TITRE : en état de nuire
SERIE : Naruto … mais on pourrait avoir un doute vu qu'on le voit pas du tout pour l'instant… Pas grave on s'en fout…
GENRE : Se faire plaisir avec un peu l'humour. OOC, spoiler.
DISCLAIMER : aucun persos ne m'appartient mais alors aucun. À part peut-être moi-même
AUTRE : Spécial dédicace à tous ceux qui ne m'ont pas encore attaqué en justice pour leur participation à ma fic.
MISSION 3 : Bâillement
[Au crépuscule, le 01/01/01]
Heera – Les choses sérieuses vont pouvoir commencer !
Elle accompagne ces paroles d'une pause conquérante, le rouleau rapport brandit vers le plafond, et tout son corps semblant regarder vers le rouleau. Elle ramena sa main tenant le rouleau au niveau de son torse. Alors elle regarde ses agents rassemblés, fixant eux aussi le rouleaux, et dit.
Heera – Bon ! Vous avez quartier libre jusqu'au dîner… Soit une demi heure…
La Meute présente – Oui, Kaa-san !!!!
Heera – Mais arrêtez de m'appeler comme ça, mes loupiots !! Allez ouste !!! Je veux du calme…
À ses ordres, les quatre concernés, obéir en accompagnant leur sorties de commentaires variés, enfin quatre pas sure...
Kuroneko – Hihihi… Je vais aider Tiny-chan en cuisine… yatta !!!
Elle fut la première à sortir en faisant des petits sauts dans sa progression fluide et pétillante accompagnant le tout d'applaudissements sourds. Prenant la direction de la sortie Senvi regarde ce spectacle avec un grand sourire, et fait la réflexion suivante.
Senvi – Voilà que l'alpha nous fait venir pour un repas de famille… Bon c'est elle qui commande et qui sait ce qu'elle fait. Au moins y'en a qui s'en réjouisse.
Il continue sa démarche de sortie. Shyzen le rejoint assez vite, pris d'une soudaine poussée de volonté envers le déplacement de son corps vers un autre lieu. Arrivé un peu en avant de son camarade, il réplique d'une traite.
Shyzen – On l'est tous ! On l'est tous, car un, tu vas pas cuisiner et deux on va pas être empoisonner par ta cuisine. C'est déjà suffisant pour le bonheur de tous…
Senvi – Ah toi !!!! Retire tes paroles !!
Pris de rire à la réaction trop spontanée de la part de sa cible, Shyzen ne pu réagir, comme un ninja expérimentée se doit de faire face à l'imprévu, à ce qui allait suivre. Senvi lui enserre la gorge d'un bras et de son poing libre lui frotte avec vigueur les cheveux déjà très fouillis au naturelle. Shyzen bloqué, et donc réduits dans ses mouvements, esquisse une grimace qui provoque le rire de Senvi qui le relâche alors. Ils passèrent quand même la porte, juste pour le détail, faut pas croire qu'ils sont restés statiques dans tout le flot précédent d'action. Senvi réprimande Shyzen.
Senvi – T'as pas intérêt à critiquer de nouveau ma cuisine ! Sinon gare à toi… De plus tu n'y as jamais goûter alors critique pas.
Shyzen – Raison de plus ! Je suis encore vivant donc j'en profite…
Senvi – Alors là ! Tu vas souffrir.
De nouveau, fou rire de Shyzen face au visage colérique du cuistot, donc il se retrouve sans la moindre garde pour répliquer. Senvi enchaîne dans ce relâchement de son taquin de coéquipier un plaquage au sol suivi d'une prise de catch, dite du crocodile dans son lit[i].
Senvi – Alors ? Tu retires ce que tu as dit ?
Shyzen – Hahaha ! Je ne dis que la vérit
Voyant la résistance de son adversaire Senvi resserre encore sa prise. Sous la pression Shyzen ressent le contre coup de son fou rire. La douleur monte à son cerveau d'un coup, provoquant des réactions, que moi, récent auteur, ne peut vous décrire. Dans les éclats de voix de Shyzen on ne distingue plus le rire du crie de douleur, ses larmes de joie se mêlent à celles de douleur. Et sous cette torture, il craque et frappe le sol pour signaler, avec son et geste, sa défaite.
Shyzen – Okay okay ! J'abandonne…hahaha. Je retire …hahmhm, ce que j'ai dit.
