TITRE : En état de nuire

SERIE : Naruto, un ninja avec plein d'amis ninjas[i].

GENRE : Faire plaisir avec un peu d'humour. OOC, spoiler, lime.

DISCLAIMER : Aucun perso ne m'appartient mais alors aucun. Si vous souhaiter utiliser un des persos, faut demander à la personne concernée.

AUTRE : Chapitre en coécriture avec Kuroneko.Spéciale dédicace à tous qui ne sont pas aller chez un marabou pour me jeter une malédiction.

MISSION 5 : Digestion part 2

[Deux heures après le départ de Shyzen de la tanière, le 01/01/01]

Lupinin confirmé, Shyzen avale les distances sans problème, sans accroche. Il file dans les arbres comme un aigle vole dans le ciel, aisance et rythme se lise de sa trajectoire. Il fait nuit et rien ne le ralentis, il fait noir, ainsi on a du mal à le croire. Il y'a du vent, or il avance avec talent, il y a des bandits, mais ne joue pas cette fois-ci. Il continue sa cavalcade pour assurer le ravitaillement.

Dans le grenier, équiper aux bons goûts de Senvi, de l'établissement, Tich vient de piéger Kyni, qui n'a plus d'échappatoires. Deux heures d'une partie de cache-cache dans la tanière, du jeu du chat et de la souris dans la station, pour avoir une si simple discussion.

Tich – On y est.

Kyni – On y est ? Où ? Attend qu'est ce que tu vas imaginer ?

Tich – STOP ! C'est le moment de vérité, pour cette gifle. Que Kuro me gifle, okay, on est arrivé au mauvais moment. Y'a des choses que j'aurais pas du voir. Mais ta gifle, je ne comprends pas. Tu me tombes dessus, j'ouvre à peine les yeux et 'paf' dans ma figure. Je demande un minimum d'explication.

Kyni – bin y'a rien à dire.

Tich – si tu le dit. Je suppose que j'ai rien fait pour mériter ce traitement.

Kyni – Si l'on veut.

Tich – Donc tu m'en veux pour rien.

Kyni – J'ai jamais dit que je t'en voulais.

Tich – Mais tes actes l'expriment très clairement. Claque… Fuite… et j'espère que ce sera tout. Entre nous, tout va bien alors pas de soucis, pas de malentendus.

Kyni – Rien, je te dis.

Tich – Bien ! Me voilà rassurer.

Kyni – Tich, tu y mets vraiment du tien pour arranger les choses...

Tich – Pour parler franchement, je t'apprécie. Tu es la seule avec qui je peux parler aussi simplement. Entre Kaya qui me maltraite, mais faut dire qu'elle martyrise un peu tout le monde et Heera qui m'ignore, enfin ne me reconnaît pas à ma juste valeur, je suis pas gâté.

Fin de la pseudo déclaration. Tich donne le dos à sa camarade, refusant de voir un regard qu'il ne demande pas. Touché par la réplique émouvante de son voleur de caresses involontaires, elle se rapproche et lui entoure le coup de ses bras accordant un corps à corps plus amicale et voulu que le premier. Nulle ne sait ce qui advient après mais les paris sont ouverts.

Mais allons dans un endroit déjà très visité et actuellement en cours de réchauffement.

