Chapitre 4 : Révélations
Alexandra était inconsiente. Dans sa tête, elle rêvait, hallucinait et divaguait tranquillement, laissant une douce odeur de vanille s'infiltrer dans ses narines. Elle n'entendait pas l'agitation autour d'elle. Elle n'entendait pas sa chienne qui gémissait ou qui grognait quand on passait trop près de sa maîtresse adorée.
Elle n'entendait rien, elle était coupée du monde extérieur. Alexandra espérait n'être que dans un rêve. Un rêve bizarre, mais un rêve. Dans quelques instants, son réveil- matin allait sonné, avec des animateurs qui ne disent que des débilitées. Lucy lui sauterait dessus, en l'inondant de bave, ensuite, Alex irait prendre une douche et fera son petit déjeuner. Et, finalement, elle irait acheter son journal pour éplucher les petites annonces.
Alex se força à ouvrir ses yeux... Malheureusement, ce n'était pas son appartement qu'elle vit, mais un vieil homme avec une longues barbe et des sourcils blancs, cachés derrière une paire de lunette dorée en forme de demi-lune.
- Bonjour, dit-il d'une voix douce, vous nous avez fait une belle peur.
Pour toute réponse, Alexandra hurla, prit son oreiller, le lança à la figure du vieil homme et courru se réfugier dans un coin de la pièce. Alex vit qu'en plus du vieillard, il y avait un homme au cheveux gras et ce Hagrid qu'elle avait rencontré sur le quai du train.
- Mais voyons Mademoiselle, s'exclama le vieillard étonné, calmez-vous, nous sommes ici pour vous aider. Séverus, pouvez-vous aller la calmer, je vous prie.
Le démomé Séverus s'avança vers elle, mais ça ne fit que provoquer d'autres cris venant d'Alexandra. Par instinct de protection, Lucy courru aider sa maitresse. Elle mordit brutalement dans le mollet du dit Séverus. Le pauvre homme hurla, tenta de se défaire de Lucy. Il sorti sa baguette et cria « Stupéfix ». Aussitôt, Lucy cessa de bouger, sous le regard effrayé de sa maitresse. Elle poussa un cri de désespoir en voyany sa pauvre chienne imobile.
- Laissez-moi tranquille, hurla Alexandra au bord des larmes. Dites-moi où je suis et ce que vous avez fait à ma chienne!! les somma-t-elle
- Mais nous ne voulons rien vous faire, vous êtes un de nos professeurs et..., commença le vieillard. Si vous vous calmiez, peut être pourrions nous discuter clamement.
Alexandra prit quelques instants pour évaluer la situation...C'est vrai qu'elle ne c'était pas comportée d'un façon très adulte et très mature...Et puis, ces gens n'avaient pas l'air si dangeureux. Quoique le regard de ce Séverus lui donnait froid dans le dos.
- D'accord, dit-elle, mais vous ne bouger pas d'où vous êtes et c'est moi qui pose les questions.
- Ça me semble raisonnable, conclut le vieillard.
Après une profonde inspirations, Alexandra se lança :
- Qu'avaez-vous fait à ma chienne?
- Nous l'avons juste stupéfixié, répondit le vieil homme.
- Qui êtes-vous? continua-t-elle sans comprendre le mot stupéfixié.
- Je suis le professeur, et directeur de l'école Poudlard, Albus Dumbuldore, se présenta-t-il. Voici Séverus Rogue, professeur des potions et directeur de la maison des Serpentards et elle c'est Pompom Pomfresh, notre infirmière. Et je crois que vous connaissez déjà Rubus Hagrid, gardien des clés et des lieux de Poudlard et aussi professeur des Créatures magiques.
Alexandra comfirma d'un signe de tête, même si elle ignorait qu'il était grandien des clés et qu'il était un prof.
- Et où suis-je exactement, je veux dire, je sais que c'est l'école Poudlard, mais pourquoi les tableaux bougent? Pourquoi les élèves portent des robes et que les gens se trimballent avec des bout de bois?
