Chapitre 1 : 2ème victime
Déjà un nouveau chapitre ? Deux dans une journée c'est sûr que ça fait beaucoup ! Je sais, je sais ma plume ne frôleras jamais le génie de Tarentino. J'en suis consciente mais bon je fais c'que j'peux. Alors clapet ! lol Sinon rien de neuf. Alors à ceux qui liront ma fic, je ne demanderai qu'une chose : est-ce que je dois la mettre PG-13 ou pas telle est la question. Gros bizous à tous et
OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO
4 ans plus tard, Minas Tirith
Un cheval approchait des portes de la cité. Le visage de son cavalier était caché
par un casque. Peut-être souhaite-il garder son anonymat se disaient les gens
alentours. Il monta rapidement les sept étages que la cité blanche comptaient. Il
était surpris, depuis le temps qu'il n'était pas venu, plus précisément après le
couronnement du Roi, tout avait été reconstruit. Arrivé en haut, il contempla
l'étendue déserte sur laquelle avait eu lieu la grande bataille, celle qui avait
permis aux personnages de cette histoire de se rencontrer. Il détourna les yeux. Il
était temps de penser à ce qui l'avait amené ici. Il devait voir la Reine, en privé.
Il parvint à ses appartements sans se faire repérer. Il avait l'habitude, il l'avait
souvent fait. Il ne fallait pas qu'on le voie, oh non, il ne le fallait pas. Sauf elle...
Il ouvrit la porte, sans frapper. Elle était là, regardant par la fenêtre. Sentant sa
présence elle se retourna :
« - Qui êtes-vous ? Que faites-vous dans mes appartements ? »
Sans un mot, le cavalier retira son casque et de longs cheveux bruns tombèrent
en cascade sur ses épaules. Arwen la reconnut immédiatement. Car oui c'était
une femme. La mariée comme vous pouvez vous en douter. Heureusement pour
elle la Reine avait toujours une arme à portée de main, au cas où. Elles
commencèrent à se battre. Tout se renversait sur leur passage. Leurs lames
aiguisées entaillaient leurs chairs et le plaies ruisselaient de sang. Comme au
bon vieux temps, pensaient-elles. Au bout d'un moment, elles se jaugèrent,
attendant un geste, une attaque de l'autre. Puis quelqu'un frappa doucement à la
porte et appela :
« - Mère, mère ? Vous êtes là ? J'ai entendu du bruit. Puis-je entrer ? »
Arwen lança un regard suppliant à la femme qui se tenait en face d'elle. Le petit
entra et d'un commun accord elles mirent leurs armes derrière leur dos.
Arwen : « - Mon chéri, qu'y a-t-il ?
- J'ai entendu du bruit, mère. Mais... que s'est-il passé ici ?
C'est un vilain oiseau. Il est entré par la fenêtre et il a tout
saccagé. Mon cœur, je te présente une amie à moi, on se connaît depuis très
longtemps.
La mariée : - Bonjour moi c'est ??? et toi c'est comment ? »
Le jeune garçon resta muet. Sa mère répondit à sa place :
« - Il s'appelle Eldarion.
- Quel âge tu as Eldarion ?
Une fois de plus, il resta muet. Arwen commença à s'énerver :
« - Eldarion, réponds à ??? !
- J'ai quatre ans et demi.
- Dis donc, tu parles bien pour un aussi jeune enfant. Et c'est drôle, c'est à peu
près l'âge qu'auraient eu mes enfants.
Allez, mon cœur, va dans ta chambre maintenant. ??? et moi avons
des choses à nous dire...entre grandes personnes.
- Mais mère...
- Dans ta chambre tout de suite !
Le petit s'enfuit effrayé. Il n'avait jamais vu sa mère dans un tel état auparavant.
Une fois qu'il fut parti les deux femmes se détendirent.
Arwen : « - Je t'offre à boire ?
- Volontiers.
- Qu'est-ce que tu veux ?
- De l'eau ce sera parfait.
- Très bien.
Elle lui servit un verre d'eau avec un cruche posée sur une table dans un des
coins de la pièce.
La mariée : « - J'espère qu'elle n'est pas empoisonnée.
- Tu crois vraiment que j'en suis capable ? J'ai changé tu sais.
En tout cas, ton humour, lui n'a pas changé, il est toujours aussi
désastreux.
