Titre : Harry Potter et Les Technomages
Auteur : Belval
Email : malard(tiret bas)sebastien(arobase)yahoo.fr
Disclaimer : Comme tout le monde s'en doute, les persos d'Harry Potter appartiennent tous à miss Rowling, et Poudlard aussi ! Mais le reste, nouveau perso et scénario, çà c'est à moi !
Résum : Lisez et vous découvrirez, non mais !
Note : ceci est ma première fanfiction, alors laissez moi plein de reviews pour m'encourager à continuer ou à arrêter. Et si vous pensez devinez la suite, mailez moi !
Chapitre 1 : Vacances en famille 2ème partie
Damien et Violaine en restaient pantois. Jamais ô grand jamais il n'avait pensé voir un jour un tel édifice. Le château qui était devant eux était immense, et le parc autour des plus étranges. Ils avaient bien sûr entendu parler de cet endroit, Poudlard, la célèbre école de sorcellerie, mais jamais ils n'avaient eu l'occasion de voir l'endroit. Cela dépassait leurs suppositions les plus folles. L'endroit sentait la magie. Tout ici avait cette petite touche féerique et onirique qui donnait à ce lieu un charme ineffable.
Damien se tourna vers sa compagne et un sourire enfantin vint éclairer son visage. Dans quelques jours, il allait fêter ses 35 ans, mais en paraissait toujours 10 de moins, et en cet instant plus que jamais, Violaine eut l'impression de se retrouver face à un adolescent. Elle-même venait tout juste de fêter ses 24 ans, mais le monde où elle vivait la faisait sentir plus âgée.
- Tu te rends comptes le nombre de femmes de ménages qu'ils doivent employer pour entretenir cet endroit ? lui demande-t-il Dam, tu sais, ils ont des elfes de maison pour çà. Oh ! Oh ! Tu crois qu'ils les payent ? Vu la somme de travail que çà doit demander de s'occuper d'un tel endroit, çà serait la moindre des choses.
Violaine leva les yeux au ciel et soupira. Décidément celui-là, on ne le changerait pas de sitôt, toujours à s'insurger de la moindre injustice, toujours prêt à s'enflammer pour un rien. Mais c'était ce côté passionné qui lui avait plu chez lui.
- Si tu veux, on posera la question à Dumblemore.
Damien ne put s'empêcher de sourire à ce lapsus.
- Dumbledore, ma chère, Dumbledore et non pas Dumblemore. Oh çà và hein ! lui répliqua-t-elle en lui tirant la langue. Bon, on y va, cela serait mal venu de faire attendre notre nouveau patron.
Et les deux jeunes gens prirent le chemin qui menait à Poudlard.
Ils étaient arrivés la veille à Pré-au-lard, car tout le monde sait que l'on ne peut transplaner à l'intérieur de Poudlard, et en avait profiter pour visiter les lieux. Même si la magie faisait partie de leur vie, ils ne vivaient pas à réellement parler dans le monde des sorciers, et n'étaient guère au fait des us et coutumes régnant chez les sorciers. Dès lors, ils avaient passé la journée entière à se documenter sur ce monde étrange qui s'ouvrait à eux. Règles et histoire du Quidditch, histoire de Poudlard, Grande encyclopédie du monde magique, Guide des créatures magiques, archive de la gazette du sorcier, tout y était passé, heureusement pour eux qu'ils disposaient de puissants sorts de lecture, car sinon ils y auraient passé tout un mois à compiler toutes ces informations. Ils étaient désormais prêt à faire illusion dans un tout autre univers.
Les technomages s'étaient fondus depuis plusieurs milliers d'années dans la foule, anonymes parmi les anonymes. Ils vivaient comme des moldus, avec les moldus, travaillaient avec ceux qu'eux appelaient les gens normaux. Rien ne les différenciaient des autres, ou presque. Comme les premières années débarquant du monde moldu, ils étaient émerveillés, étonnés par la féerie qui les entourait. Il fallait arriver à donner le change, se faire passer pour plus sorcier que les sorciers s'ils ne voulaient pas attirer l'attention.
