Auteur : Sephy

Base : Gundam Wing

Genre : vent de panique chez le shinigami

Disclaimer : les persos ne m'appartiennent pas mais je m'en sers quand même, na

Réponses aux reviews :

Misao Maxwell : hai ! hai !! et voici la suite

Yohina : euh…. C'est vrai que Wufei n'a vraiment pas tort sur ce coup Enfin… il existe pire (nan, je ne vise pas ces deux prochains chapitres)

Alana : m'ci pour ta review, elle m'a vraiment touché J'suis vraiment contente que t'es apprécié la saison 2 (je l'adore trop aussi) et pour répondre à ta question, la saison 3 est actuellement en cours

Crystal Yui : wahhh !! tu lis la saison 3 aussi ? mega happy Le prochain chapitre sera dispo lors de la prochaine update (euh…. Quelque part dans la semaine ? )

My Sweet Love Chapitre 2 : seuls dans la chambre

Cela faisait près de deux minutes que le perfect soldier le tirait à travers le couloir de leur dernière demeure. Quoi que tirer ne fut pas le terme exacte. Porter aurait mieux convenu à la situation vu qu'il ne touchait pas le sol. Ça avait de quoi surprendre, surtout lorsqu'on savait que les deux adolescents faisaient plus ou moins le même poids.

Soudain, le Japonais s'arrêta. Prenant une clé dans sa poche, il l'introduisit dans la serrure et ouvrit la porte.

Poussant le shinigami à l'intérieur, il referma à clé dernière eux afin de ne pas être dérangé.

Le pilote en profita pour détailler ce qui l'entourait : le mobilier était simple mais d'un goût certain. Sur le bureau, l'ordinateur était encore allumé et un tas de papier était étalé à côté de celui-ci.

Heero : retires ta chemise

Duo : hein ?!!

Surpris par ce qu'il venait d'entendre, il resta sans bouger, se demandant si c'était bien son vis-à-vis qui avait prononcé ses mots ou bien si tout n'était que le fruit de son imagination.

Ce n'est que lorsqu'il vit que ce dernier se retenait à grand peine de ne pas le tuer qu'il comprit que c'était bien la réalité.

Voulant regagner le temps qu'il avait perdu à le chercher dans toute la demeure, le Japonais le prit par le col et le posa sur son lit avant de défaire un à un l'ensemble des boutons de la chemise. Il s'était toujours demandé pourquoi l'Américain portait ce genre de vêtement peu seyant et vraiment pas pratique à enlever.

Patiemment, il continua sa tâche alors que, de son côté, le dieu de la mort n'osait faire le moindre mouvement et se retenant à grand peine de ne pas lui sauter dessus.

Heero : … respires

Etrangement, le dieu de  la mort se tenait tranquille. Il n'y a rien à dire, le moulin à parole ne devait pas être dans son état normal. La preuve en était que s'il lui disait pas ce qu'il devait faire, il ne le faisait pas.

D'une main, le hacker lui maintenu les bras en l'air tandis qu'il prenait les mesures dont il avait besoin de l'autre. Cela s'avérait assez périlleux mais vu l'état de l'Américain, il n'avait pas trop le choix. Le pilote aurait pu croire qu'il manipulait une poupée de porcelaine s'il n'y avait pas ses rougeurs qui apparaissaient de temps en temps sur ces joues de son vis-à-vis. Se pourrait-il qu'il soit si punique que ça ? dans ce cas…

Relâchant sa prise, il lui tendit le mètre.

Heero : … ton tour de hanche… à prendre sans le pantalon

Là dessus, il s'installa devant son ordinateur et continua son travail qu'il avait interrompu quelques instants plutôt en espérant que le dieu de la mort avait retrouvé assez de lucidité pour exécuter ce qu'il lui avait demander.

Il fallut un court moment à ce dernier pour comprendre ce qu'on attendait de lui. une fois l'information arrivée au cerveau, il s'exécuta, non sans lancer quelques coups d'œil à brun pencher sur son écran.

Il n'y avait rien à dire, ce mec était parfait. Des lèvres ni trop fine, ni trop pulpeuse, des mains aussi douce que de la soie… difficile de croire qu'il avait à faire à un psychopathe capable de détruire une arme à lui tout seul ou encore sauter du cinquième étage sans parachute et s'en sortir avec une simple fracture, bien vite réparer.

Son regard s'arrêta sur ses cuisses musclées. Le spandex qu'il portait en permanence de cachait absolument rien de son anatomie dès plus parfait, le aussi.

Comme il aimerait pouvoir glisser sa main sous ce tee-shirt trop grand…

Heero : … tu as fini ?

Il sursauta comme un gamin prit en faute. Et il avait de quoi, cela faisait près de dix minutes qu'il le dévisageait sans retenu, le soldat s'en était-il rendu compte ?

Il pria mentalement pour que cela ne fût pas le cas. S'approchant de ce dernier, il lui donna les mesures demandées avant de se placer à une distance raisonnable.

Duo : que vas-tu en faire ?

Heero : tu verras

Disant cela, le hacker se leva et, prenant la chemise sur le lit, la posa sur les épaules du shinigami qui ne put retenir un frisson.

Partir… partir avant qu'il ne fasse une bêtise….

S'apprêtant à demander la clé pour s'échapper, il s'aperçut que le japonais n'était déjà plus à ses côtés mais qu'il se tenait à côté de la porte.

Bredouillant une phrase à peine audible, il prit congé et fila en direction de sa chambre comme s'il avait le diable aux trousses.

Sur le pas de sa chambre, l'informaticien le regarda quelque peu surpris, se demandant ce qu'il avait bien pu faire pour le faire fuir aussi vite. Renonçant à comprendre un mec défiant toute logique, il s'enferma dans ses quartiers et se remit au travail