Neuhhhhhhh! 3ème Chap enfin la ! Et une fois de plus il est entièrement pour toi Méli lol ! Aller bonne lecture!

POV des Maraudeurs quelques instant avant la fin du cour

- C'est la meilleure celle-la ! Je me demande ce qui a bien pu passer par la tête de Dumby cette fois-ci ! dit James

- Bah tu le connaît, il a toujours des idées foireuses, et notamment, il ne s'est pas amélioré dans le choix des profs de DCFM ! dit Sirius ennuyé, je pari 10 Gallions qu' on l'a rend dingue avant la fin de l'année, se tournant vers Remus et Peter, il ajouta, je compte sur vous aussi.

Peter s'empressa d'acquiescer, Remus prit plus de temps a répondre mais affirma lui aussi être de la partie. Avec un mince sourire il se tourna vers la nouvelle prof. Il sentait confusément que cette fille n'était pas comme les autres, et il en avait eu la certitude lorsqu'elle avait dit a Sirius d'aller tenter se chance du coté de McGonagall. De plus, son odeur lui rappelait quelque chose mais il n'arrivait pas a trouver quoi.

- Je pari même, que nous seront les premiers a découvrir d'où elle vient, ajouta James avec détermination, Parole de Maraudeur !

POV de Lily quelques instant avant la fin du cours

Enfin une qui ne se laisse pas marcher sur les pieds, songea Lily avec satisfaction. Ils avaient eu une sorcière comme prof en 5ème année, celle-ci était tombée sous le charme des Maraudeurs et laissait passé toute leurs bêtises.

- Je sent que cette année ne sera pas de tout repos, glissa Mary, assise juste a coté d'elle, en regardant les Maraudeurs complotés dans leurs coins.

- En effet, elle a frapper fort juste au début de l'année, elle a remis Malefoy deux fois a sa place et elle a gentiment envoyée balader M. Regardez-moi-je-suis-presque-aussi-tête-enflé-que-Potter. J'ai hâte d'être au prochain cours, je ne regrette pas ,avoir pris cette option finalement ! dit Lily avec un large sourire.

Retour a Avada

La cloche sonna.

- M. Snape, pourriez-vous rester un instant s'il vous plait, une idée complètement folle venait de germer dans ma tête.

Le jeune homme hocha la tête et nous attendîmes en silence que la classe se vide, je remarquait au passage, que le futur maître des potions, n'était pas encore passer maître dans l'art de cacher ses émotions, la méfiance se lisait sur son visage.

- Ma requête va sans doute sembler étrange mais il n'y vraiment qu'a vous que je peut m'adresser, le directeur m'a informer que vous excelliez en potion et, j'aurai un petit travail a vous confiez, je vous donnerai tout les détails ce soir, venez ici a 19h, je vous rassure, venir me voir ne vous engage a rien, vous avez le droit de refuser mon offre mais je vous demande de m'écouter avant de repousser ma proposition, vous me rendriez un grand service, maintenant, dépêcher vous, il ne faudrait pas que vous soyez en retard, dis-je en lui souriant.

Je le regardait partir, et je ne pouvait m'empêcher de penser au Severus qui avait courageusement combattu a nos cotés, l'homme antipathique d'avant la guerre était devenu un ami que je chérissait, et qu j'ai vu partir comme beaucoup d'autre. Je ne pensait pas a Severus l'espion, le traître a Voldemort, non simplement l'homme, l'homme merveilleux qu'il avait été.

Comme cours suivant, j'avait des troisième année qui, quoique surpris, m'acceptèrent beaucoup mieux que les 7ème années. Je sautait le déjeuner, et prenait des notes assise a mon bureau. L'après midi fut un peu plus ardu, les 6ème année ont aussi mal digéré la nouvelle que les 7ème année, faut dire que la pilule était amère, vous trouviez amusent vous de vous retrouver avec une prof de votre age alors que vous savez que vous aller devoir travailler comme des malades pour seulement atteindre 1/12 de sa puissance ? Et bah eux aussi l'ont pas trouvé très drôle.