C'est perdu dans ces pensées qu'ils arrivèrent dans le château de Poudlard. L'intérieur était pire que la façade. Si de dehors, le château semblai immense, vu de l'intérieur, c'était encore pire, un véritable labyrinthe, un enchevêtrement de couloirs et de portes, de salles et de halls. Les tableaux et les glaces les apostrophaient toutes les dix secondes, des fantômes passaient devant eux et les saluaient comme si de rien n'était. L'incroyable était devenu leur réalité.
- Bien, alors où va-t-on, mon cher ?
- Euh...je dois dire que je n'en sais fichtre rien, Vio, t'as une idée ?
-Oui, demandons à un des ces miroirs, ils seront peut-être capable de nous indiquer le chemin ?
-Ah ils te plaisent ces miroirs, surtout depuis qu'ils t'ont dit que t'était sublime dans cet ensemble !
Et encore une fois, Violaine tira la langue à son compagnon, se montrant ainsi aussi enfantin que lui.
- Hum Hum !
Violaine et Damien se retournèrent ensemble vers la nouvelle arrivée. Chignon serré, lunettes sur le nez, regard scrutateur, Minerva McGonagall les observait attentivement, les soumettant à un examen des plus approfondis.
- Vous devez être les nouveaux professeurs, si je ne m'abuse. Bonjour, je suis le professeur McGonagall, directrice adjointe de Poudlard, le professeur Dumbledore m'a prévenue de votre arrivée. Je vais vous montrer vos quartiers, puis nous irons nous restaurer, le professeur ne rentrera que demain soir du ministère. Il devait s'entretenir avec Mr Weasley, notre nouveau ministre, mais il m'a chargé de vous souhaiter la bienvenue à Poudlard.
- Oh !
Damien regarda gênée la vieille femme, elle lui faisait penser à un de ces professeurs qui l'avait pris en faute autrefois et lui avait passé un savon. Mais tu es prof, tu n'es plus un élève, elle ne va pas te manger, non mais, allez reprends toi un peu mon gars, quelle impression tu dois lui donner ! songea-t-il. Puis il lui fit l'un de ses sourires charmeurs qui n'avaient laissé que peu de demoiselles indifférentes.
- Enchanté professeur McGonagall. Damien Raven, et voici ma collègue, le professeur Violaine Belval.
-Enchantée, j'espère que vous vous plairez à Poudlard. Suivez-moi, nous allons vous installer, puis je vous ferai visiter le château. Les élèves n'arriveront pas tout de suite, vous aurez quelques semaines pour faire connaissance avec les lieux.
- Parfait professeur, le château a l'air si immense que je ne doute pas un seul instant que je m'y prendrais sans problème.
Minerva eut un léger sourire.
- Oh mais vous pouvez en être certains. Moi-même il m'arrive parfois de me perdre quand les escaliers changent de place, que les portes disparaissent. Pas plus tard qu'hier, j'ai découvert une salle que je ne connaissais pas, et à mon avis, c'est pas la seule salle cachée de Poudlard. Certains élèves disent que le château est vivant, et pour y avoir vécu des années et des années, je suis d'accord avec eux, Poudlard est bel et bien vivant.
Experts de la lutte contre les démons, chercheurs de reliques magiques, Damien et Violaine ne purent s'empêcher d'être surpris par les dires du professeur McGonagall : un château vivant ? Çà dépassait tout ce à quoi ils auraient pu s'attendre. Mais avant de pouvoir questionner plus en avant le professeur de métamorphose, un fantôme surgit de nulle part pour parler à la directrice de Gryffondor.
- Professeur McGonagall, le directeur essaie de vous joindre par le réseau de cheminée.
-Ah oui, il avait dit qu'il prendrait de vos nouvelles. Merci sir Nicholas.
-C'était avec plaisir professeur.
Minerva se retourna vers ses invités.
- Si vous voulez bien suivre sir Nicholas, il vous conduira à la grande salle, je vous rejoindrai là-bas dans un moment.
Damien et Violaine ne purent qu'acquieser d'un hochement de tête, même pour eux trop de choses bizarres arrivaient en même temps.
Tandis que les deux nouveaux professeurs suivaient Nick-quasi-sans-tête, Minerva gagna prestement ses appartements. La tête de Dumbledore apparaissait dans l'âtre de la cheminée.
