Pour celles et ceux qui l'attendent voici la suite de ma Fic.
Les réponses aux reviews vont être rapide puisque je n'en ai eu qu'une
seule.
Ptitte Folle : Je te remercie de m'avoir donné ton avis. Je poste donc ce quatrième chapitre rien que pour toi. J'espère qu'il te plaira et que tu me donneras de nouveau ton avis.
Sur ce, bonne lecture.
CHAPITRE QUATRE : Révélation.
- Nom d'un troll des montagnes affamé !!!
- Calme-toi Harry ! dit Ron
- T'es marrant toi, je n'arrive pas à tout faire rentrer dans ma malle !
- T'as essayé « [I]Failamalle [/I]» ? Tenta t-il timidement.
- Tu me prends pour un imbécile ? grogna Harry
Rien n'allait pour Harry : les nombreux cadeaux lui avaient fait plaisir, tellement qu'il ne pouvait se résoudre à les laisser derrière lui. Et surtout, il ne pouvait pas admettre de laisser dans sa maison le tableau de Sirius. Mais ce tableau était d'un volume trop important, et ne rentrerait jamais dans la malle... Depuis le levé, tout ce qu'il faisait allait de travers et son humeur ne s'améliorait pas.
[I]Retourner à Poudlard[/I]... Il aimait toujours autant Poudlard, seulement maintenant sa maison c'était ici. Pour la première fois de sa vie il se sentait chez lui quelque part, ailleurs qu'à Poudlard, ici Square Grimmaurd, et il ne voulait pas partir. Cette maison était devenue, grâce aux bons soins de Moly, un endroit agréable et confortable, il y avait passé des moments inoubliables avec ses amis, et Sirius était là... [I]Le laisser ici, seul, ... non pas seul avec Dobby ... Oui mais j'ai besoin de lui ... Tu as vécu sans lui depuis deux ans ... Oui mais maintenant, je ne peux pas... non, non, je ne peux pas ... [/I]
- Ecoute Harry, si ta mauvaise humeur est due au fait de laisser Sirius ici, emmène-le, lui dit Hermione lisant dans ses pensées. Voyant Harry ouvrir la bouche pour protester, elle poursuivit : On trouvera un moyen...
- Mais ma malle est trop petite, la coupa t'il. Pas moyen d'y mettre toutes mes affaires, je ne peux pas laisser la moitié ici...
- Aurais tu oublié, mon amour, que tu es un sorcier ? « [I]Agrandissio[/I] » (note de l'auteur : désolée c'est un sort inventé par moi :P), dit-elle en pointant sa baguette vers la malle. Voilà, tu n'auras plus de problèmes maintenant, j'espère qu'on pourra te voir sourire à présent.
- Merci mon cœur, excuse moi, lui dit-il en lui décochant un de ses sourires qui faisait toujours craquer la jeune sorcière. Il put donc mettre dans la malle son balai, le tableau de Sirius, tous ses cadeaux et de nombreux objets ayant appartenus à son parrain, qu'il avait récupéré çà et là. Lorsqu'il la referma, elle avait repris sa taille habituelle. Parfait, songea t'il.
A midi, ils allèrent tous déjeuner dans la cuisine. Moly leur avait préparé un excellent repas, comme à son habitude. L'ambiance était joyeuse, tous riaient de bon cœur. A la fin du repas, ils se regroupèrent au salon : ils avaient décidé de passer l'après midi ensemble, seuls, à savourer ses derniers instants de paix, ces derniers instants loin de Voldemort, loin de ses Mangemorts, loin de tout ce qui les effrayait... Ils passèrent l'après midi à s'amuser, jouer aux cartes ou aux échecs, ils répétèrent les sorts qu'ils avaient appris avec acharnement pendant deux ans, juste pour le plaisir de se remémorer leurs souvenirs.
- Tu te rappelles la première fois que j'ai fais apparaître un Patronus ? Avait demandé Neville à Harry.
- Oui, s'étouffa (de rire) celui-ci. Tu balançais tes bras dans tous les sens et tu m'as cassé les lunettes, je crois que je n'avais jamais vu personne manifester sa joie d'une telle manière.
Tous rirent de bon cœur à l'évocation de ce moment, la maladresse légendaire de Neville les faisait maintenant beaucoup rire.
- Au fait, Harry, les interrompis Ginny, tu as l'intention de continuer à donner tes cours dans la Nouvelle AD ?
Tous les rires s'arrêtèrent instantanément, et l'attention générale se porta sur Harry, confortablement assis dans son fauteuil favoris, Hermione sur ses genoux. Ils étaient tous suspendus à ses lèvres, retenant leur souffle...