- Sarcastique, rappelle moi qu'au prochain cours de DCFM des 5ème année en montant, je doit leurs faire la morale.

- Ouais, ouais, j'ai hâte de voir ça ! elle eu une sorte de ricanement sadique et dit, prévient moi si tu a besoin d'aide.

Mon dernier cours était celui des Gryffondor, Serdaigle de 1ère année, je ne sait pas ce que les plus grand leurs ont racontés mais les petits sont rentré dans la classe en tremblant comme des feuilles, et sursautait au moindre de mes mouvement. Au bout d'une heure ils ont fini par comprendre que je ne l'ai attaquerait pas par surprise et ce sont finalement détendus. Aller savoir pourquoi, mais j'avait une idée très clair de qui avait bien pu terrorisé mes élèves, et pour ça, j'allait me venger.

J'avait décider de leurs faire essayer un simple sortilèges de désarmement, je ne m'attendait pas a grand-chose mais j'aurai peut-être du prendre mes précautions. Un petit garçon un peu trop enthousiaste, a fait éclater une vitre et la fillette qui se trouvait a coté de lui, a éclater en sanglot, et lorsque je l'ai prise dans mes bras, elle n'a plus voulu me lâcher. Son petit corps était secoué de long sanglot, elle ne pleurait pas a cause de la vitre, c'était quelque chose de profond et la vitre n'avait servi que de déclencheur.

La cloche du dîner sonna, et la petite Eliza toujours désespérément accroché a mon cou, je guidait mes jeunes élèves en direction de la grande salle. En me voyant entré, Albus me lança un regard amusé et je haussait les épaules fataliste mais lui retournait quand même un grand sourire. Je regardait mes élèves aller s'assoirent a leur tables respectives, les nommant tous mentalement, 32, le compte était bon. Puis je demandait a Eliza si elle voulait aller s'assoire toute seule, elle me fit un regard suppliant. J'avait compris le message, je repérait donc deux places libres près de mon groupe de 1ère année et me frayant un chemin entre les deux tables je les rejoints. Je me laissait tomber avec gratitude sur ma chaise. Eliza me lança un regard de remerciement, puis elle me fit un timide petit sourire, a ma grande surprise, elle ne prit pas la place a coté de moi, au contraire, elle resserra ses petits bras autour de mon cou.

Je crois que c'est la manière qu'elle avait de se serrer contre moi qui m'a mit la puce a l'oreille, quand mes parents sont morts, j'ai eu a peu près le même reflex, sauf que Severus n'a pas été franchement ravi de m'avoir suspendu a son cou en pleurant comme une Madeleine.

- Qu'est-ce qu'elle a ? demanda Lily qui s'était glissé sur la chaise libre a coté de moi.

- Je ne sais pas si je vais faire une grosse gaffe, mais si oui, tu m'accompagne jusqu'à l'infirmerie, dis-je a la jeune fille, puis doucement, je demandait a Eliza, ils sont morts cet été ?

Les yeux de la petite fille se remplirent a nouveau d'un océan de larmes, elle semblait complètement désespérée.

- Tante Jo...casta a dit que... je ne devait... pas pl..euré, sinonnn, ils ne m'ai...merait plus ! Maisss je... peut plus arrêter, dis Avada... est-ce ...que mes parents ... me déteste ?

Je le regardait choquée, puis je tentait de la rassuré, je lançait un regard a Lily qui semblait aussi choquée que moi. Resserrant mon étreint autour de la fillette, je me levait précipitamment et suivi de Lily, je courais vers l'infirmerie. Pomfrey compris la situation au premier coup d'œil et un instant plus tard, Eliza reposait sur un lit, littéralement assommée par la potion calmante que l'infirmière lui avait fait ingurgité.

- Comment as-tu su pour ses parents ? me demanda Lily alors que nous revenions vers la grande salle.

