PETITE EXPLICATION...

1. tiens, prend ma cape et ...

1. Miss Granger, M. Malefoy ? Que faites-vous ici ? (c'était McGonagale qui
venait de parler)

1. Laissez-les Minerva, vous deux suivez-moi dans mon bureau.

1. Oui professeur, dirent deux dans une même voix.

Ils marchaient tous le long du couloir qui menait au bureau de Dumbledore, Draco et Hermione s'envoyaient à tour de rôle des regards remplis de désir, de passion, d'amour...

1. Chocogrenouille.

La gargouille se levait et tournait sur elle-même et ils montaient tous sur une marche. La gargouille se stoppa. Le directeur de l'école proposa sa main à Hermione pour qu'elle puisse monter les dernières marches de l'escalier en colimaçon. Elle l'acceptait mais elle ne savait pas la raison de ce geste. Ils rentraient tous les trois dans le bureau. C'était la première fois que Draco y entrait. Ils avaient l'impression d'être chez lui. Il s sentait bien dans cette salle. Il ne savait pas pourquoi mais il l'aimait cette salle.

1. Asseyez-vous mes enfants.

1. Merci professeur mais pourquoi vous avez tenu à nous voir Draco et moi.
( Même si Hermione pensait connaître raison de sa présence dans le
bureau elle posa la question. Sans même se rendre compte elle tenait
Draco par la main)

1. Et bien Miss Granger je suis très heureux de voir que vous vous être
rapprocher de M.Malefoy. Je voudrais savoir une chose Miss Granger,
quelle votre dernier souvenir ?

1. (Elle était surprise de la question) mon dernier souvenir ?? ( Elle
cherchait) Ah ! Oui, j'étais avec le professeur McGonagale dans le parc
et m'a dis qu'elle avait une dernière chose à faire et qu'elle
reviendrait dans cinq minutes. Donc après je me suis dirigée vers le lac
avec l'aide de Neville qui c'était levé tôt et il m'a dis qu'il reviendra
lui aussi dans cinq minutes. Ça ne pas paru louche et je me suis allongé
dans l'herbe et après je me suis endormi et j'ai fait un rêve assez
étrange.

1. Oui je vois, pouvez vous s'il vous plait me raconter ce rêve ?

1. Oui si vous voulez. Alors je me trouvais dans une énorme salle. En fait,
elle ressemblait étrangement à la salle commune de Gryffondore. J'étais
assise dans un confortable fauteuil et j'allais me lever quant je me suis
aperçue que j'étais en train d'allaiter un bébé. C'était une fille et
elle avait des yeux d'un bleu océan, des cheveux chocolat, elle avait un
visage très fin. Quant elle avait fini de manger je lui ai fait faire son
rot. Mais je ne sais pas faire faire les rots des bébés mais étrangement
là je faisais tout comme il fallait.

1. Je vois. Pouvez-vous attendre un instant s'il vous plaît ?

1. Oui mais pourquoi vouliez-vous que je vous raconte mon rêve ?

1. On verra ça dans quelque instant.

Il se levait et se dirigeait vers ses appartements. Il ferma la porte et on entendit un clac ! Comme si quelqu'un venait de transplaner ! Mais au moment où Hermione allait se lever Dumbledore entra dans la pièce. Il avait un regard désolé et malicieux.

1. Ecoutez-moi bien tous les deux. Je ne peux pas vous expliquer comment
mais le rêve que Miss Granger a fait n'est pas un rêve mais plutôt une
sorte de prémonition. En effet l'attaque des Détraqueurs n'a pas eut le
même effet que sur les autres personnes. Vous êtres une personne rare
Miss Granger, vous avez un don que peu de personnes ont ! Vous êtes
comment dire... une personne qui ...euh! je ne trouve pas les mots... a voilà
une personne pure. C'est-à-dire que même la plus horrible des créatures
s'attaque à vous, et bien vous aurez le pouvoir de le rejeté sans
problème.

