Auteur : c'est moi, Hiril Ithilia, votre gentil Hamster fanficeur. Pourquoi tout ces regards stupéfaits ?! Ben vi vous saviez pas suis un Hamster, si si je vous assure, soyez pas surpris.
Disclaimer : Je sais je sais, X-Men appartient a Marvell, donc ils sont pas à moi tous ces perso choupi, je ne fait que les emprunter pour jouer un petit peu avec et Marilyne Ménard alias Mayreen appartient à sa créatrice qui nous a lancé ce joli petit défi, j'ai nommé….
Mayreendalmrin, The Dark Queen.
Blabla de l'auteur, genre, etc : Voici la suite de l'histoire de Mayreen, avec un premier contact avec l'équipe de Xavier et notamment Wolverine, des descriptions, pas mal de descriptions et des personnages qui souffrent mentalement #sourire sadique du Hamster# (pas trop mais un peu quand même, on va pas se trahir Nee ?!) Hum que rajouter sinon ??? J'ai mis longtemps à l'écrire et je ne suis pas convaincu sur la qualité de certains passages avec un certain sentiment que ce texte est bourré de déjà vu, enfin je verrai vos commentaires. Et merci Dark Queen pour ta review ça me fait plisir que ce que j'ai fait de ton personnage te plaise !!! #sourire a peine visible sous ce pelage devenu entièrement rose# et en prime vous avez droit à un tit bonus que certaine personnes m'ont réclam
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D'après les informations communiquées par les forces de l'ordre présentent sur les lieux du crime, la victime serait un homme d'une quarantaine d'année environ, son identité n'a pas encore était dévoilée. Certaines de nos sources affirment que cet homme était à la tête d'une organisation de tueurs à gage. Les enquêteurs privilégient la piste du meurtre vu les blessures apparentes de la victime. L'autopsie nous donnera plus d'information sur les circonstance de la mort, mais certain voit dans ce meurtre la marque de fabrique d'une jeune tueuse à gage usant d'armes blanches. Nous en saurons plus dans les jours à venir.
Le professeur Xavier déposa le journal sur la table basse du salon et apostropha un homme adossé au mur.
- Qu'en penses tu Logan ?
- Ce que j'en pense ? pourquoi me demander quelque chose dont vous avez déjà les réponses ? Il s'agit assurément d'un mutant qui use de ses dons à des fins plus que discutables. Un disciple de Magnéto ou un gars qui se la joue solo.
- Tu as raison, ce meurtrier est bien un mutant, Cérebro l'a détecté mais quelque chose me dérange chez cet individu, c'est une jeune fille du même âge que nos pensionnaires.
- Où est le problème ?
- Je ne sais pas c'est juste un sentiment, un sentiment qui me dit qu'elle n'est pas mauvaise. De plus, d'après les autopsies des victimes précédentes, cette mutante aurait des griffes…
- Des griffes ?! se pourrait il qu'elle soit comme moi ?
- Pour vérifier l'hypothèse il faudrait arriver à la ramener parmi nous, j'ai la sensation que nous devons la protéger elle a un lien avec nous, un lien dont je ne connais pas la nature.
Sur ces mots les deux hommes quittèrent la pièce et allèrent dans la salle de Cérebro afin de tenter de retrouver la jeune meurtrière.
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Seule, elle errait à l'abandon dans les rues obscures de la ville, découvrant les bas fonds de ce monde où se côtoient les criminels et les sans abris, où toutes la misère se retrouvent en un point. Odeur nauséabonde, vapeur étouffante, obscurité environnante, Mayreen marchait vers l'inconnu, sans aucun but, savourant sa liberté, savourant chaque instant de sa totale autonomie. Elle était libre, oui enfin libre, cette sensation nouvelle d'entière maîtrise de ses faits et gestes l'enthousiasmait. Une nouvelle vie commençait pour elle, une vie de bonheur et de plaisirs, une vie normale, sans aucun souci, sans être l'esclave d'un homme, sans être l'objet d'une compagnie de tueur...