Je suis on ne peut plus sérieuse et j'aimerai savoir si tu compte
encore mettre la pagaille en présence de mon petit cœur.
Si ça peut te rassurer, je n'ai pas l'intention de te tuer sous les yeux
de ton fils.
- Ecoute je comprends que tu veuilles te venger mais...
Me venger ? Non... Si je voulais vraiment me venger je devrai te
tuer et puis tuer aussi Eldarion et pour finir ton cher mari.
- Ne les touches pas.
Tu crois que tu me fais peur ? Je vais te laisser une chance ordure.
Quand veux-tu mourir ? Demain ? Ou dans deux jours peut-être ?
- Ce soir ça te va traînée ?
- Où tu voudras ordure !
Dans le tombeau des grands rois, ce soir à 1h00. Il n'y a pas grand
monde qui traîne là-bas à cette heure.
- Donc que les morts soient nos juges dans cette épreuve.
- Tu me fais rire traînée. Tu me fais vraiment trop rire ! »
Et elle lui lança un couteau qui, malheureusement pour elle, passa quelques
centimètres à la gauche de sa cible. Rapide comme l'éclair, la mariée pris sa
propre lame, qui atterrit en plein dans la poitrine d'Arwen. L'elfe sentit le sang
envahir sa bouche et couler par ses lèvres. Puis elle s'écroula, morte. La femme
restante alla récupérer sa lame sans aucune once de remord dans le regard. C'est
alors qu'elle vit le petit Eldarion regardant les yeux grands ouverts sa mère
affalée sur le sol. Elle parla :
Je n'avais pas l'intention de faire ça devant toi mais crois-moi, ta
mère l'avait mérité. Quand tu seras grand, si tu ressens encore de la haine pour
moi, tu me trouveras.
Et elle partit. Elle remonta sur son cheval et sortit un petit parchemin ainsi
qu'une plume et de l'encre qu'elle avait volé au château de sa poche. Sur la
feuille il y avait écrit :
LISTE DES CINQ A TUER
Eowyn
Arwen
Thrandhuil
Gandalf
LEGOLAS
Elle barra le nom d'Arwen et se mit en route, vers sa prochaine victime...
Déjà un nouveau chapitre ? Deux dans une journée c'est sûr que ça fait beaucoup ! Je sais, je sais ma plume ne frôleras jamais le génie de Tarentino. J'en suis consciente mais bon je fais c'que j'peux. Alors clapet ! lol Sinon rien de neuf. Alors à ceux qui liront ma fic, je ne demanderai qu'une chose : est-ce que je dois la mettre PG-13 ou pas telle est la question. Gros bizous à tous et
OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO
4 ans plus tard, Minas Tirith
Un cheval approchait des portes de la cité. Le visage de son cavalier était caché
par un casque. Peut-être souhaite-il garder son anonymat se disaient les gens
alentours. Il monta rapidement les sept étages que la cité blanche comptaient. Il
était surpris, depuis le temps qu'il n'était pas venu, plus précisément après le
couronnement du Roi, tout avait été reconstruit. Arrivé en haut, il contempla
l'étendue déserte sur laquelle avait eu lieu la grande bataille, celle qui avait
permis aux personnages de cette histoire de se rencontrer. Il détourna les yeux. Il
était temps de penser à ce qui l'avait amené ici. Il devait voir la Reine, en privé.
Il parvint à ses appartements sans se faire repérer. Il avait l'habitude, il l'avait
souvent fait. Il ne fallait pas qu'on le voie, oh non, il ne le fallait pas. Sauf elle...
Il ouvrit la porte, sans frapper. Elle était là, regardant par la fenêtre. Sentant sa
présence elle se retourna :
« - Qui êtes-vous ? Que faites-vous dans mes appartements ? »
Sans un mot, le cavalier retira son casque et de longs cheveux bruns tombèrent
en cascade sur ses épaules. Arwen la reconnut immédiatement. Car oui c'était
une femme. La mariée comme vous pouvez vous en douter. Heureusement pour
elle la Reine avait toujours une arme à portée de main, au cas où. Elles
commencèrent à se battre. Tout se renversait sur leur passage. Leurs lames
aiguisées entaillaient leurs chairs et le plaies ruisselaient de sang. Comme au
bon vieux temps, pensaient-elles. Au bout d'un moment, elles se jaugèrent,
attendant un geste, une attaque de l'autre. Puis quelqu'un frappa doucement à la
porte et appela :
« - Mère, mère ? Vous êtes là ? J'ai entendu du bruit. Puis-je entrer ? »
Arwen lança un regard suppliant à la femme qui se tenait en face d'elle. Le petit
entra et d'un commun accord elles mirent leurs armes derrière leur dos.