- J'ai eu a peu près la même réaction, sauf que mon prof de potion n'a pas trouver très amusant le fait que je lui pleure dans les bras, dis-je avec un sourire, me remémorant la grimace dégoûter de Severus, c'était une simple observation, rien de très sorcier la dedans, ajoutai-je avec un clin d'œil, je te laisse ici j'ai quelques petites questions a poser a Dumbledor.

Je bifurquait dans un couloir et me dirigeait vers la gargouille de pierre, perdue dans mes pensées, je ne remarquait pas les cinq personnes qui se disputaient un peu plus loin. Mais je n,eu d'autre choix que de m'en apercevoir lorsque Severus fit un vol planer et m'atterrit dessus.

- Aïeeee ! Snape? lui demandai-je en me frottant l'arrière du crâne, j'allait sûrement avoir une belle bosse, Ah tiens vous êtes la vous aussi ! Tu pourrait te lever Snape ? T'es pas vraiment léger !

Le jeune homme se dépêcha de se lever, toujours assise par terre, je leurs lançaient mon regard a glacer les Mangemorts, avant même qu'ils aient pu dire quelque chose, la gargouille de pierre pivota pour laisser place au directeur, Fumsek sur l'épaule. Le regard sombre, il observa la petite assemblée.

- Ceci vient d'arriver pour vous Avada, devant mon regard surpris il expliqua, 2004.

Je me saisi du parchemin qu'il me tendait et je le déroulait vivement, alors que je lisait, Fumsek vint se poser sur mon épaule.

« Ma chère Avada,

je t'écrit en ces heures sombres pour te confier la plus importante des tâches, les frontières ont été franchies, Voldemort s'est emparé du Ministère et bientôt, l'école tombera sous son contrôle.

La résistance faiblie de jour en jour, les dernières attaques ont fauchées grand nombres de nos compagnons, l'Ordre est décimé petit a petit. Ta présumé mort a été dur a supporter pour tout le monde. Tous te croyait invincible, ils ne savaient pas a quel points ils avaient raison, tu a survécu, et Avada tu es notre dernier espoir.

Harry et Draco ont été fait prisonnier, et nous n'avons aucune idée ou Voldemort a bien pu les cacher. Vous trois étiez nos plus grand espoir, il ne reste que toi, et plus que jamais tu devra travailler. Je sais que ce que je te demande est beaucoup au regard de tout ce que tu a enduré, mais l'avenir de l'humanité en dépend.

Je te demande de bien préparé tes élèves, d'après ce que je me rappelle, la bataille aura lieu juste avant le mois de Juin. Et surtout, n'abandonne pas tes recherches sur la potion de contrôle, plusieurs de tes essaie pourrait trouver une tout autre utilité.

Avec tout mes espoirs

Albus Dumbledor

p.s. Garde Fumsek avec toi. »

- Merde, murmurai-je, Fumsek lança une série de trille et quittant mon épaule, il s'envola par la fenêtre, je glissait précipitamment la lettre dans ma poche, Et bien, je crois que je vais avoir beaucoup a faire cette année ! dis-j en me relevant, M. Snape, oubliez ce que je vous ai demandé ce matin. Auriez-vous quelques instant a m'accorder Albus ?

- Bien sur, venez, dit le vieil homme en s'engageant dans les escalier, je le suivait comme une somnambule.

STOP ! La vous devez sûrement tous me traiter de sans cœur. Et je vous comprend, qui ne pleurait pas en apprenant que deux de ses meilleurs amis sont sûrement mort ? Mais non je ne pleurait pas, j'ai déjà trop pleuré, je ne pleurait plus, pas tant que tout cela ne sera pas fini. Alors la, je pleurait, j'évacuerait toute la peine que j'ai en moi. Je ne m'autoriserai pas a m'épancher avant que j'ai vu cette espèce de sadique qui s'est autoproclamé Lord, mourir dans d'atroces souffrances, je ne pleurait pas tant que je ne l'aurait pas vu se tordre de douleurs sous l'effet de Doloris répété. Tant que je n'aurai pas venger tout ceux qui ont péri pour l'ambition d'un seul homme je garderai tout en dedans.

