Alors j'espère que mon précédent chapitre vous a plus. Voici la suite. Gros bisous.

CHAPITRE DEUX : Flash Back.

- On va où ? Et comment ? demanda Harry intrigué. Au Terrier ?

- Ben voyons, t'as raison on va tous aller dans notre maison, comme si on y était pas déjà assez serré comme ça, ironisa George

- On va Square Grimmaurd, Harry, avoua timidement Hermione. En effet, il n'avait pas remis les pieds là bas depuis la mort tragique de son parrain. Le prend pas mal Harry poursuivit-elle, mais on s'est dit que...

- C'est bon, répondit le jeune sorcier, de toutes façons il faudra bien que j'y retourne, un jour, reprit-il tristement. Alors on transplane ? continua t'il comme si de rien n'était.

- Non, répondit simplement Rémus, on prend le Magicobus. Il agita sa baguette et le Magicobus apparut « comme par magie » (note de l'auteur : ah ah ah Tat très drôle de la magie dans Harry Potter et puis quoi encore ? :P).

Ils pénétrèrent tous dans le bus, payant à l'avance leur voyage. Maugrey se chargea de vérifier l'intérieur du bus avec son oeil magique, tandis que Tonk expliquait à Ern, le conducteur, l'endroit où il devait les déposer. Harry s'assit sur un siège et pu alors observer tous ses amis et jeter un coup d'oeil à la ronde, afin de se rendre compte du nombre de personnes ayant fait le déplacement rien que pour lui. Et dire que quelques minutes plus tôt, il pensait qu'ils l'avaient oublié... Assise à sa droite, Hermione affichait un sourire rayonnant faisant bien comprendre qu'elle était ravie d'avoir enfin retrouvé son petit ami. A la gauche de Harry se trouvait Ron, l'air gêné. Harry fut alors surpris de voir que Pavarti Patil avait pris place sur ses genoux. Harry l'interrogea du regard et il cru comprendre d'un geste de la main de son ami que celui-ci lui raconterait tout quand ils auraient 5 minutes de libres. En face de Harry, Fred et George parlaient avec « discrétion » - comme toujours - de leur petit frère. Apparemment, sa situation les amusait beaucoup. Plus loin, Harry remarqua un couple tout aussi loufoque que celui de Ron et Pavarti. En effet, Luna Lovegood tenait dans sa main celle de Neville. Celui-ci avait l'air un peu gêné et ne savait pas trop comment se comporter. Harry ne fut pourtant pas spécialement surpris, il savait que Neville mourrait d'un Amour Secret pour la jolie blonde. Il fut heureux que ces deux amis se soient enfin trouvé. Décidément, il s'était passé beaucoup de chose depuis qu'il s'étaient quittés un mois plus tôt, à la gare de King's Cross. Ce qu'il vit derrière le couple, le surprit d'avantage : Drago Malefoy était là, assis, et il semblait complètement envoûté par la personne qui lui faisait face : Ginny Weasley. Harry se dit qu'il devait se faire des idées et que Drago ne pouvait pas avoir autant changé en si peux de temps. Et pourtant... Il ne la quittait pas une seconde des yeux et le regard qu'elle lui rendait laissait clairement entendre qu'elle ressentait pour lui un peu plus que de l'amitié. Comment Drago en était-il arrivé là ? Harry se rappela :

[i]Il était dans la salle commune des Gryffondors, le soir de la rentrée l'année précédente. Assis dans un confortable fauteuil devant la cheminée, il se posait des questions : pourquoi Drago Malefoy, son éternel ennemi au sein de l'école, n'était pas au festin de début d'année ? Ses amis étaient déjà montés se coucher et il avait prétexté une insomnie. Il fut brusquement sorti de ses réflexions par des tambourinements sur la Grosse Dame et des cris venant de l'extérieur.

- Potter !!! Potterrrrrr !!!!

Neville aurait encore oublié le mot de passe ? Mais depuis quand Neville l'appelle « Potter » ? Et puis, de toutes façons il est monté se coucher toute à l'heure. Harry se rapprocha du trou que cachait la Grosse Dame...

- Laissez moi passer c'est important, il faut que je parle à Harry Potter !! disait la voix.

- Cessez, je vous prie, de vous égosiller devant moi, avez-vous le mot de passe ?

- NON, je vous ai dit que NON, mais c'est important !!!

- J'ai dit non, Mr Potter doit dormir à l'heure qu'il est, de plus vous êtes de Serpentard, vous n'avez pas l'autorisation d'entrer, et cessez je vous prie de frapper ainsi ma toile !!!

... et reconnu avec certitude la voix qui importunait la Grosse Dame.

- Malefoy ?

- Ah ! Potter il faut que je te parle !

- Tu te fiches de moi ? A cette heure ? Si tu veux encore me jouer un mauvais tour...

- NON, c'est VRAIMENT important ! S'il te plait ! l'implora t'il.

Harry réfléchit un instant : Malefoy avait loupé le dîner, il était là devant lui la robe de travers, les cheveux désordonnés, il semblait apeuré. De toutes façons il ne me fait pas peur et il est seul...

- Ok, mais pas ici...

- Non pas ici, on va trouver une salle...

Malefoy raconta donc à Harry la raison de son absence au dîner, de sa présence ici au milieu de la nuit, de son affolement...Son père s'était échappé d'Azkaban – ce n'était pas un scoop pour Harry qui lisait la Gazette du Sorcier tous les jours – et était revenu à la maison. Hors Drago n'était absolument pas d'accord avec son père et son activité de Mangemort. Il avait toujours cru que son père s'intéressait à la magie Noire mais il s'était refusé de croire qu'il puisse être Mangemort. A son retour de la prison, il lui a fait savoir et lui a demandé de ne plus retourner vers Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom. Son père était alors entré dans une colère noire et avait renié « celui qui était son seul héritier, le seul en qui il avait placé toute sa confiance, et celui pour le quel il avait de grands projets ». Drago avait alors du fuir sous les assauts de son propre père près à le tuer. Dumbledore, comme toujours au courant de tout, était accouru pour secourir son élève et l'avait ramené en sécurité au sein de son école. Il lui avait donné l'autorisation d'aller parler à Harry sur le champ, il voulait lui faire ses excuses et lui promettre de l'aider et même de le servir dans son projet : Tuer Lord Voldemort. Harry fut touché et accepta son aide. Ils retournèrent se coucher chacun dans leur dortoir respectif. [/i]

- Harry ?!!? HARRY ?!?

- Quoi ? Oh Hermione excuse moi, tu disais ?

- Je disais que nous sommes arrivé et que tu ferais bien de sortir de ta rêverie si tu ne veux pas rester ici...

S'il vous plait donnez moi votre avis, et je vous mettrai la suite si ça vous intéresse. Merci de me lire gros bisous.