- Ah Albus, vous êtes encore là, parfait, je craignais de devoir contacter toutes les cheminées du ministère pour vous trouver.
Le professeur Dumbledore, directeur de Poudlard et plus grand sorcier de tout les temps selon bon nombres de sorcier, esquissa un sourire par cheminée interposée.
- Et vous ne m'auriez pas trouver Minerva, je ne suis pas au ministère ma bonne amie, mais nous en reparlerons plus tard. Nos professeurs sont bien arrivés ?
-Oh oui, ils sont là. Mais ils ont l'air étranges, Albus, ils se comportent comme des Moldus qui n'auraient jamais vu de magie, vous êtes sûr que c'est une bonne idée ?
- Absolument Minerva, absolument, mon frère me l'a recommandé. Et même si Alberforth est quelque peu excentrique, j'ai confiance en son jugement. Mais vous n'avez pas tout à fait tort, bien que doués de pouvoirs magiques, ils vivent dans le monde des moldus et n'ont pas l'habitude de notre monde. Je compte sur vous pour les aider à s'adapter à Poudlard.
-Comme vous voudrez Albus. Vous revenez demain soir comme prévu ?
- Je crains que non Minerva, il m'est venue une idée qui devrait vous plaire.
La lueur de malice qui brillait dans les yeux du vieil homme soufflait au professeur McGonagall que le grand Dumbledore préparait encore une de ces surprises dont il avait le secret. Malgré son grand âge, il restait encore un vrai gamin par moment mais c'était Albus Dumbledore, et cela pardonnait tout. Et puis cela faisait parti de sa légende et de son charme. Le seul sorcier dont on avait peur Lord Voldemort était un vieil excentrique attachant qui tenait par-dessus tout au bien être de ses élèves et à la sécurité de Poudlard. Rares étaient ceux qui osaient contester le fait qu'Albus Dumbledore était le meilleur directeur que Poudlard n'ai jamais eu. Et beaucoup parmi cela pensaient qu'il aurait fait un merveilleux ministre de la magie à la place de ce fantoche de Cornélius Fudge.
-Que mijotez-vous donc Albus Dumbledore ? interrogea-t-elle avec un malicieux sourire qu'elle n'affichait que très rarement, le plus souvent en présence du directeur de Poudlard.
-Demain vous n'aurez qu'à aller au Terrier, je vous rejoindrai là-bas, vous verrez bien.
Minerva fronça les sourcils prête à questionner davantage le célèbre sorcier, mais finalement préféra se retenir. Si Dumbledore ne voulait ps répondre, il ne répondrait pas, elle le connaissait suffisament pour savoir çà.
-Soit, Albus, je vous verrai là-bas dans ce cas. Je vais retourner auprès de nouveaux venus. Au fait, ils sont deux, et nous n'avons qu'un poste Albus.
-Je sais Minerva, je sais. Le professeur Raven s'occupera des DCFM et le professeur Belval enseignera la démonologie. Nom d'une chouette, je dois vous laisser Minnie.
Minerva resta quelques secondes à regarder le feu crépitait dans la cheminée. Qu'elle détestait quand il faisait çà, quand il l'appelait Minnie. Secouant la tête de dépit, elle quitta ses quartiers et partit en direction de la grande salle...
Albus regarda sa cheminée avec un petit sourire. Il savait qu'à Poudlard Minerva devait être en train de le maudire. Elle détestait quand il faisait çà, il le savait, mais il ne pouvait s'empêcher de taquiner son cher professeur de métamorphose.
Les choses s'étaient améliorées ces dernières semaines. Le ministère avait enfin accepté que Voldemort soit de retour. L'obstination de Fudge lui avait cependant coûté sa place. Et l'opinion publique avait offert de nouveau la place à Dumbledore, mais celui-ci avait refusé une fois de plus. Le choix s'était donc porté vers un membre du ministère proche de Dumbledore : Arthur Weasley. L'une des personnes les plus intégres du ministère dont le dégout pour les mangemorts et l'intérêt pour les moldus étaient connus de tous et toute sa famille combattait Voldemort et les mangemorts. Son honnêteté et ses liens avec Dumbledore avait fait de lui le candidat idéal pour le poste.
