Une ombre dans la nuit
Depuis cette journée si spéciale avec cette jeune fille, Draco et Hermione n'avait eut aucun rapport que ce soit sexuel, amical ou bien de conflit. Ils avaient repris leurs occupation habituelles. Hermione dans la bibliothèque ou dans la salle commune des Gryffondor avec Harry, Ron et Ginny et Draco avait repris sa bande de copain si "intelligent" pour terrifier de nouveau les premières années. Ils ne s'étaient pas reparlés, ni-même revus. Même pendant les cours de potions et de méthamorphose communs, ils n'osaient pas se regarder.
Le dernier samedi du mois de mai, Ginny et Hermione se promenaient dans le parc près du bord de lac. Elles parlaient des garçons, de la fin des cours, de leurs vacances.
Hermione ?
Oui Ginny ? tu as vu comme est jolie le ciel aujourd'hui ? Sans nuage, d'un bleu azur, les oiseaux gazouillent, c'est bientôt la fin des cours, et ...
Hermione ? Tu vas bien ? Tu commences à m'inquiétée.
Quoi ? Oui, oui, je vais bien, c'est juste que... qu'il... il me manque !
Il ? Il ? Hermione, tu ne parles pas de... de Draco, risqua Ginny.
Non, Non bien entendu, non... bien sur... non...non, non ... enfin peut... non non. Non Ginny.
Tu es sur Hermione ? J'ai plus l'impression que essaye de te convaincre toi, plutôt que moi. Hermione ? Je te parle !!! Hermione !!!
Hermione n'entendait pas Ginny. Elles s'étaient assises par terre sur les racines d'un arbre pas très loin de l'eau. Hermione regardait droit devant elle. Elle ne clignait pas des yeux, elle regardait juste le ciel bleu, elle regardait les oiseaux voler sur le lac, elle regardait et elle voyait le visage de Draco. Draco, il lui manquait beaucoup. Elle aurait voulu être dans ses bras, sentir son après-rasage, plonger ses yeux dans les yeux de son amour. Elle aurait voulu dormir avec lui, faire de beau rêves.
Ginny, tu veux que je te dise un truc ? Je n'arrête pas de penser à lui, à Draco, de penser à son corps si brulant et si froid, à son regard si bleu et si profond. J'en peux plus Ginny, je l'aime et je ne peux pas m'imaginer sans lui.
Que veux-tu que je te dise Hermione ? Tu l'aime, il t'aime mais tu ne veux pas rester avec lui parce qu'il t'a fais un bébé, et aujourd'hui il est mort ton bébé !! (Ginny devint toute rouge et elle comprit qu'elle venait de dire une grosse bétise) Désolée Hermione, je ne voulais pas...
C'est pas grave Ginny. Mais il y a cette fille qui apparait souvent dans mes rêves, et je dois te dire qu'elle ressemble beaucoup à Draco; je me demande si ce qu'elle dit est vrai .
Je ne sais pas Hermione, je n'ai pas encore vécu se genre de chose et j'espère pas le vivre dans les cinq prochaine années. Je suis trop jeune et tu connais Ron, il serai prêt à tuer mon copain si jamais il sait que lui et moi ont... mais ne t'inquiète pas je n'ai pas encore fait !!!!!
Hermione entendait les paroles de Ginny mais elle n'y prêtait aucune attention. Elle regardait le ciel; elle ne s'était même pas rendu compte que Ginny était avec son petit ami derrière elle. Elle vit que le soleil déclainait, elle se leva, dit à Ginny qu'elle rentrait au chateau et qu'elle ne rentre pas trop tard. Elle marchait en regardant le chateau, ses cheveux étaient attachés par une petite barette grise, elle détacha ses cheveux et... BOUM !!!!! Elle venait de se prendre quelqu'un en pleine face !
Tu pourrais faire attention quand tu marches...
Hermione s'était soudain tu. Elle auraut voulu renversé tout le monde dans ce chateau, tous le monde sauf lui.
Ba! ça vas toi aussi tu devrais regarder où tu marches avant de poser un pied...
Draco aussi avait arrêter de parler brutalement. Enfin, en trois mois il avait enfin réussi à l'approcher, à la toucher, à lui parler.
Euh... Salut.