Elle passa devant les vitrines illuminées des magasins, allant de l'avant tant bien que mal, bousculée par la foule démesurée soumise à la frénésie des soldes. Elle ne comprenait pas pourquoi tout ces gens ce bousculait ainsi, pourquoi il y avait tant de monde, mais elle s'en souciait guère. Sous son apparence de jolie amérindienne, nombreux se retournèrent sur son passage, la sifflant, l'interpellant, mais elle les ignorait superbement, marchant droit devant elle, et cependant un léger sourire se dessinait sur ses lèvres, ils ne savaient pas combien elle les dupait et cela la divertissait.
Au croissement d'une rue, un marchand de journaux interpellait les passant, leur criant la une du jour : nouveau meurtre de la Panthère, le meurtrier à encore frapper ! Une nouvelle victime à son tableau de chasse !
Mayreen stoppa net, la Panthère, ce ne pouvait être qu'elle, une nouvelle victime, elle l'avait donc tué, il était donc bien mort, ses mains étaient à nouveau tachées de sang, le sang d'un parricide, car après tout, il était comme son père. Auteur du plus horrible des crimes, bien pire que la masse d'innocents déjà tombée sous ses griffes, Mayreen, heurtée par l'annonce brutale de son meurtre en pleine rue, quitta à vive allure la place où elle se tenait. Désorientée, elle errait une foi de plus à travers cette ville, seul son instinct la guidait sur le macadam, recherchant la protection d'un lieu sûr et invisible, une tanière…
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- Ca me fait froid dans le dos cette histoire de meurtre en série !
- T'es pas un membre du milieu, t'as aucun lien avec une organisation malfaisante, ta rien à te reprocher ?
- Pourquoi tu me demandes ça ?
- T'as pas vu que c'est que des gens craignos qui se font tuer ?!
- Ouais mais imagine elle se loupe de cible la Panthère ? hein imagine !
Dans l'une des pièces multiples de l'institut, deux jeunes gens discutaient, l'une était blanche de peau, fraîche, semblable à la rosée du matin, les cheveux brun montés en queue de cheval, l'allure juvénile. Près d'elle un jeune homme, légèrement débraillé, les cheveux mi-long aux reflets bleuté.
- Par contre t'as plus de chance de tomber sous la machette meurtrière d'un gars si tu ne lui offres pas de clope [1]
- Quoi ?! c'est quoi cette histoire ?!
- Kitty, tu devrais plus souvent prêter attention aux informations.
- Mais, mais…
Deux hommes venaient de se joindre à la conversation, l'un assez grand, négligemment vêtu, mal rasé, l'autre, crâne chauve,assis dans un fauteuil roulant.
- Y a vraiment des fous en liberté de partout maintenant !!
Un jeune homme à la peau mate intervint à son tour, dans sa voix se mêlaient le dégoût et la stupeur.
- Et encore tu sais pas tout, t'as pas entendu l'histoire de la femme qui a crevé les yeux de son mari avec ses talons aiguilles car il la trompé. [2]
Une jeune fille, blanche comme le marbre, vêtue de noir, sombre couleur pour cette peau si délicate. Contrairement au reste de l'assemblé, ces faits divers la faisaient sourire.
- Ah !!!!! c'est quoi tout ça, arrêtez de me faire flipper !
- Du calme, du calme, si je vous ai demandé de vous rassemblez ce n'est pas pour que vous vous racontiez des faits divers et légendes urbaines. Cerébro a repéré un mutant de votre âge, une mutante plus précisément.
- Et on doit la retrouver afin qu'elle se joigne à nous.
- Tout a fait Scott. Elle se prénomme Mayreen et présente quelques faculté similaire aux votre Elle aussi est recouvert d'un pelage et se cache sous une forme normale, tout comme toi Kurt, et possède des griffes, tout comme Logan.
- Des… des griffes ?! Kitty semblait surprise. Ce ne serait pas elle la tueuse en série, la Panthère ?
- Oui et nous devons la retrouver pour la protéger, elle n'est plus qu'un animal perdu dans la ville.
- Très bien, et comment la reconnaîtrons nous ? demanda Jean
- C'est une jeune amérindienne, qui se terre dans les rues sombres de la ville, je vous donnerai les informations nécessaires avant votre départ. Nous devons faire vite, j'ai peur que Magnéto ne l'ai déjà trouvée. Son esprit est assez fragilisé, il ne faudrait pas qu'il la déstabilise encore plus.