- Bien sur, répondit-il – « Ouf » et le bruit des respirations reprit – on a plus besoin que jamais d'entraînement. Et avec tous les bouquins que j'ai reçu à ce sujet, nous allons pouvoir nous pencher sur les différents sorts utilisés en Magie Noire. Il faut que nous sachions à quoi nous avons à faire, et même s'ils sont interdits et que nous ne pourrons nous y entraîner, je tiens à ce que chacun d'entre nous comprenne le principe et le fonctionnement des sortilèges impardonnables. Pour m'y être moi-même attelé contre Bellatrix Lestrange, je sais qu'il ne suffit pas de prononcer la formule pour y arriver. Ne faites pas cette tête. Ça ne m'enchante pas non plus d'avoir à devenir tortionnaire ou meurtrier... mais... Il se tut. [I]Est-ce que je dois leur dire [/I]?
La conversation avait jeté un froid et Ginny, comme si elle avait lu dans ses pensées, se dit que le moment était venu de poser une question, cette question qui la brûlait depuis tant d'année :
- Harry, pourquoi est-ce que Voldemort t'en veut – à toi ? Je veux dire, pourquoi s'est-il attaqué à toi lorsque tu étais bébé ?
Son cœur fit un bond dans sa poitrine, son sang ne fit qu'un tour, il sera dans la sienne la main d'Hermione pour se donner du courage. Ginny avait raison, il était temps de révéler à ses amis la raison de tous ses malheurs, la raison pour la quelle ils étaient tous là, autour de lui, la raison pour la quelle il leur apprenait depuis deux ans à se défendre contre un danger de mort, la raison pour la quelle un certain nombre d'entre eux périrait d'ici peu dans d'atroces souffrances. [I]Elle a raison, je leur dois des explications, ils doivent savoir pourquoi ils vont devoir se battre. Il est temps pour moi de leur avouer la vérité sur cette prophétie...[/I]
- Oui, merci Ginny d'avoir posé cette question cruciale, il est temps à présent de vous révéler tout ce que je sais. Il est pénible pour moi d'y penser et bien plus encore d'en parler, c'est pourquoi je vous demanderai de ne pas m'interrompre, s'il vous plait. Après la mort de Sirius, Dumbledore m'a envoyé dans son bureau à l'aide d'un Portoloin. Quand il m'a rejoint, voici ce qu'il m'a raconté...
Harry leur fit le récit complet de ce qu'il savait sur la prophétie, du deuxième bébé qui aurait pu correspondre, du fait que Harry ou Voldemort devrait mourir, car « aucun d'eux ne peut vivre tant que l'autre survit »... Lorsqu'il cessa de parler, il jeta un coup d'œil alentour pour observer ses amis. Les filles pleuraient, Hermione s'était effondrée dans ses bras, Neville tremblait des pieds à la tête, les jumeaux avaient perdu leur habituel sourire, Ron était livide, et Drago semblait abattu. [I]Les faire souffrir encore... Ils ont tous compris ce qu'implique ce que je viens de leur révéler. Ils ont compris que certain d'entre eux mourront, ils ont compris que leur destin est entre mes mains, que le destin du monde est entre mes mains. Ils ont compris le problème qui est le mien : devenir victime ou meurtrier, tuer ou être tuer...[/I]
- A table ! avait crié la voix de Moly à l'étage inférieur. Ils descendirent donc manger et aucun d'eux ne fit plus allusion à leur conversation et aux révélations d'Harry. Le repas fut silencieux, chacun songeait aux paroles qui résonnaient encore dans leur tête.
- C'était délicieux, Moly, dit Harry en quittant la table un moment plus tard. Je propose que nous allions nous coucher, nous avons une longue journée qui nous attend demain. Ils montèrent en silence, se souhaitèrent bonne nuit et se couchèrent avec les paroles de Harry en tête et la peur au ventre. Tous savaient qu'ils devraient un jour affronter les Mangemorts de Voldemort, tous savaient que ce serait leur seul et unique moyen de l'aider, tous avaient à l'esprit les horreurs qu'ils auraient à affronter. Hermione lui reprocha de lui avoir caché tout ça, elle aurait voulu savoir, elle aurait voulu l'aider à porter ce fardeau. Il lui expliqua qu'il ne se sentait pas près et que le leur avouer revenait à se l'avouer à lui-même et à accepter son destin. Il n'y était pas parvenu jusqu'alors.
- Lui seul dormis le cœur plus léger cette nuit là, le poids qui l'oppressait depuis si longtemps avait disparu, il se sentait « libéré ».
