TITRE : Sans état d'âme

SPOILER : je pense que maintenant ça n'est pas trop grave pais je préfère quand même le préciser, cette fic est spoiler tome V.

DISCLAIMER : comme me le répète les profs, rendons à César ce qui est à César et en l'occurrence, tous les personnages appartiennent à JKR sauf ceux sortis tout droit de mon imagination.

Note : Hello tout le monde ! C'est ma première fic sur Harry Potter, j'espère qu'elle vous plaira !

Chapitre 1 : Un rêve étrange

Il ouvrit les yeux. Il se releva et regarda autour de lui. Il était chez lui. Il poussa un soupir de soulagement en rejetant sa tête en arrière. Il avait fait un rêve...affreux... Il secoua la tête.

Il se passa une main dans les cheveux et se leva. Il ne prit même pas la peine de regarder son réveil, de toutes façons il ne marchait plus. Il se dirigea vers la porte de sa chambre et l'ouvrit avec fracas.

Il alla vers la cuisine. Il ouvrit brutalement le robinet et en fit jaillir un puissant jet d'eau. Il prit un verre qui était posé sur l'évier et le remplit. Il referma le robinet et regarda un moment l'eau qu'il avait versée dans son verre. Ils l'avaient abandonné ici. Sa main serra le verre. Il se souvenait des moindres détails de son rêve, si on pouvait appeler cela ainsi...

Il était sur un champ de bataille, il entendait des cris venir de tous les côtés. Il avait lui-même peur. Il regardait frénétiquement autour de lui sans savoir où il se trouvait et ce qu'il devait faire. Il s'était alors aperçut qu'il connaissait cet endroit c'était Prés-Au-Lard. Mais la panique régnait dans toutes les rues, les sorts fusaient, des dizaines de personnes tombaient mortes sous des Avada Kedavra. Certains bâtiments étaient en feu et sur les murs de ceux qui étaient restés intactes, on pouvait voir des taches rouges sombres.

Il avait alors entendu un bruit derrière lui. Il s'était retourné et avait vu une silhouette encapuchonnée d'une jeune femme. Il pouvait voir de longs cheveux noirs s'échapper de la capuche. Elle portait une robe d'une couleur vacillant entre le bleu et le gris.

Elle avait alors abattu un mangemort qui avait essayé de l'attaquer par derrière. Un sortilège avait immédiatement foncé droit sur elle. Il avait alors comprit qu'il ne pouvait rien faire, le sortilège venait de le traverser. Il était comme un esprit errant. Elle avait évité le sort avec une facilité effroyable et avait tendu sa baguette vers l'endroit d'où il venait pour abattre sans états d'âme le mangemort. Ce dernier était tombé à terre dans un cri de douleur et la jeune femme était repartit.

Il avait regardé pendant un moment le mangemort qui gisait à ses pieds. Il avait alors sentit un violent vent froid s'emparer de lui. Il s'était retourné et il l'avait vu. Ses poings s'étaient serrés rien qu'à sa vue. Ses pensées les plus meurtrières avaient ressurgies à la surface. Il aurait voulut se jeter sur lui et lui faire endurer tout ce qu'il avait fait aux autres. Tout le monde le regardait, tout le monde s'était tourné vers cet être répugnant qu'était Voldemort.

Instinctivement, Harry avait cherché Dumbledore des yeux. Mais il ne l'avait pas trouvé. Il s'aperçut alors que la personne qui était noyée dans l'obscurité de sa capuche était blessée. Du sang coulait abondamment sur sa robe et se répandait lentement sur le sol formant petit à petit une flaque rouge autour d'elle. Il sentait qu'elle ne tarderait pas à s'écrouler. Un frisson avait lentement parcourut son dos. Il s'était sentit coupable de ne rien pouvoir faire.

