Voilà la suiteuh !!!!

Et merci pour toutes vos gentilles reviews qui me font plaisir !

Au passage, vous pouvez aller jeter un oeil au site de JoHp5, allez voir ds sa bio ! Son site est très joli !

Et maintenant, place à la lecture !

Harry se réveilla avec un sérieux mal de crâne et grogna. Il entendit des cris et des hurlements autour de lui. Mais que s'était il passé ? Pourquoi tous ces cris ? Il avait bien vaincu le dragon pourtant !

Harry ouvrit les yeux et...

"Nom d'un scroutt à pétard!" pensa t-il.

Harry était toujours sous sa forme de dragon et avait accidentellement lancé un long jet de flamme en grognant. L'herbe était brûlée sur une cinquantaine de mètres devant lui et achevait de mourir calcinée...

Harry ressentit une vive douleur à l'épaule, souvenir de sa récente brûlure due à son combat précédent.

Nombre d'élèves étaient là, autour de lui, les professeurs ayant établi un périmètre de sécurité de 200 mètres autour de lui. Un dragon à Poudlard n'était pas commun!

Harry voulut bouger la patte avant droite qui était coincée sous lui et lui faisait sacrément mal mais...

"RRRRRRROOOOOARRRRRRRR !" rugit le dragon qui voulait bouger, rappelé au galop par les profondes entailles béantes qui traversaient son corps de toutes parts.

Harry regarda Pomfresh d'un air interrogateur. Celle-ci sembla comprendre et lui chuchota, de manière à être entendue de lui seul :

"Vous avez dormi pendant trois heures ! On vous a administré un sédatif pour vous calmer car vous souffliez de longs jets de flammes qui ravageaient tout Poudlard, dans votre inconscience. C'est pour cela que vous avez la migraine. Hagrid, le professeur de soins aux créatures magiques, Mme Brûlopot et moi-même avons commencé à vous soigner. Hagrid est parti chercher des herbes dans la Forêt Interdite avec les elfes et le professeur Brûlopot est en train de vous étaler un onguent sur votre brûlure. Ne bougez pas !"

Harry voulu reprendre sa forme humaine.

"Et nous avons bloqué votre animagus, vous êtes coincé dans cette forme animale car si le dragon peut survivre à ces blessures, l'humain lui, mourrait aussitôt."

Harry grogna de mécontentement, de la fumée s'échappant de ses naseaux, faisant reculer toutes les personnes présentes.

"Et si j'éternue ?" pensa Harry avec un sourire, ce qui découvrit toute l'étendue de sa dentition qui était une jolie collection de rasoirs longs et tranchants, les faisant reculer de nouveau. "Si j'éternue, on aura le plus grand incendie du siècle... C'est que ça chatouille l'herbe."

Il ria à sa manière : un souffle rauque et brûlant sortit de sa bouche, tout "sourire". (NDA: sourire entre guillemets car... vous avez déjà vu un dragon sourire avec toutes ses dents ? mdr impressionant, non ?)

Pomfresh, qui était devant, ressentit soudain une vague de chaleur intense dans l'air et se tourna vers le fautif :

"Tenez-vous correctement ! Et estimez vous heureux que je ne vous envoie dans un centre de sauvegarde des dragons avec pour seule compagnie des sauriens plus débiles les uns que les autres et des scientifiques imbéciles !"

Harry soupira, provoquant une nouvelle vague de chaleur puis ferma les yeux dans le but de se rendormir.

Mais il n'en eu pas l'occasion : Nymphëo et quelques uns de ses elfes revinrent avec Hagrid de leur escapade dans la forêt.

Nymphëo leva ses mains et ferma les yeux, psalmodiant une litanie elfique. Une mixture d'herbes médicinales se démultiplia et alla seule dans les blessures du dragon meurtri. Puis, par une magie tout aussi incongrue, les blessures se suturèrent seules, ne laissant derrière elles que des cicatrices boursouflées et gonflées mais d'un aspect propre et saint.