Senvi – Attend, Tu n'es pas très convaincant l
Shyzen – Arrêtes ! Je retire ce que j'ai dit. Arrêtes ! piti
Senvi – Voilà… Je savais que tu saurais reconnaître mon talent culinaire.
Senvi relâche sa prise et se relève en fixant d'une mine réjouit sa victime. Shyzen, lui, prit tout son temps pour se relevé, se crispant pour ne pas repartir en fou rire à la dernière réplique de Senvi. Heera venue voir d'où provenait le boucan, les félicite d'un regard doux d'avoir trouver une solution pacifique à leur conflit. Laissant ces subordonnés vagabonder à d'autres activités, Elle ferme la porte mais s'arrête d'un coup et s'adresse à Tich en lui donnant à voir que son dos.
Heera – Tich ! Toi aussi tu dois sortir.
Tich – Je souhaite lire aussi le rapport.
Surpris par le ton sérieux du jeune Arsène Lupin Ninja, elle ferme la porte et se retourne le regard déterminé. Elle se rapproche, le pas lent, et s'arrête les mains à plat sur la table de Tich, le fixant droit dans les yeux. Mais le maître voleur répond à son regard et lui lance la réplique.
Tich – bin oui pourquoi je ne pourrai pas lire avec toi. À chaque fois tu me fais le coup. Je veux être dans la confidence pour une fois. Je suis toujours considérer comme le voleur comme indésirable de ta part. je saurais devenir un très bon lieutenant si tu me donne ma chance. Tu sous estimes mon intellect et j'en suis affecté. Tu as bien vue la portée de mes jeux de mots… C'est une des conséquences de ton trait…
Troisième mot non fini de la journée, Heera a fait plié la table sans le moindre efforts, provoquant la chute de Tich face première. Grand moment dramatique... la face rougis par le choc, il commence à courir vers la fenêtre ouverte.
Tich – Si c'est comme ça je me jette par la fenêtre…
Heera – Tich !
Tich – tu auras ma mort sur ta conscience...
À ces mots, il projette son corps par la fenêtre, les yeux fermés, exécutant un début de saut de l'ange. Un 'splash' se fait entendre. Heera, loin d'être perturbée par la tragédie de son camarade, pose sa main sur son front et enchaîne des mouvements de gauche à droite de la tête.
Heera – Tich… on est au rez-de-chaussée…
Enfin de nouveau maître de son corps, il se retourne pour admirer le ciel se teinter de nuit. Sentant une présence près de lui, Tich lève la tête et pu alors admirer une vue contre plongé d'une kunoichi semblant lui être familière.
Tich – Kaya ??!?!?!
– Non, Kyon Kyon mais appelles moi Kyni. Je viens d'être recruté à la meute. Enchanté !
AGENT Kyon Kyon dit l'artiste. Spécialit : en faire voir de toutes les couleurs. Couverture : Portraitiste. Description : 1m71, 59,526kg, 92-60-82[ii], cheveux longs rouges arrivant au-delà du dos, les yeux vairons, le gauche bleu ciel et le droit vert anis. Particularité physique : un tatouage dérivée du ying et du yang appelée Sigil, juste au dessus de la poitrine[iii]. Identité réelle : inconnue.
Tich – Moi de même. Heu… On a encore du temps avant le dîner, accepterais tu de m'accompagner dans les jardins ?
Kyni – Avec joie ! Besoin d'aide ?
La demoiselle tend une main à Tich qui, la prend et se relève d'un mouvement fluide. Il la remercie et ils se lâchent la main, prenant le sentier parcourant le jardin aménagé. Tich prenant la dernière actualité entame la conversation en parlant fenêtre, ce qui devint un vif débat durant leur ballade. Revenons à Heera enfin seule humaine dans la salle de rassemblement.
Heera – Je vous jure, avec eux, le calme, même deux secondes, est un doux rêve.
Ovohide – Croaa ! croaaaaaa[iv].
Heera – Haha ha. T'as toujours le mot pour rire.
Elle se rapproche du volatile qui, les ailes déployées, se pavane d'avoir fait rire sa supérieure. Enfin assez proche, elle caresse la tête de ce compagnon de comédie. Cet acte savouré, elle va s'asseoir sur son fauteuil en cuir doublé, à massage, un stressmoins dernier modèle qui procure confort et position de travail agréable. Un outil de tous les jours a possédé chez vous comme au travail ou chez ses amis pour profiter pleinement des événements télé sans oublier l'option driving avec les emplacements pour boisson et un plateau amovible. La classe pour…
Heera – fin de la pub !