- Parce que c'est ce que font tous les sorciers, répondit dédaigneusement Rogue.
Alexandra cessa de respirer...Avait-elle bien entendu le mot sorcier? Oui, pas de doute, à moins qu'il ne voulait dire pommier, ce qui n'aurait pas plus de sens. Albus regarda Alexandra avec intérêt et soudain, comprit :
- Vous n'êtes pas sorcière, vous êtes moldu, déduit-il avec stupéfaction.
Rogue et Hagrid regardèrent Albus comme s'il était un fou. Comment une moldu pouvait-elle être à Poudlard, les sorts anti-moldus n'auraient- ils pas marché.
- Je ne sais pas ce que c'est une moldue, répondit Alex, mais je ne suis pas une sorcière.
Choqué par cette révélation, Séverus entraînna Albus à l'autre extrimité de la pièce :
- Albus, c'est de la folie, chuchota-t-il, comment une moldue à pu passer les barrières? Et le train? Et les sorts de détections?
- Je n'en sais rien Séverus, nous nageons tous dans la même mer d'ingnorance...
- Peut être est-elle une espionne de Vous-Savez-Qui. Tout ceci n'est peut être qu'une grosse comédie pour nous attendrir et fournir des informations?
- C'est une théorie qu'il ne faudrait pas écartée, admit Albus, mais j'en doute fort. Il y a dans ses yeux une peur qui ne peut se jouer par aucun comédiens, aussi bons soient-ils.
- En tout cas, moi je ne lui fait pas confiance. Et comment va-t-elle faire pour enseigner aux élèves?
- Voilà une chose que je n'avais pas penser, marmonna Albus. Savez-vous où se trouve Lupin?
- Il est en France, répondit Séverus avec dégoût. Vous ne pensez quand même pas à lui. Vous savez ce qui arrivera!
- Excusez-moi, interrompue Alexandra, mais pourriez-vous déstupéfic...déstupafic...Enfin, faire rebouger ma chienne?
- Oh, oui, assura Albus, pardonnez-moi, j'avais la tête ailleur.
Il sorti sa baguette et marmonna un mot qui échappa à Alex. Aussitôt, Lucy se remise à gigoter. Elle sembla désorientée et gémit de peur.
- Tout doux ma belle, chuchota Alex en lui grattant les oreilles, c'est fini, les messieurs ne sont pas méchants, alors pas touche. Compris?
Lucy ferma paresseusement ses yeux, voulant dire qu'elle avait comprit. Gênée, Alexandra se releva :
- Je suis désolée, monsieur Rogue, pour le tort que ma chienne vous à causez. Elle ne pensait pas mal faire, j'espère que vous pourrez avoir une autre opinion de moi.
Rogue renifla avec mépris et quitta la pièce sans serrer la main qu'Alexandra lui avait présenté. Cette dernière se sentit profondément mal.
- Il doit m'en vouloir à mort, dit-elle tout haut.
- Non, rassura Hagrid, il est comme ça avec tout le monde.
- Vous allez mieux, demanda Albus.
- Oui, si on juge qu'il y moins de 8 heures, j'ignorais totalement qu'il y avait des sorciers dans notre monde, qu'il y avait une guerre et une école de sorcellerie à moins d'une journée de chez moi. Alors oui, on peut dire que ça va plutôt bien, répondit-elle en esquivant un petit sourire.
- En parlant d'école, ajouta Albus d'un air grave, il va falloir décidé de ce qu'on va faire de vous.
- Ce qu'on va faire de moi, répéta Alex sans comprendre. Mais que voulez- vous dire?
- Vous ne pouvez pas enseigner aux élèves les défenses contre les forces du mal, puisse que vous ne connaissez rien de la matière.
Albus avait raison...Qu'allait-il faire d'elle? Sentant son désaroi, Albus lui tapota le dos :
- Ne vous en faites pas, nous trouverons une solution. Venez, nous allons être mieux dans mon bureau. Là, au moins, il n'y a pas d'oreilles indiscretes, dit-il en regardant la porte.