Voldemort avait jeté un regard circulaire dans la rue et sans raison apparente, il avait éclaté de rire. Un rire froid et cruel. Puis, toujours en riant, il avait tendu sa baguette et avait tué toute la rue. La jeune fille avait eut le temps d'envoyer un sort vers l'endroit d'où venait le rire, puis elle était tombée morte. Voldemort eut le temps de le voir venir. Il avait fait un mouvement de la main et un cadavre s'était relevé et s'était dressé devant lui, recevant ainsi le sort à sa place.

Il les détestait. Le verre se brisa d'un coup sous la pression de sa main. L'eau se répandit sur ses mains se mêlant à son sang. Il serrait sa main de plus en plus sans faire attention aux morceaux de verre qui s'enfonçaient dans sa main. Une larme roula sur sa joue. Il tremblait de rage. Il les détestait. C'était eux qui lui avaient fait subir toutes ces souffrances. Il n'avait jamais réellement été tranquille. Sa main serra les bouts de verre faisant couler son sang par gouttes régulières dans l'évier.

Il pensa alors que Voldemort avait attaqué Près-au-Lard comme il l'avait vu dans son rêve. Il n'allait sûrement pas tarder à recevoir une lettre de ministère lui disant qu'il devait absolument se rendre sur place pour évaluer les dégâts et recenser le nombre de morts. Cette pensée le fit frissonner. Il se sentit coupable d'être tranquillement chez lui à attendre qu'on lui envoi des ordres auxquels ils devraient obéir sans rien dire.

Quelle chance il avait ! Une attaque de mangemorts le lendemain de ses vingt deux ans ! Il leva les yeux au ciel à cette pensée sarcastique. Depuis que Fudge avait accepté le fait que Voldemort soit de retour, tout avait été très vite les articles dans la gazette, les attaques de mangemorts s'étaient fait plus fréquentes, et beaucoup d'autres changements. A présent, le seul endroit sûr pour tout le monde était Poudlard, l'école de sorcellerie. Hermione était devenue professeur de runes, quant à Ron lui, il suivait ses études pour devenir médicomage. Harry lui avait passé ses examens pour devenir Auror et les avait eut avec succès. Comme certains avaient jugé que ses lunettes deviendraient forcément encombrantes pendant un combat, il avait maintenant des lentilles de contacte spéciales sorcier qu'il n'avait pas besoin de retirer. Il travaillait maintenant à son plus grand déplaisir au service de Fudge. Pour le moment, les missions qu'on lui confiait n'étaient pas très importantes. Il n'était allé que quelques rares fois sur les champs de bataille. Pour l'instant, il ne servait qu'à compter le nombre de victimes de Voldemort. Mais dès qu'il mettait les pieds sur un champ de bataille, il n'avait qu'une seule envie, c'était de tuer ou capturer le plus de mangemorts possible. Il était même arrivé quelques fois que la bataille finit, un mangemort lui lance une phrase blessante à propos de ses parents et il avait fallut la force de trois autres Aurors pour l'empêcher de tuer ledit mangemort qui généralement riait à gorge déployée.

Les rares fois où il pouvait voir Ron où Hermione, ces deux derniers lui disaient qu'il s'énervait trop vite. Il souriait alors sans vraiment comprendre pourquoi et reprenait leur précédent sujet de conversation.

Il leva la tête et regarda par la fenêtre de la cuisine toujours pas de hibou en vue. Il fronça les sourcils. Il pensa d'abord qu'il s'était passé quelque chose au ministère, mais il rejeta cette pensée de son esprit. Bien que Voldemort sache où il se trouve, s'était pratiquement impossible. Il s'en serait aperçut. Une autre pensée se pointa alors dans son esprit. Et si cette attaque n'avait pas eut lieux. C'était pratiquement improbable. Mais lorsqu'il avait vu Sirius se faire torturer, il avait pensé que c'était réel alors que Voldemort avait tout mi en scène pour l'attirer à lui. A cette pensée, il resserra encore plus les bouts de verre qu'il avait dans la main. Celle-ci était maintenant en sang.