Arwen : « - Mon chéri, qu'y a-t-il ?
- J'ai entendu du bruit, mère. Mais... que s'est-il passé ici ?
C'est un vilain oiseau. Il est entré par la fenêtre et il a tout
saccagé. Mon cœur, je te présente une amie à moi, on se connaît depuis très
longtemps.
La mariée : - Bonjour moi c'est ??? et toi c'est comment ? »
Le jeune garçon resta muet. Sa mère répondit à sa place :
« - Il s'appelle Eldarion.
- Quel âge tu as Eldarion ?
Une fois de plus, il resta muet. Arwen commença à s'énerver :
« - Eldarion, réponds à ??? !
- J'ai quatre ans et demi.
- Dis donc, tu parles bien pour un aussi jeune enfant. Et c'est drôle, c'est à peu
près l'âge qu'auraient eu mes enfants.
Allez, mon cœur, va dans ta chambre maintenant. ??? et moi avons
des choses à nous dire...entre grandes personnes.
- Mais mère...
- Dans ta chambre tout de suite !
Le petit s'enfuit effrayé. Il n'avait jamais vu sa mère dans un tel état auparavant.
Une fois qu'il fut parti les deux femmes se détendirent.
Arwen : « - Je t'offre à boire ?
- Volontiers.
- Qu'est-ce que tu veux ?
- De l'eau ce sera parfait.
- Très bien.
Elle lui servit un verre d'eau avec un cruche posée sur une table dans un des
coins de la pièce.
La mariée : « - J'espère qu'elle n'est pas empoisonnée.
- Tu crois vraiment que j'en suis capable ? J'ai changé tu sais.
En tout cas, ton humour, lui n'a pas changé, il est toujours aussi
désastreux.
Je suis on ne peut plus sérieuse et j'aimerai savoir si tu compte
encore mettre la pagaille en présence de mon petit cœur.
Si ça peut te rassurer, je n'ai pas l'intention de te tuer sous les yeux
de ton fils.
- Ecoute je comprends que tu veuilles te venger mais...
Me venger ? Non... Si je voulais vraiment me venger je devrai te
tuer et puis tuer aussi Eldarion et pour finir ton cher mari.
- Ne les touches pas.
Tu crois que tu me fais peur ? Je vais te laisser une chance ordure.
Quand veux-tu mourir ? Demain ? Ou dans deux jours peut-être ?
- Ce soir ça te va traînée ?
- Où tu voudras ordure !
Dans le tombeau des grands rois, ce soir à 1h00. Il n'y a pas grand
monde qui traîne là-bas à cette heure.
- Donc que les morts soient nos juges dans cette épreuve.
- Tu me fais rire traînée. Tu me fais vraiment trop rire ! »
Et elle lui lança un couteau qui, malheureusement pour elle, passa quelques
centimètres à la gauche de sa cible. Rapide comme l'éclair, la mariée pris sa
propre lame, qui atterrit en plein dans la poitrine d'Arwen. L'elfe sentit le sang
envahir sa bouche et couler par ses lèvres. Puis elle s'écroula, morte. La femme
restante alla récupérer sa lame sans aucune once de remord dans le regard. C'est
alors qu'elle vit le petit Eldarion regardant les yeux grands ouverts sa mère
affalée sur le sol. Elle parla :
Je n'avais pas l'intention de faire ça devant toi mais crois-moi, ta
mère l'avait mérité. Quand tu seras grand, si tu ressens encore de la haine pour
moi, tu me trouveras.
Et elle partit. Elle remonta sur son cheval et sortit un petit parchemin ainsi
qu'une plume et de l'encre qu'elle avait volé au château de sa poche. Sur la
feuille il y avait écrit :
LISTE DES CINQ A TUER
Eowyn
Arwen
Thrandhuil
Gandalf
LEGOLAS
Elle barra le nom d'Arwen et se mit en route, vers sa prochaine victime...