Les X-men se séparèrent, près pour une nouvelle mission, près à convaincre cette jeune mutante de rejoindre leur rang. Seule Kitty avait un mauvais pressentiment. Cette fille n'était pas n'importe qui, pour la convaincre sans dommage ce serait difficile.
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Marchant avec lassitude dans ce dédale de rues, perdue dans ce labyrinthe d'avenues, ne sachant où aller, sans abri, sans protection, sans aucun moyen pour survivre, elle errait dans ses pensées, guidée par ses pas, par son instinct de félin. Elle marcha ainsi la journée durant, croisant divers regards, traversant divers lieux sans jamais y prêter attention avant d'aboutir dans un parc déserté par les âmes, abandonné des vivants, lieux de quiétude mais à la foi de tourments…
Mayreen s'installa sur un banc, ombragé par les rameaux touffus d'un arbre. Seule, elle était toujours seule. Etait ce cela la libert ? Être seule dans un monde inconnu, libre mais seule, libre mais ne sachant que faire, libre et s'ennuyant… cette ville était horriblement ennuyante, et elle avait faim. Son estomac d'ailleurs le lui rappelait à intervalle de plus en plus rapproché. Mais elle n'avait pas d'argent, pas la moindre pièce. Dans sa folie dévastatrice elle n'avait pas pensé à prendre de quoi survivre quelques temps avant de trouver une solution à son errance. Elle s'était trop précipitée et avait été vite dépassée par les événements.
Le bruissement des feuilles la berçait avec nonchalance, lentement, au fil du vent qui balayait un parc entièrement désert, soulevant de son souffle suffoquant les quelques feuilles mortes qui jonchaient le sol. La chaleur de ce souffle caressa son frêle visage semblable au masque d'un pantin de bois avant de parcourir sa chevelure de jaie, simple reflet se sa sombre fourrure camouflée par son subtile stratagème.
La clarté du jour commençait à s'effacer peu à peu, laissant place à la pénombre du soir, métamorphose des couleurs joyeuses du jour en nuances froides de la nuit. Mayreen se leva, elle n'avait que trop tardé dans ce cimetière des âmes, elle n'avait que trop cogité, son esprit se sentait fatigué, faible, elle n'avait que trop considéré la chose, imaginé une succession de fin des plus tragique. La solitude était vraiment un objet de tourment, le cadre agréable et paisible l'avait déstabilisé plus que jamais et elle partit le cœur lourd, le regard sombre et terriblement vide.
Dans les allées de gravier traversant de part et d'autres je parc, Mayreen traînait le pied, toujours emprise par le flot de pensées qui l'assaillait. Elle ne vit pas l'inconnu qui marchait devant elle. De haute stature, emmitouflé dans un parquas gris, un chapeau de la même couleur négligemment posé sur le crâne, l'inconnu avancait vers elle, lui-même plongé dans de sombres pensées. Chacun ses problèmes à vrai dire, la vie n'est pas toujours rose.
Deux âmes qui errent dans le vaste chaos de leur pensée, silhouettes tristes et égarées, prenez gardes à votre chemin. Un impact, léger contact, épaule à épaule, un échange de regard, une étrange lueur.
- Perdue dans ses pensées belle enfant ? Cela doit être dur d'être responsable d'un parricide, tant de sombres pensées, de terribles tourments qui vous assaillent de toutes part, n'est ce pas le cas, Mayreen…
L'homme esquissa un sourire cynique, son regard se fit plus lumineux, éclairé d'une flamme terrifiante, d'une flamme qui impose la peur.
- Qui…qui êtes vous ? Co…comment connaissez vous mon nom ? Et d'où savez vous tous ça ?!
- N'ai crainte, je suis comme toi, je suis un mutant, et je suis là pour t'aider.
- Un mutant ?! je ne vois pas de quoi vous voulez parler.
- Ne fais pas l'innocente, tu le sais très bien, panthère qui façonne les ombres.