Le dragon soupira d'aise, ce qui lui valut une nouvelle remontrance de la part de Pomfresh.

Seuls quelques élèves, des Gryffondors en majorité, savaient que le dragon qu'il y avait devant eux n'était autre que le professeur de DCFM. Les autres, quand à eux, pensaient, et ils pensaient juste aussi, que ce dragon était ce en quoi Svengalies mettait tout son espoir. Ceux-là se demandaient où était leur professeur et les Serpentards de septième année affichaient un sourire malveillant que Harry réduisit à deux incisives en leur jetant un regard aussi noir qu'il avait jeté aux vampires puis cracha un peu de fumée en signe de menace.

"Mais bon sang ! Arrêtez vous !" grogna Pomfresh.

Ils le firent patienter encore une heure entière, le temps aux blessures de bien se cicatriser d'une manière sûre puis Pomfresh dit à Harry :

"On va vous rendre votre magie et vous pourrez reprendre votre forme humaine."

Nymphëo s'avança, lui fit un sourire puis posa sa main sur le museau du gigantesque dragon.

Harry sentit toute sa magie déferler en lui, venant de la main de l'elfe qui la lui avait prise. C'était comme si une décharge électrique traversait tout son corps, qui fut parcouru d'un long frisson.

Soudain, la reine des elfes retira sa main et lui dit : "Attends que ta magie reprenne sa place en toi et se calme. Tu te transformeras ensuite."

Le dragon hocha légèrement la tête pour ne pas blesser Nymphëo qui était proche de lui puis attendit.

Il se sentit soudain mieux : ses blessures se refermaient totalement et les cicatrices boursouflées devinrent de fins traits pour disparaître ensuite complètement. Une couche d'écailles se reforma à l'endroit où sa peau était brûlée et les quelques crocs perdus dans la bataille repoussèrent.

Harry sentit que c'était le moment et se leva de toute sa hauteur, environ 30 mètres. Puis, il se transforma en humain.

La métamorphose, vu de l'extérieur était soudaine, rapide et indolore. Mais Harry souffrait le martyre : il sentait ses os se compresser, sa peau rétrécir et ses entrailles se remettre en place. Le quart de seconde que dura sa métamorphose lui parût une heure.

Revenu à sa forme première, le Survivant s'effondra sur le sol et essaya de se relever péniblement. Il sentit des bras puissants le soulever. La force du dragon l'avait quittée et Harry se sentait faible, épuisé et sans défense.

Tïdùs et Nymphëo le soutinrent jusqu'à l'infirmerie où Harry s'effondra dans un lit pour sombrer dans un sommeil rempli de songes...

Il faisait nuit noire. Seules dans le ciel brillait les étoiles, dont la faible lueur n'éclairait rien et donnait simplement des allures fantomatiques à quiconque sortait dans la nuit noire d'encre.

Une silhouette se levait au milieu du parc de Poudlard. C'était un garçon aux yeux vert émeraude, aux cheveux noir ébouriffés et au regard infiniment triste, dans lequel il manquait cette étincelle de vie et de joie que l'on voyait habituellement chez tout garçon normalement constitué de son âge.

Mais on ne pouvait pas qualifier Harry Potter de normal.

Une mèche argentée courait le long de ses cheveux : seule et unique.

Le garçon qui avait survécu regardait le ciel.

Il avait entamé sa sixième année et était devenu seul et renfermé sur lui-même depuis sa mort.

Il cria au ciel: "POURQUOI ?"

Le garçon regardait une étoile en particulier : Sirius, étoile de la constellation du grand chien.

"POURQUOI ES-TU PARTI ? J'AI BESOIN DE TOI !... Sirius... Tu étais le seul qui me comprenait vraiment... le seul sur qui je pouvais compter et... tu es parti... POURQUOI ?!"

Le garçon hurla ce dernier mot et ses genoux cédèrent sous lui. Il s'effondra au sol, en proie à une ultime crise de larmes...