La question est : Suis-je folle ? Je dirai que oui et non.

Oui, toute cette douleur que j'emmagasine est la seule et unique chose qui me garde en vie, je ne vit que dans l'espoir du jour ou je pourrait m'assoire par terre et pleuré tout mon saoul et me dire que c'est fini que je n'aurai plus a me battre, seul ce mince espoir m'aide a avancer jour après jour.

Et non, je suis trop lucide de mes actes pour être tout a fait folle, tout dépendamment des actes bien entendu, une personne qui se jette a la tête de 10 Mangemorts, toute seule, n'est pas quelqu'un que l'on pourrait considéré comme sain d'esprit.

M'enfin assez parler de mes états d'âmes, nous somme arrivé au bureau du directeur. Cette pièce n'a décidément pas changer en 30ans ! Les portraits des anciens directeur sont toujours la a observer les étudiants avec curiosité, le vieux choixpeau magique est installer sur une haute étagère et Fumsek est toujours au même endroit, sur son perchoir en or.

- Je n'avait pas l'intention de vous en parler quand je suis arrivé ici, et si j'avait le choix, je ne vous dirait rien, mais cette fichu lettre change tout, commençai-je, je crois, que vous devriez vous assoire et la lire, ensuite je répondrait a vos question, dis-je gravement en lui tendant le parchemin.

Je pouvait voir son expression changer au fur et a mesure qu'il lisait, la missive, d'abord, de la concentration, ensuite de l'étonnement, puis finalement son visage se fit sombre.

- Si je n'avait pas vu le phoenix, je vous aurai sûrement fait interner a St Mangouste, dit le directeur, avec gravité, je crois que vous aurez beaucoup de travail cette année jeune fille, et je ne peut m'empêcher de me demander si vous y arriverez seule, mais si mon futur vous a confiez cette mission, c'est que sûrement, vous êtes aptes a la remplir, et je puis vous assurez, que si vous avez besoin d'une quelconque aide, vous pourrez toujours comptez sur moi.

- Il y aurait quelque chose que vous pourriez faire pour moi des maintenant, dis-je hésitante, j'ai toujours été nulle en potion, et sauf votre respect je doit avouer que votre actuel maître des potions ne m'inspire pas confiance, j'aimerai que vous parliez a M. Snape pour moi, je connais ces talents en potions, et je sais qu'il me sera d'une aide précieuse. Mais si c'est moi qui lui demande son aide, j'ai bien peur qu'il ne refuse d'emblé.

- Je parlerai a M. Snape demain matin, vous devriez vous aller vous reposez Avada, même si vous ne le montrez pas, je sais que cette lettre vous a ébranlez.

- Merci Albus, je vous souhaite une bonne nuit, dis-je hochant la tête avec reconnaissance, j'espère pouvoir comptez sur l,' ide de M. Snape a partir de demain, je dirai que mon cas est assez pressant, fini-je avec un pauvre petit sourire.

- Oh Avada ! Une dernière question !

- Oui ?

- Vous ne m'en direz pas plus sur ce qui se passe ?

- Non, lui répondis-je doucement, vous en savez déjà beaucoup trop, a vrai dire, vous en avez toujours beaucoup trop su, fini-je dans un murmure.

Sur ce je quittait le bureau du vieil homme.

Le lendemain matin 8h30

- Sarcastique ? Tu croit que je peut faire confiance aux Snape de ce temps ? demandai-je anxieusement a ma « chère » confidente.

- Ne t'inquiète pas pour ça, tu n'aura qua lui faire le coup du Fidélitas sans qu'il le sache, dit nonchalamment le Poltergeist.

- Arghhhhh, Sarcastique quelque fois je me demande si tu a vraiment passé plus d'un siècle dans une école de Sorcellerie ! Pour faire le Fidélitas j'ai besoin du consentement de Snape !

- Tu peut toujours essayer le serment des trois clefs,....

- Hummmm, ce n'est pas une mauvaise idée, mais, reste le problème de la troisième clé,..., dis-je, anxieuse.

