Désoler pour le retard, j'espère que mes fidèles lecteurs ne m'ont pas
délaissés pour autant. ^^
Je vais recommencer à envoyer des chapitres plus fréquemment. Ma période de tests à été très difficile mais elle est terminée ! !
Chapitre 5
Soliloque du cœur qui ne peut plus battre
-Monsieur Potter, il y a urgence, j'ai à vous parler.
Le professeur Dumbledor venait d'entrer dans la pièce ou Drago était bien lové dans les bras de Harry. Celui se réveilla et vit la jolie moue que Drago prenait en dormant. Il était craquant.
Le brun retira Drago de ses bras et le recoucha doucement à ses côtés. Il s'étira, se frotta les yeux et vit que le soleil commençait tout juste de se lever.
-Que se passe-t-il professeur ? Demanda d'une voix rauque le jeune homme.
-Pas de temps pour les questions. Habille-toi, lave-toi le visage et rejoins-moi dans mon bureau.
Harry n'eut pas le temps de répondre que le directeur repartit de plus bel. 'Mais qu'est-ce qui ce passe ici par Merlin' se demanda-t-il.
Il regarda Drago une dernière fois. Il dormait toujours. Il avait l'air d'un bébé. Il serrait fortement l'oreiller dans ses bras et affichait encore une moue enfantine mais tellement mignonne. Ensuite il passa par la chambre de bain et se lava le visage. Il retourna dans la chambre et se rappela qu'il n'avait pas apporter ses vêtements ici. Il ouvrit tout de même un des tiroirs près du lit ses vêtements étaient là, bien pliés et rangés. Sûrement les elfes. Il prit un pantalon noir et une chemise verte émeraude. Il enfila le tout. Il mit ses chaussures et prit sa baguette. -Accio carte des maraudeurs. Prononça-t-il tout bas.
En dedans de deux minutes, la carte fit son entrer. Il la prit et dit : -Je jure solennellement que mes intentions sont mauvaises.
Le parchemin vide se remplit aussitôt par les traits caractéristiques d'une carte. 'Ils avaient même découvert cet endroit.' Pensa-t-il. Le souvenir d'un bel homme aux cheveux noirs et au regard moqueur fit son entrer. Il s'ennuyait tellement de son parrain. S'en était insupportable.
Il ouvrit la lourde porte et marcha la moitié de l'escalier translucide. Au milieu, il vit sur la carte qu'il y avait un autre escalier qui coupait celle-ci en croix. Près de là, il y avait un point noir avec une bulle au- dessus qui prescrivait : Le baron sanglant.
-Aucun problème, se n'est pas lui qui pourrait me balancer dans le vide, dit-il en songeant à peeves.
Il put remarquer aussi que cet autre escalier menait à un raccourcie pour aller directement au bureau du directeur. Il voyait que la bulle qui affichait son propre nom, était au beau milieu de ce croisement. Un peu nerveux il fit quelques pas sur le côté (Tomber dans le vide ne l'enviait pas du tout). Et...soit l'escalier était très large, ou bien s'était bien celle qui coupait en croix. Il commença son chemin lentement. Bien vite, il vit qu'il n'avait là aucun danger et qu'il ferait bien de faire plus confiance à la carte de son père.
Il arriva bien rapidement à la dernière marche descendante. Il y avait une autre porte. Il l'ouvrit et se retrouva dans le couloir qui menait directement au bureau. Il put remarquer que les plusieurs cadres qui ornaient les murs, le regardait étrangement. Un des personnages parlait très forts et semblait très heureux : -Il est revenu, je ne suis plus le seul de cette famille. Il est revenue. Merlin que je suis heureux.
Il chantonnait en disant ces paroles absurdes. Puis, un sentiment de joie l'envahit. 'C'est peut-être Si...Non ça ne se peut pas. Mais...peut-être...' Il était confus. Il pressa le pas. L'entrer à l'escalier tournante arriva rapidement. Seulement, à destination, Harry se souvint que le professeur n'avait donner aucun mot de passe.
Poil de rat, orteil de troll, barbe rousse, nid de cafard, ventricule de dragon. Il se mit à inventer diverses formules. Il avait déjà essayer cette tactique. Et cela avait porter fruit. Mais cette fois, la tactique échoua. Il avait beau dire n'importe quoi, cela ne marchait guère.
Glace au chocolat. Dit une voix derrière lui, qui le fit sursauter.
Il se retourna et put voir le professeur Lupin. Il avait beaucoup changer depuis la dernière fois. Ses yeux cernés étaient pleins de vie. Ses cheveux habituellement terne et cassés étaient à présent lisse et d'un châtain très brillant. Il était habiller tel un aristocrate. Remus était très beau. Il allait certainement à une cérémonie ou quelque chose de très important.