Auteur – Mais j'ai des sponsors, moi, à satisfaire… On a de super plan de toi profitant pleinement de ton fauteuil à la recherche, sans la moindre difficulté, de la position la plus agréable. Kawaiiiii. En plus en continuant tu aurais la boisson et le sandwich de démonstration le tout gratuit…
Heera – Tu veux que je parte
Auteur – Bien sûre que non mais… bon, la suite !
Maintenant correctement installé, Heera déroule le rouleau et s'extasie devant l'écriture stylisée, de Ffelinna, à faire pâlir un designer moderne japonais en pleine gloire. Profitant plus du design que du message contenue dans le rapport, elle cherche à savoir comment Ffelinna a pu faire un truc aussi magnifique en pleine mission.
- FLASHBACK[v] de Ffelinna - [deux heures et quart plus tôt, soit avant l'aube, le 01/01/01.vers le nord-ouest des terres de feu. vous suivez toujours ?!]
Ffelinna suit tranquillement le coupable à bonne distance comme lui a gentiment ordonné Heera. C'est que la demoiselle respecte les ordres sans faire d'accroche depuis une certaine affaire dit de la pomme[vi]. Voulant oublier ce souvenir trop marquant elle se concentre sur sa tache. L'homme s'arrêta brusquement brisant le rythme de la marche du groupe l'accompagnant. Il se dirigea vers l'arbre le plus proche et s'y adosse sans un mot envers ses compagnes de route. Bin, oui y'avait trois belles et plantureuses femmes accompagnant cette homme à la fière allure mais dont les signes de fatigue trahissent un age avancé. Ffelinna lui donne la quarantaine à peine dépassée mais ce genre d'information n'a pas d'importance pour sa mission. Les demoiselles se regardent et décident alors de faire une pause dans leur progression malgré le désaccord démontré par les gestes de la plus petite d'entre elles qui se met un peu à l'écart. Toujours sous le coup de la colère cette dernière ramasse une pierre et la lance avec force vers la plus grande. Pas de chance, celle-ci toujours sur ses gardes rattrape la roche et la renvoie à sa première propriétaire en plein front.
– Itaï, itaiiiii ! Pourquoi tu me l'as renvoyé ?
– Pour que tu me laisses tranquille durant la suite du voyage. La mission concerne aussi son état de santé alors réprime tes envies.
Un silence poursuit ce court éclat de voix de l'équipée, la petite se frottant le front dans l'espoir vain de faire partir la douleur. La grande la regarde, le sourire aux lèvres pour vérifier que son message est clairement enregistré et observe maintenant la dernière demoiselle. Réprimant son rire né de cette scène, cette dernière se rapproche de l'homme et le fait s'asseoir. Elle cherche quelque chose dans sa balluche et en sort une boite qu'elle propose avec sa gourde d'eau. Toujours à l'affût, Ffelinna remarque une ressemblance entre les deux visages, alors proches. Jugeant que cette halte opportune pour envoyer son premier rapport, elle s'éloigne un peu plus et remarque alors Ovohide perché non loin.
Ovohide – CROAA. CROAAAAA !
Ffelinna – Moi aussi je suis contente de te revoir. Mais tu veux bien baisser d'un ton… S'il te plait ?
Ovohide – Croaaaa… Croaa Croaaaaaa !
Ffelinna – Merci. Donne moi le temps de le faire, et tu pourras y aller.
Pendant cette réplique elle sort un rouleau pas plus différent qu'un tube à essai. Elle le déroule d'une main pour dévoiler la blancheur du support et mord jusqu'au sang le pouce de la main libre. Avec le liquide coulant de sa plaie chaude, elle dessine un papillon sur le papier et enchaîne une série de scellés.
Ffelinna – Cochon d'inde-lapin rose-mouton des bois-oiseau bleu-loup gris, technique d'invocation !!!
Un nuage de fumée blanche prend naissance du papier et cache aux yeux de Ffelinna sa main plus haute alors. Elle patiente, pour voir se dessiner une petite silhouette ailée. La fumée se dissipe et les couleurs se dévoilent sur l'ensemble de la petite fée. Les ailes de papillons transparentes polarisées veinées de noirs sortent au dos des habits bruns, brodés de fleurs rose bonbon, se mariant magnifiquement au teint bleuté de la peau signée du rouge des lèvres, ponctuée du vert des yeux, couvert du blanc des cheveux libres[vii]. Ffelinna fait un sourire au petit être qui y réplique tout aussi pétillant.