S'ils vous plait donnez moi votre avis avec une petite review. Gros bisous à la prochaine. Bye.
Ptitte Folle : Je te remercie de m'avoir donné ton avis. Je poste donc ce quatrième chapitre rien que pour toi. J'espère qu'il te plaira et que tu me donneras de nouveau ton avis.
Sur ce, bonne lecture.
CHAPITRE QUATRE : Révélation.
- Nom d'un troll des montagnes affamé !!!
- Calme-toi Harry ! dit Ron
- T'es marrant toi, je n'arrive pas à tout faire rentrer dans ma malle !
- T'as essayé « [I]Failamalle [/I]» ? Tenta t-il timidement.
- Tu me prends pour un imbécile ? grogna Harry
Rien n'allait pour Harry : les nombreux cadeaux lui avaient fait plaisir, tellement qu'il ne pouvait se résoudre à les laisser derrière lui. Et surtout, il ne pouvait pas admettre de laisser dans sa maison le tableau de Sirius. Mais ce tableau était d'un volume trop important, et ne rentrerait jamais dans la malle... Depuis le levé, tout ce qu'il faisait allait de travers et son humeur ne s'améliorait pas.
[I]Retourner à Poudlard[/I]... Il aimait toujours autant Poudlard, seulement maintenant sa maison c'était ici. Pour la première fois de sa vie il se sentait chez lui quelque part, ailleurs qu'à Poudlard, ici Square Grimmaurd, et il ne voulait pas partir. Cette maison était devenue, grâce aux bons soins de Moly, un endroit agréable et confortable, il y avait passé des moments inoubliables avec ses amis, et Sirius était là... [I]Le laisser ici, seul, ... non pas seul avec Dobby ... Oui mais j'ai besoin de lui ... Tu as vécu sans lui depuis deux ans ... Oui mais maintenant, je ne peux pas... non, non, je ne peux pas ... [/I]
- Ecoute Harry, si ta mauvaise humeur est due au fait de laisser Sirius ici, emmène-le, lui dit Hermione lisant dans ses pensées. Voyant Harry ouvrir la bouche pour protester, elle poursuivit : On trouvera un moyen...
- Mais ma malle est trop petite, la coupa t'il. Pas moyen d'y mettre toutes mes affaires, je ne peux pas laisser la moitié ici...
- Aurais tu oublié, mon amour, que tu es un sorcier ? « [I]Agrandissio[/I] » (note de l'auteur : désolée c'est un sort inventé par moi :P), dit-elle en pointant sa baguette vers la malle. Voilà, tu n'auras plus de problèmes maintenant, j'espère qu'on pourra te voir sourire à présent.
- Merci mon cœur, excuse moi, lui dit-il en lui décochant un de ses sourires qui faisait toujours craquer la jeune sorcière. Il put donc mettre dans la malle son balai, le tableau de Sirius, tous ses cadeaux et de nombreux objets ayant appartenus à son parrain, qu'il avait récupéré çà et là. Lorsqu'il la referma, elle avait repris sa taille habituelle. Parfait, songea t'il.
A midi, ils allèrent tous déjeuner dans la cuisine. Moly leur avait préparé un excellent repas, comme à son habitude. L'ambiance était joyeuse, tous riaient de bon cœur. A la fin du repas, ils se regroupèrent au salon : ils avaient décidé de passer l'après midi ensemble, seuls, à savourer ses derniers instants de paix, ces derniers instants loin de Voldemort, loin de ses Mangemorts, loin de tout ce qui les effrayait... Ils passèrent l'après midi à s'amuser, jouer aux cartes ou aux échecs, ils répétèrent les sorts qu'ils avaient appris avec acharnement pendant deux ans, juste pour le plaisir de se remémorer leurs souvenirs.
- Tu te rappelles la première fois que j'ai fais apparaître un Patronus ? Avait demandé Neville à Harry.
- Oui, s'étouffa (de rire) celui-ci. Tu balançais tes bras dans tous les sens et tu m'as cassé les lunettes, je crois que je n'avais jamais vu personne manifester sa joie d'une telle manière.
Tous rirent de bon cœur à l'évocation de ce moment, la maladresse légendaire de Neville les faisait maintenant beaucoup rire.
- Au fait, Harry, les interrompis Ginny, tu as l'intention de continuer à donner tes cours dans la Nouvelle AD ?
Tous les rires s'arrêtèrent instantanément, et l'attention générale se porta sur Harry, confortablement assis dans son fauteuil favoris, Hermione sur ses genoux. Ils étaient tous suspendus à ses lèvres, retenant leur souffle...