Il pleura pendant des heures et des heures...

Puis le soleil pointa le bout de son nez.

Le garçon avait les yeux rougis par la tristesse, les larmes et la peur.

Le garçon essuya ses yeux et rentra au château.

Harry Potter n'avait plus jamais pleuré depuis ce jour là... Plus jamais...

Harry se réveilla soudain, une expression indéfinissable gravée sur son visage.

Autour de lui se trouvaient Albus Dumbledore, Draco, Pompom, Nymphëo, Tïdùs, Pädmé et quelques élèves qui étaient Lily, Gabrielle et les Maraudeurs.

Harry observa Sirius un instant puis refoula les larmes qui lui montaient aux yeux, prenant une expression la plus neutre possible et tâchant de regarder ailleurs.

Il se demanda un instant la raison de sa présence à l'infirmerie puis il se souvînt : l'attaque, le dragon et tout le reste.

"Quel est le bilan ?" demanda t-il en redoutant le moment de la réponse.

"Très léger par rapport à ce que l'on aurait pu croire. Et grâce à vous Harry, une fois de plus..."

Harry soupira : il en avait marre de jouer le rôle du sauveur, marre que tout repose sur lui... Marre, tout simplement.

Il se sentait las. Nymphëo lui sourit et cela lui mit du baume au coeur.

Bientôt, plus rien ne reposerait sur ses épaules, rien. Il serait bientôt libre, une fois que Voldemort serait vaincu dans cette époque. Et le petit Harry Potter pourra vivre en paix et connaître une vraie famille.

Il avait dû prendre un air absent et nostalgique car il vit soudain une main passer devant ses yeux.

"Harry, tu es bien rêveur ? Ca n'est pas dans tes habitudes…"

"Rien... je pensais à... à ce que serait la vie sans Voldemort..."

Cette simple phrase plongea chacun dans un monologue identique à celui que menait Harry quelques secondes auparavant.

Harry coupa court à ce silence sinistre en se levant et en prenant sa baguette.

"Accio vêtements propres !"

Quelques secondes plus tard, les dits vêtements se tenaient dans ses mains, qu'il enfila derrière un paravent.

"Vous viendrez dans mon bureau à votre sortie. J'ai à vous parler, une fois de plus. Vous êtes un vrai mystère..." dit Dumbledore.

"Oh mais je vous suis !" dit Harry trop heureux d'échapper aux griffes de l'infirmière.

Mais il se fit arrêter par Pompom.

"Ah non ! Maintenant, au lit !"

"Ah mais non ! Je vais parfaitement bien !"

"Peut-être que vous allez bien maintenant mais dans une ou deux heures vous..."

"Si il m'arrive quoique ce soit, je vous promets que je viendrais vous voir et que je passerai trois semaines à l'infirmerie !"

L'infirmière grommela et acquiesça quand elle vit le directeur la regarder avec ses yeux brillants de malice derrière ses lunettes en demi-lunes.

Harry sourit à la ronde puis suivit le directeur jusqu'à son bureau.

Arrivés là bas, il lui dit: "Pourquoi me suivez vous, Harry ?"

"Vous n'aviez pas à me parler ?" demanda Harry, surpris du lunatique dont faisait preuve le directeur pour la première fois de sa vie.

"Non, je savais simplement que, si je ne voulais pas que vous vous échappiez encore de l'infirmerie après une semaine de détention, il fallait simplement vous donner l'alibi..."

Le directeur lui fit un discret clin d'oeil suivit d'un sourire avant de s'en aller, sa robe de sorcier virevoltant derrière lui...

Harry décida de retourner à ses appartements où il prit une douche et, en sortant de la salle de bain, il eut la surprise de retrouver Draco, Nymphëo, Tïdùs et Pädmé dans son salon.

"Tiens donc, qui voilà ?" dit il le sourire aux lèvres.

"Harry, ne dévie pas la conversation, tu sais très bien pourquoi on est là !" dit Draco.

