Auteur : Artemis ()v
E-mail : Tsukinoartemisclub-internet.fr
Genre : Sabotage de scénario ( comme d'hab' kôa... ) ... TRAGEDIE !!! Niark niark niark...Freestyle... (). Vive les baignoire !!!
Couple : Du Yaoi (12 ? 21 ; 434) et un semblant de Yuri ( RH ) qui n'étais pas vraiment prévu au départ mais qui m'arrange bien.
Disclaimer : C'est ma première fanfic alors, ayez pitié de la pauvre créature que je suis...
Z'auteuse : Veux Duo.
Duo : Moi te veux pas.
Z'auteuse : (TT) Messsssssssssant (TT)
Note : Au fait, je recherche toujours une fic se nommant CDZ ( et non DBZ comme je l'avais écrit... il m'as fallu relire le mail de Kin' pour m'en rendre compte... no comment ). On me l'a conseillée ( Kineko me l'a conseillée devrais-je dire... si c'est pas une raison suffisante pour la lire, ça !!!) mais pas moyen de me la procurer. Alors, si vous savez où la télécharger, ou, si vous l'avez... PLEASE !
Si vous utilisez Netscape, un conseil, avant de lire ma fic allez dans Afficher, Diminuer la taille de la police. Normalement c'est mieux.
Chapitre 10 : Yattaaaaaaaaaaa !!! [1]
12]
C'est donc le fessier à l'air que je me réveille, installé TRES confortablement dans la baignoire, Heero m'aspergeant tranquillement d'eau FROIDE... non, pas froide, GLACIALE.
Et comme je suis pas du genre à me laisser faire ni à l'en laisser s'en sortir comme ça, j'effectue une magnifique ( n'ayons pas peur des mots ) traction vers le robinet ( me retrouvant face au mur et dos à Heero.... bah vi, suis pas très habillé alors vais pas lui faire face ) et change l'eau froide en eau brulante comme JE les aime comme la plupart des humains "normaux" ne supporte pas.
Torsion de bassin, et hop, sans comprendre Heero se retrouve aspergé d'eau brûlante ( niarck ) par son propre poignet ( que j'aide un peu ). S'en suit une bataille d'eau digne de toutes les plus grandes "petites sauteries" entre potes de fin des cours [3] entre eau chaude et eau froide, vers la baignoire ou non, vers un type nu ou habillé, bref le foutoir, jusqu'à ce que je glisse en arrière ( faut dire aussi qu'ça glisse là-d'dans ) et bien sûr que je m'accroche au 1er truc en vue... la chemise d'Heero... et que ce dernier se vautre magistralement sur moi, atterrissant à son tour dans la baignoire.
Toutes façons, il ne pouvait pas être trempé plus qu'il ne l'était.
Le truc en fait c'est que je me retrouve allongé en dessous d'un Heero, totalement nu, et lui bah... comment dire... la chemise blanche une fois mouillée... bah ça cache plus vraiment grand chose 24] ... Pis avec tout ça, on est completement essouflés... pourrait faire penser à autre chose comme ça.
Heero se soulève à bout de bras, je ne sens plus son souffle dans mon cou.
Il me regarde bizarrement, remarque, dois pas être très beau à voir, les cheveux détachés, éparpillés tout autour de moi. 35]
On reste ainsi quelques secondes pendant lesquelles je reprend mon souffle. Vraiment, cette situation pourrait porter à confusion....
KYAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!
... et bien sûr, avec ma chance habituelle...
Je me soulève un peu pour entrevoir la demoiselle ayant poussé ce si chaaaaaarmant cri et vois... Ambre.Putain manquait plus qu'elle, fait VRAIMENT chier.