Apparement Hermione n'avait pas envie de rester avec lui pour l'instant car elle sait qu'elle ne peut pas se contôler. Elle commença à partir mais Draco l'avait attraper par le poignet, il lui mit son autre main sur sa bouche et il l'a plaqua contre l'arbre le plus proche. Il l'a regardait dans les yeux.
Tu me promets que si j'enlève ma main tu ne hurles pas ?
Hermione dit oui de la tête. Il enleva sa main, sa peau était si douce qu'il ne voulait pas du tout l'enlever.
Pourquoi t'a fais ça ?
Draco ne répondit pas. Il la regardait toujours. Hermione était comme hypnotisée, elle prit la main de Draco dans la sienne et leva sons genoux qui alla frapper Draco dans un endroit très sensible. Elle souria. Draco lui était en train de se tordre comme un poisson hors de l'eau par terre. Il contennait les cris mais sa peau qui d'habitude si blanche, était aujourd'hui rouge comme tomate. Hermione, debout, s'agenouilla prit la machoire de Draco entre son index et son pouce droit.
Je t'avais bien dit que c'était fini.
Hermione se leva et s'appreta à rentrer au chateau quand Draco, reprit son souffle et lui dit.
Tu comprends rien à rien ma parole. Au bal je me suis ridiculiser devant tous le monde pour te dire que je t'aime, et aujourd'hui aussi je te redis JE T'AIME HERMIONE GRANGER...
Ca suffit Malefoy, tu n'as toi non plus rien compris. Je t'ai dis que c'est fini entre toi et moi, et jamais, tu m'entends bien JAMAIS je reviendrais près de toi. Après tout ce que j'ai endurer à cause de toi... Aujourd'hui c'est fini, Malefoy, c'est fini...
Hermione qui au début était en train de crier avait baissée la voix, puis finit sa phrase en un murmure. Draco se releva avec beaucoups de peine et s'acouda à l'arbre. Personne, le parc était vide. Il vint juste de remarquer qu'il commençait à faire nuit. Il regarda sa montre et elle indiqua 23H03. Hermione était toujours planter là ou elle était rester. Elle fixa le sol.
Hermione, tu ne comprends rien. Je pensais pourtant que tu avais compris. Je t'ai montré mon amour tant de fois, je ne pense qu'a toi, je ne rêve que de toi. Tu ne veux pas comprendre que si moi, Draco Malefoy...
Bien voila, tu viens de mettre un nom au problème. Draco Malefoy. Tu es le fils de Lucius Malefoy, l'homme que je hais le plus après Voldemort. Son sang coule dans tes veines. Je ne veux plus me souiller pour toi. Tu ne m'as créer que des problèmes depuis que l'on se connait. Je ne veux plus jamais te revoir.
Sur ce, elle tourna les talons et courra jusqu'au chateau. Draco voyait sa sillouhette se dessiner devant la lumière qui sortait du chateau. Hermione tourna la tête pour voir Draco puis partit très vite. Elle montait les escaliers menant à la salle commune des Gryffondores. Elle s'arrêta devant le portrait et fit volte-face. Elle se trouvait en face de Harry et de Ron portant des livres de toutes sortes. Elle pensait à ce qu'elle vennait de dire à Draco, elle se rappella les moments passé en sa compagnie. Ensemble, ils entrèrent dans le trou.
Draco marcha jusqu'aux cachots et entra dans sa chambre. Il ouvrit la fenêtre et laissa l'air pénétrer dans la pièce. Il s'asseya sur son lit et repensa à la jeune fille qui, quelque mois auparavant était venu dans sa chambre. Au même moment même un hibou arriva dans sa chambre et se posa sur la chaise. Draco se leva et alla à la rencontre de l'animal. C'était un moyen-duc, un hibou de l'école. Il prit la lettre et la regarda de haut en large et de bas en haut. Il y avait le tampons du professeur Dumbledor. Il l'ouvrit et l'a lut.