Lostin prit alors appui sur le mur et renversa adroitement la situation, coinçant Kuroneko à son propre jeu. Celle ci, irrité par cet imprévu, le regarda d'un air indigné, prête à répliquer face à cet acte incongru. Cependant, il fallait, pour cela, que Lostin lui en laisse l'occasion : à peine la fille avait elle entrouvert les lèvres que celles du jeune homme s'y étaient soudées. Remettant les protestations à plus tard, voire même encore plus, elle se laissa entraîner avec joie. Lostin, souriant au travers du baiser, continua son exploration, posément et méthodiquement. Se sentant faiblir, Kuroneko fit glisser l'une de ses jambes entre celles de son vis-à-vis. Puis, elle appuya légèrement sa cuisse contre l'entrejambe de Lostin, ce denier étouffant un gémissement sourd à ce contact. Kuro, voyant la peau de son amant frissonner à son geste, eut un petit sourire et laissa ses mains entreprendre des allers-retours langoureux sur chaque partie du corps de Lost passant à sa portée. Lostin, retenant avec peine quelques soupirs au travers de leur baiser, caressait lascivement le dos de Kuroneko de bas eu haut, posant parfois, l'espace d'un instant, ses mains sur les hanches de sa vis-à-vis. Tous deux se satisfaisaient des gémissements, poussés de part et d'autre, sans plus aucune pensée dirigée sur l'extérieur. Leurs chemises s'éparpillaient, comme mû d'une volonté propre, aux quatre coins de la cuisine. A l'idée qu'ils ne soient à nouveau dérangés, ils se mettaient à brûler les étapes, profitant tout de même de chaque caresse. Kuroneko fit remonter ses jambes au-dessus des hanches de son amant et les noua brusquement, lui arrachant un soupir rauque. Leurs deux corps étaient, à présent, plaqués l'un contre l'autre, presque peau contre peau. Ils s'arrêtèrent, l'espace d'un instant, savourant la proximité, la chaleur et la sécurité offertes par leur étreinte. Kuroneko, à bout de souffle, remarqua, un peu tardivement, que l'un d'entre eux avait laissé un bac de glace à la vanille sur un buffet, à proximité. Il n'en fallut pas plus pour que ses yeux brillent d'une lueur de convoitise.Lostin, reconnaissant cette étincelle qui annonçait tout aussi bien son plaisir que son tourment, eut un frisson presque involontaire. Bien qu'encore un peu pris de court par les évènements, il sut immédiatement que la jeune fille venait de trouver un jouet, dont il allait faire les frais. Alors que son amant débattait intérieurement du pour et du contre, Kuroneko avait réussi à attraper le pot de glace sans trop se dégager de leur étreinte. Une fois la crème glacée entre ses mains, son regard se posa sur le torse parfait qui lui faisait face. Un sourire recourba ses lèvres et elle passa à l'attaque. Lostin, plongé dans ses pensées, n'en sortit que lorsqu'une sensation de froid, provenant de sa gorge, parcourut tout son corps, le faisant sursauter. Ce qu'il vit alors qu'il baissait les yeux le pétrifia quelques secondes. Kuroneko, sans aucune gêne, étalait consciencieusement de la glace sur tout son torse. Avant qu'il n'ait eu le temps de bien intégrer l'information, un doigt glacé avait court circuité ses neurones en s'aventurant juste en dessous de son nombril. Kuroneko, de son côté, s'appliquait à son agréable tâche, encouragée par les gémissements de son partenaire, attisant dans le même temps son propre désir. Une fois que la crème glacée eut recouvert chaque délicate parcelle de peau de Lostin, elle décida de déguster son dessert préféré.

Aucun d'eux n'avait remarqué l'entrée de Senvi dans la cuisine, ni son approche du réfrigérateur aux côtés, pourtant, duquel ils étaient. Senvi s'approche alors que Kuro est en train de s'amuser avec la glace et dit :

Senvi – Merde, t'aurais pu la remettre au frigo ! Elle est toute fondue maintenant !

Et il se barre avec le pot de glace. Surpris et affolé par cette courte et incisive intervention, soit chirurgicale, la réplique brise l'équilibre mentale de Lostin, alors pris de fou rire. Effaçant la magie du moment, Lostin perd tout équilibre et se retrouve au sol plié de rire sous le regard quelque peu contrarié de Kuroneko.Une autre occasion ratée, faut croire qu'ils y arriveront pas dans cette fic. Ha... Bien que c'est deux là sont motivés.

De retour dans le salon, Senvi reprend place dans un coin de canapé.Car l'autre coté est déjà pris par la radieuse Heera venue partagée un moment télé. Alors entrent en salle Kyni et Tich, ils prennent appui sur le canapé, espérant trouver la dernière activité de la journée. Un rapide Zapping convainc nos deux assis que l'heure tardive détériore la qualité des programmes.

