Blabla de moi : Bien, le troisième chapitre, plus court que les
deux premier, mais je n'ai pas pu faire autrement, le beau Sirius se
meurt toujours d'amour pour la douce Loann. Bref, il fait trop chaud,
et je suis carrément en manque d'inspiration pour mon blabla, le soleil
m'a grillé le cerveau... A moins, que ce ne soit l'amour... Va
savoir... Lol... Bien en espérant que vous aimerez, place aux réponses
aux reviews.
Ana : première pour le premier chapitre, et pour le deuxième aussi, tu passe ta vie sur ? Lol. En tout cas, merci beaucoup, je suis contente que ma fic te plaise. Tu verras, dans ce chapitre, Sirius est à deux doigts de toucher le but... Mais quelque chose l'an empêche, va savoir quoi...
Ithylwin : Bien sur que Loann va craquer. On craque toutes pour Sirius non ??? Maintenant, elle sait se faire désirer la belle. Mdr... Mais c'est ça la clé, faut se faire désirer, les mettre à genoux. Lol... Et oui, je pense que la fic aura une fin heureuse. Mais rien que l'ambiance est déjà plus joyeuse que dans Souffrances... Je sais, vous allez me dire que c'était pas dur. Mdr
Sln : Et oui, c'était vache d'arrêter là. En plus la suite s'est fait attendre. Lol. Mais je suis sadique, tout le monde le sais ça.... Mdr
Jo : Lily/James fait parti de l'entourage de Sirius, donc oui, ça va être développé, mais pas dans les moindres détails. Ce sera vu toujours du point de vue soit de Sirius soit de Loann, je ne pense pas faire les points de vue de James ou Lily... Enfin, tout peut arriver.
Nonora : Lol, oui, Loann est aussi mon moi virtuel. En fait, toute les « femmes » de Sirius sont mes mois virtuels... Du moins, celles qui sortent de mon esprit. Mdr... Biz à toutes et à tous. Jess
Disclamer : la fabuleuse histoire d'Harry Potter appartient tout entière à JKR.
Chapitre 3 : Les frères ennemis
Sirius et son frère Regulus étaient face à face, chacun soutenu par son clan. Les serpentards d'un côté et les trois autres maisons de l'autre. Regulus avait déjà sorti sa baguette et la tenait menaçant son frère.
- Déconnes pas Regulus, j'ai deux ans de plus que toi, et je connais beaucoup plus de sortilège. Même ceux que nos chers parents nous ont appris. Quoi que j'en dise, pour monter les mauvais coups, c'est toujours utile d'être un Black... Rien de tel que la magie noire.
- Tu es toujours aussi arrogant Sirius. Tu le regretteras un jour. Fais attention aussi à ceux en qui tu crois pouvoir faire confiance. Je me flatte d'être un bon juge de la nature humaine. Et je juge que tu n'es pas digne de lacer mes chaussures.
Des éclats de rire fusèrent autour de lui. La joute était lancée. Sirius tenait sa baguette fermement dans sa main. Mais ne visait pas son frère, contrairement à celui-ci qui accumulait tellement de tension que des étincelles commençaient à apparaître au bout de sa baguette en ébène. Qui allait gagner?
La joute des frères ennemis de l'école Poudlard, une des attractions favorites de tous les élèves. Même si l'issue était souvent la même. Sans crier gare, Regulus utilisa le sortilège de désarmement en direction de son frère.
- Expelliarmus
Mais celui-ci s'y attendait.
- Protego... Tu me déçois Reg'. Tu crois vraiment que je vais me laisser avoir par un sort que toutes les premières années savent manier ?
- Tu te crois vraiment le meilleur hein Sirius... Essaye de parer ça... Freccio !!!!
Sirius ne vit rien. Il commença à rire. Rien ne s'était passé. Le sort était resté sans effet. Quand soudain, une douleur lancinante lui transperça la poitrine. Il cessa de rire. Regarda son torse. Une flèche était plantée en travers de sa poitrine. Le sang coulait à flot. Il regarda son frère à nouveau.
Des cris d'horreur s'élevaient de toute part. Regulus avait utilisé un sort de magie noire. Interdit dans l'école. Sirius sentait peu à peu ses forces le quitter. Regulus riait. James, Remus et Peter regardait Sirius, les yeux agrandis sous l'effet de la surprise. Sirius, lui, ne réagissait pas. Sa baguette retomba sur le sol. Et lui tomba peu de temps après. Sa vue se brouillait. Il tomba à genou. Il essaya de retirer la flèche, mais plus sa main s'approchait, plus la flèche s'enfonçait profondément dans la chair.
Le professeur Dumbledore suivi du professeur McGonnagall arriva après s'être frayé un passage. Le directeur analysa la situation rapidement, le regard passant de Sirius à terre, soutenu par ses amis, à son frère, hilare, en face de lui. Son regard se fit sévère.