Il posa les yeux sur sa main et desserra lentement les doigts. Puis d'un coup il l'ouvrit complètement. Certains bouts de verre étaient collés sur sa paume tandis que d'autres étaient enfoncés plus ou moins profondément dans sa peau. Il poussa un soupir et fit tout disparaître, aussi bien les bouts de verre brisé que le sang et les coupures. Il regretta de ne pouvoir faire ça qu'avec les blessures superficielles. Pour les autres, il devait demander aux médicomages.

Il regarda une dernière fois par la fenêtre. Toujours rien. Il ne pourrait certainement pas dormir après tout ça. Il se dirigea vers le salon et décida de lire. En fait, il avait juste les yeux posés sur les pages du livre. Des pensées de toutes sortes se bousculaient dans son esprit. Il les chassa et essaya de se concentrer sur sa lecture. Quelques minutes plus tard, il s'endormit sans vraiment s'en rendre compte.

Il fut réveillé par des claquements de bec. Il ouvrit lentement les yeux se demandant ce qu'il faisait dans un fauteuil. Lorsque les images de son « rêve » lui revinrent en mémoire, il grimaça légèrement et se releva tant bien que mal. Il jeta un coup d'œil par la fenêtre le jour s'était levé et plusieurs hiboux attendaient à sa fenêtre. Il se passa une main sur la figure en soupirant et alla leur ouvrir. Le hibou s'engouffra dans la pièce et se posa là où il le put. Il ne sut s'il devait être heureux, rassuré ou plutôt inquiet que ça ne soit pas un hibou du ministère de la magie. Il secoua la tête et se dirigea vers lui. C'était le hibou qui apportait la Gazette du Sorcier. Il glissa l'argent dans la bourse du hibou qui repartit aussitôt. Il jeta un œil sur la première page. Rien. Aucune trace de la moindre petite attaque à Près-Au-Lard. Il jeta négligemment la Gazette sur une table et partit en direction de la cuisine pour se préparer son petit déjeuner.

Il habitait dans un immense manoir que lui avaient légué ses parents. Il y avait des pièces toutes plus grandes les unes que les autres et un jardin impressionnant dans lequel se trouvait un terrain de quiddich. La bibliothèque en faisait souvent pâlir d'envie Hermione qui venait souvent accompagnée de Ron et d'autres anciens de Poudlard. Lorsqu'il y avait du monde, le manoir était tout de suite plus chaleureux. Mais dès que tout le monde partait et qu'il ne restait plus que lui, tout semblait alors froid et inacueillant.

Un bruit se fit alors entendre à la fenêtre de sa cuisine. Il tourna vivement la tête. Il se précipita tout de suite à la fenêtre pour ouvrir au hibou qui venait d'arriver. C'était un hibou du ministère. Il détacha fébrilement la lettre de sa patte et laissa le hibou repartir aussi vite qu'il était venu. Il décacheta la lettre et entreprit de la lire à toute vitesse :

Cher Mr Potter

Compte tenu de vos performances actuelles, le ministère a décidé de vous accorder une mission d'un niveau plus haut que les précédentes. Nous ne pouvons vous l'expliquer plus en détail dans cette lettre, nous vous demandons donc de vous présenter au ministère ce matin à onze heures.

C.Fudge

Harry fronça les sourcils. Fudge le prenait vraiment pour un gamin. La lettre s'enflamma entre ses doigts et disparut sans laisser de traces de cendre. Il jeta un coup d'œil à l'horloge de la cuisine. Dix heures et demi ! Il avait dormi tant que ça ? Il courut aussi vite qu'il le put dans sa chambre et alla se préparer. Il revêtit son uniforme d'Auror à toute allure, s'empara de la baguette et se précipita en bas. Il s'arrêta en plein milieu du hall d'entrée et transplana.