Senvi – Mince !!! Alors que je revient avec de la glace pour me rafraîchir, il n'y a plus rien à voir.

Heera – Ce n'est vraiment pas de chance. En plus, là, je suis pas encore motivée pour aller me couché.

Tich – c'est vrai qu'un dernier truc à faire avantd'aller se coucher serait le bienvenue.

Kyni – On sent que vous n'avez pas eu un long voyage à faire pour venir ici.

Heera – Si tu veux aller te coucher vas y Tich te montrera une chambre de libre. J'ai pas encore décidé quelle chambre te donner définitivement. Faut dire que c'est avec Lostin qu'il faut voir ça.

Senvi – Tiens en parlant de Lostin… il était très occupé avec kuro en cuisine…

Kyni – Ils rattrapaient leur essai de la salle à manger.

Senvi – Deuxième essai raté !! Quand je les ai laissé, Lostin est parti en fou rire.

Tich – On peut pas trouver mieux comme coupe amour ! Ha haha !!

Senvi – Exact mais ils ont l'air très chaud…

Heera – Précise ton idée !!

Senvi – Ils vont remettre ça. Et un peu de voyeurisme remplacera très bien la télé. Des intéressés ?

Kyni – NON MERCI !!!!

Tich – J'ai déjà donné dans cela. Donc non.

Heera – Vais bien voir comment c'est deux là se débrouillent. Je suis partante.

Senvi – Et moi, voir s'ils valent autant que ma Calliopé et moi.

Les choix faits, les duos prennent des chemins différents, les uns vers les chambres, les autres vers l'extérieures. Laissant le calme enveloppé la salle, le corbeau s'envole vers un destination inconnue.

La tanière toute entière baignait dans une quiétude rarement connue, et surtout en présence de ses occupants. Le souffle du vent faisait s'entrechoquer les roseaux, emportant avec lui les feuilles tombées prématurément. Quelques criquets, perdus dans les hautes herbes, lançaient à tout hasard des appels à l'amour.

Dans une chambre, possédant une vue sur la rivière, deux silhouettes, sur ce qu'il apparaissait être un lit, se détachaient de l'obscurité qui les entourait. Ces deux personnes, entraînées dans les flots déferlants et tumultueux de leur passion, s'étreignaient et s'embrassaient, exploitant au maximum l'instant présent. Au désir, se mêlait la frustration de leurs précédents « câlins », malencontreusement interrompus. Tout se mélangeait pour ne donner qu'un magma démesuré de sentiments et de sensations, trop embrouillé pour offrir un aperçu de ce qu'ils ressentaient à cet instant. Leurs lèvres se dévoraient, sans autre mot capable de les décrire ; leurs corps semblaient mû d'un instinct propre qui les poussaient à se fondre l'un dans l'autre ; leurs raisons étaient reléguées au rang de simples spectateurs de leur future union. Il était à peine impossible de différencier leurs deux corps entrelacés, produisant une pagaille indescriptible dans les draps du lit. La pièce était emplie du seul son de leurs souffles erratiques, mêlés l'un à l'autre, tout comme leurs lèvres, leurs corps, leurs âmes. Jamais union ne fût autant désirée qu'à ce moment là. Jusqu'à ce que…

– CROOOOOOOAAAA !!!!! CROOOAAAA CROOOAAAA !!!! CRROOOOOAAA CROOOOOOOAAAA CROOOOAA !! CROOOOOOOAAAA !!

Agacées par les tapes sur la vitre et cris d'Ovohide, Lostin quitte sa belle pour récompenser généreusement le gêneur. C'est alors qu'il remarque deux formes dans un arbre près de la rivière, bien trop grandes pour un quelconque animal. Le bleu, qui doit ce surnom à sa maîtrise de l'eau, commence une série de scellés.

Senvi – Oh l'imbécile… Ovo…

Heera – Fin du spectacle !