- Mr Regulus Black, vous êtes convoqué dans mon bureau pour usage d'un sortilège de magie noire ayant pour but la mort de votre frère. Ne soyez pas étonné d'être renvoyé.
- Albus...
Le professeur McGonnagall était penché sur Sirius, de plus en plus pâle. La flèche toujours plantée dans son cœur.
- Allez chercher Pompom au plus vite Minerva. On ne peut pas enlever cette flèche manuellement. Et je ne suis pas qualifié pour ça. On ne peut pas non plus le déplacer. La flèche rentrerait plus profondément encore. Faites au plus vite, professeur.
Le professeur McGonnagall se leva et couru en direction de l'infirmerie. Sirius, était allongé sur le sol. Ses yeux tentaient de faire le point, difficilement. Il discernait vaguement James et Remus penchés sur lui à sa droite. Puis il tourna la tête à gauche. Quelqu'un était penché sur lui. Le professeur Dumbledore ? Il cligna des yeux. Non, pas de barbe ni de cheveux blancs. Ce n'était pas le directeur.
Des cheveux bruns tombaient en cascade, entourant un visage d'ange... Un ange ? Oui c'était un ange qui se trouvait devant lui. Il mourrait alors ? C'était ça la mort ? Ce n'était pas comme il pensait. C'était doux. Il leva la main et toucha son visage. Il la touchait, elle était donc réelle ? Qui était-ce ? Des yeux bleu océan le regardait, son visage, puis sa poitrine. Elle prononça des mots qu'il ne saisit pas tout de suite. Puis la douleur de la flèche transperçant sa poitrine se fit de nouveau ressentir. Seulement, cette fois, la flèche quittait son corps. Il cligna des yeux. Ce visage. Il connaissait ce visage. Il ne l'avait pas quitté des yeux de toute la soirée.
- Loann...
Loann, en effet, était penchée sur lui, pratiquant des sorts de guérison. C'était sûrement son père qui les lui avait appris. Elle était douce, tellement douce... Sa main effleurait son visage, essuyant la sueur qui perlait à cause de la souffrance. Le sang avait arrêté de couler, mais il en avait perdu beaucoup. Elle souriait. Elle lui souriait à lui. Ses yeux se fermèrent. Il n'avait plus aucune force, vraiment aucune.
Madame Pomfresh arriva peu de temps après. Loann se leva, laissant sa place à l'infirmière. Sirius rouvrit les yeux. Sa vision était beaucoup plus claire désormais. Il tourna la tête dans la direction de Loann, mais quelle ne fut pas sa surprise de découvrir l'infirmière. Il soupira, vidé. Son ange était parti, mais avait-elle été au moins réellement l ou l'avait-il rêv ? Il s'endormi pendant que l'infirmière le faisait léviter pour qu'il gagne ainsi l'infirmerie.
Ana : première pour le premier chapitre, et pour le deuxième aussi, tu passe ta vie sur ? Lol. En tout cas, merci beaucoup, je suis contente que ma fic te plaise. Tu verras, dans ce chapitre, Sirius est à deux doigts de toucher le but... Mais quelque chose l'an empêche, va savoir quoi...
Ithylwin : Bien sur que Loann va craquer. On craque toutes pour Sirius non ??? Maintenant, elle sait se faire désirer la belle. Mdr... Mais c'est ça la clé, faut se faire désirer, les mettre à genoux. Lol... Et oui, je pense que la fic aura une fin heureuse. Mais rien que l'ambiance est déjà plus joyeuse que dans Souffrances... Je sais, vous allez me dire que c'était pas dur. Mdr
Sln : Et oui, c'était vache d'arrêter là. En plus la suite s'est fait attendre. Lol. Mais je suis sadique, tout le monde le sais ça.... Mdr
Jo : Lily/James fait parti de l'entourage de Sirius, donc oui, ça va être développé, mais pas dans les moindres détails. Ce sera vu toujours du point de vue soit de Sirius soit de Loann, je ne pense pas faire les points de vue de James ou Lily... Enfin, tout peut arriver.
Nonora : Lol, oui, Loann est aussi mon moi virtuel. En fait, toute les « femmes » de Sirius sont mes mois virtuels... Du moins, celles qui sortent de mon esprit. Mdr... Biz à toutes et à tous. Jess
Disclamer : la fabuleuse histoire d'Harry Potter appartient tout entière à JKR.
Chapitre 3 : Les frères ennemis
Sirius et son frère Regulus étaient face à face, chacun soutenu par son clan. Les serpentards d'un côté et les trois autres maisons de l'autre. Regulus avait déjà sorti sa baguette et la tenait menaçant son frère.
- Déconnes pas Regulus, j'ai deux ans de plus que toi, et je connais beaucoup plus de sortilège. Même ceux que nos chers parents nous ont appris. Quoi que j'en dise, pour monter les mauvais coups, c'est toujours utile d'être un Black... Rien de tel que la magie noire.