A peine s'était-il installé dans ses nouvelles fonctions que déjà il avait pris des mesures énergiques contre Voldemort et ses sbires. Bon nombre de personnes dont les relations avec Voldemort étaient notoirementconnus n'étaient désormais plus les bienvenus au ministère. Tout les aurors avaient été mobilisés pour faire la chasse au seigneur noir, en quelques jours à peine, Arthur Weasley avait plus dans la lutte contre les forces de l'ombre que Fudge en plusieurs années et par les temps actuels, cela faisait de lui un ministre des plus appréciés. Et contrairement au précédent ministre, il n'hésitait pas à faire appel à Dumbledore. Mais cela faisait désormais de lui et sa famille une cible de premier ordre pour Voldemort et ses mangemorts. Raison pour laquelle il fallait les faire déménager d'urgence. Raison pour laquelle Dumbledore était là. Personne ne connaissait cet endroit et nul ne pouvait le trouver sans l'aide d'Albus, cela en faisait une résidence des plus sûrs pour les Weasley.
Mais avant de faire venir les Weasley, Albus s'était promis de rendre une petite visite à quelqu'un. L'année écoulée, il avait dû se montrer plus distant que jamais envers ce pauvre harry, et il avait à se faire pardonner. Autant commencer tout de suite. Dans un plop sonore, Dumbledore transplana à Privet Drive.
Cela faisait longtemps qu'il n'était revenu ici, cela faisait depuis cette terrible nuit où Voldemort avait été banni et où James et Lilly Potter étaient morts. Depuis cette nuit où le destin de beaucoup avait basculé. La maison était comme dans ses souvenirs, il savait que Harry n'était guère le bienvenue dans cette maison où la magie était haïe, il savait que lui non plus ne serait point chalereusement acueilli. Mais il avait dû confier Harry a ces gens pour sa propre sécurité, aujourd'hui, il venait l'en retirer.
Avançant en sifflotant vers le perron de la maisonnette, il se rémomora l'arrivée d'Hagrid seize ans auparavant. La tête de Minnie avait vallu le détour quand le demi-géant était descendu de la moto de Black. La nuit était plus avancée qu'aujourd'hui, et autrement plus chargée en émotion, mais ce qui se préparait risquait d'être intéressant.
Arrivé devant la porte, il décida de se comporter comme un bon moldu et sonna trois coups brefs à la porte. Au bout de quelques minutes, un gros homme tout rond vint lui ouvrir la porte. Quand il vit l'acoutrement de Dumbledore son sang se glaça, le rouge lui monta aux joues : colère ou peur bien heureux était celui-ci qui aurait pu le dire.
- Bonsoir monsieur Dursley, je suis le professeur Dumbledore, directeur de Poudlard, puis-je entrer ? Je voudrais voir Harry Potter.
Grommelant et ralant comme un porc en chaleur, Vernon Durlsey ne put que laisser passer l'impressionnant vieil homme. La dernière fois qu'il avait eu affaire à des sorciers n'avait pas été oubliée : ils l'avaient clairement menacé de représailles si Harry devait ête maltraité ou si ses conditions de vie à Privet Drive ne s'amélioraient pas. Harry s'était-il plaint ? Pourtant ils avaient été moins désagréable avec lui cette année, Vernon avait bien fait comprendre à son fils et sa femme qu'il n'avait guère envie de recevoir la visite d'un Maugrey Fol Oeil ou d'un Remus Lupin en colère. Pourquoi diable ce vieux fou venait les voir ?
- Nous n'avons rien fait de mal à Harry. Nous l'avons nourri et habillé au mieux
Dumbeldore ne put s'empêcher d'esquisser un sourire. De toute évidence les remontrances faites en juin avaient été bénéfiques et les Dursley se montraient un peu plus complaisant cette année avec Harry.
- Je ne suis pas là pour cela monsieur Dursley. En fait je viens pour chercher Harry.
- Oh ! Oh !
Des bruits de pas se firent entendre dans l'escalier. Harry à l'étage avait reconnu la voix de Dumbledore et était venu voir ce que son professeur venait faire ici.
- Professeur Dumbledore ?
