Salut salut ! Bon je sais que j'ai plein de fics en cour (enfin plein, tout est relatif, mais j'ai la flemmeuh), mais là ça m'a pris, besoin d'écrire un truc tout nouveau, même si l'approche a été écrite et réécrite, lue et relue, toujours est il que j'avais envie, pis y a quand même un minimum syndical d'originalité (enfin j'espère).
Disclaimer : baille les personnages ne m'appartiennent pas soupir mais l'espoir fait vivre re-soupir, les posters sont trouvables sur le net, et ils ne m'appartiennent pas, ©®Les artistes cités plus tard (je vais pas tout vous dire maintenant non plus oh !), ah ! enfin quelque chose qui m'appartient, l'histoire !
Avertissement : Ceci est une relation entre hommes, vous aurez été prévenus.
Couple : niak niak niak
CONNAISSEZ VOUS L'HISTOIRE DU ROITELET ?
Prologue
Il haletait. Il était en sueur. Gémissant, geignant, mordillant, s'étouffant même. Et ce spectacle était d'une sensualité déconcertante. Il venait, ça se sentait, l'approche de la jouissance émanait de tous les pores de sa peau, c'était tellement flagrant… D'un autre coté et techniquement parlant, il était seul. Seul face à une image aussi sensuelle et dépravée que lui. Et ce tatouage était l'apothéose, surtout à cet endroit… D'ailleurs il semblait de cet avis vu l'attention toute particulière qu'il lui apportait. Se rendait-il compte de l'image qu'il renvoyait une fois qu'il était seul dans sa chambre ? Parfois face à une image, parfois face à son esprit, mais toujours seul, jamais accompagné, il se donnait un plaisir tel que le roitelet avait pris l'habitude de revenir chaque soir, incapable de tenir face au souvenir de la veille, de l'avant veille, et de toutes ces nuits depuis les vacances de noël.
Ces mêmes vacances de noël ou il l'avait vu s'engouffrer dans le meilleur établissement –à ses yeux- de Pré-au-lard, le seul sex-shop gay de la région. Cela avait tout de suite attisé sa curiosité, que pouvait il bien acheter dans cet endroit ? Dissimulé dans un salon de thé situé en face du magasin et confortablement accoudé au rebord de la fenêtre, il l'avait suivi des yeux à sa sortie, une vingtaine de minutes plus tard, cinq rouleaux calés sous le bras. Le soir même, poussé par une curiosité dévorante, il s'était retrouvé derrière la fenêtre de sa chambre, attendant patiemment sa venue. Ce soir là il avait eu la plus formidable érection de sa vie, bien vite remplacée les soirs suivants, à chaque fois plus intenses. Mais c'était bien la première fois qu'il en avait une sous sa forme animagus.
Et wala, ce fut mon prologue court, certes, mais je le trouve assez sympa… prend une aiguille et se perce les chevilles la suite est dejà en cours et arrive très bientôt