- …
Magnéto allia les gestes à la parole. Il tendit sa main en direction du banc où Mayreen était assise quelques minutes plus tôt. Il prit une forme torturée, les plaques métalliques se détachèrent pour former un amas de ferrailles voletantes et dessinant des figures qui se tordaient, comme un malade soumis aux dernières convulsions d'un puissant poison.
- Comment avez-vous fait ça ?!
- Ce sont mes gènes de mutant, toi tu façonnes les ombres, moi je contrôle l'acier. On me nomme Magnéto. Mais je viens te proposer un toit, une maison où tu pourras vivre, seulement si tu acceptes d'entrer dans mon groupe. Nous ne te voulons aucun mal, nous voulons simplement t'aider, et grâce à nous et à notre lutte, tu pourras t'insérer dans cette société sous ta forme originelle.
- Une organisation ? Ma réelle forme…non je ne veux pas faire parti d'une quelconque organisation, je ne veux pas être soumise à vous, et je ne veux lutter contre personne !
- Tu as tort, belle enfant de refuser mon offre, faudrait il que j'emploi la force pour t'obliger à nous rejoindre dans notre lutte contre les humains. Pourtant tu connais déjà ce goût si doux du meurtre, n'est ce pas ? Tes mains sont rougies par le sang de combien de personne déj ?
- Taisez vous ! vous ne pouvez comprendre et vous ne comprendrez jamais !
Sur ces mots Mayreen repris son chemin, plus perturbée que jamais mais à la foi l'esprit posé sur les braises ardentes de la colère. Pour qui ce prenait cet homme et de quel droit s'adressait il à elle de cette façon.
- Je vois que la petite fille est énervée. Son goût pour la liberté est bien trop grand pour qu'elle puisse accepter à nouveau les chaînes de l'enfermement. Prend garde belle enfant à ne pas te piquer avec les épines de la liberté. Et surtout prend garde aux X-men, cette organisation est bien plus démoniaque que la mienne.
L'homme reprit son chemin, laissant Mayreen à nouveau seule, mais sous son chapeau, le regard s'illumina d'une flamme nouvelle, signe d'une mission accomplie et sur ses lèvres s'esquissa le sourire de la victoire.
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Mayreen était perturbée par la rencontre de cet étrange homme. A peine libre et déjà on voulait l'inclure dans une organisation qui n'avait rien de pacifiste à première vu. Et qui étaient ces X-men ? Et où allait elle passer la nuit ? Nul part, elle n'avait nul part où aller, pas de famille, aucun ami, seule. Elle arriva aux abords d'un cimetière, dans ce lieu triste et froid elle serrait tranquille au moins, les habitants ne dérangeant personne. Elle entra discrètement, ombre furtive parmi les ombres, et se terra derrière une stèle, dos à cette pierre glacée, frissonnante.
Alors qu'elle commençait à somnoler, un léger bruissement la fit sursauter. Les sens éveillés, aux aguets, elle resta cependant derrière la stèle, protégée par son impénétrable froideur. Une ombre, simple forme furtive se déplaça vers elle. Des voix, lointaines pourtant mais si proches, on la cherchait.
- Rien de mon côt
- Pareil pour moi
- Il s'est pas un peut trompé le professeur ? Ca me donne des frissons de fouiller un cimetière à la recherche d'une tueuse.
- Kitty ! c'est pas avec ton manque de volonté qu'on va la trouver et arrête de la traiter comme une tueuse !
C'est ainsi que les gens la considéraient, une simple tueuse, c'est ainsi que la considérait son père. Elle quitta sa cachette discrètement, escalada le même mur qu'elle avait franchi pour entrer et pénétra dans les rues étroites de la cité. Ainsi elle espérait les fuir en entrant dans son univers d'ombres.
Elle n'avait pas vu l'homme qui la suivait agilement, dissimulé par les formes noires de la nuit. Il courait à vive allure et la rattrapa rapidement. Mayreen se retourna derechef, se trouvant alors face à face avec son vis-à-vis. Une odeur, une odeur étrange la dérangeait, son odorat de félin était en alerte, cette odeur lui était familière, étrangement familière, et cela l'inquiéta.