Monsieur Malefoy Draco,
Laissez-moi le plaisir de vous confier votre nouvelle mission. Je suis vraiment très heureux de votre participation à notre groupe. Votre mission est de savoir où et quant les partisans de Voldemort vont se réunir et la raison de cette réunion. Vous partirez le 1er juilllet, vous devrez être à la gare du Près-Au-Lard à 11H00 précise. Vous irez en Espagne, au Portugal, en Italie, en Grèce, en Autriche, en Allemagne et enfin en France. Vous irez donc dans sept pays différents, une semaine pour chaque pays, vous m'enverrez des nouvelles chaque vendredi soir avec les informations en language crypté pour que personne ne puisse comprendre, les codes sont au verso du parchemin.La dernière semaine de aôut vous la passerez dans la maison de SIruis Black en compagnie de tout les membres de l'ordre pour une présentation complète de tous le monde.
Laissez-moi encore vous dire que je suis fièr que vous avez pris le bon chemin dans la vie.
Mes plus sincères félicitations,
Le professeur Dumbledor, Directeur de l'école de sorcellerie d'Angleterre, Poudlard.
Wouah!!! En France ?!! Mais c'est super !!! ouais c'est génial.
Il jetta la lettre sur le bureau et s'allongea sur son lit. Il pensait Hermione. Ses cheveux ébouriffés, sa peau douce, ses yeux mgnifiques... Il s'endormi sur l'image d'Hermione souriant. Quelque minutes après s'être endormi, un homme entra dans la pièce. Il était de noir vêtu, avec un capuchon sur la tête. On pouvait voir sa baguette brandi dans sa main droite et ses yeux gris briller dans la nuit. L'homme commença à parler tout bas comme pour ne pas qu'on l'entende.
Ainsi, tu as rejoins l'ordre du Phoenix, Draco. Tu me déçois beaucoup, mon maître ne m'a pas laisser le choix Draco. Ou c'est toi qui meurt ou c'est moi. Je sais que ta mère comprendra, mais là aujourd'hui je te laisse le choix de revenir auprès de ton père.
Lucius prit un coussin sur le canapé et le lança à Draco. Il était dans l'ombre de la pièce. Draco se réveilla en sursaut. Il scruta sa chambre mais il ne vit rien. Alors il se risqua à mentionner le prénom d'Hermione. Là, le père de Draco sortit de l'ombre et marcha très vite en direction du lit de Draco. Celui-ci parut très surpris. Lucius avait levée sa baguette.
Tu oses m'appeller par ce prénom de bourbe. Je croyais pour tant que tu détestais cette sang-de-bourbe. Et tu oses m'apeler comme cela ! Tu vas voir comment je me chauffe quant on m'appelle comme ça. Endoloris.
Draco, prit alors de convulsions poussa un hurlement à vous déchirer les entrailles. Ses muscles brullaient, il sentait ses os se briser, son coeur se mettait à battre plus vite, il avait l'impression ses des centaines d'aiguilles se planter dans la paume de sa main et sous ses ongles de mains et pieds.
A l'autre bout du chateau, Hermione se réveilla en sursaut. Elle tranpirait beaucoup et elle avait très froid mais elle se leva, mit un pull par dessus son pyjama prit sa baguette magique et sortit de la pièce avec précipitation.
Draco se tordait de douleur sur son lit. Son père avait toujours la baguette levé pointer sur Draco.
Hermione courrait très vite dans les escaliers. Au premier étage elle tomba sur le professeur McGonagall, le professeur Flitwick, le professeur Chourave et le professeur Dumbledore. Elle s'arrêta net quand elle vit les quatres professeurs.
Pourquoi donc n'êtes-vous pas dans votre lit, miss Granger ?
Hermione ne prit même pas la peine de répondre au professeur McGonagall et reparti en courant vers les sous sols du chateau. Les professeurs la suivèrent.
Draco, lui avait sessé d'hurler mais il tranpirait énormément et avait le souffle couper. Lucius s'avança plus près et monta sur le lit de Draco. Celui-ci était en train de convulser, et Lucius prit Draco par le bras et le jetta avec beaucoup de force à terre. Draco prit le rebord de sa table de nuit dans sa tête et ça eut pour effets de stoper les convulsions. Maitenant Draco avait mal à la tête et partout dans le corps il ressentait comme des coups de massus. Il resta allonger sur le sol, sans bouger, dans un rayon de lune. Il avait la tête vide, il ressentait toutes ses douleurs. Il se disait qu'il voulait que quelqu'un l'achève, que quelqu'un le tue, pour enfin en finir définitivement.
