nouvelle, lui dit-elle.
Aucune chaleur n'était présente dans sa voix. Il soupira intérieurement et ce remis en mode je-suis-un-homme-de-glace-et-rien-n'y-changera-sa et haussa un sourcil pour l'inviter à continuer.
- Potter ma annoncé que l'ordre du ph?nix allait reprendre du service ce week-end.
- Et que compte tu faire ?
- Récolter le plus d'info possible sur les capacité de défense du vieux fou et faire mon rapport à mon père dès lundi soir.
- Lundi soir ? et de quel manière, un hibou c'est trop dangereux, Dumbeldor pourrait l'intercepter et ta couverture serait griller.
- Tu as raison, je vais utiliser la poudre de cheminette pour me rendre à Malfoy Manor et je reviens une heure plus tard, ni-vue ni-connue.
- Sa pourrait marcher, confirma-t-il.
- Et sa marchera, affirma-t-elle d'une voix sans réplique.
- Le débat est donc clos, il bailla( c trop choux) et repris, je vais me coucher à demain ma diablesse.
- Moi aussi, elle se leva et lui donna un léger baiser du bout des lèvres, à demain.mon ange.
Elle l'avait murmurer tellement bas, qu'il se demanda s'il n'avait pas rêver.
Longtemps après qu'elle soit partie, il était toujours la à contempler sa porte de chambre derrière laquelle elle avait disparu. Le hululement d'un hibou le sorti de son songe. Il regarda sa montre, 21h45, et se leva.
Il allait avoir de l'avance, mais connaissant son interlocuteur, cela ne changerait pas grand chose, il prit donc sa cape et sortit en direction d'un passage secret, connu par très peu de gens, il ne figuré même pas sur la carte des maraudeurs.
A suivre
Voilà, je veux plein de reviews !!!!!! Mais ou donc est parti Dray et qui est se mystèrieux interlocuteur et puis qui vous dit que c un mec ou m^me un humain ? héhéhéhé, si vous voulez savoir.REVIEW !!!! J'ai la suite en tête ! donc a vous de me décider a écrire la suite, vu que je suis en vacances sa devrait aller plus vite !