GothPunk27 : Fait attention pour ne pas trop abîmer ton clavier parce que ça coûte cher. Mais merci pour tes reviews, c'est ça qui me fait continuer.

Lululle : Oui je crois que je vais arrêter de vous laisser sur votre faim de la sorte. Je vais essayer d'être gentille cette fois. Merci d'être toujours au rendez-vous. Bisous!

Sinon le nombre des reviews par chapitre est à la baisse et si vous voulez que je continu, il faudrait vous forcer Aller encouragez moi et je ne serai plus sadique (chantage je sais)

Bon allez je m 'y met alors bonne lecture!

Chapitre 10
La vengeance de Harry

Le survivant se réveilla avec un mal de tête insupportable. Tout autour de lui était blanc a pars la tâche moire qui était à ses côtés. Il était pour la énième fois à l'infirmerie. La tâche noire toute brouiller devint plus clair quand Harry s'assit sur le lit.

-SIRIUS! OU EST DRAGO!!

Le brun commença à s'agiter dans les drap maintenant en désordre. Il essayait de sortir mais Sirius lui en empêchait.

-Calme toi Harry!

-Ou il est! Répéta-t-il à nouveau.

Son parrain abaissa les yeux tristement. Le survivant cessa de bouger automatiquement.

-Qu'est-ce qu'il lui est arriver Siri?

-Ne t'inquiète, il n'est pas mort mais nous ne savons pas ou il est. C'est Lucius lui même qui t'a ramener ici quand tu t'es évanoui. Et nous croyons que tu t'es évanoui parce que le vampire qui t'habite commence à dévoiler le bout de son nez, je le crains. Il n'avait que Mme Pomfresh, alors il lui a dit qu'il t'avait retrouver comme ça. Il avait laisser Drago chez lui. Elle ne savais rien pour l'agressivité de Malfoy mais Sev oui. Quand il a passé donné des potions de guérisons à Pompom, elle lui à tout raconter et Severus à comprit. Il m'a tout dit. Nous ne savons pas quoi faire. On a essayer de transplaner chez lui et ensuite la poudre de cheminette mais il à tout fermer à double sort.

Le brun avait tout écouter calmement mais les larmes aux yeux. Il s'inquiétait à en mourir pour son Drago. Il était conscient de toute la douleur que Lucius Malfoy pouvait donné à son fils. Autant physiquement que moralement. Il ne supportait pas l'idée que SON Drago soufre en ce moment même. Il essaya de sortir du lit à nouveau mais un lourd bras l'empoigna encore.

-Désoler Sirius, dit Harry avant de le pousser brusquement. Il prit sa baguette qui reposait sur la table de chevet et lui lança un sort pour le ligoter.

Il courra ensuite vers la tour des gryffondor. Entrer, il fut envahis d'une ordre d'élèves.

-Harry où était tu? Demanda la voix d'une jeune femme de sixième année à la tignasse rousse.

-Ça fait longtemps qu'on t'a pas vu?

-Où est tu passer à longueur de journée?

-Un autographe, demanda avidement Colin Crivey.

-«Tu sais qui» est revenu, demanda la voix d'un jeune homme en première année.

Ensuite comme si n'était pas assez, Hermione et Ron se frayèrent un chemin pour s'adresser à Harry d'une même voix :

-Qu'est-ce que tu fichait tout ce temps?

Le brun ne répondit à aucune des questions. Il se dirigea rapidement vers sa chambre et fouilla frénétiquement dans sa tonne de linge.

-MERDE IL N'EST PLUS LÀ.

Malheureux d'avoir eu à affronter tout ses élèves pour rien il rebroussa chemin et ressortit. Rendu en bas, les jeunes qui avaient retournés à leur occupations, s'étaient tous rués une seconde fois vers un Harry esquinté.

-FOUTEZ-MOI LA PAIX BORDEL DE MERDE!! Lança un Harry exaspéré.

Il reprit une course effrénée, cette fois vers sa chambre privée. Enfin, le souffle court et après avoir franchi l'escalier translucide il commença à fouiller désespérément un peu partout dans la pièce. La chambre commençait déjà à être en désordre.

Et enfin il le découvrit, son balais. Il alla ouvrir l'immense fenêtre dans la chambre de bain, enfourcha son balais et décolla. Dans la maison de Malfoy, le survivant avait bien vu les entourages de la maison et il était persuadé qu'il était passé pas là, il y a de ça pas très longtemps.

Pendant ce temps, encore dans la pièce vitrée – redevenue toute blanche – un Drago Malfoy était recroquevillé par terre.

-Tu ne peux pas savoir comment tu me déçois mon fils. Tu salie énormément notre nom. Pourquoi tu fait ça. On dirait que tu y prends plaisir. Pourquoi ne me rejoins-tu pas, rejoins moi ,et ensemble nous combattrons Potter.

-Jamais, s'offusqua Drago, et de plus JE L'AIME!!

Cette déclaration dû au jeune homme un envoi de botte sur la tempe droite. Un deuxième coup gifla l'air et atterri directement sur sa mâchoire. Le sang en gicla. Drago ne criait pas mais il s'en mordait la lèvre férocement.

Par après, l'homme fit apparaître un drôle d'engin grâce à sa baguette. Un semblant de revolver moldu mais ce n'était pas vraiment cela. Drago se demandait ce qu'il allait encore subir. L'homme étira ses lèvres en un rictus hargneux.

