Ce chapitre je voulais le dédier à une fille que j'adore par-dessus tout ou du moins par-dessus beaucoup de chose mais on m'a fait judicieusement remarquer que ce chapitre peu gai n'était pas bon à dédier. Désolé ma clem's d'amour de moua, je voulais t'offrir un chapitre pour ton anniv mais non seulement j'ai une semaine de retard mais en plus j'ai failli te dédier cette merde... sorry mon inaccessible puce.... vraiment désolé.

Réponses à quelques reviews :

Déjà merci à tous pour vos encouragements ! Je suis très content que vous aimiez et plus j'ai de review plus j'ai envie de continuer ! Donc là, je pense que je vais accélérer un peu le postage pour vous faire plaisir

Malicia Mason : Tjrs au rendez-vous ! C'est vrai tu l'as tjrs été... fidèle au poste... si le 90b t'a fait rire, c'est normal c'était pour stéréotyper tout ça ! Garçon comme fille ! ) enfin ! J'espère vraiment que le reste de la fic te plaira autant

Cél : Je suis trop trop content que cette fic te plaise (l) elle a été écrite expressément pour toi ! En ce qui concerne le passage où tu me demandes de faire de toi : « attache moi, fais de moi ta chienne, et baise moi ... » je dis pas non ! Par contre, je refuse de t'achever ! :no: Je t'adore ma ptiote margo (l) reviens moi vite ma ch'tite puce ! : ( (ptite note de la béta readeuse: reviens nous vite!)

Gody : je suis trop content que ça te plaise j'espère que tu continueras à lire ma fic ! )

Sephy : Merci pour le talent mais j'en ai pas réellement... ou bien alors, je l'ignore encore ! :-/

(Pour les autres, réponse dans les chaps suivants mais je vous ai tous lu croyez le bien et ça me fait très plaisir de vous lire ! merci beaucoup à tous)

Chapitre 3 – Pulsions Dévastatrices

Sirius Black... le troisième tombeur des quatre de Poudlard... Peut-être même le plus grand... Quoi qu'il en soit, son adversaire coureur de jupon avait eu, lors d'une conversation, l'audace de prétendre au titre de plus grand tombeur de Poudlard. L'arrogance et la vanité du jeune Black avaient, bien entendu, pris le pas sur sa raison et son bon sens et aussitôt ils s'étaient mis au défi pour le titre de plus grand tombeur de l'école. Le pari consistait, depuis le début de l'année, à voir qui coucherait avec le plus de filles différentes. Certaines ayant plus d'influence sur le score que d'autres puisque certaines jeunettes de l'école de sorcellerie étaient encore prudes et juvéniles, ne songeant pas encore à passer à l'acte. Mais Sirius et son rat puant d'adversaire, comme il se plaisait à l'appeler pour le taquiner, n'avaient pas l'intention de se contenter des filles qui couchent pour un oui pour un non. Ils leur fallaient des challenges, des filles intouchables ou d'innocentes jeunes vierges qui auraient encore peur de passer à l'acte et pour lesquelles, il leur faudrait être diplomatique et habile dans le langage pour les convaincre.

Bien entendu, comment faire confiance à un adolescent arrogant et présomptueux qui est en pleine compétition hormonale ? C'était impensable pour les deux garçons et il devait ramener pour preuve de bonne foi, une preuve de la coucherie qu'ils ont eue. Bien entendu, il fallait que la preuve montre clairement, sans ambiguïté à qui appartenait l'objet dérobé. Certaines filles étaient renommées pour la lingerie fine qu'elle se plaisait à exhiber par mégarde en se penchant devant un groupe de garçons afin de ramasser sa plume ou sa baguette. Elles aimaient faire tourner l'objet entre leurs doigts fins d'un air provocateur et subjectif devant les élèves, bouche bée qui mettent quelques instants à sortir de leurs fantasmes.

