XIII. Ce temps est révolu
La nuit était calme, quasi paisible. Rien ne bougeait. On n'entendait presque rien. Seul le grattement d'une plume brisait le silence. Dumbledore, les lunettes posait sur le bout du nez, écrivait une lettre. Sa main tremblait. Certains auraient pu penser que cela était du a son grand âge, mais ceux qui le connaissait savait que le grand homme avait peur.
Il paraissait tellement serein, que rien sur son visage n'aurait pu laisser paraître une quelconque inquiétude, mais il était terrifié.
Dans toute la Grande-Bretagne, le seigneur des Ténèbres commettait ses crimes ignobles. Voldemort avait retrouvait sa force d'antan, mais lui, Dumbledore, était affable. Il était vieux, il le savait. Il n'avait plus le même pouvoir que lorsqu'il avait vaincu le mage Grindelwald.
Le vieil homme lâcha sa plume et regarda dans le vague Grindelwald… Il s'en souviendrait toujours.
FLASH-BACK :
« - Renonce Dumbledore ! Lança un homme blond qui regardait un autre avec des yeux étranges. Des yeux rouges sang…
Un autre homme, portant une barbe grise comme ses cheveux, leva vers lui un regard rempli de haine. À cause de cet homme, Lilas était morte. Celle qu'il avait toujours aimé, toujours chéri, était morte…C'était sa faute.
- Jamais Grindelwald ! Jamais… répondit-il avec détermination.
- Alors tu mourras ! AVADA KEDAVRA !!!
Dumbledore évita avec souplesse le sort. Puis il dit :
- La mort n'est qu'une étape. Si je trépasse, je a retrouverais. Si je te vaincs, je débarrasserais le monde de toi, espèce de serpent !
- Si la mort ne te fais rien, répliqua doucereusement le mage noir, la douleur te feras sûrement réagir. ENDOLORIS !!!
Le sortilège toucha l'homme de plein fouet. Ce dernier sentit des milliers de lames lui fendre le corps, des aiguilles invisibles s'enfoncèrent dans son cœur. Sa tête allait explosait. Son être demandait une trêve, que tout s'arrête. Mais Dumbledore avait l'âme d'un Gryffondor, et avec tout son courage; Il ne hurla pas, il ne tomba pas. Il resta debout et fier défiant du regard son adversaire.
Mais soudain retentit une mélodie douce et aiguë. Un chant de phénix. Un oiseau majestueux arriva, tournoyant autour de la haute montagne où avait lieu le combat. Le combat qui tracerait l'avenir des sorciers. Grindelwald se figea. Son rival pointait sa baguette sur lui. Un éclair argenté en sortit. Il ne pouvait plus bouger, il était tétanisé, paralysé.
Le sort le projeta en arrière, si fort qu'il tomba de la falaise. Ces derniers mots furent :
« La terreur de la magie noire existera à jamais, et dans les ténèbres, toujours un seigneur régnera. »
FIN DU FLASH-BACK
Le directeur de Poudlard reprit l'écriture de sa lettre, cette phrase résonnant encore et encore dans sa tête :
« La terreur de la magie noire existera à jamais, et dans les ténèbres, toujours un seigneur régnera. La terreur de la magie noire existera à jamais, et dans les ténèbres, toujours un seigneur régnera. La terreur de la magie noire existera à jamais, et dans les ténèbres, toujours un seigneur régnera. La terreur de la magie noire existera à jamais, et dans les ténèbres, toujours un seigneur régnera."
Cela devenait insupportable. Le vieillard appela Fumseck et lui remit le courrier.
« Cher Harry,
Ne te demande pas pourquoi tu reçois cette lettre, tu le sauras bien assez tôt. Bien qu'il soit dur pour moi de l'accepter, ton temps est venu. Le temps de l'accomplissement. Ne cherche pas le sens de cette phrase, rejoins moi seulement ce soir à 19 heures pile. Là je t'expliquerais tout.
Bien à toi :
A. Dumbledore »
Le Survivant lut d'une traite la lettre que Fumseck lui avait apporté ce matin. Elle était pour le moins étrange. Que voulait dire le directeur ? Que signifiait ces phrases sans queue, ni tête ?