Ffelinna – Heureuse de te revoir, Mayura !
Mayura – Moi aussi, Dame Ffelinna.
Ffelinna – J'ai de nouveau un service à te demander. Acceptes tu de venir à mon aide une fois encore ?
Mayura – Oui, Dame Ffelinna. Je suis ici pour vous servir.
Ffelinna – Mayura, je t'ai déjà dit d'être moins cérémonieuse avec moi… je dois remettre rapidement un rapport, une fois de plus.
Mayura – Je prends note de cette réclamation Da… Ffelinna. Bien. Tu connais la procédure, donc commençons.
À l'ordre de Mayura, elle dessine sur le papier, redevenu vierge, un pentagramme cerclé. Alors la fée prend place sur la main, de l'invocatrice, placée sur le symbole, et elles ferment leurs yeux. L'une pour se concentrer sur le contenue du rapport et l'autre retranscrire correctement le flot d'informations traversant l'esprit de son amie. Depuis le point de vue de Ovohide, qui se rapproche par curiosité, la fée et la main s'illuminent d'une aura verte, douce et claire. Des formes noires naissent de la main de Ffelinna et se répandent, comme l'eau sur une vitre, sur l'espace d'écriture, puis se figent. L'aura s'efface et elles rouvrent les yeux. De nouveau un sourire réciproque, qui conclue le rapport d'une touche d'amitié éternelle. Ffelinna enroule le rouleau et le lance sans un regard à Ovohide qui l'attrape d'une patte et s'envole sans rien attendre. Les deux amies regardent l'envole de toute beauté vers le 'au loin' et la fée brise alors le silence.
Mayura – Ffelinna, je souhaite faire autre chose que des rapports quand vou… tu m'invoques.
Ffelinna – Je veux bien. Mais dans ta dimension tu es une scribe télépathe donc j'ai un peu de mal à imaginer ce que tu pourrais faire d'autre. Tu as des compétences que j'ignore ?
Mayura – Je sais… chanter, oui chanter ! Et éclairer…
La voix de la fée meurt face à son visage triste et la réalité peu encourageante. La lionne attristée de la voir si triste, se met en tête de la faire changer d'humeur par tous les moyens, même les pires.
Ffelinna – d'accord ! Si j'ai besoin d'une bougie musicale, je t'appelle.
Elle ponctue sa phrase d'un rire étouffé, visualisant la scène dans son esprit. Mayura sur un gâteau, une fée comme bougie d'anniversaire, elle se demande comment faire disparaître cette image de son esprit pour pouvoir continuer sa mission. Le visage de notre petite fée perd soudain toute consistance, elle songe que l'idée d'être réduit à un artifice de fête n'a rien de valorisant. Mais alors rien. Ffelinna aperçue une aura noir de déprime profonde se formée autour de Mayura qui se trouve alors en position fœtal. La féline humaine réalise son erreur et se rattrape de façon magistrale.
Ffelinna – Je blaguais, je blaguais. Mais si à l'occasion j'ai besoin d'une chandelle pour un dîner romantique, je compte sur toi !
Trop, c'est trop. Le cerveau de Mayura passe en mode Berserk… Bien que l'idée qu'elle puisse imposer une ambiance romantique soit plus enviable, mais le calme quitte le petit être aussi sûrement que le soleil se couche le soir. Le masque de colère fixé sur les traits de ce visage féerique, un flot de chakra émergea d'elle. Ffelinna, ressentant ce surplus soudain, plaqua une main sur cet être de magie, lui bâillonnant la bouche.
Ffelinna – Je suis en mission alors ne me fait pas repéré. Okay !
Mayura – MMMMm MMMMmmm MMmmm Mm. Mmm mmMMmm…
Ffelinna – Je te préviens que si je foire la mission c'est Heera qui s'occupe de toi. Alors du calme !
Mayura – mmm m.
Voyant son discours obtenir son effet, Ffelinna relâche la fée qui, réalisant la portée cachée de son acte, se refuse tout mots. Elle salue d'une courbette son invocatrice et disparaît dans un nuage de fumée blanche. Seule à nouveau, Ffelinna reprend le cours de sa mission et l'équipée reprend sa route.
- FIN FLASH BACK de Ffelinna -
Heera – On a tous nos mystères ! Même après tant de temps passé ensemble.