Voilà maintenant plusieurs heures que Sirius Black pense avoir définitivement battu son adversaire en couchant avec la fille la plus inaccessible du château et pourtant, de loin, la plus cochonne d'après ce qu'il avait vécu... il se rappelait parfaitement des mouvements de la jeune pucelle très douée pour sa première tentative... ses formes... mais ce n'était pas le moment de se remémorer ses souvenirs puisqu'ils n'étaient pas tout à fait bon... Et ce, malgré le talent caché d'Eva Heart... La bêtise de Sirius dépassait parfois son potentiel de tombeur de ses dames. Dans le feu de l'action, pris dans son ouvrage, occupé à butiner sa fleur, il avait totalement oublié de récupérer les sous-vêtements de la jeune fille... pourtant, il n'aurait jamais existé de meilleures preuves car toutes les filles vivant sous les toits du château lui enviaient ses dessous très féminins et qui, de plus, étaient très alléchant pour les pauvres adolescents condamnés à regarder sans toucher...

Mais quel andouille alors... il savait que cette fille détestait son adversaire et Sirius s'en mordait les doigts d'avoir été si tête en l'air... bien que par moment sa tête n'ait plus été en l'air mais bien en bas... enfin, il devait chercher une solution... après de mûres réflexions d'une durée maximale de 14 secondes et 23 centièmes, il avait échafaudé un plan qui le mettait de bonne humeur puisqu'il consistait à retourner voir Eva pour rejouer la scène de la veille... Malheureusement, Sirius n'avait pas tout prévu... encore fallait-il qu'il trouve la jeune brunette aux si jolis yeux verts... mais quand savait-il ? il n'avait jamais croisé son regard... ses yeux se portaient toujours sur la poitrine imposante et ferme de la jeune fille ou encore sur son arrière train rond, rebondi et invitant...

Emu... ou plutôt... excité par la pensée de refaire un galop d'essai avec elle, il se mit à courir dans les couloirs près de la salle commune des Serdaigles... Il faisait maintenant les cent pas devant la porte de la salle commune d'Eva... Après dix minutes d'attente, il réalisa que le jour n'était même pas encore levé. Il réfléchit un peu et songea qu'il avait laissé sa partenaire d'une nuit à la salle sur demande. Courant aussi vite qu'il put, dérapant à chaque tournant de couloir, glissant sur chaque dalle mouillée, il arriva à la salle sur demande essoufflé et rentra sans frapper dans la salle où la jeune serdaigle dormait paisiblement après la nuit de chevauchée magique qu'ils avaient passé. Lentement, sans un bruit, il s'approcha d'elle. Toujours aussi lentement, son cœur battant, il approcha son visage de celui de la belle au bois Dormant. La nouvelle sensation qu'il ressentait était indescriptible, la voir, paupière close, si vulnérable, si tendre, si douce avec son visage angélique, cela lui fendait le cœur. Doucement, se penchant sur elle, il approcha ses lèvres des siennes. Il sentait ses mains moites même s'il les avait posées sur le rebord du lit pour ne pas tomber. Mais lorsqu'il ferma les yeux pour donner ce baiser brûlant à la serdaigle, elle ouvrit les yeux et poussa un cri assez strident. Surpris, il tomba à la renverse tandis que ses yeux s'ouvraient de nouveau. La respiration saccadée, le souffle court et le cœur tambourinant dans sa poitrine, il venait de revenir à la réalité. Une fois de plus, il vit le visage dur et sévère de la jeune sorcière.

Cette fille était un démon lorsqu'elle était éveillée. Pourtant, elle était très belle dans ses habits sexy non réglementaires d'après le code vestimentaire de Poudlard. Et malgré son air dur, il lui trouvait quelque chose de très doux, de douloureux. Elle souffrait de son image sévère mais il la comprenait. Son physique l'obligeait à être rude parfois afin d'éviter de se faire assaillir par les garçons. Grâce à son air menaçant, peu de garçon osait se frotter à elle. Et ils ne savaient pas ce qu'ils rataient car Sirius avait adoré se frotter contre elle. Sa peau est douce et ses gestes sensuelles sous ses apparences dures.