Les questions se bousculèrent dans la tête du jeune homme. Il ne comprenait plus. Que se passait-il ? Les conversations d'autres élèves qui arrivaient dans la Grande Salle le tirèrent de ses pensées. Un groupe de Gryffondors 6ème année arriva. Parmi eux : Ron et Hermione sourires aux lèvres et main dans la main.
Ils s'assirent à côté de Harry et Lyra qui étaient déjà installés. Sous leur regards appuyés, ils rougirent :
- Euh… commença Hermione, vous savez hier soir…
- Ron et toi avez parlé ensemble… continua Lyra en lançant un clin d'œil complice à Harry.
- Et vous vous êtes demandé qui est-ce que vous aimiez… poursuivit Harry.
- Puis Ron a abandonné l'idée de parler et ….
- Vous vous êtes embrassé !!! Achevèrent-ils en chœur.
Toute la table des Gryffondors s'était retourné vers Lyra et Harry et avaient écouté leur discours avec attention. Puis le silence régna et… tous applaudirent, tandis que les deux amoureux rougissaient.
- Félicitations !!! Lancèrent Dean et Seamus.
- Vraiment on se demandait quand est-ce que vous vous l'avoueriez, compléta Lavande approuvée par Parvati. »
Le déjeuner se termina. Le quatuor sortit dehors. Ron et Hermione était un peu à l'écart, ce qui amusait particulièrement leurs amis. Ils flânèrent quelques instants près du lac gelé, puis tout à coup Hermione questionna sa meilleure amie :
« - Mais au fait comment saviez vous pour moi et Ron ?
- On vous avez suivi hier, répondit simplement l'Alylémendia ne se rendant pas compte de l'erreur qu'elle venait de faire.
- Oh d'acc… Vous avez fait quoi ?! s'exclama Hermione. »
Harry regarda Lyra. Lyra regarda Harry. Oops… La jeune fille saisit le bras du Survivant et l'entraîna avec elle dans une course effrénée. Hermione et Ron réagirent enfin et se lancèrent à leur poursuite.
Continuer de courir était une vraie difficulté car courir en riant aux éclats n'était pas simple. Soudain le Survivant sentit quelque chose de glacé atterrir dans son cou et fondre. De la neige… Une boule de neige. Il s'aperçut que Lyra aussi avait été touchée.
Les deux adolescents se retournèrent vers leurs attaquants et virent Hermione et Ron tenant dans leurs main l'objet du crime.
« Alors vous vous voulez jouez à ça ? Pensa Harry. Vous allez le regretter… »
Le jeune se pencha et prit sur le sol recouvert d'un duvet blanc une boule de neige qu'il lança.
Mais elle atterrit malheureusement sur Seamus qui passait par-là. Celui-ci riposta et se mêla à la bataille, mais la neige qu'il avait lancé arriva sur Ginny qui se défendit.
Puis la guerre commença. De tout côté la neige fusait touchant Serdaigles, Poufsouffles, Gryffondors et… Serpentards. Serpentards qui se mêlaient à l'euphorie générale se battant avec détermination.
Le temps d'un matin, on oublia tout les malheurs, toute la tristesse, les différences. Qu'importe le passé, qu'importe l'avenir. La seule chose qui comptait était le moment présent. Personne ne savaient comment ils étaient arriver là, mais après tout, à quoi bon connaître la réponse ?
Bientôt tous les élèves furent dans le parc, riant, courant, jouant. Des premières année aux septièmes, tous, et tous sans exception, étaient là. Et cela peut vous paraître bizarre mais dans « tous » étaient inclus Drago Malfoy…
À un moment donné, le professeur Rogue arriva. Harry ne le vit pas tout de suite, mais quand il l'aperçut, ce fut trop tard… Il avait déjà une boule de neige dessus.
Et cette boule heurta le nez jaune du professeur de potions. Ce fut comme si tout se figea. L'animation cessa. Personne n'osait encore bougé, ni même parlé. Rogue regarda Harry avec fureur. Cela ne présageait rien de bon. Puis le maître des potions de Poudlard… éclata de rire… et… rentra dans cette guerre. ET en plus de cela il attaqua McGonnagal et Flitwick qui étaient sortis dans le parc.
Les trois professeurs se lancèrent dans un combat sans merci, sous les yeux ébahis des élèves. Puis comme si de rien était la bataille continua.
« - NON ! Hurla Ambre. Vous mentez !