- Tu es toujours aussi arrogant Sirius. Tu le regretteras un jour. Fais attention aussi à ceux en qui tu crois pouvoir faire confiance. Je me flatte d'être un bon juge de la nature humaine. Et je juge que tu n'es pas digne de lacer mes chaussures.
Des éclats de rire fusèrent autour de lui. La joute était lancée. Sirius tenait sa baguette fermement dans sa main. Mais ne visait pas son frère, contrairement à celui-ci qui accumulait tellement de tension que des étincelles commençaient à apparaître au bout de sa baguette en ébène. Qui allait gagner?
La joute des frères ennemis de l'école Poudlard, une des attractions favorites de tous les élèves. Même si l'issue était souvent la même. Sans crier gare, Regulus utilisa le sortilège de désarmement en direction de son frère.
- Expelliarmus
Mais celui-ci s'y attendait.
- Protego... Tu me déçois Reg'. Tu crois vraiment que je vais me laisser avoir par un sort que toutes les premières années savent manier ?
- Tu te crois vraiment le meilleur hein Sirius... Essaye de parer ça... Freccio !!!!
Sirius ne vit rien. Il commença à rire. Rien ne s'était passé. Le sort était resté sans effet. Quand soudain, une douleur lancinante lui transperça la poitrine. Il cessa de rire. Regarda son torse. Une flèche était plantée en travers de sa poitrine. Le sang coulait à flot. Il regarda son frère à nouveau.
Des cris d'horreur s'élevaient de toute part. Regulus avait utilisé un sort de magie noire. Interdit dans l'école. Sirius sentait peu à peu ses forces le quitter. Regulus riait. James, Remus et Peter regardait Sirius, les yeux agrandis sous l'effet de la surprise. Sirius, lui, ne réagissait pas. Sa baguette retomba sur le sol. Et lui tomba peu de temps après. Sa vue se brouillait. Il tomba à genou. Il essaya de retirer la flèche, mais plus sa main s'approchait, plus la flèche s'enfonçait profondément dans la chair.
Le professeur Dumbledore suivi du professeur McGonnagall arriva après s'être frayé un passage. Le directeur analysa la situation rapidement, le regard passant de Sirius à terre, soutenu par ses amis, à son frère, hilare, en face de lui. Son regard se fit sévère.
- Mr Regulus Black, vous êtes convoqué dans mon bureau pour usage d'un sortilège de magie noire ayant pour but la mort de votre frère. Ne soyez pas étonné d'être renvoyé.
- Albus...
Le professeur McGonnagall était penché sur Sirius, de plus en plus pâle. La flèche toujours plantée dans son cœur.
- Allez chercher Pompom au plus vite Minerva. On ne peut pas enlever cette flèche manuellement. Et je ne suis pas qualifié pour ça. On ne peut pas non plus le déplacer. La flèche rentrerait plus profondément encore. Faites au plus vite, professeur.
Le professeur McGonnagall se leva et couru en direction de l'infirmerie. Sirius, était allongé sur le sol. Ses yeux tentaient de faire le point, difficilement. Il discernait vaguement James et Remus penchés sur lui à sa droite. Puis il tourna la tête à gauche. Quelqu'un était penché sur lui. Le professeur Dumbledore ? Il cligna des yeux. Non, pas de barbe ni de cheveux blancs. Ce n'était pas le directeur.
Des cheveux bruns tombaient en cascade, entourant un visage d'ange... Un ange ? Oui c'était un ange qui se trouvait devant lui. Il mourrait alors ? C'était ça la mort ? Ce n'était pas comme il pensait. C'était doux. Il leva la main et toucha son visage. Il la touchait, elle était donc réelle ? Qui était-ce ? Des yeux bleu océan le regardait, son visage, puis sa poitrine. Elle prononça des mots qu'il ne saisit pas tout de suite. Puis la douleur de la flèche transperçant sa poitrine se fit de nouveau ressentir. Seulement, cette fois, la flèche quittait son corps. Il cligna des yeux. Ce visage. Il connaissait ce visage. Il ne l'avait pas quitté des yeux de toute la soirée.
- Loann...
Loann, en effet, était penchée sur lui, pratiquant des sorts de guérison. C'était sûrement son père qui les lui avait appris. Elle était douce, tellement douce... Sa main effleurait son visage, essuyant la sueur qui perlait à cause de la souffrance. Le sang avait arrêté de couler, mais il en avait perdu beaucoup. Elle souriait. Elle lui souriait à lui. Ses yeux se fermèrent. Il n'avait plus aucune force, vraiment aucune.
Madame Pomfresh arriva peu de temps après. Loann se leva, laissant sa place à l'infirmière. Sirius rouvrit les yeux. Sa vision était beaucoup plus claire désormais. Il tourna la tête dans la direction de Loann, mais quelle ne fut pas sa surprise de découvrir l'infirmière. Il soupira, vidé. Son ange était parti, mais avait-elle été au moins réellement l ou l'avait-il rêv ? Il s'endormi pendant que l'infirmière le faisait léviter pour qu'il gagne ainsi l'infirmerie.