Elle le regardait. Il savait qu'il allait devoir dire quelque chose mais il ne savait pas quoi répondre à son regard plein de haine qui l'interroger muettement.

Qu'est-ce qui te prend ? finit-elle par demander à haute et intelligible voix d'un ton dur qui montrait qu'elle le pensait trop bête pour comprendre que son regard était une question.

Réfléchissant à toute vitesse pour trouver un moyen de ne pas perdre la face devant elle, il songea à lui dire qu'il la trouvait belle et qu'il allait l'embrasser tendrement pour la réveiller mais il chassa bien vite cette idée devant le regard peu invitant de la jeune fille. Visiblement, elle n'était pas du matin.

Et bien... en fait, j'avais très envie de... commença-t-il peu sûr de lui.

Il stoppa net devant l'air ennuyé d'Eva. Elle prit le relais.

Je suis désolé d'avoir criée... Je... tu m'as surpris... tu as bien fait de me réveiller, je dois prendre une douche de toute façon avant d'aller en cours ce matin.

Mais euh... c'est-à-dire... je me suis dit qu'on aurait le temps de retenter une petite chevauchée, annonça le jeune garçon en affichant son plus beau sourire de tombeur.

Fronçant les sourcils, elle devait se demander pourquoi il était revenu alors qu'elle lui avait dit que ça serait la seule et unique fois.

Il me semblait t'avoir dit qu'on ne le ferait qu'une seule fois ensemble... J'ai une réputation moi....

Et voilà, ça n'avait pas loupé. Il aurait pourtant cru qu'elle aimerait recoucher avec lui. Elle semblait apprécier les mouvements de Sirius. Sans vouloir se vanter, il se trouvait plutôt bon pour ce genre de chose.

Oui je sais mais je suis dit que tu ne dirais pas non à un second tour, répliqua ce dernier d'un haussement d'épaule qui se voulait nonchalant mais qui devait passer pour une déception.

Eva éclata de rire. Mais ce n'était pas un rire gentil plutôt un rire moqueur et méchant. Sirius mit quelques secondes à réaliser qu'elle se moquait de lui. Ne sachant pas que dire, il la foudroya du regard comme un petit garçon impuissant regarderait une vilaine dame lui retirant sa sucette de la bouche.

Mon pauvre Siri ! Dit-elle finalement entre deux éclats de rire.

Elle se calma peu à peu et put parler sans difficulté.

Mais mon pauvre... tu es tellement présomptueux... tu crois que je suis ta poupée frivole ? Je ne suis pas une de tes fans enragés qui se touchent entre deux cours après t'avoir vu, gloussa la voleuse de sucette.

Le coup qu'elle venait de lui porter faisait très mal au jeune garçon blessé dans sa fierté d'étalon de Poudlard.

Ne crois pas que je n'ai pas aimé... disons que j'ai vu mieux... j'ai vu plus animal et plus sauvage... toi tu es un gentil toutou à la langue habile mais tu n'es pas quelqu'un qui sait chauffer les gens...

Sirius bouillonnait intérieurement. Ses paroles étaient insoutenables. Elle allait trop loin et elle le blessait trop profondément dans sa fierté de jeune homme. Non ! Dans sa fierté d'homme tout simplement. Elle allait le regretter. D'un mouvement vif et rapide, il bondit sur ses pattes arrières et se retrouva assis à genoux sur l'abdomen d'Eva qui, surprise, étouffa un cri dans un soupir.

Nous allons voir qui, de nous deux est le plus animal, annonça Sirius, une lueur de haine et de sauvagerie dans les yeux.

Il plaqua les mains d'Eva sur le lit en les tenant avec une seule de ses puissantes et larges mains. Souriant d'un air mauvais, il arracha la chemise de la jeune fille. Elle cria lorsque le tissu vola à travers la pièce mais le jeune garçon posa un doigt sur les lèvres pulpeuses de l'adolescente.