Il atterrit à quelques mètres de la cabine. Les moldus ne l'avaient pas vu. Il se précipita dans la cabine et composa le numéro à toute vitesse. La voix féminine qu'il avait l'habitude d'entendre lui dit :

« Bienvenue au ministère de la Magie. Veuillez indiquer votre nom et l'objet de votre visite. »

« Harry Potter, Auror, je viens chercher mon ordre de mission. »

Le plancher de la cabine se mit à vibrer et quelques secondes plus tard, Harry se retrouvait dans le hall d'entrée. La voix lui souhaita une bonne journée et il se précipita vers un des ascenseurs. Il bouscula quelques personnes qui poussèrent des cris de surprise en le voyant courir ainsi vers eux. Il s'excusa et passa de justesse par la grille de l'ascenseur qui se refermaient. Quand il fut à l'intérieur, la plupart des personnes le regardaient avec un drôle d'air. Il fit comme s'il ne les avait pas vu. Certains devaient sûrement voir « le Survivant » pour la première fois de leur vie, et d'autres devaient être outrés qu'il ait bousculé tout le monde pour passer. Harry jeta un œil à sa montre : dix heures cinquante. Il avait le temps, certes, mais il trouvait tout ce qui se passait étrangement bizarre. D'abord son rêve qui apparemment ne s'était pas produit, et ensuite Fudge qui lui annonçait qu'il allait faire une mission d'un niveau supérieur à celles de d'habitude.

Lorsque l'ascenseur arriva enfin au niveau deux, Harry se précipita au dehors suivit de la seule personne qui restait. Sûrement une langue de plomb. Il se dirigea vers le Quartier général des Aurors en essayant de ralentir l'allure.

« Vous êtes en avance Mr Potter. »

Harry se retourna et se retrouva face à Fudge. Il se retint de lui lancer une remarque cinglante et répondit sur un ton glacial :

« Vous vouliez me voir non ? »

Fudge ne répondit pas. Harry remarque alors qu'une personne se tenait derrière lui. Il ne pouvait voir son visage car il était noyé dans l'ombre d'une capuche. Cela lui fit repenser à son rêve. Il frissonna et détacha sont regard de la personne pour le reporter sur le ministre. Fudge lui fit signe de le suivre et il se dirigea vers son bureau.

Fudge s'assit derrière son bureau et fit signe aux deux autres de s'installer à leur tour. Harry fut étonné que l'autre personne soit venue elle aussi. Il jeta un regard interrogateur auquel le ministre ne répondit pas. Il posa ses coudes sur son bureau, entrecroisa lentement ses doigts et regarda fixement les deux personnes se trouvant en face de lui avant de dire :

« Mr Potter, je serais bref. Vous avez été désigné pour accomplir une mission qui vous prendra toute l'année au moins. Dumbledore m'a demandé d'envoyer des Aurors à Poudlard pour pouvoir défendre l'école. Comme vous l'avez deviné, c'est vous qui allez être envoyé sur les lieux. Vous serez accompagné de Miss... »

« Sparkle. » Répondit une voix féminine « Nora Sparkle. »

« Merci Miss. » Lui dit Fudge sans même lui adresser un regard.

« Deux personnes ? Pour tout Poudlard ? Vous vous fichez de moi ? » Lâcha Harry sur un ton glacial.

« Pratiquement tous les Aurors sont en mission Mr Potter. Et il faut garder un minimum de troupes au cas où vous-savez-qui attaquerait. Mais cette jeune demoiselle sait se battre, elle ne vous sera pas inutile. »

« Dumbledore ne vous a pas demandé d'envoyer DES Aurors, et non UN Auror et une autre personne dont j'ignore totalement la fonction ? »

« Mr Potter, je vous ais déjà dit qu'il m'était impossible d'envoyer plus d'Aurors à Poudlard, et ensuite...je vais vous expliquer quelque chose à propos de cette personne-dont-vous-ignorez-totalement-la-fonction...mais plus tard. Je tiens également à vous préciser que Dumbledore m'a dit que même un seul Auror lui suffirait. »

« Ca m'étonne de lui. Il ne doit pas avoir une très haute estime de vous. » Harry regarda un moment le ministre de la Magie, puis il dit sur un ton sec : « Bien, j'accepte. »

Fudge eut un sourire. Puis il se tourna vers la jeune fille et lui dit :