La cheftaine se remémore l'affaire dite de la pomme[viii], faisant un sourire malsain à ses lèvres. Mais elle se ressaisi et se concentra enfin sur le contenu du rapport de Ffelinna, aussi nommé poursuite en forêt qui fut œuvré dans la période nature de l'artiste. Prenez en compte la finesse des éclats d'ombres sur la surface écarlate, vous y déduirez la forte activité consentie par ce génie de la calligraphie. Poursuivons notre visite par… celle des cuisines de la tanière. Où un jeune homme au teint de peau foncé s'attelle au repas du soir, faisant fleurir les flammes teintées de clair[ix] de la gazinière pour une utilité primordiale : Nourrir. Plongé dans son activité, le cuistot semble appartenir à un autre monde car il gigote tout en chantonnant des paroles d'un dialecte obscur.
Cuistot – All night long, aaaaall niiiiight… all night long, aaaall night…
À la porte se tient, Kuroneko qui profite des gesticulations rythmées de son compagnon pour s'imaginer dans des situations plus en contact. Mais laissons cela à l'intimité de l'intéressée. Souhaitant prendre part au spectacle improvisé, elle se rapproche de son heureuse victime. Faisant preuve de tout son talent ninja, le cuistot continu ses affaires sans rien remarquer.
Cuistot – One more time, we're gone to celebrate, oooooh yeaaah, alriiiight, don't stop the dancing…
Arrivée dans son dos, elle réfléchit à comment laisser ses pulsions s'exprimer. La taquinerie prenant le dessus, elle pince le jeune homme au dessus de ses hanches. Surpris et très vulnérable à ce geste, il lève instinctivement les bras et pousse un petit cri de souris[x], envoyant sa marmite voltiger dans l'espace aérien de la cuisine avant de recolorer le carrelage. Réalisant son acte involontaire, il se retourne vers son assaillant la colère couvant dans sa voix.
Cuistot – Le repas de ce soir !!! Deux heures en cuisine pour qu'une tache sur le sol. Mais ça vas pas dans ta tête !!!
Kuroneko – Je suis désolé Tiny-chan…[xi]
Cuistot – kuro ?!? aaaah… pas grave, c'est ma faute…. Bon faut nettoyer tout ça maintenant.
Kuroneko – Lostin, laisse moi t'aider…
Lostin – 'est pas la peine. Mais réfléchi plutôt à ce qu'on pourrait préparer en moins de vingt minutes pour sept personnes, enfin huit, affamés.
AGENT Lostin dit le bleu. Spécialit : rendre service. Couverture : gérant du centre thermale 'la tanière'. Description : 1m80, 70kg, musculature simple, cheveux courts frisés noirs, yeux chocolat au lait. Particularité physique : trois taches de naissance claires sur le torse[xii]. Identité réelle inconnue.
Pendant que lostin nettoie son plat du jour au sol, Kuroneko, assise sur la table, réfléchie à voix haute.
Kuroneko – Qui rempli bien l'estomac… Qui est prêt rapidement… Qui ne fasse pas plat congelé… Hmm mmm… Et qui offre un peu de variété… Vois pas…
Lostin – Mais c'est bien sûre…
Kuroneko – quoi ????
Lostin – Tu le sauras dans le prochain chapitre…
[i] Jeu de mots, un peu foiré, avec crocodile dundee. Pitié ne frappez pas…
[ii] J'ai mis le premier truc qui me venait en tête. [Jiraya : bin y'en a des belles choses dans ta tête, hahaha Kakashi : oui de belles, hahaha lostin : heu… c'est un compliment ??]
[iii] Un magnifique tatouage tirée des comics Crossgen [Kuroneko : LOSTIN !!! Lostin : mais c'est… 4 hit combo Kuroneko : Coureur de jupon !!! Lostin :… elle qui m'en a parlé… Kakashi : hahaha, on te croit, hahaha]
[iv] Ne nécessite en aucun cas de traduction. Libre à vous d'y voir ce qui vous semble le plus véritable.
[v] Mon premier flash back, je sors le champony !!!
[vi] Vous croyez franchement que je vais faire un double flash back. Je développerai cela dans un prochain chapitre.
[vii] 45 mots. La phrase écrite (oki tapée, si vous préférez) la plus longue de ma vie, et un verre de champony. Et reconnaissez que c'est une belle phrase… Non… Pas grave.
[viii] J'ai dit dans un prochain chapitre.
[ix] Je rappelle qu'Itachi produit des flammes sombres. Alors pas de commentaires hâtifs.
[x] J'ai une faiblesse à ce niveau et je réagis toujours ainsi.
[xi] Attaque chibi eyes
[xii] Véridique.