Tïdùs se leva et prit la tête d'Harry entre ses mains avant de lui ébouriffer les cheveux comme s'il donnait une bourrade affectueuse à un enfant.

"Harry Potter !" dit-il de sa voix d'elfe "Tu nous as sacrément fait peur, vaurien ! En 233 ans de vie, j'ai eu moins de problèmes que toi en 18 ans !"

"Je prend ça comme un reproche."

"Et 'en est un !"

"Lâche moi les cheveux !"

"Oh non !"

"Au fait mais... tu ne m'avais pas dit que tu parlais anglais !"

"Tous les elfes parlent anglais dans la Forêt Interdite, ignare !" le réprimanda Pädmé "Mais on le dit rarement car c'est amusant d'entendre les gens parler de nous sans qu'ils sachent qu'on les comprend !"

"Humour elfique, toujours aussi spécial..."

"Tu l'as dit !" déclara Draco.

Harry sourit à ses amis puis prit la brosse pour se rebrosser les cheveux maintenant emmêlés.

Une fois ceci fait, non sans rires et remarques de ses amis, Harry déclara qu'il allait se promener un peu et se dirigea en fait vers le bureau de Dumbledore : Il ne lui avait toujours pas dit le bilan de l'attaque et avait habilement esquivé le sujet!

C'est déterminé à tirer les vers du nez à son directeur que Harry monta dans le bureau de Dumbledore...

Le gros titre de la gazette du sorcier s'étalait ainsi sur le journal:

"ATTAQUE A POUDLARD : SAUVE PAR DES ELFES ET UN DRAGON ANIMAGUS ILLEGAL !

Qui l'eut crû ? Tard dans la nuit du 2 Décembre, Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom a massivement attaqué la célèbre école de sorcellerie, usant de vampires, loups-garous, mangemorts et les fameux elfes noirs dont on pensait qu'ils n'étaient qu'une légende. Mais détrompez vous...

Bilan de l'attaque plutôt léger pour une si grande offensive : une cinquantaine d'élèves mordus par des vampires et tués, vidés de leur sang, dont deux encore vivants qui sont condamnés à vivre vampires, cinquante autres élèves mordus par des loups-garous, la totalité sont morts de leurs blessures. Et, Ô surprise, seulement deux cent cinquante trois blessés sur une école de mille trois cents élèves.

Un bilan plutôt positif et cela grâce à l'intervention de deux événements uniques en leur genre !

Tout d'abord, les elfes de la forêt interdite ne sont PAS une légende et ont protégé le site de l'école montés sur d'énormes corbeaux de feu, espèce de semi dieu que l'on croyait éteinte à jamais. Les elfes n'auraient pas pu sauver l'école avec l'aide des 200 aurors dépêchés sur place, sans l'aide inespérée d'un allié plutôt inattendu :

Un dragon.

Oui, c'est bien un dragon qui a sauvé Poudlard. Mais un animagus non-déclaré en fait. Le ministère est passé outre cette violation directe et grave de la loi car l'homme en question, Harry Svengalies, a sauvé l'école mais a non seulement anéanti la plupart des forces du mage noir dans le combat à lui seul !

HARRY SVENGALIES EST UN HEROS !"

Harry lut et relut cet article en soupirant : il était encore plongé dans les remous de la célébrité, pourquoi ?...

"Tu n'y échapperas jamais, Potter !" lui dit Draco avec un petit sourire compatissant.

"Malheureusement non..."

Les deux jeunes hommes, accompagnés par Nymphëo, Tïdùs et Pädmé entrèrent dans la grande salle pour le petit déjeuner et Harry eut droit à une ovation de la part de toutes les tables, même des professeurs, et bien sûr, aucun Serpentard ne se laissa aller à de tels débordements dont ils n'avaient cure...

Harry s'assit à sa place, plus rouge que la bannière des Gryffondors et essayant de garder son calme intérieur.

"Je ne m'y ferai jamais." se dit-il.

