Blabla de moi : Je suis agréablement surprise, finalement, j'ai réussit à finir ce chapitre plus tôt que prévu. Je n'en reviens pas moi-même. Donc, je vous le mets maintenant. C'est un chapitre qui vous fera plaisir je pense. Lol. Mais je vous rassure, même si ça en à l'air, ce n'est pas la fin. D'ailleurs, certain d'entre vous, on découvert comment je voulais finir l'histoire. Effectivement quelqu'un va mourir. D'ailleurs, ça fait quelques chapitres déjà que je laisse des indices... Allez vous trouvez ??? Mais bon, je viens de lâcher quelques parties de l'intrigue, je suis désolée, alors je vais arrêter là. Mais je ne dirais rien de plus, même pas dans les réponses aux reviews... Mais bon, on ne sait jamais....
Greenouille : Arf, David... Personne n'a jamais réussi à prouver sa culpabilité, parce que c'est quand même très subjectif... Mais bon, ça fait un défaut dans ma fic, parce que je vois plus comment inclure un châtiment maintenant... Désolée désolée désolée... Je le referais plus... Voilà, en tout cas, t'as pas trop attendu. J'ai écrit ce chapitre très rapidement. Faut encore que je trouve des petites choses pour introduire le prochain... Lol.
Sln : Et oui, j'aime bien les cris du cœur, et généralement, ça fait rarement du bien, mais ça permet d'évacuer un peu ce que tu récents, surtout quand tu as très mal, comme lui. Faut prendre ça comme une soupape de cocotte minute... Ca fait un bien fous de crier comme ça. Bon, ça fait pas du bien à la gorge et à ceux qui ont leurs oreilles prêt de toi, j'en conviens, mais à ce moment là, t'en a tellement gros sur le cœur, que tu ne pense qu'à évacuer tout ça. J'ai souvent recours à ça, alors tu peux me croire. Bon, ça ne va pas beaucoup beaucoup mieux après, mais c'est toujours ça de gagner. Et ce que j'ai eu, je dirais que c'est encore pire, j'ai jamais eu beaucoup de chance en amour. C'est aussi pour ça que j'écris ces fics, je vis un amour un peu par procuration. Mais quelque part, je trouve que ce qu'à vécu Loann est encore supportable, car elle est sortie avec l'homme qu'elle aimait. Moi, ils se sont tous servis de moi, me faisant espérer, sans jamais rien me donner, ça fait encore plus mal, car tu n'as aucun souvenir heureux. M'enfin, je deviens mélancolique là... Et ce n'est pas bon, parce que si je commence à raconter ma vie, on n'en finit pas. Lol. Et puis, comme disent mes copines, mes histoires de cœurs, ça ferait un best-seller, alors, vaut mieux pas que je commence...
Agua : Comment ça je suis sadique ??? Mais non, tu te fais des idées. Mdr. Non, si, je suis un peu sadique... C'est vrai, je le concède. En tout cas, oui, le pendentif existe. C'est le mien. Lol. Je le trouvait magnifique, alors je l'ai inclus dans la fic. Je l'ai trouvé à Carcassonne où j'ai passé mes vacances. Dans une boutique où il n'y avait que des objets en rapport avec les mythes et légendes. J'étais trop heureuse, et je voulais plus en sortir. Ma mère m'a acheté plein de choses. Lol... En tout cas, j'y retourne volontiers, mais c'est quand même à 800 kms de chez moi. Snifff.... En tout cas, c'est vrai, dans cette fic, personne n'est mort... Pour l'instant. Mais tu peux facilement deviner qui va mourir. Lol, je te laisse chercher.
Mantéia : Oui j'ai msn... Je t'ai envoyé mon adresse par mail. Tu l'as reçue ??? Au fait, j'adore ton pseudo...
bubblegum712 : T'es pas drôle, tu devines tout le temps la suite. Je vais bouder. J'ai un style si transparent que ça ??? C'est pas juste, je fais des efforts pourtant... Réponse au comportement de Aaron dans ce chapitre... Et, bien sur qu'il lui en veut un peu. Mais comment montrer qu'on en veut à quelqu'un quand ce quelqu'un en question à l'air si désespéré ??? En tout cas, moi je peux pas.
USHermy : Arf, ben toi aussi t'as réussi à trouver la suite. Sniff. Je vais remballer mes stylos moi. C'est pas juste, tout le monde devine la suite. Oui elle va repousser un peu sa mort... Lol...
Bien, j'attends vos reviews pour ce chapitre là. Et le premier qui trouve le point important de ce chapitre il a gagné... Lol. Mais j'ai pas de récompense... En tout cas, comme je vous l'ai annoncé dans le blabla du chapitre précédent, c'est presque la fin, d'ailleurs, le prochain chapitre sera le dernier. Snifff... J'ai pas envie... Faut que je vous trouve des citations. M'enfin, celle de Souffrance marche bien ici aussi :
Il aimait la mort, elle aimait la vie ; il vit pour elle, elle est morte pour lui.