Alex fit de même et vit Harry, accompagné d'un garçon aux cheveux roux et d'une fille au cheveux bruns.
- Harry, s'exclama Alex.
- Vous vous connaissez? demanda Albus.
- On s'est rencontré sur le train professeur, répondit Harry un peu gêné de s'être fait débusqué. J'aurai dû deviner que vous étiez une moldue. J'ai baissé ma garde parce que vous me traitiez comme un garçon normal...C'était plaisant. Mais j'aurais quand même dû m'en rendre compte, tous les sorciers du monde connaissent Voldemort.
Ron, Hermione et Hagrid frissonnèrent, sous le regard interrogateur d'Alexandra qui ne comprennait pas en quoi un nom pouvait inspirer tant de crainte.
- Enfin, Harry était inquiet quand il vous a vu inconsiente sur le sol, répondit précitament la jeune fille aux cheveux bruns. Il voulait savoir comment vous alliez.
Touchée par cette inquiétude, Alexandra était émue.
- Ça passera pour cette fois, décida Albus, maintenant, retournez à vos dortoirs. Miss Granger, M. Potter, M. Weasley, bonne nuit. Et pas un mot de ce que vous avez entendus à vos camarades.
- Promis, répondirent les trois en chœur.
Et Albus, Alexandra Et Hagrid partirent vers le bureau de Dumbuldore tandis qu'Harry, Ron et Hermione partirent vers le dortoir des Griffondors. Mais aucuns d'eux ne vient Draco, qui avait tout écouté avec intérets, et dont les yeux pétillaient d'une lueur peu rasurante.
Réponse aux reviews :
Alpo : Comme dit le vieux proverbe, tout vérité n'est pas bonne à dire et ça c'est la preuve vivante. Pour l'enseignement, tu le sauras au prochain chapitre.
Steamboat Willie : Tout les professeurs ne sont pas obliger de venir d'Angleterre. Il y a d'autre école de sorcellerie dans le monde tu sais. Et pour Harry, et bien tu as ton explication dans ce chapitre.
Alexandra était inconsiente. Dans sa tête, elle rêvait, hallucinait et divaguait tranquillement, laissant une douce odeur de vanille s'infiltrer dans ses narines. Elle n'entendait pas l'agitation autour d'elle. Elle n'entendait pas sa chienne qui gémissait ou qui grognait quand on passait trop près de sa maîtresse adorée.
Elle n'entendait rien, elle était coupée du monde extérieur. Alexandra espérait n'être que dans un rêve. Un rêve bizarre, mais un rêve. Dans quelques instants, son réveil- matin allait sonné, avec des animateurs qui ne disent que des débilitées. Lucy lui sauterait dessus, en l'inondant de bave, ensuite, Alex irait prendre une douche et fera son petit déjeuner. Et, finalement, elle irait acheter son journal pour éplucher les petites annonces.
Alex se força à ouvrir ses yeux... Malheureusement, ce n'était pas son appartement qu'elle vit, mais un vieil homme avec une longues barbe et des sourcils blancs, cachés derrière une paire de lunette dorée en forme de demi-lune.
- Bonjour, dit-il d'une voix douce, vous nous avez fait une belle peur.
Pour toute réponse, Alexandra hurla, prit son oreiller, le lança à la figure du vieil homme et courru se réfugier dans un coin de la pièce. Alex vit qu'en plus du vieillard, il y avait un homme au cheveux gras et ce Hagrid qu'elle avait rencontré sur le quai du train.
- Mais voyons Mademoiselle, s'exclama le vieillard étonné, calmez-vous, nous sommes ici pour vous aider. Séverus, pouvez-vous aller la calmer, je vous prie.
Le démomé Séverus s'avança vers elle, mais ça ne fit que provoquer d'autres cris venant d'Alexandra. Par instinct de protection, Lucy courru aider sa maitresse. Elle mordit brutalement dans le mollet du dit Séverus. Le pauvre homme hurla, tenta de se défaire de Lucy. Il sorti sa baguette et cria « Stupéfix ». Aussitôt, Lucy cessa de bouger, sous le regard effrayé de sa maitresse. Elle poussa un cri de désespoir en voyany sa pauvre chienne imobile.