La jeune fille se dégagea de l'emprise de son oncle et partit en courant. Comment osait-il ?
- Rattrapez la ! Ordonna un homme à la face de serpent à d'autres personnes cagoulées.
Ambre se mit à courir. Tout tourner autour d'elle, les arbres semblaient sur le point de tomber. Le sorcière ne savait pas où elle allait. Ses larmes l'aveuglaient. Dire que cet homme répugnant lui demander ça ! Il avait… il avait osé lui parlé d'elle. Lui mentir.
La jeune fille sentait sa tête devenir lourde. Elle ne courait plus. Les Mangemorts la rattrapaient. Elle entendait leurs voix et leurs pas se rapprocher. Elle s'arrêta. Elle ne pouvait plus respirer. Ses larmes étaient devenus des sanglots, des sanglots qui provoquaient des spasmes qui la secouaient à tout instant. Un bras agrippa le sien, mais elle ne sentait plus que la douleur. Une douleur lancinante, entêtante, obsédante.. Ne plus y penser, l'oublier, oui c'est ça, oublier la souffrance.
Ambre se laissa emporter par ses rêves et se retrouva dans un jardin. Il y avait deux petites filles, toutes deux identiques. L'une partit derrière un arbre. Quelques minutes après, elle n'était toujours pas revenue. L'autre fillette l'appela, mais personne ne répondit. Et plus jamais elle ne lui répondrait.
Soudain dans l'esprit de la sorcière une phrase résonna encore et encore, cette phrase qu'il avait dit le jour maudit :
« Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. »
La sorcière sentit qu'on la tirait en la faisant avancer. Mais elle ne réagit pas. À quoi bon ? Elle ne voulait plus penser, ne plus rêver, ne plus se souvenir, tout oublier… Elle ferma les yeux, espérant ne plus jamais les rouvrir, espérant que l'heure de son trépas ait sonné, voulant de toute son âme s'éteindre. Son existence avait toujours était insignifiante. Ambre sombra enfin dans un sommeil qu'elle souhaitait éternel…
Trop fatoguée pour faire les RAR, ce sera pour la prochaine fois. Lisandra, je suis d'accord pour parler avec toi par mail.
Bye.
La nuit était calme, quasi paisible. Rien ne bougeait. On n'entendait presque rien. Seul le grattement d'une plume brisait le silence. Dumbledore, les lunettes posait sur le bout du nez, écrivait une lettre. Sa main tremblait. Certains auraient pu penser que cela était du a son grand âge, mais ceux qui le connaissait savait que le grand homme avait peur.
Il paraissait tellement serein, que rien sur son visage n'aurait pu laisser paraître une quelconque inquiétude, mais il était terrifié.
Dans toute la Grande-Bretagne, le seigneur des Ténèbres commettait ses crimes ignobles. Voldemort avait retrouvait sa force d'antan, mais lui, Dumbledore, était affable. Il était vieux, il le savait. Il n'avait plus le même pouvoir que lorsqu'il avait vaincu le mage Grindelwald.
Le vieil homme lâcha sa plume et regarda dans le vague Grindelwald… Il s'en souviendrait toujours.
FLASH-BACK :
« - Renonce Dumbledore ! Lança un homme blond qui regardait un autre avec des yeux étranges. Des yeux rouges sang…
Un autre homme, portant une barbe grise comme ses cheveux, leva vers lui un regard rempli de haine. À cause de cet homme, Lilas était morte. Celle qu'il avait toujours aimé, toujours chéri, était morte…C'était sa faute.
- Jamais Grindelwald ! Jamais… répondit-il avec détermination.
- Alors tu mourras ! AVADA KEDAVRA !!!
Dumbledore évita avec souplesse le sort. Puis il dit :
- La mort n'est qu'une étape. Si je trépasse, je a retrouverais. Si je te vaincs, je débarrasserais le monde de toi, espèce de serpent !
- Si la mort ne te fais rien, répliqua doucereusement le mage noir, la douleur te feras sûrement réagir. ENDOLORIS !!!
Le sortilège toucha l'homme de plein fouet. Ce dernier sentit des milliers de lames lui fendre le corps, des aiguilles invisibles s'enfoncèrent dans son cœur. Sa tête allait explosait. Son être demandait une trêve, que tout s'arrête. Mais Dumbledore avait l'âme d'un Gryffondor, et avec tout son courage; Il ne hurla pas, il ne tomba pas. Il resta debout et fier défiant du regard son adversaire.