Je crois même qu'elle va mieux pour cette fic que pour l'autre. Bon, en tout cas, j'arrête le blabla ici, parce que c'est de loin le plus long que j'ai jamais écrit... Désolée... Je ne sais même pas si vous le lisez... Bref. Bonne lecture. Biz. Jess
Disclamer : Rien n'est à moi, tout est à JKR. J'écrit pour le plaisir et n'en tire aucun profit si ce n'est la satisfaction de voir que ça vous a plu.
Chapitre 17 : Réveil
Loann et Sirius étaient dans la chambre qu'ils occupaient un peu clandestinement à Poudlard. Et même si Dumbledore connaissait cette chambre, il tolérait que les deux jeunes gens l'occupent. Ils étaient couchés dans le lit, Loann sur Sirius, elle le taquinait. Il essayait de l'embrasser, mais à chaque fois, la jeune fille esquivait les lèvres de Sirius. Elle jouait, elle riait, Sirius aussi, mais il commençait à être frustré. Il faisait une moue boudeuse à chaque fois que Loann l'évitait, faisant redoubler le rire de la jeune fille. Sirius aimait son rire clairet, il fallait l'avouer, il aimait la faire rire. Encore une fois, il essaya de l'embrasser, elle fut prise un peu au dépourvue et, quand il frôla ses lèvres, il cru toucher au but. Mais, malheureusement pour lui, elle esquiva au dernier moment, dans un éclat de rire. Il fronça les sourcils, lui entoura la taille d'un bras et lui maintient les mains au dessus de sa tête avec l'autre main. Il retourna la situation et se coucha sur elle.
Elle ne riait plus, mais lui souriait, de ce sourire si tendre qu'il le mettait en transe. Il lui lâcha les mains et caressa son visage. Elle ferma les yeux pour savourer la douceur de la main du jeune homme. Il la regardait, fasciné. Il se pencha vers elle, elle ne bougea pas. Il frôla son front de ses lèvres, ses yeux, son nez. Il suivait toutes les lignes de son visage, comme un doux hommage à sa beauté. Et enfin, il captura sa bouche et enfin, ils s'unirent dans un baiser, une explosion de douceur.
Sirius ouvrit les yeux. Il était adossé au mur, au pied du lit de Loann, cela faisait deux jours qu'il ne bougeait plus, refusant de se lever, d'aller en cours, refusant de la quitter. Il fermait les yeux, s'enfermant dans ses souvenirs, comme un appel muet pour faire revenir sa nymphe. Loann.
La porte de l'infirmerie s'ouvrit, le tirant de ses rêveries. Il ne tourna pas la tête, même quand il senti quelqu'un s'asseoir à côté de lui. Il savait bien qui s'était, en fait, il avait deux possibilités, soit Dumbledore, soit Aaron Stone, le père de Loann. Il gardait la tête baissée, pliant sous le poids de la culpabilité.
- Sirius, combien de fois devrais-je te dire qu'elle n'aimerait pas te voir ainsi ?- Rien de ce que vous direz ne pourra me faire changer d'attitude. C'est de ma faute si elle est là. Je suis entièrement responsable. Comment voulez-vous que je sourie dans ses conditions ?
- Sirius, Loann m'a écrit ce qu'il s'est passé. Elle se blâmait elle-même, elle blâmait sa naïveté, sa faculté de faire confiance au gens sans vraiment les connaître. Seulement vois-tu, Loann a un don, elle sait lire au plus profond des gens, elle devine leurs intentions, leurs sentiments.
- Je sais, elle lisait en moi comme dans un livre ouvert. Je n'avais pas besoin de lui parler pour lui dire ce que je ressentais.
- Oui, avec toi, cette faculté est décuplée par les sentiments qui vous unissent. Elle t'aimait Sirius, et je t'en veux d'avoir douter d'elle. Mais je lui en veux à elle aussi. Elle a accordé sa confiance trop facilement, sans avoir pu discerner ce que ce David voulait. Elle a baissé sa garde et s'est confiée à un inconnu.
- Parce que je la délaissais. Encore une fois c'est moi qui suis à blâmer.
- Nom de Dieu Sirius, arrête de culpabiliser. Ca ne sert à rien, parle lui, dis lui ce que tu ressens, elle t'entendra, elle reviendra.
- Je l'ai déjà fais.
- Alors tu lui as donné une raison de se battre. Elle reviendra. Elle ne mourra pas.
- J'ai peur. J'ai peur de la perdre.
- La peur ne t'aidera pas. Je te croyais plus fort que ça Sirius.