1. Euh ! Professeur je ne comprends pas trop ce que vous voulez dire.

1. Pff ! ...( C'est un soupir) et bien disons que Voldemort s'attaque à
vous. Je pense que vous seriez terrifié mais votre cœur est si bon et vos
intentions sont si saines que se ne serez pas vous qui serez terrifiez
mais Voldemort oui. ( voyant qu'Hermione n'a toujours rien compris, il se
tourna vers Draco qui lui avait compris depuis le début)

1. Et bas c'est simple Hermione, tu es un ange. Non pas un ange parce que
les anges sont morts mais en gros tu portes en toi le pouvoir de bonheur,
d'amour, de guérison, de compassion tout comme les anges.

1. Ah! Je vois. J'ai lu quelque chose à propos des gens comme ça dans un
livre de la bibliothèque et je pense que vous deviez faire erreur parce
que les gens comme ça sont ...( ses yeux s'écarquillèrent jusqu'à
ressembler à des yeux de poisson!) Non, professeur il doit y avoir
erreur je n'ai jamais cou... ( ses yeux se tournèrent vers Draco qui ne
comprenait rien à ce qui se passait. Elle se rendis compte que sa main
était toujours dans la main de Draco et l'arracha avec forces). Ne me
touche plus jamais espèce de porc. Ne t'approche plus jamais de moi.

Elle se leva et courait vers la porte et la claque avec force. Draco ne savait plus très bien où il en était.

1. Professeur je ne comprends pas très bien. Pourquoi m'a-t-elle traité de
porc ? Je n'ai rien fait.

1. Vous comprendrez bien assez vite mon garçon.

Quelqu'un frappa à la porte et le professeur de métamorphose en compagnie de l'infirmière de l'école s'encadrait dans l'entrée.

1. Albus où est-elle ? il faudrait que je l'examine pour voir si c'est
vrai.

1. Oui c'est vrai Pompom, je crains que l'histoire que j'ai vu ne risque
de se réaliser.

1. Mais je croyais qu'elle allait devenir réaliser que dans une dizaine
d'année?

1. Oui, normalement mais je vois qu'ils se sont trompés.

1. Oui je vois mais leur but n'était-t-il pas de dévoiler tous ce qui se
passerait à l'école sur ce poin... M.Malefoy qu'est-ce que vous faites ici
?( c'était McGo)

1. Et bien le voici le créateur. Dumbledore le montra avec sa main comme
s'il était un accusé.

1. Et bien M.Malefoy vous pouvez être fière de vous. Je vous félicite.

1. Il n'est pas encore au courant Pompom. J'ai bien peur que vos
félicitations attendront un peu de temps.

1. Quoi ? Comment ça ? Quelles félicitations ?

1. Il est temps pour vous de retourner à votre dortoir M.Malefoy. Nous nous
verrons demain matin au petit déjeuner.

1. Mais...

1. Pas de mais M.Malefoy au lit et que ça saute.

1. Oui professeur McGonagale. Bonne nuit.

Draco ouvrait la porte du bureau que tous les professeurs, avec également Maugrey, Lupin et Tonks( qu'il ne connaissait pas d'ailleurs ) lui firent tous des compliments sur ce qu'il venait de faire.

1. Toutes mes félicitations mon garçon, vous voilà le créateur d'un... Angelo
! Dit Maugrey pendant son œil tournait dans tous les sens.

1. Mais je n'ai rien fait !!! Et c'est quoi un Angelot ?

1. De toute évidence il n'est pas au courant, Maugrey, dit Tonks sur un ton
en colère. Et bien jeune homme retourne vite te couché et surtout ne
tarde pas dans les couloirs.

Il descendait l'escalier en colimaçon et se retrouva nez à nez avec Rusard.