Tout les deux, sans aucuns mots, montèrent vers le haut. Il eurent le bon accueil de Fumseck suivit du directeur.
Moi et Remus avons quelque chose de très important à faire. Et je crois que cela va t'emballer comme tu le dirais toi-même.
Le professeur Lupin continua la conversation d'Albus : Nous allons, tout les trois, au procès de Sirius...
-Quoi ! ! ! Hurla presque Harry. Mais il est mort, se n'est pas un peu trop tard ? Harry avait maintenant les larmes aux yeux. Il avait envi de pleurer.
Sans plus attendre, Remus prit le bras de Harry et le fit pénétrer dans une cheminée tout près.
Ministère de la magie, département juridique. Prononça Lupin.
Dumbledor sur leurs talons, Remus et Harry voyagèrent de cheminée en cheminée. Un tourbillon de couleurs donna le tournis au brun. Mais ils arrivèrent tout de même sain et sauf dans un grand couloir sombre. Dumbledor prit la parole :
-Les pièces ou tu as combattu tout ses mange-mort l'année dernière et ou la prophétie était caché, à été remplacé par des tribunaux. Même la pièce ou le voile à prit ton parrain. Il ont bien entendu pratiqué plusieurs sort pour que personne ne puissent tomber.
En disant cela, les deux professeurs entraînèrent Harry vers une porte tout au fond. Vas-y Harry, entre...Lui ordonna presque Remus.
Le brun tendit une main tremblante vers la poignée. Il ouvrit la porte.
À l'intérieur un grandiose tribunal avait été construit. Des centaines de personnes étaient entassées dans les rangées de chaises. Il y avait beaucoup trop de gens que de place. Fudge était assis au sommet du plus haut bureau. Les bancs attribués au jury étaient pleins. Il y avait aussi de nombreux journalistes. Tout était silencieux et quand Harry ouvrit la porte, toute les tête se tournèrent vers lui.
D'une voix stricte, Fudge s'adressa aux nouveaux arrivant :
Nous vous attendions pour débuter. Bon, comme vous le savez déjà tous, ce matin, de très bonne heure, mes très chers aurors ont aperçut Peter Pettigrow qui était supposé être mort. Ils l'ont capturé en doutant instantanément que Black soit réellement coupable. Nous étions tous entrain d'enquêter sur le sort de ce Pettigrow et la personne dont était question ce procès, est arrivé. Par je sais pas quel moyen, Black a pénétrer au ministère et a tomber dans ce trou. Maintenant Albus j'aimerais bien que vous vous assoyiez, vous, votre monstre et votre survivant.
Une voix exténuée retentit :
-Ce n'est pas un monstre sale ordure, il n'a pas choisi d'être un loup- garou !
Harry s'étira la cou et vit...Sirius assit à la barre.
-Sirius ! ?
Le brun couru vers son parrain, sauta par-dessus la barre et l'étreignit fortement. Le prisonnier fut surprit sur le coup mais enserra le garçon encore plus fort.
-Bon assez les retrouvailles, beugla Fudge. Allez vous asseoir Potter, nous allons débutés.
Il alla s'asseoir aux côtés de Remus et du professeur à la table des témoins. Remus avait le goût de pleurer. Il semblait se retenir de ne pas lui sauter dans les bras. Dumbledor, quant à lui, lançait un regard désapprobateur à Sirius. Il lui dit de faire attention à ses paroles.
Ensuite deux heures de bla bla s'écoulèrent. On interrogeait Sirius, ensuite Peter. Harry fut demander à la barre et raconta l'événement de sa troisième année quand il avait rencontrer Sirius pour la première fois (En humain).
Par après, tout le jury et Fudge sortirent de la salle pendant un quart d'heur. Harry remarqua que Sirius tremblait légèrement. Il semblait épuisé. Remus avala péniblement et alla le voir. Il ne put s'empêcher de faire comme le brun.
-Je m'inquiète Harry pour ton parrain, dit d'un ton sinueux le directeur, le «sale ordure» n'a sûrement pas plu à Fudge. De plus, que Fudge est très têtu.
Harry commença à s'énerver. Sirius ne pourrait endurer d'autres années enfermés dans cette prison. Peter tremblait de tout son corps. Sirius l'avait fixé durant presque tout le procès. Il l'avait regardé comme si pettigrow était la chose la plus dégoutante du monde. Et il l'était.
Cependant, Sirius avait un très bon alibi et le fait que Peter était vivant, était une très bonne chose pour Sirius. Le juge avait aussi découvert que Pettigrow était mange-mort et animagi...