Mais soudain retentit une mélodie douce et aiguë. Un chant de phénix. Un oiseau majestueux arriva, tournoyant autour de la haute montagne où avait lieu le combat. Le combat qui tracerait l'avenir des sorciers. Grindelwald se figea. Son rival pointait sa baguette sur lui. Un éclair argenté en sortit. Il ne pouvait plus bouger, il était tétanisé, paralysé.
Le sort le projeta en arrière, si fort qu'il tomba de la falaise. Ces derniers mots furent :
« La terreur de la magie noire existera à jamais, et dans les ténèbres, toujours un seigneur régnera. »
FIN DU FLASH-BACK
Le directeur de Poudlard reprit l'écriture de sa lettre, cette phrase résonnant encore et encore dans sa tête :
« La terreur de la magie noire existera à jamais, et dans les ténèbres, toujours un seigneur régnera. La terreur de la magie noire existera à jamais, et dans les ténèbres, toujours un seigneur régnera. La terreur de la magie noire existera à jamais, et dans les ténèbres, toujours un seigneur régnera. La terreur de la magie noire existera à jamais, et dans les ténèbres, toujours un seigneur régnera."
Cela devenait insupportable. Le vieillard appela Fumseck et lui remit le courrier.
« Cher Harry,
Ne te demande pas pourquoi tu reçois cette lettre, tu le sauras bien assez tôt. Bien qu'il soit dur pour moi de l'accepter, ton temps est venu. Le temps de l'accomplissement. Ne cherche pas le sens de cette phrase, rejoins moi seulement ce soir à 19 heures pile. Là je t'expliquerais tout.
Bien à toi :
A. Dumbledore »
Le Survivant lut d'une traite la lettre que Fumseck lui avait apporté ce matin. Elle était pour le moins étrange. Que voulait dire le directeur ? Que signifiait ces phrases sans queue, ni tête ?
Les questions se bousculèrent dans la tête du jeune homme. Il ne comprenait plus. Que se passait-il ? Les conversations d'autres élèves qui arrivaient dans la Grande Salle le tirèrent de ses pensées. Un groupe de Gryffondors 6ème année arriva. Parmi eux : Ron et Hermione sourires aux lèvres et main dans la main.
Ils s'assirent à côté de Harry et Lyra qui étaient déjà installés. Sous leur regards appuyés, ils rougirent :
- Euh… commença Hermione, vous savez hier soir…
- Ron et toi avez parlé ensemble… continua Lyra en lançant un clin d'œil complice à Harry.
- Et vous vous êtes demandé qui est-ce que vous aimiez… poursuivit Harry.
- Puis Ron a abandonné l'idée de parler et ….
- Vous vous êtes embrassé !!! Achevèrent-ils en chœur.
Toute la table des Gryffondors s'était retourné vers Lyra et Harry et avaient écouté leur discours avec attention. Puis le silence régna et… tous applaudirent, tandis que les deux amoureux rougissaient.
- Félicitations !!! Lancèrent Dean et Seamus.
- Vraiment on se demandait quand est-ce que vous vous l'avoueriez, compléta Lavande approuvée par Parvati. »
Le déjeuner se termina. Le quatuor sortit dehors. Ron et Hermione était un peu à l'écart, ce qui amusait particulièrement leurs amis. Ils flânèrent quelques instants près du lac gelé, puis tout à coup Hermione questionna sa meilleure amie :
« - Mais au fait comment saviez vous pour moi et Ron ?
- On vous avez suivi hier, répondit simplement l'Alylémendia ne se rendant pas compte de l'erreur qu'elle venait de faire.
- Oh d'acc… Vous avez fait quoi ?! s'exclama Hermione. »
Harry regarda Lyra. Lyra regarda Harry. Oops… La jeune fille saisit le bras du Survivant et l'entraîna avec elle dans une course effrénée. Hermione et Ron réagirent enfin et se lancèrent à leur poursuite.
Continuer de courir était une vraie difficulté car courir en riant aux éclats n'était pas simple. Soudain le Survivant sentit quelque chose de glacé atterrir dans son cou et fondre. De la neige… Une boule de neige. Il s'aperçut que Lyra aussi avait été touchée.