- Bien sur, répondit-il – « Ouf » et le bruit des respirations reprit – on a plus besoin que jamais d'entraînement. Et avec tous les bouquins que j'ai reçu à ce sujet, nous allons pouvoir nous pencher sur les différents sorts utilisés en Magie Noire. Il faut que nous sachions à quoi nous avons à faire, et même s'ils sont interdits et que nous ne pourrons nous y entraîner, je tiens à ce que chacun d'entre nous comprenne le principe et le fonctionnement des sortilèges impardonnables. Pour m'y être moi-même attelé contre Bellatrix Lestrange, je sais qu'il ne suffit pas de prononcer la formule pour y arriver. Ne faites pas cette tête. Ça ne m'enchante pas non plus d'avoir à devenir tortionnaire ou meurtrier... mais... Il se tut. [I]Est-ce que je dois leur dire [/I]?
La conversation avait jeté un froid et Ginny, comme si elle avait lu dans ses pensées, se dit que le moment était venu de poser une question, cette question qui la brûlait depuis tant d'année :
- Harry, pourquoi est-ce que Voldemort t'en veut – à toi ? Je veux dire, pourquoi s'est-il attaqué à toi lorsque tu étais bébé ?
Son cœur fit un bond dans sa poitrine, son sang ne fit qu'un tour, il sera dans la sienne la main d'Hermione pour se donner du courage. Ginny avait raison, il était temps de révéler à ses amis la raison de tous ses malheurs, la raison pour la quelle ils étaient tous là, autour de lui, la raison pour la quelle il leur apprenait depuis deux ans à se défendre contre un danger de mort, la raison pour la quelle un certain nombre d'entre eux périrait d'ici peu dans d'atroces souffrances. [I]Elle a raison, je leur dois des explications, ils doivent savoir pourquoi ils vont devoir se battre. Il est temps pour moi de leur avouer la vérité sur cette prophétie...[/I]
- Oui, merci Ginny d'avoir posé cette question cruciale, il est temps à présent de vous révéler tout ce que je sais. Il est pénible pour moi d'y penser et bien plus encore d'en parler, c'est pourquoi je vous demanderai de ne pas m'interrompre, s'il vous plait. Après la mort de Sirius, Dumbledore m'a envoyé dans son bureau à l'aide d'un Portoloin. Quand il m'a rejoint, voici ce qu'il m'a raconté...
Harry leur fit le récit complet de ce qu'il savait sur la prophétie, du deuxième bébé qui aurait pu correspondre, du fait que Harry ou Voldemort devrait mourir, car « aucun d'eux ne peut vivre tant que l'autre survit »... Lorsqu'il cessa de parler, il jeta un coup d'œil alentour pour observer ses amis. Les filles pleuraient, Hermione s'était effondrée dans ses bras, Neville tremblait des pieds à la tête, les jumeaux avaient perdu leur habituel sourire, Ron était livide, et Drago semblait abattu. [I]Les faire souffrir encore... Ils ont tous compris ce qu'implique ce que je viens de leur révéler. Ils ont compris que certain d'entre eux mourront, ils ont compris que leur destin est entre mes mains, que le destin du monde est entre mes mains. Ils ont compris le problème qui est le mien : devenir victime ou meurtrier, tuer ou être tuer...[/I]
- A table ! avait crié la voix de Moly à l'étage inférieur. Ils descendirent donc manger et aucun d'eux ne fit plus allusion à leur conversation et aux révélations d'Harry. Le repas fut silencieux, chacun songeait aux paroles qui résonnaient encore dans leur tête.
- C'était délicieux, Moly, dit Harry en quittant la table un moment plus tard. Je propose que nous allions nous coucher, nous avons une longue journée qui nous attend demain. Ils montèrent en silence, se souhaitèrent bonne nuit et se couchèrent avec les paroles de Harry en tête et la peur au ventre. Tous savaient qu'ils devraient un jour affronter les Mangemorts de Voldemort, tous savaient que ce serait leur seul et unique moyen de l'aider, tous avaient à l'esprit les horreurs qu'ils auraient à affronter. Hermione lui reprocha de lui avoir caché tout ça, elle aurait voulu savoir, elle aurait voulu l'aider à porter ce fardeau. Il lui expliqua qu'il ne se sentait pas près et que le leur avouer revenait à se l'avouer à lui-même et à accepter son destin. Il n'y était pas parvenu jusqu'alors.
- Lui seul dormis le cœur plus léger cette nuit là, le poids qui l'oppressait depuis si longtemps avait disparu, il se sentait « libéré ».
S'ils vous plait donnez moi votre avis avec une petite review. Gros bisous à la prochaine. Bye.