Fudge revint :
-Et bien, après avoir parler de toute cette histoire malencontreuse je dois l'admettre, un jury composés de vos pairs, monsieur Pettigrows, a conclue que le baiser du détracqueur vous serait imposer. Quant a vous Sirius Black, vous avez toutes nos excuses. Une somme de 1000 gallions pour chaque années en prison vous sera remis. Vous êtes donc déclarer non coupable. Le séance est levé. Le coup de marteau retentit et les journaliste se précipitèrent vers Sirius... ***
Pendant ce temps, Drago s'était réveiller. Le professeur Rogue était venus l'informer de tous les événements. Il lui avait dit, que Harry et son parrain avait été fêté toute l'après-midi dans la nouvelle maison qu'il s'était offert avec les 12 000 gallions. Ils étaient maintenant revenus et la fête continuait à l'école.
Drago se sentait très mal, il n'avait pu voir Harry de toute la journée. Il alla se promener. Dans la grande salle tout le monde fêtait comme s'ils avaient toujours connu ce Black. Au fond de la salle il vit Harry dans les bras de Sirius. C'était comme un coup de poing au ventre. Des larmes se mirent à couler. Drago était redevenu seul. Personne pour l'aider. Soliloque du cœur et de l'âme. Harry allait le laisser tomber. Il était mieux dans les bras d'un homme fort que dans les bras d'un bébé braillard.
Les yeux noyés, il rebroussa chemin et revint dans sa chambre. De sa baguette, il fit apparaître une longue corde. Il avait mal au cœur. Son cœur ne pouvait plus battre. Il était seul et il avait mal. Il l'accrocha grâce à un sort, au lustre du plafond. Il prit ensuite une chaise et fit un nœud coulant avec la corde. Il se l'enroula autour du coup. De sa baguette, il fit disparaître la chaise. La corde se noua. Drago suffoquait déjà. Le sang lui montait à l a tête et elle semblait prête à exploser. Le souffle lui manquait, ses poumons le brûlait. Ses pied gigotaient de tout côtés en essayant de prendre appuie.
-Harry...réussit-il a prononcer avant que le ténèbres l'envahissent.
Review-review-review-review-review-pliz-review ! ! ! ! ! ! ! (J'ai presque 2000 mots ! !) 1843 ! !
Je vais recommencer à envoyer des chapitres plus fréquemment. Ma période de tests à été très difficile mais elle est terminée ! !
Chapitre 5
Soliloque du cœur qui ne peut plus battre
-Monsieur Potter, il y a urgence, j'ai à vous parler.
Le professeur Dumbledor venait d'entrer dans la pièce ou Drago était bien lové dans les bras de Harry. Celui se réveilla et vit la jolie moue que Drago prenait en dormant. Il était craquant.
Le brun retira Drago de ses bras et le recoucha doucement à ses côtés. Il s'étira, se frotta les yeux et vit que le soleil commençait tout juste de se lever.
-Que se passe-t-il professeur ? Demanda d'une voix rauque le jeune homme.
-Pas de temps pour les questions. Habille-toi, lave-toi le visage et rejoins-moi dans mon bureau.
Harry n'eut pas le temps de répondre que le directeur repartit de plus bel. 'Mais qu'est-ce qui ce passe ici par Merlin' se demanda-t-il.
Il regarda Drago une dernière fois. Il dormait toujours. Il avait l'air d'un bébé. Il serrait fortement l'oreiller dans ses bras et affichait encore une moue enfantine mais tellement mignonne. Ensuite il passa par la chambre de bain et se lava le visage. Il retourna dans la chambre et se rappela qu'il n'avait pas apporter ses vêtements ici. Il ouvrit tout de même un des tiroirs près du lit ses vêtements étaient là, bien pliés et rangés. Sûrement les elfes. Il prit un pantalon noir et une chemise verte émeraude. Il enfila le tout. Il mit ses chaussures et prit sa baguette. -Accio carte des maraudeurs. Prononça-t-il tout bas.
En dedans de deux minutes, la carte fit son entrer. Il la prit et dit : -Je jure solennellement que mes intentions sont mauvaises.
Le parchemin vide se remplit aussitôt par les traits caractéristiques d'une carte. 'Ils avaient même découvert cet endroit.' Pensa-t-il. Le souvenir d'un bel homme aux cheveux noirs et au regard moqueur fit son entrer. Il s'ennuyait tellement de son parrain. S'en était insupportable.