- Le plus facile serait de demander a Dumbledor, mais....

- MERCIIIII !

Je me précipitait en direction du bureau du directeur, et par chance, ou malheurs, prenez le comme vous voulez, je croisait un Snape furieux qui en sortait justement, sans lui laisser le temps de parler, je le saisissait par le bras et l'entraînait de nouveau vers le haut du long escalier en forme de spiral, je sais pas pour vous, mais moi, ça m'a toujours donner mal au cœur. Je cognait a la porte et sans attendre la réponse je poussait le battant de bois. Fort heureusement, le directeur était seul.

- Que puis-je faire pour vous de si bon matin, Avada ? me demanda, aimablement le directeur sans tenir compte de la manière dont j'avait fait mon entré.

- Pouvez-vous être ma troisième clé Albus ? lui demandais-je en reprenant mon souffle.

- Par Merlin ! Qu'est-ce que vous aller faire avec un serment des trois clefs ? me demanda-t-il effaré.

- Euh..., je vient seulement d'y pensez, dis-je en rougissant, mais je doit dire des choses a M. Snape qui, dirons-nous, hum, l'aideront beaucoup dans sa nouvelle tâche.

Le directeur hocha la tête, et sortit un parchemin et une plume, il me les tendit, je m'assit quelques instant, puis je me mit a écrire a toute vitesse, je relevait la tête quelques instant plus tard satisfaite, sur la feuille de parchemins on pouvait lire :

« Par les trois clefs seront liés,

les trois destinées.

Gare a les changées,

Elle pourrait, contre vous, se retournez.

Par le sang elles seront scellées,

A jamais sous un même cachet ciré.

Que le secret par les trois clefs gardé,

Ne soit jamais dévoilé. »

- Et maintenant avant, que nous ne scellions le pacte, je vous dirai ce que vous devez savoir. Ce que vous aurez a faire M. Snape, c'est de préparé les potions dont je vous donnerai les recettes, ce que je tente de faire, c'est d'amélioré une potion tue-loup, et j'ai presque réussi. Vous devez savoir que je suis la reine des plans foireux, et qui comme par miracle, réussissent la plupart du temps, dis-je avec une grimace. J'ai un ami loup-garou, et la raison pour laquelle j'ai commencer a faire des recherches sur cette potion, est que je voulait lui donner une chance d'avoir une vie normal. Je suis peut-être folle, mais pour les besoins de l'expérience, je me suis fait morde par un loup-garou, et j'ai entrepris les test sur moi-même, dis-je mon regard passant de Dumbledor a Snape, je continu a me transformer les soirs de pleine lune, mais je suis aussi inoffensive, qu'un gros Labrador. Et la dernière fois que j'ai testé une potion, le résultat en fut assez surprenant, je ne suis plus un loup-garou, mais disons une forme d'animagus incomplète, les transformations ont encore des ratées, mais je peut dire que si je continu, cette potion sera ce qui est arrivé de mieux après le Quidditch ! Tout loup-garou verrait son statut passé de monstre a celui de loup-animagi contrôlé, quelques petit ajustement et j'aurai fini voila pourquoi j'ai besoin de vous M. Snape, terminai-je avec un regard suppliant envers mon élève.

- Brillant, tout simplement brillant, souffla Albus, ses yeux bleu, pétillants de malice, je vous félicite, Avada, et je crois savoir que M. Snape vous apportera son aide, dit-il en tournant son regard vers le jeune homme qui poussa un grognement, maintenant, tendez moi vos mains, il est temps de scellé se pacte.

Nous tendîmes tout deux nos mains au directeur, qui nous entaillât chacun un doigt. Retournant ma main, je laissait tomber une goûte de sang sur le parchemin, Snape fit de même ainsi que le directeur, qui roula ensuite le parchemin, y fit couler un peu de cire et y apposa le sceau de l'école.

- Je crois me souvenir que vous avez tout deux cours, et que vous êtes en retard de 10 minute, dit le vieil homme souriant.

Merde ! C'est repartit pour une autre course dans les couloirs !