Les deux adolescents se retournèrent vers leurs attaquants et virent Hermione et Ron tenant dans leurs main l'objet du crime.
« Alors vous vous voulez jouez à ça ? Pensa Harry. Vous allez le regretter… »
Le jeune se pencha et prit sur le sol recouvert d'un duvet blanc une boule de neige qu'il lança.
Mais elle atterrit malheureusement sur Seamus qui passait par-là. Celui-ci riposta et se mêla à la bataille, mais la neige qu'il avait lancé arriva sur Ginny qui se défendit.
Puis la guerre commença. De tout côté la neige fusait touchant Serdaigles, Poufsouffles, Gryffondors et… Serpentards. Serpentards qui se mêlaient à l'euphorie générale se battant avec détermination.
Le temps d'un matin, on oublia tout les malheurs, toute la tristesse, les différences. Qu'importe le passé, qu'importe l'avenir. La seule chose qui comptait était le moment présent. Personne ne savaient comment ils étaient arriver là, mais après tout, à quoi bon connaître la réponse ?
Bientôt tous les élèves furent dans le parc, riant, courant, jouant. Des premières année aux septièmes, tous, et tous sans exception, étaient là. Et cela peut vous paraître bizarre mais dans « tous » étaient inclus Drago Malfoy…
À un moment donné, le professeur Rogue arriva. Harry ne le vit pas tout de suite, mais quand il l'aperçut, ce fut trop tard… Il avait déjà une boule de neige dessus.
Et cette boule heurta le nez jaune du professeur de potions. Ce fut comme si tout se figea. L'animation cessa. Personne n'osait encore bougé, ni même parlé. Rogue regarda Harry avec fureur. Cela ne présageait rien de bon. Puis le maître des potions de Poudlard… éclata de rire… et… rentra dans cette guerre. ET en plus de cela il attaqua McGonnagal et Flitwick qui étaient sortis dans le parc.
Les trois professeurs se lancèrent dans un combat sans merci, sous les yeux ébahis des élèves. Puis comme si de rien était la bataille continua.
« - NON ! Hurla Ambre. Vous mentez !
La jeune fille se dégagea de l'emprise de son oncle et partit en courant. Comment osait-il ?
- Rattrapez la ! Ordonna un homme à la face de serpent à d'autres personnes cagoulées.
Ambre se mit à courir. Tout tourner autour d'elle, les arbres semblaient sur le point de tomber. Le sorcière ne savait pas où elle allait. Ses larmes l'aveuglaient. Dire que cet homme répugnant lui demander ça ! Il avait… il avait osé lui parlé d'elle. Lui mentir.
La jeune fille sentait sa tête devenir lourde. Elle ne courait plus. Les Mangemorts la rattrapaient. Elle entendait leurs voix et leurs pas se rapprocher. Elle s'arrêta. Elle ne pouvait plus respirer. Ses larmes étaient devenus des sanglots, des sanglots qui provoquaient des spasmes qui la secouaient à tout instant. Un bras agrippa le sien, mais elle ne sentait plus que la douleur. Une douleur lancinante, entêtante, obsédante.. Ne plus y penser, l'oublier, oui c'est ça, oublier la souffrance.
Ambre se laissa emporter par ses rêves et se retrouva dans un jardin. Il y avait deux petites filles, toutes deux identiques. L'une partit derrière un arbre. Quelques minutes après, elle n'était toujours pas revenue. L'autre fillette l'appela, mais personne ne répondit. Et plus jamais elle ne lui répondrait.
Soudain dans l'esprit de la sorcière une phrase résonna encore et encore, cette phrase qu'il avait dit le jour maudit :
« Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. Ils ne t'aiment pas. »
La sorcière sentit qu'on la tirait en la faisant avancer. Mais elle ne réagit pas. À quoi bon ? Elle ne voulait plus penser, ne plus rêver, ne plus se souvenir, tout oublier… Elle ferma les yeux, espérant ne plus jamais les rouvrir, espérant que l'heure de son trépas ait sonné, voulant de toute son âme s'éteindre. Son existence avait toujours était insignifiante. Ambre sombra enfin dans un sommeil qu'elle souhaitait éternel…
Trop fatoguée pour faire les RAR, ce sera pour la prochaine fois. Lisandra, je suis d'accord pour parler avec toi par mail.
Bye.