Il ouvrit la lourde porte et marcha la moitié de l'escalier translucide. Au milieu, il vit sur la carte qu'il y avait un autre escalier qui coupait celle-ci en croix. Près de là, il y avait un point noir avec une bulle au- dessus qui prescrivait : Le baron sanglant.
-Aucun problème, se n'est pas lui qui pourrait me balancer dans le vide, dit-il en songeant à peeves.
Il put remarquer aussi que cet autre escalier menait à un raccourcie pour aller directement au bureau du directeur. Il voyait que la bulle qui affichait son propre nom, était au beau milieu de ce croisement. Un peu nerveux il fit quelques pas sur le côté (Tomber dans le vide ne l'enviait pas du tout). Et...soit l'escalier était très large, ou bien s'était bien celle qui coupait en croix. Il commença son chemin lentement. Bien vite, il vit qu'il n'avait là aucun danger et qu'il ferait bien de faire plus confiance à la carte de son père.
Il arriva bien rapidement à la dernière marche descendante. Il y avait une autre porte. Il l'ouvrit et se retrouva dans le couloir qui menait directement au bureau. Il put remarquer que les plusieurs cadres qui ornaient les murs, le regardait étrangement. Un des personnages parlait très forts et semblait très heureux : -Il est revenu, je ne suis plus le seul de cette famille. Il est revenue. Merlin que je suis heureux.
Il chantonnait en disant ces paroles absurdes. Puis, un sentiment de joie l'envahit. 'C'est peut-être Si...Non ça ne se peut pas. Mais...peut-être...' Il était confus. Il pressa le pas. L'entrer à l'escalier tournante arriva rapidement. Seulement, à destination, Harry se souvint que le professeur n'avait donner aucun mot de passe.
Poil de rat, orteil de troll, barbe rousse, nid de cafard, ventricule de dragon. Il se mit à inventer diverses formules. Il avait déjà essayer cette tactique. Et cela avait porter fruit. Mais cette fois, la tactique échoua. Il avait beau dire n'importe quoi, cela ne marchait guère.
Glace au chocolat. Dit une voix derrière lui, qui le fit sursauter.
Il se retourna et put voir le professeur Lupin. Il avait beaucoup changer depuis la dernière fois. Ses yeux cernés étaient pleins de vie. Ses cheveux habituellement terne et cassés étaient à présent lisse et d'un châtain très brillant. Il était habiller tel un aristocrate. Remus était très beau. Il allait certainement à une cérémonie ou quelque chose de très important.
Tout les deux, sans aucuns mots, montèrent vers le haut. Il eurent le bon accueil de Fumseck suivit du directeur.
Moi et Remus avons quelque chose de très important à faire. Et je crois que cela va t'emballer comme tu le dirais toi-même.
Le professeur Lupin continua la conversation d'Albus : Nous allons, tout les trois, au procès de Sirius...
-Quoi ! ! ! Hurla presque Harry. Mais il est mort, se n'est pas un peu trop tard ? Harry avait maintenant les larmes aux yeux. Il avait envi de pleurer.
Sans plus attendre, Remus prit le bras de Harry et le fit pénétrer dans une cheminée tout près.
Ministère de la magie, département juridique. Prononça Lupin.
Dumbledor sur leurs talons, Remus et Harry voyagèrent de cheminée en cheminée. Un tourbillon de couleurs donna le tournis au brun. Mais ils arrivèrent tout de même sain et sauf dans un grand couloir sombre. Dumbledor prit la parole :
-Les pièces ou tu as combattu tout ses mange-mort l'année dernière et ou la prophétie était caché, à été remplacé par des tribunaux. Même la pièce ou le voile à prit ton parrain. Il ont bien entendu pratiqué plusieurs sort pour que personne ne puissent tomber.
En disant cela, les deux professeurs entraînèrent Harry vers une porte tout au fond. Vas-y Harry, entre...Lui ordonna presque Remus.
Le brun tendit une main tremblante vers la poignée. Il ouvrit la porte.
À l'intérieur un grandiose tribunal avait été construit. Des centaines de personnes étaient entassées dans les rangées de chaises. Il y avait beaucoup trop de gens que de place. Fudge était assis au sommet du plus haut bureau. Les bancs attribués au jury étaient pleins. Il y avait aussi de nombreux journalistes. Tout était silencieux et quand Harry ouvrit la porte, toute les tête se tournèrent vers lui.