1. Alors mon garçon, on traîne dans les couloirs et d'après les dire vous
avez fait une énorme bêtise ! !

1. Taisez-vous espèce de sac à puce! Si vous croyez que vous me faites peur
vous vous mettais le doigt dans l'œil.

Rusard avait toujours eut peur des joueurs de Quiddich car ils étaient musclé et ils avaient une des ces forces !!!! . Arrivé dans la salle commune il se rendit compte que tous les regards étaient tournés vers lui avec dégoûts. Parky Pankinson pleurait sur l'épaule de Goyle et Crabbe s'approchait vers lui

1. Comment ça se fait que t'as fait ça ?

1. Que j'ai fait quoi Crabbe ?

1. Bas que tu as créé ce... truc ????

1. Quoi ? Qu'est-ce tu me raconte ? De toutes évidence il était choqué de
ce qu'il venait d'entendre.

1. Bas que la Sang-de-bourbe soit enceinte d'un Angelot ????

Et la Parky éclata en sanglots. Elle hurlait.

1. Quoi ? Qu'est ce que tu me raconte ? Moi j'ai fait ça ???

Draco était choqué. Comment ça se fait qu'il est créé ce... cette chose ?? Mais quelque chose le gênait un peu. Comment son père allait réagir en apprenant la nouvelle ? Et sa mère ? Mais avant il devait aller voir Hermione. Il ne savait pas pourquoi mais il devait la voir.

Le soir c'était couché depuis longtemps et il y avait déjà les lueurs de l'aube ! Il sortait de sa chambre et il se dirigeait vers la tour de Gryffondore. Arrivé devant le portrait de la grosse dame

1. C'est la première fois que je vous ici ! !! ! Quel est le mot de passe ?

1. Euh ! ...

1. Sans mot de passe je ne peux pas vous laisser passer. Dit la grosse dame
sur un ton ferme.

1. Je sais mais c'est urgent !!! Je dois absolument voir Hermione!!!

1. Je vous ai dis que sans mot de passe, je ne peux pas vous laisser
entrer. ( Elle le regardait de la tête au pied et elle avait vu l'emblème
de Serpentard.) Je vois que vous êtes de Serpentard, raison de plus pour
ne pas vous laisser entrer. Et maintenant retourner à votre dortoir ou
j'appellerais le professeur Dumbledore.

1. Bien sur madame ! ( il avait dis ça sur un ton agressif )

1. Oh ! Mais ce n'est pas la peine de me parler sur ce ton et quant je
parle j'aimerais qu'on me regarde !!!

Draco avait tourné le dos au portrait et il se dirigeait vers le coin gauche et dès qu'il était arrivé, il se colla dos au mur et il se laissait descendre vers le sol pour s'asseoir. Il était restait assis la tête entre les mains et repensait à ce que Crabbe lui avait dis :

1. Comment ça se fait que t'as fait ça ?

1. Que j'ai fait quoi Crabbe ?

1. Bas que tu as créé ce.... truc ????

1. Quoi ? Qu'est-ce tu me raconte ?

1. Bas que la Sang-de-bourbe soit enceinte d'un Angelot ????

mais comment j'ai fait ça ?? Tout est allé trop vite j'aurais du me protégé et pourquoi elle s'est laissé faire? Pourquoi elle ne m'a pas rejeté comme d'habitude ? Pourquoi ? Pourquoi ?

Il avait toujours la tête entre les mains quant il entendit un grincement comme un tableau qui se tournait. Il se levait et il regardait du coin de l'œil pourvoir c'était qui ! Hermione. C'était une Hermione triste, malheureuse et elle pleurait. Elle tenait entre ses mains une enveloppe. Elle se dirigeait vers le coin gauche elle aussi. Elle pris le tournant et se retrouva devant Draco qui la regardait avec de gros yeux.

1. Pousse-toi de la !

1. Non!

1. Pousse-toi j'ai dis ! J'ai des choses à faire !

1. Qu'est-ce que tu vas faire ?

1. Ça te regarde pas!