Euhhhhh, j'vous dérange ??? Sinon, faut l'dire... euh la baignoire c'est pas vraiment pratique vous savez, enfin bon, c'est vous qui voyez, moi j'dit juste ça comme ça...Je vous ramenais la statuette, on a jugé qu'elle vous revenait mais Heero est parti trop vite... euh, je comprend pourquoi . Bref, la pose sur ton lit Heero... euh non, sur le meuble... euh... dites, où vous risquez pas de ... euh... vous amusez ??? Laissez, je sais, pret de l'ordi elle risque rien. Bon, j'vous laisse... au fait, j'avais raison, je savais que tôt ou tard vous vous sauteriez dessus... le mot dessus est il necessaire au fait ?
Et un éclat de rire part de sa bouche tout comme elle-même de notre chambre sans que l'on eu rien pu dire. 4[6]
Mode rouge pivoine tirant sur le rouge coquelicot voir même rouge fluo. Coloration interessante.
Pendant que l'on répetait Antigone ( vi, j'me suis habillé entre temps ! ) on s'est rendu compte qu'on avait pas vraiment la même version. Quand j'avais :
" Te voici, tombeau ; te voici, nuit de noces.
Prison souterraine où je m'en vais auprès des miens,
mes bien aimés que Perséphone a déjà recueillis.
La dernière de tous et la plus misérable,
je vous rejoints,
avant d'avoir goûté ma part de vie.
Mais non sans la ferme espérance
d'être reçue avec amour
par mon cher père,
par toi, mère bien aimée,
par toi aussi, visage fraternel.
Morts, mes mains vous ont lavés ;
elles vous ont parés pour la tombe ;
elle vous ont offert les dons qui sauvent.
Et maintenant, Polynice,
parce que je t'ai enseveli,
je reçois cette récompense.
Frère, tu étais mon plus unique bien,
plus qu'un mari, plus qu'un enfant.
Pour toi seul j'ai consenti le prix de la vie,
et nul autre être ne méritait de moi ce don.
Un mari mort, j'en aurais pu reprendre un autre.
Un autre enfant aurait pu naitre de moi.
Toi seul, sang fraternel,
mes parents morts, je t'avais perdu sans retour.
C'est pourquoi j'ai aimé plus que mon corps
le corps irrremplaçable de mon frère...
Sur la route où Créon m'envoie,
je m'en vais, les mains liées,
et ma couche est restée solitaire,
et mes compagnes n'ont pas pleuré ma virginité,
et je n'ai pas donné le sein à un enfant.
Vivante, les vivants m'abandonnent.
Sans parents, sans amis je descends chez les morts.
Pourtant je n'ai pas offensé la loi des dieux.
Je lève droit mes regards vers leur ciel.
M'ont-ils donc retiré leur assistance ?
Réserveraient-ils à ma piété le supplice de l'impie ? ...
Ah ! si c'était là leur justice,
j'irais chez les morts pleurer ma faute...
Mais non ! Mes meurtriers seuls sont dans l'erreur.
L'injustice est d'eux, le crime est d'eux...
Si maintenant les dieux les frappent,
qu'ils leur épargnent je le demande
une épreuve plus dure que la mienne ! "
Lui il avait :
" Merci. Alors, voilà. Hier d'abord. Tu me demandais tout à l'heure pourquoi j'étais venue avec une robe d'Ismène, ce parfum et ce rouge à lèvres. J'étais bête. Je n'étais pas très sûre que tu me désires vraiment et j'avais fait tout cela pour être un peu plus comme les autres filles, pour te donner envie de moi."
Suivi d'une réplique d'Hémon étonné puis d'une longue tirade d'Antigone où elle lui explique, pour faire court qu'elle voulait passer une nuit avec lui avant de mourir histoire d'être dépucelée ( okay, la je fais vraiment très court, mais en gros c'est ça )
En gros, j'avais la version morbide et lui la version... plus... cool ?
C'est à ce moment là que je remarqua un truc écrit en gros sur sa version : Jean Anouilh
Et moi : Sophocle.
Biiiiiiiiiiiiiiip. Problème. Une pièce = 2 auteurs.
Bref on a demandé au prof qui est allé me chercher une version d'Anouilh pendant qu'Heero en profita pour fouiller son bureau... le meuble et celui de l'ordinateur...
Bah vi, il perd pas l'nord le ptit père .