La ruelle était plongée dans le silence, pas un bruit, juste le murmure taciturne des voitures sur la route. Moment de doute, instant d'inquiétude, l'homme qui se tenait en face d'elle était habité par les mêmes questions que Mayreen. Lui aussi était intrigué par cette odeur étrange et familière. Son regard changea, la lueur de ses yeux devint terne comme s'il était dans un état de léthargie, plongé dans ses pensées, instinctivement il sortit ses griffes. Bruit de l'acier froid entrant en contact, lumière froide renvoyait par la lune sur les lames aiguisées avec soin, l'homme regarda étrangement la jeune fille.
Pris de panique, Mayreen ordonna aux ombres de se mouvoir et de plonger dans les ténèbres son assaillant. Elle ne pouvait faire confiance à personne. La peur de se retrouver à nouveau enfermée dans une cage miteuse, de perdre sa liberté si frêle, déchaîna les ombres qu'elle dressa entre elle et l'homme qui la poursuivait.
Les ombres grandirent subitement dévorant Wolverine, seul dans ce chaos d'images mouvantes, face a la succession de formes valsant autour de lui, dansant comme la lumière d'une bougie dans la pénombre qui peu à peu s'étouffe et se meurt. Le bal des ombres l'hypnotisa lentement, le berçant dans cette profondeur ténébreuse avant de vaciller sous le spectacle des figures fantasmagoriques. Ces ombres noires et terrifiantes, aussi impénétrables que le néant, aussi profondes que les abîmes du monde, objet de tourment et d'agonie, ces ombres qui hantent et qui torturent les âmes, ces ombres qui vous rappellent à vos démons les plus anciens. Sous le flots des figures horrifiantes qui se dessinaient autour de lui, Logan fut pris par ses démons les plus anciens, ces ombres lui rappelant ses tourments et blessures du passé. Il s'effondra sous le poids du chaos se mêlant aux sombres images de son passé.
Dans une ruelle plongée dans les ténébres, Logan luttait contre ses souvenirs amers qui ressurgissaient des plus profonds recoins de son esprit, ces souvenirs que l'on dissimule dans les tréfonds de son âme pour tenter de s'en débarrasser à tout jamais.
Il n'était plus qu'une forme agenouillée au beau milieu d'une ruelle, qu'une créature soumise à la hantise de son passé. Une succession de question vinrent torturer son esprit déjà fragilisé, qui était cette fille capable de faire ressurgir ses pires souvenirs ? Qui était elle pour pouvoir façonner les ombres à sa guise ? Et quelle était cette odeur si familière et si étrange qui vinrent perturbé l'odorat si fin de Wolverine ?
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[1] Fait réel, en Avignon un jeune de 15 ans s'est fait tuer à coup de machette pour des clopes.
[2] Fait réel aussi (qui a dit victime de l'actualit ???) à St Cyr sur Mer (ville à coté de chez moi) il y a eu une baston générale en sortie de boite et une femme a crevé les yeux à un pauvre gars avec ses talons aiguilles…
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BONUS ou comment une scène des plus tragiques tourne au ridicule
Scène coupée au montage après révolte de l'auteuse qui a faillit faire carnage.
(Ceci s'adresse tout d'abord aux personnes de mon entourage jugeant mes textes trop « sombres et enclin au suicide » et réclamant quelque chose de plus marrant…)
Ce qui aurait pu se passer dans le premier chapitre, au moment ou Mayreen discute avec véhémence avec son père juste avant de le tuer par mégarde…
- Tu m'as peut être recueilli mais tu t'es servi de moi en échange ! Tu m'as transformé en esclave, en sbire de la mort, en meurtrière ! Je ne veux plus jamais tuer, plus jamais voir ces regards implorant la pitié, je veux vivre normalement comme une humaine, comme une fille normale de mon âge ! j'en ai marre de vivre cloîtrée ici attendant mon prochain contrat et à aiguisé mes griffes. Lâche moi !!!!
Il l'empoigna plus violemment, n'ayant pas l'intention de lâcher sa prise.