- Je ne suis qu'un enfant sans elle. Elle m'a appris tant de chose, elle m'a fait grandir, elle m'a fait mûrir. Je ne veux pas la perdre. Je ne survivrais pas à sa perte.
- Tu ne la perdras pas. Ce n'est pas encore l'heure pour elle de partir. Elle le sait, tu le sais. Sois fort Sirius, tu dois te battre, pour elle, pour vous.
- Je n'arrive pas, je n'ai moi non plus, plus envie de me battre...
- Dans ce cas, elle mourra. Elle a besoin de toi, de te savoir à ses côtés, elle a besoin de se sentir soutenue, elle a besoin de se sentir aimée. Et toi seul peux lui offrir ce dont elle a besoin. Mon amour de père ne peut plus rien. Bats-toi pour elle. Fais le pour elle, fais le pour moi, je n'ai pas envie de la perdre, et le fait que je ne puisse rien faire ça me tue. - Je peux te garantir une chose Sirius. Si tu ne fais rien pour l'aider à se sortir de là, je te le ferais regretter toute ta vie. Je le jure sur mon honneur.
Sur ces mots, Aaron Stone se leva, laissant Sirius méditer ses paroles. Sirius avait le sentiment que la culpabilité qui pesait sur ses épaules s'était un peu envolée. Il releva la tête et essuya ses larmes. Le capitaine avait raison, il ne devait pas se laisser aller. Il devait se battre, pour elle. Il devait la soutenir, l'aider à remonter la pente. Il se releva, et s'assit au bord du lit, il lui saisit la main et pencha la tête qu'il posa sur le ventre de Loann.
- Loann, ne meurt pas. Je t'en prie, ne m'abandonne pas. Je ne dors plus tellement je me languis de toi, de te serrer à nouveau dans mes bras. J'ai peur. Si peur de te perdre. Je n'en dors plus. Reviens-moi... Bats-toi.
Ses yeux se fermaient tous seuls. Il avait du mal à les garder ouvert. C'est vrai qu'il ne dormait plus. Peut-être une heure par nuit, pas plus. Mais là, le sommeil gagnait de plus en plus de terrain. Il était si bien ainsi, contre son ventre. Il sentait les battements de son cœur. Il les entendait. Ils étaient encore faibles, mais régulier et beaucoup plus fort que l'avant-veille. Loann reprenait des forces. Il accueillit cette révélation comme un cadeau du ciel. Sa Loann reprenait des forces. Dieu soit loué. Il ferma les yeux, et s'endormit, bercé par les battement réguliers du cœur de celle qu'il aimait.
Loann était toujours endormie, fidèle à elle-même, belle sans même le vouloir. Elle revivait chaque instant de sa vie, l'absence de son père, la mort de sa mère, la torture de sa belle-mère, sa rencontre avec Sirius, tout ce qu'elle avait vécu avec Sirius, son Sirius. Elle l'avait perdu, elle ne voulait plus se battre, pourtant, elle entendait quelqu'un l'appeler... Cette voix... Elle connaissait cette voix. Qui était-ce ? Puis soudain, elle revit cette vision d'horreur.
Il était devant elle, il lui tournait le dos. Elle coura vers lui, en l'appelant de toutes ses forces, mais quelqu'un la retint soudain, l'empêchant d'avancer davantage, la maintenant à distance, prisonnière. Elle devait le rejoindre, elle devait le rattraper, l'empêcher de commettre cette folie. Mais il semblait si loin maintenant, tellement loin. Elle criait son nom. On la retenait, lui tenant les bras, elle se débattait comme une forcenée. Il ne l'entendait pas ou du moins, ne se retournait pas. Il marchait, continuant dans sa voie. La distance qui les séparait cessa enfin d'augmenter, il s'était arrêté. Soudain, Sirius sortit sa baguette. Elle arrêta de se débattre. Il y avait quelqu'un qui lui faisait face à Sirius, le visage cagoulé. L'individu masqué le menaça et Loann sentit son cœur se serrer sous le pressentiment qu'elle ressentait. Elle se débattit encore plus et finit par se libérer, elle courut vers lui, criant son nom. Trop tard. L'individu masqué avait déjà prononcé le sort. Elle entendit sa voix, une voix de femme. Elle arriva trop tard, et ne put qu'empêcher le corps de Sirius de heurter durement le sol. Elle le tenait dans ses bars, sans vie. Son cri déchira la terre sous ses pieds, elle tomba, Sirius toujours dans ses bras.