Lostin – SUITON : 'douche froide' !!!

De la rivière, une trombe d'eau apparaît et se dirige vers les deux ombres. Les sens en alertes les ceux voyeurs évite l'impact de l'eau contre l'arbre. Mais le jutsu est plus complexe, et la tornade d'eau les poursuit. Pas vraiment tenté par un rafraîchissement de cette envergure, nos deux compères n'ont d'autres choix qu'un sprint de 100 mètres pour atteindre la serre du lanceur de jutsu. Voyant la menace pesant sur son refuge, Lostin annule son jutsu et se tourne vers sa douce, la colère se diluant dans sa fatigue. La passion éteinte, ils partagent un regard emplit de compassion. Il se couche lourdement aux coté de sa douce qui se blottit contre lui.

Kuroneko – on y arrivera, tyni-chan…

Lostin – oui, on y arrivera…

Kuroneko – Oyasumi koibito.

Lostin – bonne nuit, ma belle.

Ainsi dans cette atmosphère chauffée nos deux amants s'endorment, laissant leurs souffles rythmés la nuit. Nul doute que leurs rêves compensent un peu leur frustration commune. Dans la tanière, le calme est revenu… Qu'est que j'écrit là ?on déjà vu le calme... Dans la tanière, le calme fait son nid.

[Une heure avant les premiers rayons du soleil, le 02/01/01[ii]]

Bien heureux de son jogging nocturne, Shyzen vient enfin de repérer un groupe de quatre source de chaleur.

Ha oui, petite précision, comme Tich l'a fait remarquer dans le chapitre. Précédent, le phoenix de la meute possède un sixième sens thermique amélioré. Par commodité, je me permet de le comparée à la vision thermique de predator. Voilà fin du topo.

Donc il se met alors à chercher un autre point de chaleur, pas trop loin. Il en reconnaît un. Enfin deux, un grand et un petit, ce qui le surprend. Le ninja garde le souvenir d'un corbeau resté à la tanière. Pas grave, il continue sa progression fluette jusqu'a se retrouver à une distance de cinq mètres de la féline humaine perché à une branche. Il s'apprête à signaler sa présence par un mot mais se retrouve en chute vers le sol. Ne comprenant pas la situation, Shyzen, alourdis par les provisions, se laisse admirablement renverser par la lionne aux aguets. Plongé dans le sérieux de sa mission, et laissant Conker[iii] sur la branche, FFelinna prête à trancher la gorge de cet inconnu avec son kunaï.

Shyzen – FFelinna !!

FFelinna – Shyzen…

Shyzen – Du calme, chaton. Tu vas quand même pas me manger ???

À ces mots, la terrible beauté se relève pour se mettre à califourchon sur ce jeune imprudent. Une main en appuie sur le torse de notre ami, elle esquisse un sourire et un regard malin, tout en jouant du kunaï sur la peau du cou.

FFelinna – En voilà une bonne idée…

Toujours réfléchir en toutes situations, tel est un des principes de Shyzen. Donc il réfléchis sur le sens exact des paroles de la demoiselle, avant de se faire une boucle mentale sur une possibilité. Maintenant spirituellement inapte à toutes réflexions, ses joues s'embrasent de sang et il remercie la nuit de cacher les couleurs à la vue de sa cavalière[iv]. Face au silence de son camarade, FFelinna se lève et va récupérer son animal de compagnie. Tandis que Shyzen prend l'assise indienne et enlève son sac, elle revient et s'assoit devant lui, le petit animal sur la chevelure.

FFelinna – Alors t'es venue faire quoi de si bonne heure ?

Shyzen – Je suis sure que t'aurais sûrement préféré un petit dej' au lit. Mais je t'amène de quoi te restaurer.