- tu arrêtes ton cinéma, et ce soir tu ira tuer cet homme, et comprendras tu cela un jour, tu ne pourra jamais être quelqu'un de normal, malgré le fait que tu puisses nous faire voir qu'une illusion de ta personne, tu seras découverte un jour sous ta réelle forme, qu'un monstre recouvert de poil et semi panthère, qu'un mutant, qu'un enfant de Satan !!!
Sur ces dernières paroles, Mayreen, eu comme un sentiment de rage qui lui traversa le corps, ses pupilles brillèrent d'une flamme intense et elle abandonna son enveloppe d'ombre pour dévoiler sa vraie nature. Son père eu un sursaut et…lâcha prise, pris de panique il recula et trébucha, ses pieds s'accrochant au tapis mal posée sur le sol. Déstabilisé, il vacilla avant de s'étaler lamentablement sur sol dans un bruit sourd.
Mayreen tomba à genoux sur le sol, convulsionné par un fou rire mais quel tâche ce mec, un vrai boulet ! Il se releva cependant, à la foi confus et le regard allumé d'une rage intense, qui était le bouffon qui avait mis un tapis dans cette pièce ? Il était où le crétin de décorateur. Il se releva donc péniblement s'appuyant sur le lampadaire pour se relever, un lampadaire qui bascula de l'avant et passa…par la fenêtre qui se trouvait à proximité, emportant son paquet avec lui, qui ne s'était préalablement pas retenu à la rambarde !
- COUPEZ !!!!!!!!!!!!!
L'auteuse Hamster cria d'une voix inspirant à la foi la peur et un message de « je vais tous vous buter !!! ». Elle serrait son script dans les mains et s'avança d'un pas énervé vers le pauvre homme qui était passé par la fenêtre, détruisant par la même occasion le décor du plateau.
- T'es vraiment qu'une pauvre tâche !!! BAKA ! BAKA ! BAKA !
Tout en crachant ces mots sur la pauvre victime elle lui assénait des coups violents de scripts sur le crâne
- Tu mérites vraiment la mort, j'vais te tuer, t'as tout foutu en l'air !!!T'imagines même pas les frais de studio que je perds à cause toi !! Idiot, crétin, abruti.
Et inévitablement il prenait un coup de script sur le crâne, des coups de plus en plus violent ! Elle allait vraiment le tuer !
- C'est pas ma faute à moi si ces accessoires étaient au milieu, HELP !!!
- C'est ça cries, demandes de l'aide, supplies moi d'arrêter ! tu vas mourir par mes mains !
- C'est…c'est bon là, vous allez l'abîmer, on en a encore besoin pour tourner la scène !
- URUSAI !!! je fais ce que je veux, c'est ma fic, et il m'a mise en colère !
Un assistant arriva suivi d'un autre, chacun l'empoignèrent par un bras, prenant dans la volé quelques coups de script. Mayreen arriva elle aussi, chargée de graines de tournesol et en fourra dans la bouche de l'auteuse gesticulant comme un diable. Ça y est elle s'était calmé, la bouffe étant le meilleur des moyens pour calmer un Hamster enrag ! Le père se releva péniblement, complètement sonné par les coups innombrables qu'il reçu de plein fouet sur le crâne.
- Il est où le chef décorateur ?!Qu'il me lève tous ça ! Le tapis, la fenêtre, le lampadaire…#bruit de graine craquant sous la dent# la scène va se passer dans ta chambre #doigt qui se pointe sur Mayreen# et y aura pas de fenêtre, pas de tapis et il fera tout noir ! Et tu lui planteras tes griffes dans le torse pour qu'il souffre bien #re bruit d'une graine broyé par la mâchoire du Hamster# # sourire sadique, regard de la mort qui tue# Allez c'est pas tout mais je le paye le studio, on recommence, dépêchez vous en place ! Et si on a du retard ça sera avec vos salaires que je vais payer les frais #rire démoniaque#
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Alors vous en pensez quoi ? Elle avance bien cette histoire nee ? Je sais pas combien de chapitre suivant il y aura, je sais même pas ce qu'il va se passer dans le prochain épisode…mais ça sera bien je vous le jure #pose une patte sur le cœur# parole de Hamster !
Laissez une petite review, siouplait #regard attendrissant à la Chat Potté#