1. S'il s'agit du bébé je suis autant concerné que toi !

1. Peut-être mais de toute façon ce bébé ne sera plus dans quelque jour !

1. Quoi comment ça ? Tu vas faire quoi avec ?

1. Moi ? Je ne vais rien faire mais c'est plutôt un médecin qui va faire
quelque chose ! Et oui Draco je ne veux pas de ce bébé, je vais me faire
avorter !

1. C'est quoi ça ? Avroter ?

1. C'est pas avroter mais avorter et ça veut dire qu'un médecin va me le
prendre et après je ne serais plus enceinte de ... de cette chose qui comme
tu le dis t'appartient !

1. Non mais tu peux pas faire ça ???

1. Et pourquoi je ne le ferais pas ? Si tu crois que c'est toi qui va m'en
empêcher.

Pendant qu'elle disait ça phrase, elle commençait à se diriger vers le couloir d'en face en faisant tout pour éviter de reparler à Draco mais lui avait les réflexes d'attrapeur et donc il l'attrapa par le poignet.

1. Oh non je ne crois pas que tu vas faire ça !!!

1. Et pourquoi ? Tu crois que tu vas utiliser des formules pour m'arrêter ?

1. Oui je le crois IMMOBILUS !

Mais une chose incroyable c'était produit ! Le sort était arrivé juste devant le nez d'Hermione prêt à la toucher quant le jet de lumière ricochait sur la poitrine de celle-ci et partit s'abattre en force sur Draco qui lui était totalement figé. Il ne respirait pas, ses yeux ne bougeaient plus. Il restait là avec le regard surpris et la baguette en l'air !

1. Eh ! Si t'avais pris la peine de lire le livre que McGonagale nous a
donné en début d'année tu saurais que les femmes porteuses d'Angelot ne
peuvent pas être toucher et les sorts qu'elles reçoivent sont triplés et
retourne à la personne qui l'a envoyé ce sort ! Espèce de... gros bouffon !

Sur ces mots Hermione pris la route vers la volière. Arrivée là-bas elle pris Edwige et accrocha à sa patte la lettre qui allait être envoyer à ses parents. Edwige paraissait étonnée de la voir accrocher une lettre à sa patte alors qu'elle n'était pas son maître.

1. Ne t'inquiète pas Edwige ! Harry est au courant !

Edwige prit un air rassuré et hululait.

1. Ecoute-moi bien Edwige ! Tu vas le plus vite possible chez mes parents
tu connais déjà l'adresse, et si ma mère n'est pas là tu vas alors au
cabinet de mes parents à l'étage au-dessus et surtout et je dis bien
surtout tu ne vas pas voir mon père mais ma mère ok ?

Elle hululait avec un regard qui voulait dire qu'elle avait compris !

Elle sortait de la volière après s'être assurée qu'Edwige était bien partie ! Elle se dirigeait vers la tour de Gryffondore. Hermione regarda sa montre et elle vit qu'il était 7h25 et au lieu de se diriger vers la Grande salle Hermione courrait de plus en plus vite pour éviter de voir les autres élèves de Poudlard. Elle était arrivée devant le portrait de la grosse dame qui mangeait avec son amie Violette.

1. Pourquoi n'êtes-vous pas au petit déjeuner ma jolie ?

1. Parce que je me sens pas très bien !

1. Au oui je comprends très bien ma belle !

Et là Violette et la Grosse Dame commençait dans une discussion sur les risques qu'a une femme quant elle tombe enceinte. Hermione était plus qu'agacée d'entendre ses vieilles femmes parler de femmes enceintes alors que ces vielles biques étaient dans leur tableau depuis l'aube des temps (selon elle) . Alors elle prit la route vers le coin gauche et elle revenait à l'endroit où Draco était rester figé. Elle avait oublié que Draco était rester là et elle marchait vers lui sans se rendre compte qu'il était de nouveau comme avant. Alors elle pris le tournant et Draco était là devant elle. Il s'était redressé et on voyait toute sa musculature. Ses vêtements étaient à moitié déchirer et ses cheveux d'habitude si bien coiffé étaient dans un état épouvantable.