Salut à tous, et désolé pour le temps que j'ai mis avant de faire paraître le deuxième chapitre (qui arrive). Mais j'ai eu certains problèmes dans ma vie privée, et un manque de temps flagrant du au fait que je préparais mon bac (que j'ai eu, d'ailleurs). J'espère que vous avez passé de bonnes vacances, et que votre rentrée c'est bien passée. Je souhaite aussi que vous ne m'en voudrez pas de mettre autant de temps entre deux chapitres, et je peux vous dire qu'à partir du 4 octobre, les délais vont s'allonger encore, car je vais déménager pour être proche de ma fac, et je n'aurais donc Internet que le week-end...

Voilà. J'ai fini de raconter ma vie privée, et je passe aux reviews. Merci à ceux qui m'ont lus pendant les vacances (ceux qui m'ont lu avant aussi) car c'est eux qui m'ont donné envie de continuer ma fic.

Voilà donc les réponses à vos reviews :

Alyssa (ou Mélanie je sais pas trop) : Je me doute que ma fic ne plaît pas à tout le monde, tu en es l'exemple. Néanmoins, je revendique la différence entre les personnages que j'utilise et ceux de l'auteur (excellent d'ailleurs). Et cette différence, si tu regardes bien, tu la verras dans toutes les fics (je doute qu'Harry soit attiré par Drago dans le roman original et inversement d'ailleurs...). Mais je vais faire un effort pour te plaire (quoique peut-être pas dans ce chapitre...).

Jennyalissime : déjà, c'est je panse donc j'essuie la phrase de Descartes (phrase sortie non sans ironie de la bouche d'une infirmière pakistanaise à son chef de service, qui voulait lui faire faire des heures supplémentaires non facturées). Et sinon, la chieuse en éco c'est fini (snif!!). Alors bonne chance pour l'année prochaine, et à bientôt. (Au fait, merci pour ta review...).

A ton avis ? : Et là ça va ? Je peux te répondre ?? Comme ça n'a aucun rapport avec la fic et que ce message s'apparente à un message personnel, je ne le ferai pas ici.

Vivi : Merci, et désolé pour le temps que tu a du mettre avant de te faire une opinion sur cette fic.

Mich'loinvoyant : Merci pour ta review. Je te donne la suite, mais tu en fais ce que tu veux (remarque, tu la connais pas déjà ???).

Gody : effectivement je vais sombrer dans le romantisme absolu... Non je rigole. Merci en tout cas, et reste fidèle (à ma fic, hein, dans ta vie privée tu fais ce que tu veux...).

Hanna : la voilà la suite. Et toi tu n'as pas attendu trop longtemps encore...

Fleur Delacour87 : Merci pour tes critiques CONSTRUCTIVES (et je le pense vraiment). Pour ce qui est des personnages, lit ma réponse à Alyssa (un peu plus haut) si ce n'est pas déjà fait. Quant aux temps, c'est un vrai problème chez moi, mais je vais tout faire pour y remédier.

Witch-dark : Merci pour ta critique, qui prouve que tu as compris ce que je faisais : avant de vous plaire, je m'amuse (si ça plaît, c'est la cerise sur le gâteau). Et la suite, la voilà...

Résumé : Harry, Ron et Hermione sont en vacances à Cassis. De ce voyage, ils ont ramené tout un tas de souvenirs moldus (cartes postales, posters de Lorie, une boîte d'allumette pour cramer les posters de Lorie,...). Le deuxième chapitre raconte leur arrivée à la gare, et le voyage jusqu'à Poudlard.

CHAPITRE 2 : Le train où tout déraille.

Pour Harry, c'est de loin les meilleures vacances qu'il a jamais passé, du moins sur la fin. En effet, plus de Dursley, c'est une délivrance (essayer ce principe, c'est l'adopter). Ce principe est d'ailleurs un principe de Marx. En effet, c'est la fin du capitalisme due à la rébellion du prolétariat (Harry) contre la bourgeoisie, propriétaire des moyens de production (Les Dursley). Mais je m'égare (du Nord) et on voit que j'étais en période de révisions...

Donc Harry est content, il commence même à siffloter un air connu, mais en interprétation libre, ce qui entraîne un assombrissement du ciel londonien. Au fur et à mesure de l'avancée des trois amis, la pluie commence à tomber de plus en plus drue. Harry, qui ne siffle plus, Ron et Hermione font les vingt derniers mètres en courant et se mettent à l'abri dans le hall. C'est complètement trempés, leurs vêtements près à être essorés qu'ils arrivent sur le quai 9 ¾.