Loann ouvrit brusquement les yeux. Les battements de son cœur s'étaient accélérés. Elle avait refait ce cauchemar, il ne s'était cette fois fallu qu'un tout petit instant pour qu'elle puisse le sauver. Une larme coula sur sa joue. Elle était faible, elle ne sentait plus ses membres. Elle voulu lever ses mains, ce fut alors qu'elle senti quelqu'un qui tenait sa main droite, une tête posée sur son ventre. Qui était-ce ? Elle tenta de relever la tête. Elle fit un effort surhumain et pendant une fraction de seconde, elle vit une masse de cheveux noirs, et une partie d'un visage qu'elle reconnaîtrait entre mille. Elle laissa retomber sa tête. Sirius, il était là. C'était lui qu'elle avait entendu, il l'avait appelée. Elle sourit, une larme de joie coulant sur sa joue. Elle l'essuya doucement de sa main gauche, décidemment, elle pleurait beaucoup en ce moment. Elle reposa sa main sur la tête de Sirius, et lui caressa les cheveux. Il sourit dans son sommeil et ouvrit lentement les yeux, encore endormi. Il la regarda comme si son souhait le plus cher s'était réalisé. Il n'en croyait pas ses yeux. Loann, sa Loann était réveillée. Il avança la main, et eut un sursaut de surprise quand il la toucha, comme s'il s'attendait qu'elle disparaisse. Elle ferma les yeux sous sa caresse, comme à son habitude. Il se laissa submergé par l'émotion, une larme coula sur sa joue. Il s'approcha d'elle et saisit son visage des deux mains. Il avança son visage. Plus rien ne bougeait autour d'eux. Ils étaient seuls au monde, lui et elle. Rien d'autre ne comptait. Il posa ses lèvre sur celles de Loann, ils furent tout les deux parcourut par un intense frisson de bonheur. Ils s'étaient enfin retrouvés, ils étaient enfin à nouveau réunis...
- Pardonne moi... Pardonne moi d'avoir douté de toi. Pardonne moi de t'avoir abandonnée. Pardonne moi Loann. Je t'en supplie pardonne moi.- Tu n'as rien à te faire pardonner. Tu es revenu, j'ai eu tellement peur de t'avoir perdu.
- Tu ne m'as jamais perdu, tu ne me perdras jamais. Jamais tu entends. Toi et moi on ne se sépareras jamais plus. Promets-moi.
- Je te promets.
Il la serra contre lui, quand Madame Pomfresh arriva, hystérique.
- Elle est vivante, elle s'est réveillée. Mr Black, vous auriez du venir me chercher immédiatement.- Mais Madame on avait...
- Je m'en fous....
- Et vous Miss Stone, ça va pas de faire ça, vous nous avez fait bigrement peur.
- Je suis désolée...
- Désolée ? Vous êtes désolée !!!
Ce fut à ce moment que la porte s'ouvrit, laissant la place à Aaron Stone et au professeur Dumbledore. Aaron se précipita pour serrer sa fille dans ses bras.
- Et bien Pompom, que ce passe-t-il ?- Elle est désolée !!!! Comme si ça pouvait tout pardonner...
- Venant de Miss Stone... On lui pardonne tout...
Et il sourit à sa jeune élève, qui était un peu gênée d'avoir causé du souci à tant de monde. Aaron lâcha enfin sa fille :
- Pourquoi as-tu fais ça ?- Je me sentais seule... Pardonne moi papa...
- On avait tellement peur que tu ne veuilles plus te battre...
- Je ne voulais plus me battre, mais après... J'ai entendu quelqu'un m'appeler. Et je n'ai pas résisté...
Loann sortit de l'infirmerie pour le week-end, qu'elle passa avec Sirius, à discuter de tout et de rien, à s'embrasser et à s'aimer dans leur chambre, qu'ils ne quittèrent pratiquement pas, sauf pour manger, et encore, il arrivait qu'ils demandent aux elfes de maison de les servir dans la chambre. Ils voulaient rester seuls, ne laisser personne troubler leur tranquillité. Ils laissèrent quand même entrer Lily, James, Lisa et Remus. Leurs relations se resserraient encore et, pendant le reste de l'année, tous les six étaient devenus inséparables, révisant ensemble, mangeant ensemble. Ils ne se séparaient qu'à contre cœur, pour suivre les cours, Lisa et Loann étant encore en 5ème année. L'année se termina ainsi, alternant rire et discutions.
Et bien voilà, encore un chapitre qui se termine. Ceux et celle qui ont lu Souffrances se rappellent peut-être, à l'avant dernier chapitre, j'avais mis quelques citation qui illustraient assez bien la fic. Je remet l'une d'elle ici, que je trouve sublime, je l'ai déjà mise plus haut, mais je ne m'en lasse pas : Il aimait la mort, elle aimait la vie,
Il vit pour elle, elle est morte pour lui.
En voici d'autres :
L'amour n'est pas une relation, mais un état d'être.
La mesure de l'amour, c'est d'aimer sans mesure.