Si tu cries d'autres choses que de jouissance, je te ferais regretter d'avoir couché avec moi la première fois, lui dit-il doucement d'une voix traînante.

Déposant un baiser sauvage sur les lèvres d'Eva, il la mordit au coin de la bouche avec sauvagerie. Un fin filet de sang coula alors sur les lèvres rouges et pulpeuses de sa victime. Souhaitant profiter pleinement du corps qui lui était offert, il retira son pantalon sans la lâcher et avança sur elle, arrivant au niveau de sa poitrine toujours enfermée dans sa cage en tissu célèbre dans toute l'école. Avec des gestes lents et langoureux, il retira également son soutien gorge qu'il mit dans sa poche aussi discrètement que la position le lui permettait. Il était très excité par la situation et il retira ses derniers vêtements malhabilement.

Tous deux étaient nus désormais, elle prisonnière de ses mains puissantes, lui ne sachant plus trop quoi faire. Sans hésiter plus longtemps, il s'allongea sur elle en faisant bien attention de lui écarter les cuisses. Elle se débattait et à plusieurs reprises, Sirius envoya ses genoux calmer ses cuisses. Il savait qu'il lui faisait mal et elle l'implorait d'arrêter mais il ne voulait rien entendre. Il n'avait rien à dire sur ce qu'il faisait. C'était parfaitement légal à ses yeux. Il commença enfin un lent et douloureux va et vient en elle tandis qu'elle gémissait. Agacé par ses pleurnichements, il tira un coup sec sur ses cheveux pour la faire taire. Mais bien au contraire, cela ne fit qu'accroître ses pleurs. Finalement, il eut raison de ses cris en la labourant de plus en plus vite. Il se sentait bien en elle mais la sensation était bien différente de la première fois. Plus amère sans doute.

Il la fit se lever et il la mit à genoux, à même le sol froid. Présentant son membre devant sa bouche, il lui libéra les mains et la tint par les cheveux pour l'empêcher de s'enfuir. Sans attendre plus longtemps, il engouffra son membre raide dans sa bouche. Elle comprit bien vite qu'elle devait de son mieux car les va et vient qu'elle faisait avec ses mains devinrent de plus en plus langoureux. Chaque fois que son tortionnaire trouvait la chose mal faite, il la rappelait à l'ordre en tirant sur ses cheveux.

Même si elle était nerveuse, elle mettait tout son talent et toute la concentration possible dans son travail. Il la sentait nerveuse pourtant et elle faisait grossièrement le tour de son membre, de peur qu'il ne soit pas content sans doute si elle venait à être trop lente. Et en effet, Sirius était assez pressé de satisfaire ses envies.

Après un long moment, ne sachant plus quoi lui faire faire, il se mit à la pousser contre le mur mais par malchance, elle se cogna violement la tête contre le mur et par réflexe elle lui envoya son petit poing dans la figure. A peine revenu de sa surprise, et plus par colère que par raison, Sirius lui renvoya sa baffe. Elle tomba au sol, le visage légèrement coupé par les ongles du jeune homme.

Paniqué, Sirius sortit de la chambre en courant, aussi vite qu'il le put. Et il courut encore dans les couloirs, comme s'il avait la mort aux trousses ou le diable sur les talons. Il ne regarda pas derrière lui jusqu'à ce qu'il s'arrête. De bon matin, il ne croisa personne. Naturellement, on était dimanche matin. Personne ne faisait de jogging dans les couloirs à cette heure là, à part le jeune Black.

Essoufflé, il se laissa glisser le long d'un mur et se retrouva le menton posé sur ses genoux et ses bras autour de ses jambes serrées contre lui. Mais qu'avait-il fait... un viol ! Ses remords étaient lourds de sens. Il avait un minimum de conscience, il avait abusé d'un être humain, il s'était montré violent. Sa tête tournait ou peut-être était-ce le couloir. Sa vision trouble... c'était pire qu'un meurtre... son cœur palpitait dans sa poitrine... c'était un hors la loi... son pouls battait à ses tempes... il allait aller à Azkaban pour ça... sa bouche tressaillait et ses dents claquaient... il avait laissé ses pulsions le détruire...la détruire...