-Tu vois mon fils, cet objet est moldu et c'est le seul que j'admire. Ça s'appelle un fusil à clou.

Le mange-mort fit alors quelque chose de vraiment horrible. Il s'assit sur le ventre de son fils et lui empoigna le bras gauche. Il appuya le drôle d'objet dans la paume de Drago et appuya sur le gâchette. Un clou d'un décimètre en sortit immédiatement et se planta dans la chair du vampire. Celui-ci réprima un hurlement. Son père refit la même chose sur sa main droite. Il le clouait sur place. Ensuite il se redressa et s'agenouilla aux pieds de son fils. Il refit encore les même mouvement, mais cette fois, dans les chevilles.

Drago faillit dégobiller sur le choc de cette douleur insupportable. Il tremblait comme un chiot nouveau né.

-Harry, susurra son compagnon en reprenant son souffle, aide-moi...

-Maintenant je ne te raterai pas, je vais te tuer...très lentement. Rugit le mange-mort sarcastiquement.

Et c'est à ce moment que Harry arriva enfin dans la pièce, balais dans la main gauche et baguette dans la droite.

-Je ne te laisserai pas faire cette fois, annonça solennellement le brun, je vais te faire souffrir salaud.

Aussi vite qu'il le put, le sauveur du blond lança un sort de stupéfaction sur l'homme. Ensuite il le ligota pour être sur. Il accouru vers un jeune homme ensanglanter et presque évanoui. Il le libéra de sa torture encore à l'aide d'un sort et le prit dans ses bras.

Par la poudre de cheminette il retourna à pouddlard. La poudre ne fonctionnait pas pour aller chez Malfoy mais pour partir on pouvait. Il atterrit directement à l'infirmerie. Il déposa Drago vers le lit le plus près et cria le nom de Pomfresh.

-Oui, oui j'arrive, s'écria l'infirmière avec empressement.

Mais avant qu'elle n'arrive, Harry retourna dans la cheminée. Il voulait seulement être certain que son Drago était en sécurité. Il retourna chez Mr. Malfoy.

Celui-ci venait tout juste de dégeler de ses sorts. Il se releva en se massant le dos et reprit ses esprits.

-Alors, tu veux ta revanche Potter?

-Exactement...Tu n'avais aucun droit de faire ça à Drago. Je l'aime et je ne veux pas qu'il lui arrive rien.

Les sourcils de Lucius froncèrent et ses lèvres s'étirèrent en un tout méprisant. Il détestait l'idée que son fils, un Malfoy, était gay.

Après un certain délais sans geste ou paroles échangées, l'action débuta. Des jets de lumière se croisaient et se frappaient en un terrible fracas. Un sort de doloriss frappa Lucius en pleine poitrine mais il esquiva avec un sort de désarmement.

En même temps que se déroulait cette bataille, Dumbledor était venu voir le blessé. Pompom avait déjà traité la majeur parties des plaies. Drago était encore très faible mais la douleur psychologique gouvernait la douleur physique. Il avait horriblement peur.

-Drago, je dois te parler de quelque chose de très important. Tu n'es pas vraiment en état. J'en suis conscient, mais c'est tout de même important.

Derrière les lunettes en demi-lune du professeur, des yeux solennels, fugueur et triste tout à la fois s'y cachaient.

Le blond ne répondit rien, ce n'est que des yeux interrogateurs qui firent continué le directeur.

-J'ai su, par une source dont j'ai toute confiance, que ton père n'était pas aussi affreux que tu le crois.

-Mais...s'interposa le vampire.

-Laisse-moi continuer Drago, l'arrêta paisiblement L'homme. Ton père a voulu faire partie des partisans de Voldemort certes, mais quand celui-ci lui en demandait trop – comme quand il voulait que tu devienne toi aussi mange-mort ou quand il voulait que ton père tue un membre de cette école – Ton père refusait. Depuis lors, Voldemort lançe un sort impardonnable à ton père une fois par semaine. Et tu l'aura deviner, c'est l'imperium. Ton père n'a jamais voulu te faire de mal, il l'a lui-même confirmé quand il était un peu plus lucide. Tout ça pour te faire comprendre que Lucius Malfoy, ton père, est un homme bon. Demande à Severus, il l'a bien connu. Mais il ne le reconnaît plus. Donne lui une dernière chance. Je vais tout faire pour arrêter les effets de l'impérium et tu pourra retrouver ton père même si tu ne l'a jamais vraiment eu.

Drago ne savais quoi penser, mais quand il y pensait bien, son père avait été très gentil parfois avec lui. Drago pensait juste que c'était de l'hypocrisie.

Mais soudain une lueur de crainte s'aventura dans les pupilles du vampire. Il s'avait que Harry voulait le tuer. Et s'il le faisait il ne pourrait jamais connaître son vrai père. Même s'il en était pas très sur. Il avait peu de lui autant qu'un chat à peur d'un chien.

Lucius était maintenant par terre, il avait reçu une bonne douzaines de doloriss. Harry, quant à lui, était dans sa plus haute forme. L'homme n'avais pas réussit à l'affecter une seule fois et maintenant c'était l'instant où il devait enfin passer à l'acte. Il le va sa baguette et prononça les deux mots tant espérer :

-AVADA! KEDAVRA!

Fin désoler mais je suis pas capable de faire une belle fin douillette et gentille. À la semaine prochaine et REVIEWS!!