D'une voix stricte, Fudge s'adressa aux nouveaux arrivant :
Nous vous attendions pour débuter. Bon, comme vous le savez déjà tous, ce matin, de très bonne heure, mes très chers aurors ont aperçut Peter Pettigrow qui était supposé être mort. Ils l'ont capturé en doutant instantanément que Black soit réellement coupable. Nous étions tous entrain d'enquêter sur le sort de ce Pettigrow et la personne dont était question ce procès, est arrivé. Par je sais pas quel moyen, Black a pénétrer au ministère et a tomber dans ce trou. Maintenant Albus j'aimerais bien que vous vous assoyiez, vous, votre monstre et votre survivant.
Une voix exténuée retentit :
-Ce n'est pas un monstre sale ordure, il n'a pas choisi d'être un loup- garou !
Harry s'étira la cou et vit...Sirius assit à la barre.
-Sirius ! ?
Le brun couru vers son parrain, sauta par-dessus la barre et l'étreignit fortement. Le prisonnier fut surprit sur le coup mais enserra le garçon encore plus fort.
-Bon assez les retrouvailles, beugla Fudge. Allez vous asseoir Potter, nous allons débutés.
Il alla s'asseoir aux côtés de Remus et du professeur à la table des témoins. Remus avait le goût de pleurer. Il semblait se retenir de ne pas lui sauter dans les bras. Dumbledor, quant à lui, lançait un regard désapprobateur à Sirius. Il lui dit de faire attention à ses paroles.
Ensuite deux heures de bla bla s'écoulèrent. On interrogeait Sirius, ensuite Peter. Harry fut demander à la barre et raconta l'événement de sa troisième année quand il avait rencontrer Sirius pour la première fois (En humain).
Par après, tout le jury et Fudge sortirent de la salle pendant un quart d'heur. Harry remarqua que Sirius tremblait légèrement. Il semblait épuisé. Remus avala péniblement et alla le voir. Il ne put s'empêcher de faire comme le brun.
-Je m'inquiète Harry pour ton parrain, dit d'un ton sinueux le directeur, le «sale ordure» n'a sûrement pas plu à Fudge. De plus, que Fudge est très têtu.
Harry commença à s'énerver. Sirius ne pourrait endurer d'autres années enfermés dans cette prison. Peter tremblait de tout son corps. Sirius l'avait fixé durant presque tout le procès. Il l'avait regardé comme si pettigrow était la chose la plus dégoutante du monde. Et il l'était.
Cependant, Sirius avait un très bon alibi et le fait que Peter était vivant, était une très bonne chose pour Sirius. Le juge avait aussi découvert que Pettigrow était mange-mort et animagi...
Fudge revint :
-Et bien, après avoir parler de toute cette histoire malencontreuse je dois l'admettre, un jury composés de vos pairs, monsieur Pettigrows, a conclue que le baiser du détracqueur vous serait imposer. Quant a vous Sirius Black, vous avez toutes nos excuses. Une somme de 1000 gallions pour chaque années en prison vous sera remis. Vous êtes donc déclarer non coupable. Le séance est levé. Le coup de marteau retentit et les journaliste se précipitèrent vers Sirius... ***
Pendant ce temps, Drago s'était réveiller. Le professeur Rogue était venus l'informer de tous les événements. Il lui avait dit, que Harry et son parrain avait été fêté toute l'après-midi dans la nouvelle maison qu'il s'était offert avec les 12 000 gallions. Ils étaient maintenant revenus et la fête continuait à l'école.
Drago se sentait très mal, il n'avait pu voir Harry de toute la journée. Il alla se promener. Dans la grande salle tout le monde fêtait comme s'ils avaient toujours connu ce Black. Au fond de la salle il vit Harry dans les bras de Sirius. C'était comme un coup de poing au ventre. Des larmes se mirent à couler. Drago était redevenu seul. Personne pour l'aider. Soliloque du cœur et de l'âme. Harry allait le laisser tomber. Il était mieux dans les bras d'un homme fort que dans les bras d'un bébé braillard.
Les yeux noyés, il rebroussa chemin et revint dans sa chambre. De sa baguette, il fit apparaître une longue corde. Il avait mal au cœur. Son cœur ne pouvait plus battre. Il était seul et il avait mal. Il l'accrocha grâce à un sort, au lustre du plafond. Il prit ensuite une chaise et fit un nœud coulant avec la corde. Il se l'enroula autour du coup. De sa baguette, il fit disparaître la chaise. La corde se noua. Drago suffoquait déjà. Le sang lui montait à l a tête et elle semblait prête à exploser. Le souffle lui manquait, ses poumons le brûlait. Ses pied gigotaient de tout côtés en essayant de prendre appuie.
-Harry...réussit-il a prononcer avant que le ténèbres l'envahissent.
Review-review-review-review-review-pliz-review ! ! ! ! ! ! ! (J'ai presque 2000 mots ! !) 1843 ! !