Dans un dernier effort pour sortir de son cauchemard, il se leva et parcourut le chemin dans l'autre sens. Il ne regardait pas où il allait mais il connaissait tous les couloirs de ce château quasiment et peu de choses auraient pu le surprendre. Il ne craignait plus Rusard car à l'heure qu'il devait être, personne n'aurait rien à lui reprocher.

Après une marche forcée qui lui parut trop courte, il se retrouva pour la troisième fois cette nuit dans la pièce où se tenait Eva. Elle pleurait, assise contre un mur, les jambes repliés, le front posé sur ses genoux. Lorsqu'elle l'entendit, elle releva la tête et le regarda avec ses yeux pleins de larmes. Sans savoir pourquoi, le jeune garçon se jeta contre elle en pleurant, implorant son pardon et sa miséricorde entre deux sanglots. Il passa doucement sa main sur sa plaie pour la réconforter. Mais elle repoussa sa main également. Il tenait à s'excuser et elle tenait à ce qu'il la lâche et qu'il s'en aille. Tous deux finirent par se calmer et ils se regardèrent, Eva lui expliquant qu'elle allait porter plainte au directeur. Il tenta habillement du chantage... lui demandant si elle avait besoin de lui comme esclave, il lui dit qu'il exécuterait tous ses ordres, tous ses souhaits, qu'il serait prêt à mourir pour réparer son ignoble erreur. Elle sembla hésiter tandis qu'il proposait d'être son serviteur mais sa raison prit le dessus et elle se leva, tremblante et grelottante. Sirius se leva à son tour et courut lui chercher une couverture pour la lui mettre sur les épaules. Lentement, en le regardant dans les yeux, elle fit tomber la couverture à ses pieds avant de lancer d'un ton impérieux qu'elle n'avait nullement besoin de l'aide d'un criminel.

Elle sortit de la salle d'un pas hésitant et peu sûr, sa blessure à la joue toujours ouverte et suintante, laissant Sirius dans le plus grand désarroi.

Après quelques instants passés à contempler le sol de la salle, Sirius sortit à la suite de la jeune fille victime de ses ardeurs. D'un pas cérémonieux, presque en rythme avec une marche funèbre très célèbre dont l'air venait de lui revenir. Comme un condamné à mort, traversant le couloir fatal, il ne tressaillait pas. Il savait que son sort était scellé, que sa vie ou plutôt que sa réputation était d'hors et déjà détruite.

Finalement, il arriva devant le tableau bien trop vite à son goût... désespéré, il préféra s'asseoir et attendre son adversaire ici même. Peu pressé d'annoncer à ce rat son abandon, il attendit là, sans rien dire, sans rien faire. Le temps passait très lentement mais il savait d'ores et déjà que le temps passait malgré tout beaucoup trop vite à son goût.

Après plusieurs minutes de silence lourd de sens à ses oreilles, le tableau pivota. Il n'en revenait pas que ce jeune puant gagne à sa place cette compétition. Le tableau s'arrêta à quelques centimètres de son visage. Il pouvait tout de même voir les jambes du nouvel arrivant. Aucun doute là- dessus, c'était bien lui. Il laissa échapper un gémissement bien malgré lui lorsque le tableau se referma et qu'il vit le visage de son concurrent...

NDLR : Ce chapitre n'a qu'un seul but : montrer que le sexe n'est pas un jeu et que le viol reste, même dans des récits, un acte abominable, une attaque à l'humanité et à la féminité. Un acte que je trouve affligeant et dégradant quand on sait que 4 hommes sur 5 seraient prêts à violer une femme si ce délit n'était pas condamné par la justice.