« Vos ordres vous seront envoyés par hibou. Merci de votre coopération, vous pouvez disposer. »

La jeune fille hocha la tête puis elle se leva et partit sans rien demander d'autre. Quand elle eut refermé la porte du bureau du ministre derrière elle, Harry se tourna vers Fudge et demanda :

« Qui est-ce ? »

Fudge parut embêté par la question. Il hocha la tête et dit :

« Bien, si vous tenez tant à le savoir, je vais tout vous expliquer. Nous voulons garder tout cela secret car nous pensons que la plupart des personnes nous désapprouveraient entièrement. » Sous le regard insistant de Harry, Fudge continua : « En fait, nous avons formé une armée de sorcières et de sorciers qui se battent en utilisant des pouvoirs qui ne peuvent pas être utilisés par n'importe qui. Je ne sais pas vraiment comment tout cela leur est apprit ni la façon dont ils les utilisent et encore moins leur nature et leur origine, mais je sais juste que ces personnes sont entraînées ainsi depuis leur plus jeune âge. La plupart du temps, ce sont des sorciers originaires de familles moldus dont les parents sont morts. Nous avons aussi des cas où les parents étaient des sorciers et sont également morts. L'avantage des soldats de cette armée est qu'ils, ou elles, n'ont plus rien à perdre, alors ils sont toujours en premières lignes dans toutes les batailles, ils ne craignent pas la mort, ne ressentent presque aucuns sentiments et enfin, ils savent tous tuer sans état d'âme. »

Harry regarda le ministre comme si c'était la première fois qu'il le voyait. Puis son regard s'assombrit. Il jeta un regard noir au ministre et lui dit sur un ton glacial :

« Vous êtes complètement fou. Je vous rappelle qu'ils sont humains eux aussi. »

« Je le sais, mais... »

« Il n'y a pas de mais ! » Emporté par la colère, Harry se leva de sa chaise et regardait le ministre avec un air menaçant. « J'imagine que moi aussi j'aurais été l'uns d'eux si personne n'était venu me chercher ! Je trouve ça ignoble ! Vous n'avez aucuns droits sur eux ! Je suis sûr qu'au fond d'eux même ils ont tous envie de vous étriper mais il ne peuvent pas, bien évidemment ! Vous devriez être envoyé à Azkaban si Voldemort n'en avait pas déjà prit le contrôle !! Et arrêtez de frissonner dès que vous entendez ce nom ! Vous êtes pitoyable à trembler pour un simple mot prononcé ! Et cette fille ne doit pas être bien vieille... »

« Elle a votre âge Mr Potter, et je vous prierais de me parler sur un autre ton si vous ne voulez pas être renvoyé. »

« Peut être, mais je pourrais alors dévoiler à beaucoup de personnes ce qui ce passe dans les locaux du ministère de la Magie ! Je suis sûr que les journalistes de la Gazette du Sorcier seront ravis de l'apprendre ! »

« Pas si on vous lance un sortilège d'amnésie ! Réfléchissez bien aux conséquences de vos actes Mr Potter, si vous dites tout cela, tout le monde de la sorcellerie sera sans dessus dessous. Les gens ne sauront plus vraiment si il est bien de se ranger de notre côté ou du côté de Vous-savez- qui et ce dernier en profitera pour lancer une immense attaque qui réduira tout le monde de la sorcellerie à un état de chaos ! »

Harry poussa un soupir d'agacement puis il tendit la main. Fudge lui donna ses instructions en lui disant qu'il pouvait partir. Il ne se le fit pas dire deux fois. Il s'arrêta sur le pas de la porte et dit :

« Au fait, c'est Voldemort, et non Vous-savez-qui. »

Et il partit pour de bon en faisant bien attention à claquer la porte derrière lui de telle sorte à faire un maximum de bruit. Il détestait Fudge.

Et voilà ! Le premier chapitre et terminé ! Si vous pouviez me dire ce que vous en pensez. **Gys3173**