Merci lapieuvredudesert (Frédérique) pour ta review !!! Voici la suite de ma fic.
CHAPITRE 2
Il tape Tom à la tête à l'aide de son arme. Tom a mal mais ne laisse aucune émotion se lire sur son visage. Il reste la tête au sol et ne dit rien. Il a compris que les cambrioleurs ne sont pas là pour rigoler.
- Alors je peux vous laisser seul et aller dans la salle des coffres ? demande le chef.
- Oui vas-y nous on reste ici.
Le chef ouvre la salle des coffres et est oubli par le nombre de coffres qu'il y a à l'intérieur.
- Wow, dit-il, il doit y avoir des milliards de dollars dans cette pièce.
- Super, dit l'un des complices.
- Prends vite l'argent et tirons-nous, dit le troisième.
- Et c'est qui qui donne les ordres ici ? demande le chef offensé.
- C'est toi, répondent les complices.
- Bien, maintenant que ceci est clarifié je veux que vous la fermiez et que vous gardiez un œil sur les otages, si y en a un qui bouge vous le buttez !
- Bien chef, disent les complices.
Tom comprend qu'ils ne rigolent pas, pourtant d'après leurs voix ils ont l'air plutôt jeune, pas plus de 20 ans en tout cas.
Tom essaie de réfléchir à une manière d'agir sans empirer la situation. Il sait qu'il doit essayer de monter les trois cambrioleurs les uns contre les autres mais ce n'est pas facile à faire.
Pendant ce temps un des banquiers, couché au sol, bouge rampe lentement pour atteindre l'arrière d'un guichet pour appuyer sur l'alarme silencieuse et que la police soit prévenue du problème et que les flics rappliquent.
Tom regarde le banquier et lui fait signe d'arrêter et de ne pas bouger. Le banquier le voit très bien mais décide de continuer.
Un des complices voit la manœuvre du banquier qui est presque arriver derrière le guichet.
Il tendait sa main vers le bouton de l'alarme lorsqu'il est repéré. C'est vraiment pas de chance ! Un des complices s'avance près de lui et le regarde ainsi qu'où est sa main, c'est-à-dire proche du bouton.
- Et mais qu'est-ce que tu fous là toi, on t'avais bien dit de ne pas bouger je crois.
- Oui Messieurs, répond le banquier aux bandits.
- Alors qu'essayais-tu de faire ?
- Rien, je voulais juste me prendre à boire.
- Oui c'est ça, dis plutôt que tu voulais déclencher l'alarme.
- Mais non, dit le banquier dont la voix tremble au fur et à mesure qu'il ment.
Le chef, qui avait entendu toute la scène et n'avait pas encore su ouvrir un des coffres, arrive.
- Je ne peux vraiment pas vous laissez seul, dit-il à ses complices.
- Mais si…
- Je vois bien que non. Bon puisque ce mec a voulu faire le malin, dit-il…
- Arrête, disent les complices, tu ne vas quand même pas…
…
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