Albus se retourna vers le jeune Potter, ses yeux pétillants d'une lueur malicieuse.
- Harry, justement, je venais te voir. Je me suis dit que tu n'aimerais certainement pas revivre la situation de l'an dernier sans nouvelles de tes amis.
Harry soupir en pensant à l'été dernier où par la volonté de Dumbledore il avait été mis à l'écart et cloitré à Privet Drive. En effet, il ne voulait pas revivre un été pareil.
- Mais Ron m'a envoyé un hibou, ils viennent me chercher la semaine prochaine.
- Je sais Harry je sais, mais je me suis dit qu'une petite surprise ne ferait de mal à personne par ces temps-ci. Que dirais-tu de venir passer quelques jours chez moi ?
Harry n'en revenait pas. Albus Dumbledore venait de l'inviter chez lui...pas à Poudlard non, mais chez lui. A vrai dire, Harry n'avait jamais imaginé que le directeur de Poudlard vivait autre part qu'à Poudlard, mais quoi d'étonnant à ce que celui-ci ait une maison rien qu'à lui ? Harry ne put répondre que par un grand sourire : il allait passer les vacances chez le professeur Dumbledore avec celui qu'il considérait comme son grand-père. Connaissant l'espièglerie du grand sorcier, il ne pouvait que s'attendre à passer de bonnes vacances.
- Oh oui, çà me ferait vraiment très plaisir professeur.
- Bien alors c'est décidé. Allons faire tes bagages puis nous partirons. Nous irons chercher les Weasley demain, nous leurs ferons la surprise.
Dumbledore fouilla dans ses poches et en retira une boîte de chocogrenouilles.
- Une chocogrenouille Harry ?
Harry ne put s'empêcher de sourire. Cela n'avait pas changé en tout cas, son directeur était toujours autant amateur de friandises. Acceptant l'offre du vieux sorcier, il prit une chocogrenouille avant de monter à l'étage faire ses bagages. Pendant ce temps, Dumbledore se retourna vers Vernon, son air joyeux s'étant dissipé.
- Monsieur Dursley, il me semble que nous devons avoir une petite discussion tout les deux. Quand j'ai confié Harry à votre garde je savais que le pauvre enfant n'aurait pas une enfance facile, mais quel choc j'ai eu quand je l'ai vu la première fois à Poudlard. N'avez-vous pas honte d'avoir tant négligé cet enfant.
-Les temps étaient durs monsieur, nous ne pouvions pas donner à manger à tous...
-Cela ne vous a pas empêché d'en profiter pourtant, répliqua le directeur en regardant l'embonpoint de Dursley.
L'oncle Vernon devint rouge, et ne savait plus où se mettre.
- Il m'est d'avis que vous avez négligé Harry à cause de ses parents et du fait qu'il était un sorcier. Cela est méprisable monsieur Dursley. Je n'ai rien dit jusqu'à aujourd'hui parce qu'il fallait qu'Harry puisse revenir passer les étés chez vous, mais ces temps-là sont révolus. Harry ne reviendra pas chez vous, et je peux donc vous dire que je ne suis vraiment pas content.
Vernon Dursley aurait aimé pouvoir disparaitre. Il aurait aimé pouvoir se changer en petite souris pour échapper à ce regard. Il se souvenait de ce que lui avait dit le géant qui était venu chercher Harry six ans plus tôt, Dumbledore était le plus grand sorcier de tout les temps. Et ce n'était pas vraiment le genre de personne qu'on voulait avoir à dos. N'y tenant plus, Vernon se mit à pleurer comme un enfant grondé par des adultes.
- Je suis désolé... je suis tellement désolé....dé....é...
- Certaines personnes, les Weasley pour ne pas les citer, aimeraient sincèrement vous donner une petite leçon, je crois que cela ne serait pas superflu en effet.
Quelques secondes plus tard, lorsque harry revint, il eut la surprise de voir un cochon au beau milieu de son salon. Albus se retourna vers lui un sourire aux lèvres.
- Allons-y Harry. Donne moi la main, nous allons transplaner jusqu'à chez moi.
Et dans la nuit moite de Privet Drive, Harry s'en alla passer les plus belles vacances de son existence...