Bref, voilà comment je me retrouve à 2h du mat' dans les couloirs au lieu d'être dans mon lit.
A Suivre...
Comme mon histoire traine un peu, j'ai décidé de passer à l'action et donc on ne verra probablement pas la pièce de théâtre, où pas comme j'le pensait. Donc j'ai callé 2 passage d'Antigone, le premier de Jean Anouilh (XXème), p 46 de l'édition "Table ronde" ( à ma mère, le scotch en bonus ), le second de Sophocle ( Antiquité ), p 46 aussi, édition de l'aire, emprunté à la bibliothèque spécialement pour la fic.
Pour ceux qui ne connaisse pas :
Perséphone : femme d'Hadès, dieu des Enfers ( Enfers = Royaume des morts en général )
Ismène : soeur d'Antigone
Hémon : fiancé d'Antigone ( soit Heero )
Créon : père d'Hémon, considère Antigone comme sa nièce ( car son père était comme un frère ) et roi de Thèbes. Il la condamnera à mort.
Polynice : frère mort d'Antigone qu'elle enterrera malgré l'interdit de la loi de Créon.
Voilà je crois qu'y a tout pour comprendre les passage. Ah vi, Antigone, contrairement à sa soeur, n'est pas très féminine ni coquette.
Voilà.
Prochaine chapitre : De l'action !!!
Mots d'la fin : Pffffff, j'en ai bavé pour celui là, et en plus je ne l'aime pas particulièrement comme chapitre mais c'est peut-être parce-qu'il m'a donné du fil à retordre... En tout cas Kali, l'ai écrit avant la fin des vacances .
Dites, une chtite review, même 2 lignes, nan, même 3 mots : J'ai lu.
Pleaaaaaaaaaaaaaaaase
GROS POUTOU BIEEEEEN BAVEUX !!! (?)
Rappel : Je ne rembourse pas les claviers bouzillés par la bave susceptible d'avoir été produite pendant la lecture de ce chapitre... ni d'aucun autre de la fic d'ailleurs ( Ehhh, c'est vot' bave après tout, assumez !!! )
Par contre, pour des bisous baveux, pouvez toujours me reviewer un peu... non ? Et pour un Duo dévétu ? ( Duo : Ehhh !!! ) Onegai !!!
See you later.
D-04/05/03 ( et vi, ça faisait VRAIMENT un bail... )
P.S. : J'ai hâte d'être au 13 ( Mai ), c'est mon anniversaire , chuis née un Vendredi 13. C'est p't'è't pour ça qu'chuis bizarre... ()
5[1] Cri de l'auteur qui s'est avancée dans ses devoirs, qui a ses deux heures de sport qu'ont sautées et donc qui a du temps pour inaugurer son 10ème chapitre !!! ()
6[2] Ca fait d'un mois que je suis bloqué ici, juste après le titre de ce biiiiiiiiiip de chapitre. On est dimanche et demain je reprends les cours, donc FAUT K'J'M'Y METTES !!! En plus, y'a une semaine, inspiration. J'écrivais quand mon ordi à planté. Les nerfs. Donc tout à recommencer, et NON, ce n'est pas drôle.
7[3] Petit souvenir de batailles d'eau de fins d'années dans lesquelle on se retrouve enrolé sans trop savoir comment. Et les chaussures ouvertes, après 4 de ces dernières ( sur 2 ans ) bah... elles ont pas aimées (TT).
8[4] Ohhhhhhhh, j'ai le cerveau qui chôôôôôôffeuh, on vient de m'obliger ( mais vi, on t'croit) à boire une sangria espagnol TREEES forte mais dont on ne sent pas l'alcool ( comme le malibu ananas ) bref, si j'écris des cônneuh-ries ou dérailleuh, excusez môua...
9[5] Question de point d'vue... ( Sinon, viens d'manger )
10[6] Et là tout le monde applaudit THE tournure de phrase, je l'ai placé ce zeugma, je l'ai fait . Quoi ? Personne n'en a rien à foutre ?
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