A peine montés dans le train, celui-ci se met en branle. Armés de leurs valises et divers sacs, ils se mettent en quête d'un compartiment libre en bousculant les gens dans le couloir. Arrivés dans le dernier compartiment du dernier wagon, ils mettent leurs valises au-dessus de leurs têtes (avec les étiquettes SCNF qui pendouillent), s'assoient sur les sièges mis à leur disposition (tellement inconfortables que les fakirs redoutent de prendre le train), et soupirent (d'aise, mais aussi à cause de leurs fesses douloureuses) :

- Bien content d'être assis, dit Ron

- Ouais, et on peut remercier Harry pour ce temps de merde, puisque c'est lui qui ne sait pas siffler.

- Oh ça va!! Rien ne prouve que c'est de ma faute!! C'est peut-être la starac' qui donnait un concert!!

- C'est vrai que c'est tout de même plus probable, même si ton interprétation de "By the Way" (Des red hot chili peppers) était particulièrement atroce.

Harry va pour répliquer, quand il aperçoit Neville derrière la porte vitrée du compartiment. Ce dernier l'ouvre et entre (et le premier qui dit que c'est très pratique d'ouvrir la porte avant d'entrer aura droit à une lapidation en place publique à l'aide de gravier, pour que ça dure plus longtemps), accompagné de Ginny, sa petite copine depuis maintenant trois ans :

- Salut

- Salut les tourtereaux répondirent les trois occupants du wagon SNCF aux sièges inconfortables.

- On peut se mettre ici ? Il n'y a plus de place ailleurs et...

- Depuis quand faut-il que je donne la permission à ma petite sœur chérie pour qu'elle s'assoie ? (Ouh le fayot...).

- Merci Ron. C'était bien vos vacances à Cassis ??

La discussion part, et chacun raconte ses souvenirs de vacances. Ginny et Neville sont partis dans une charmante petite station balnéaire du sud de Londres, où la mer était à 14 degrés, et le temps à composante largement pluvieuse. Neville a rapporté un petit flacon de sable de cet endroit merveilleux. Un bémol cependant : le sable est foncé, du fait de la succession de marées noires sur le littoral. Il a d'ailleurs ramené un deuxième flacon qu'il compte envoyé à Greenpeace (la grand-mère de Neville, militante écolo qui cultive les poireaux (voire son visage) lui a transmis sa passion).

Ron, Harry et Hermione sortent eux aussi les souvenirs de vacances :

- Voilà, ça c'est Cassis. Une charmante station balnéaire du Nord de la Méditerranée, où il ne pleut que trois jours par an, et ce pendant quelques heures à chaque fois. Par contre, le climat est très rude, du fait du mistral qui souffle. Le mistral est un vent d'Est (??), à ne pas confondre avec la tramontane, qui est un vent du Nord (??). Autour de Cassis, on peut observer de magnifiques calanques (dont les calanques de Cassis), qui servent à...

- Ta gueule Hermione dirent en chœur les autres occupants du wagon.

- Et ça, qu'est-ce que c'est Ron ? Demande Ginny, en montrant les posters de Lorie.

- C'est le poster d'une chanteuse, qui a une voix de qualité exceptionnelle, et qui à su s'entourer des meilleurs compositeurs et paroliers, pour réaliser un travail d'exception.

- Ca, c'est sa version. Pour ma part, je te dirai que c'est une fille qui fait de la musique comme Neville fait de la magie. Intervient Harry. Tiens, écoute un extrait de son dernier tube.

Je suis ensorceléeeeeeeee.

- Stop!! Arrête ça tout de suite, c'est horrible!! Crient Neville, Hermione et Ginny.

Seul Ron est transporté de bonheur.

- Et tu comptes mettre des posters d'elle dans ta chambre demande Ginny à son frère ??

- Oui, répondis Harry, mais on a tout prévu pour l'en empêcher. Ron, où as-tu mis les allumettes que tu as trouvé sur la plage ??

- Tiens.

Ron sort la boîte, et Harry explique son fonctionnement, à l'aide d'une démonstration.

Les occupants du compartiment restèrent ébahis devant ce miracle. Harry promis à Neville qu'il pourrait brûler un poster de Lorie s'il était sage, et tout le monde se mis à discuter gaiement.