"Mais c'est dans ta nature d'être un héros mais dans ta vie prochaine, tu n'auras pas vécu cela ! Pour toi, Harry Svengalies sera une autre personne ! Ce n'est pas Harry Potter qui sera un héros..." lui souffla Pädmé dans un sourire.

Harry avait dû penser à voix haute et Pädmé, qui était proche de lui, avait entendu.

Il répondit à son sourire avant de concentrer toute son attention sur son assiette pleine afin d'ignorer les regards curieux et pleins de reconnaissance et d'admiration des élèves...

"Ce type est formidable !" dit Peter pour la centième fois.

"Oui, c'est vrai !" répondirent en coeur les autres pour la centième fois aussi.

"Il y a de quoi !" ajouta gabrielle qui en savait plus que les autres sur le mystérieux professeur de DCFM.

"Et voilà Sirius, James ! Votre côte de séduction a dégringolé ! Il va falloir remédier à ça !" dit remus en souriant et en leur jetant un regard éloquent du genre "sinon-ces-deux-dames-en-face-vont-vous-filer-entre-les-doigts !".

Sirius répondit par un sourire crispé tandis que James jouait le jeu.

"Mon cher Lunard, je te jure que je le bat côté séduction quand je veux !"

"Déjà que t'arrives pas à séduire celle que tu veux vraiment, ça va être dur.." dit Sirius soudain mort de rire.

"Sirius, je pourrais en dire moi !"

Sirius se fit soudain beaucoup plus sérieux et le dialogue plein de sous-entendus, sous les regards suspicieux et les sourires narquois des deux filles, coupa court grâce à l'arrivée du courrier.

Mais personne ne regarda sa propre lettre. Toute l'attention était mobilisée par l'énorme aigle portant la marque des ténèbres qui se posa devant le professeur de DCFM, lui livrant...

"Une beuglante..." dit Harry surpris. "Mais pourquoi diable..."

Soudain, la voix de Voldemort retentit dans toute la grande salle.

"Mais qui est là ? Harry ! Tu m'as manqué dans le futur tu sais ? Ton idée de voyage dans le temps m'a donné beaucoup de fil à retordre !"

La salle était stupéfaite.

"J'avoue que c'était bien joué. Mais tu sais bien que je finirais par découvrir ton subterfuge ! Et je suis là, maintenant. Je vais aller à la rencontre de mon double du passé et je te jure que tu vas payer, Harry Potter ! Tu vas payer pour ton insolence et ta résistance, pour m'avoir vaincu une fois et pour vivre encore aujourd'hui, dans le fol espoir de changer les vingt prochaines années..."

"..."

"Tu restes sans voix, je le sais. Mais je te jure, Harry Potter, je te jure que tu vas payer. Et tu sais que je tiens toujours mes promesses. De plus... je ne suis pas venu seul."

La lettre commençait à se désagréger et la voix de Voldemort se fit plus faible mais quand même forte.

"Et maintenant, essaie un peu d'effacer les mémoires des élèves présents dans la Grande Salle. Le résultat sera amusant, tu verras..."

"..."

"A bientôt, Harry, à très bientôt..."

Huhuhu ! Fini ! Et voilà ! HAHAHA ! Vous ne vous y attendiez pas à ce que LUI arrive n'est ce pas ? Niark niark ! Pôôôv Ryry ! Comment qu'il va faire avec deux Voldy ? Hein ? Ben il est dans la mer, moi je vous le dit. Et maintenant, j'attends vos pronostics pour la suite de l'histoire !

Ensuite, je ne sais plus lequel d'entre vous me l'a dit mais quelqu'un m'a dit "on dirait que tu as vécu ce que tu écris" et bien... ce n'est pas si faux...

Car j'imagine le chapitre précisément dans ma tête, comme si dans mon esprit il y avait un deuxième monde... et j'écris ce que je "voie" et pas ce que j'imagine, vous comprenez ?

Voilà ! Je crois que j'ai tout dit !

Bzou ! Et à très bientôt!

Bzou !