Au mot dej, dans le regard de FFelinna, des étoiles naissent pour montrer le bonheur et le verbe restaurer déclenche la réaction de gratitude. Voici le célèbre, internationale, universelle pas très connu, revendiqué, sans propriété, saute au cou. Ignorant que la faim provoque de telles réactions, Shyzen se retrouve de nouveau allonger au sol, presser par une somptueuse créature. Très habile et acrobate, Conker arrive à rester à son nouveau poste d'observation. Le ninja male rougis furieusement à reconnaître chaque partie du corps de la belle, par un recensement minutieux de chaque cm² de contact. Voulant profiter pleinement de cet échange de chaleur, l'ermite entoure de ses bras le corps de FFelinna quand un grognement coupe son élan. Il sourit et dit :

Shyzen – Je crois que ton estomac ne peut plus attendre.

Gênée par la réalité, elle se relève timidement, regrettant le manque de patience de son corps. Enfin apte à faire autre chose, ils reprennent leurs places assises pour découvrir le contenue du sac.

Shyzen – Bien alors ton plaisir gourmand, nous avons un assortiment de… tous ce que tu aimes.

FFelinna – Sérieux ? Donc brioches beurrées a la confiture de fraise et gelée de framboise… céréales au chocolat et du lait bien sûre… Je suis sure que tu n'y as pas pens !

Shyzen – Comment veux tu que j'oublie le plus important : les candy up au chocolat.

FFelinna – Shyzounet, tu es un amour !!

Le regard aimable pour son livreur, elle commence par mettre l'écureuil sur ses cuisses pour qu'il puisse profiter de la nourriture. Ainsi dans un calme certain, ils profitent de leur pic nique p'ti dej improvisé, parlant de la meute et du nouveau compagnon de voyage à quatre pattes. Les sourires de l'un redonnent confiance à l'autre, les regards de l'une donne des idées[v] à l'autre.

Après ce copieux repas, chacun se prépare à poursuivre leur mission. Encore assis, Shyzen remet les détritus en sachet dans une poche prévue dans le sac. Désireuse de se dégourdir les jambes, FFelinna au jongleuse avec Conker tout en tournant autour de Shyzen.

Shyzen – Bien on est okay pour reprendre la poursuite… Avec le soleil qui pointe la lumière sur le monde, ils ne vont pas tarder à reprendre la route.

FFelinna – Je prends le sac ! Et tu prends Conker.

Shyzen – Heu, si tu veux. Mais… Arrête de bouger Conker ! Mais le sac ne me posait pas problème vu comment il est léger.

FFelinna – Tant mieux pour moi alors. Mais toi, tu as autre chose à porter.

Pas le temps de répondre, le phoenix se sent alourdi à son grand étonnement. Alors comment décrire ce qui se passe… prenons deux corps, A et B, de préférence humain. On défini deux faces, avant et arrière, pour les deux corps… Bon je vais faire plus simple !! FFelinna fait une prise koala dans le dos de Shyzen.

Analyse de la situation par Shyzen : souffle chaud parfum pêche poitrine forte cuisse tendre cheveux de soie écureuil sur la tête étreinte douce chaleur de bonheur è début d'extase.

FFelina – Faudrat qu'on se fasse un jour... ce p'ti dej au lit...

Notre lupinin se trouve plongé dans un bain moussant relaxant mental qui le fige sur place. Et les mots de la belle sonne en lui comme les cloches de paques.laissant agir les conséquences de trois nuits blanches, elle ferme les yeux et se laissent porter par la chaleur du pheonix. Frissonant sous le souffle calme de l'agent endormi, Shyzen plonge dans un yoga qui affine ses sensations. Son incroyable sens de la température lui signale l'éloignement des quatres sources précédemment ressenties. Retour aux obligations de sa fonction, il se leve, levant la petite troupe vers la suite des opérations.

[à l'aube, le 02/01/01, ensoleillement, parsemé de passage de nuage paisible, annoncé]


[i] Je vous jure, je suis trop sérieux.

[ii] Ouais, on a changé de jour.

[iii] Rappel que Conker est l'écureuil du chap 2.

[iv] Vu la position, il ne peut pas être autrement..

[v] Rien de vulgaire, juste des espoirs.