- Laissez-moi tranquille, hurla Alexandra au bord des larmes. Dites-moi où je suis et ce que vous avez fait à ma chienne!! les somma-t-elle
- Mais nous ne voulons rien vous faire, vous êtes un de nos professeurs et..., commença le vieillard. Si vous vous calmiez, peut être pourrions nous discuter clamement.
Alexandra prit quelques instants pour évaluer la situation...C'est vrai qu'elle ne c'était pas comportée d'un façon très adulte et très mature...Et puis, ces gens n'avaient pas l'air si dangeureux. Quoique le regard de ce Séverus lui donnait froid dans le dos.
- D'accord, dit-elle, mais vous ne bouger pas d'où vous êtes et c'est moi qui pose les questions.
- Ça me semble raisonnable, conclut le vieillard.
Après une profonde inspirations, Alexandra se lança :
- Qu'avaez-vous fait à ma chienne?
- Nous l'avons juste stupéfixié, répondit le vieil homme.
- Qui êtes-vous? continua-t-elle sans comprendre le mot stupéfixié.
- Je suis le professeur, et directeur de l'école Poudlard, Albus Dumbuldore, se présenta-t-il. Voici Séverus Rogue, professeur des potions et directeur de la maison des Serpentards et elle c'est Pompom Pomfresh, notre infirmière. Et je crois que vous connaissez déjà Rubus Hagrid, gardien des clés et des lieux de Poudlard et aussi professeur des Créatures magiques.
Alexandra comfirma d'un signe de tête, même si elle ignorait qu'il était grandien des clés et qu'il était un prof.
- Et où suis-je exactement, je veux dire, je sais que c'est l'école Poudlard, mais pourquoi les tableaux bougent? Pourquoi les élèves portent des robes et que les gens se trimballent avec des bout de bois?
- Parce que c'est ce que font tous les sorciers, répondit dédaigneusement Rogue.
Alexandra cessa de respirer...Avait-elle bien entendu le mot sorcier? Oui, pas de doute, à moins qu'il ne voulait dire pommier, ce qui n'aurait pas plus de sens. Albus regarda Alexandra avec intérêt et soudain, comprit :
- Vous n'êtes pas sorcière, vous êtes moldu, déduit-il avec stupéfaction.
Rogue et Hagrid regardèrent Albus comme s'il était un fou. Comment une moldu pouvait-elle être à Poudlard, les sorts anti-moldus n'auraient- ils pas marché.
- Je ne sais pas ce que c'est une moldue, répondit Alex, mais je ne suis pas une sorcière.
Choqué par cette révélation, Séverus entraînna Albus à l'autre extrimité de la pièce :
- Albus, c'est de la folie, chuchota-t-il, comment une moldue à pu passer les barrières? Et le train? Et les sorts de détections?
- Je n'en sais rien Séverus, nous nageons tous dans la même mer d'ingnorance...
- Peut être est-elle une espionne de Vous-Savez-Qui. Tout ceci n'est peut être qu'une grosse comédie pour nous attendrir et fournir des informations?
- C'est une théorie qu'il ne faudrait pas écartée, admit Albus, mais j'en doute fort. Il y a dans ses yeux une peur qui ne peut se jouer par aucun comédiens, aussi bons soient-ils.
- En tout cas, moi je ne lui fait pas confiance. Et comment va-t-elle faire pour enseigner aux élèves?
- Voilà une chose que je n'avais pas penser, marmonna Albus. Savez-vous où se trouve Lupin?
- Il est en France, répondit Séverus avec dégoût. Vous ne pensez quand même pas à lui. Vous savez ce qui arrivera!
- Excusez-moi, interrompue Alexandra, mais pourriez-vous déstupéfic...déstupafic...Enfin, faire rebouger ma chienne?
- Oh, oui, assura Albus, pardonnez-moi, j'avais la tête ailleur.