Une heure plus tard, une atmosphère paisible règne dans le compartiment. Tout le monde est avachi et rêveur. Même Ginny, d'habitude très entreprenante avec Neville repousse les avances de son Chéri. C'est ce moment que choisi la petite sorcière qui distribue les friandises. Elle chantonne un petit refrain à la mode chez les moldus :

Un petit lapin qui s'appelait Poupine Avait rendez-vous avec sa Poupinette

Ses parents ne voulait pas qu'elle devienne sa copine

Parce qu'en fait Poupinette, c'était une belette.

- Bonjour mes chéris, vous voulez quelque chose ?? Oups, je viens de me déboîter le ménisque droit. Ecartez-vous.

(Note de l'auteur : avez vous remarquer ce rythme trépidant, issu directement du dernier épisode de Derrick).

Devant les cinq Gryffondors ébahis, elle effectue un triple salto et

- Ah ça va mieux!! Ca me le fait souvent en ce moment. Alors, vous voulez quoi ?

Après avoir vendu les trois-quarts de son chariot, elle ressort, en reprenant sa chanson là où elle l'avait laissé.

Thierry le chasseur est comme tous les chasseurs

Puisqu'il est con...tent d'aller chasser.

Il aime les fleurs, connaît la forêt par cœur

Et il est con...centré sur son gibier.

Ah ce moment là, les gryffondors éclatent de rire. Un rire si bruyant qu'il est entendu par Drago Malefoy (Si Drago a mal au foie, faut qu'il se soigne) à l'autre bout du train. Ce dernier décide d'aller voir ses meilleurs ennemis. Dans le couloir, il croise la vendeuse de friandises, toujours en train de chanter.

Poupine le lapin papouille l'arrière-train de Poupinette

Qui s'écrit "Oh vas-y fait moi mal"

Ca réveille Bernadette, Bernadette la vieille chouette

Qui bondit : "Une belette, un lapin c'est pas normal".

Tout en chantant, elle tente de battre le record du monde du 100m avec poussé de chariot dans le couloir, et Drago doit s'écarter pour éviter de ressembler à un pékinois écrasé sur un pare-brise.

Il arrive enfin devant le compartiment de Harry, et les autres, et colle sa tête sur la vitre pour voir ce qui se passe. Mais la vitre est opaque, à cause de la buée générée par ce regain de chaleur humaine. Drago pousse donc la porte et demande :

- Alors, qu'est-ce qui fait rire les ploucs aujourd'hui ??

- Ah ah ah !! Quoi ?? Ah Ah Ah!!

- Vous vous foutez d'ma gueule!! A chaque fois c'est c'qu'on m'réponds!!

- Ah bah oui, mais bon... C'est vrai que tu as une gueule de con!!

- Je...

Et là, tenez-vous bien, c'est incroyable. Drago s'approche d'Hermione et lui dit :

- Je m'excuse pour tout ce que j'ai pu dire sur toi. Tu n'est ni une sang-de-bourbe, ni un lapin. Tu es la fille la plus formidable que je connaisse, et je crois que je t'aime.

Et pendant cet instant de romantisme absolu, l'autre andouille, dans le couloir :

Thierry le chasseur n'est pas un gros bourrin

Puisqu'il est con...forme à la tradition.

Si il écrase les fleurs c'est à cause de son tout-terrain

Puisqu'il est con... ducteur attention

Petit lapin, derrière toi,

c'est toute la forêt qui se met à s'ébranler.

Prévenu par la chouette, voilà le papa

De ta Poupinette, qui vient te coller une branlée.

Thierry le chasseur a eu une grosse hallu

Puisqu'il est con...vaincu d'avoir vu

Une belette coller un pain à un tout petit lapin

Et il est con...trarié d'avoir pas pu

Sortir son fusil, pour s'payer une boucherie

Puisqu'il est con...voqué au commando

Spécial de son parti pour aller j'ter des œufs pourris

Sur les con...gressistes écolos.

Voilà. C'est la fin du chapitre. J'espère qu'il vous a plu.

Les chansons sont des Wriggles : Poupine et Thierry (interprétation libre de la vendeuse de friandises) et Ah bah Ouais mais Bon (refrain de Drago et Harry).

Si ce chapitre vous a plu (ou pas), si vous voulez la suite, laissez une review, j'y répondrais.

Tonio