Il sorti sa baguette et marmonna un mot qui échappa à Alex. Aussitôt, Lucy se remise à gigoter. Elle sembla désorientée et gémit de peur.
- Tout doux ma belle, chuchota Alex en lui grattant les oreilles, c'est fini, les messieurs ne sont pas méchants, alors pas touche. Compris?
Lucy ferma paresseusement ses yeux, voulant dire qu'elle avait comprit. Gênée, Alexandra se releva :
- Je suis désolée, monsieur Rogue, pour le tort que ma chienne vous à causez. Elle ne pensait pas mal faire, j'espère que vous pourrez avoir une autre opinion de moi.
Rogue renifla avec mépris et quitta la pièce sans serrer la main qu'Alexandra lui avait présenté. Cette dernière se sentit profondément mal.
- Il doit m'en vouloir à mort, dit-elle tout haut.
- Non, rassura Hagrid, il est comme ça avec tout le monde.
- Vous allez mieux, demanda Albus.
- Oui, si on juge qu'il y moins de 8 heures, j'ignorais totalement qu'il y avait des sorciers dans notre monde, qu'il y avait une guerre et une école de sorcellerie à moins d'une journée de chez moi. Alors oui, on peut dire que ça va plutôt bien, répondit-elle en esquivant un petit sourire.
- En parlant d'école, ajouta Albus d'un air grave, il va falloir décidé de ce qu'on va faire de vous.
- Ce qu'on va faire de moi, répéta Alex sans comprendre. Mais que voulez- vous dire?
- Vous ne pouvez pas enseigner aux élèves les défenses contre les forces du mal, puisse que vous ne connaissez rien de la matière.
Albus avait raison...Qu'allait-il faire d'elle? Sentant son désaroi, Albus lui tapota le dos :
- Ne vous en faites pas, nous trouverons une solution. Venez, nous allons être mieux dans mon bureau. Là, au moins, il n'y a pas d'oreilles indiscretes, dit-il en regardant la porte.
Alex fit de même et vit Harry, accompagné d'un garçon aux cheveux roux et d'une fille au cheveux bruns.
- Harry, s'exclama Alex.
- Vous vous connaissez? demanda Albus.
- On s'est rencontré sur le train professeur, répondit Harry un peu gêné de s'être fait débusqué. J'aurai dû deviner que vous étiez une moldue. J'ai baissé ma garde parce que vous me traitiez comme un garçon normal...C'était plaisant. Mais j'aurais quand même dû m'en rendre compte, tous les sorciers du monde connaissent Voldemort.
Ron, Hermione et Hagrid frissonnèrent, sous le regard interrogateur d'Alexandra qui ne comprennait pas en quoi un nom pouvait inspirer tant de crainte.
- Enfin, Harry était inquiet quand il vous a vu inconsiente sur le sol, répondit précitament la jeune fille aux cheveux bruns. Il voulait savoir comment vous alliez.
Touchée par cette inquiétude, Alexandra était émue.
- Ça passera pour cette fois, décida Albus, maintenant, retournez à vos dortoirs. Miss Granger, M. Potter, M. Weasley, bonne nuit. Et pas un mot de ce que vous avez entendus à vos camarades.
- Promis, répondirent les trois en chœur.
Et Albus, Alexandra Et Hagrid partirent vers le bureau de Dumbuldore tandis qu'Harry, Ron et Hermione partirent vers le dortoir des Griffondors. Mais aucuns d'eux ne vient Draco, qui avait tout écouté avec intérets, et dont les yeux pétillaient d'une lueur peu rasurante.
Réponse aux reviews :
Alpo : Comme dit le vieux proverbe, tout vérité n'est pas bonne à dire et ça c'est la preuve vivante. Pour l'enseignement, tu le sauras au prochain chapitre.
Steamboat Willie : Tout les professeurs ne sont pas obliger de venir d'Angleterre. Il y a d'autre école de sorcellerie dans le monde tu sais. Et pour Harry, et bien tu as ton explication dans ce chapitre.
