Titre
: " 3 démons et 2 anges "
Auteur : Shin Maxwell - y a plus de Milka dans mes placards - et Shiroi
- je suis aussi innocent que le petit poussin qui vient de sortir de l'oeuf
-
Genre : Au bout de 27 chapitres je suis encore obligée de le dire
? Bon... Yaoi, shonen ai, Angst, un Wuwu sur les nerfs, un ^^ !
Couples : 1+2+1, 3+5+3, 4+3 et 13+11 ^___^ vala le tiercé gagnant.
Disclaimer :
Y a des cadeaux planqués dans mon armoire... malheureusement les paquets
ne sont pas assez grands pour contenir des GBoys, même en pièces
détachées *sigh*
Note : Chapitre 27 ! Je sais que je me répète, mais je
remercie à nouveau mes reviewers qui me touchent toujours autant, les
fidèles qui sont toujours là, et plus particulièrement
3 soeurs de la Réunion qui m'ont remonté le moral dans une période
de déprime avancée ^_^ ! Merci à tous, je fais de mon mieux
de mon côté pour ne pas vous décevoir, et j'espère
que ce chapitre sera à la hauteur de vos espérances.
" Trois démons et deux anges "
Chapitre
27 :
Optimismes
- Voici Karente Kalara, commença Treize en déposant une photo
sur le bureau. Elle a 27 ans, c'est une scientifique spécialisée
dans la génétique.
- Elle est pas un peu jeune ? fit Duo en regardant le petit carré
de papier glacé.
- C'est un des cerveaux de notre génération. C'est elle qui a
mis au point le système zéro nouvelle version avec l'aide du défunt
professeur F.
- D'autres renseignements ? demanda Heero.
- C'est la seule survivante des explosions de l'autre jour et depuis elle est
assez instable. Elle a fait a plusieurs reprises des crises d'angoisses proches
de l'hystérie durant lesquelles elle répétait comme un
mantra " Kent, Kent, où es-tu Kent ? ".
- Kent ? Un proche ?
- Exactement O4, c'est son frère aîné. Il était le
médecin attitré de la base et se trouvait dans les laboratoires
quand les bombes ont explosé.
- Je vois souffla Quatre, se mordant les lèvres. C'est de ma faute
s'il y a eu autant de morts ce jour là.
- Si vous êtes réellement repentant, je ne peux que vous conseiller
d'aller faire un tour dans le cimetière précaire que nous avons
installé derrière la base, une fois que nous aurons retrouvé
Kalara.
- Je vous remercie Treize, termina l'empathe en se massant les tempes.
- Bien, nous allons nous séparer et aller chacun de notre côté
pour retrouver Kalara, commença Heero, fidèle à son poste
de leader. Wufei, le cimetière, Quatre les ruines des labos, Trowa le
hangar, Duo les ruines du bâtiment informatique, je m'occupe du Q.G. Rendez-vous
ici dans une heure. Ca vous convient ?
Les quatre pilotes hochèrent la tête puis quittèrent la pièce. Seul Quatre resta, tiraillant nerveusement les pans de la chemise dans le dos de laquelle ils avaient dû découper deux larges entailles pour laisser sortir les ailes, attachant par la suite les pans de tissus avec une ceinture.
-
Que se passe t-il Quatre ? demanda Heero, sachant pertinemment que quelque chose
n'allait pas.
- C'est à propos de Duo j'ai senti quelque chose cette nuit
mais je t'en parlerai plus tard, plus vite ce docteur aura examiné Duo,
mieux ce sera. Et puis j'aurai quelques questions supplémentaires à
te poser.
Heero hocha la tête, regardant l'empathe s'envoler par la fenêtre. Treize souriait derrière son bureau.
-
Que vous arrive t-il ?
- Rien du tout 01. Je trouve seulement l'unité de votre groupe particulièrement
stable. C'en est étonnant.
- Nous ne pourrions pas faire autrement, répondit simplement le jeune
homme, un poing sur la hanche.
- Je m'en doute. Bonne chance pour les recherches.
- merci.
Sans rien ajouter, Heero sortit. Treize se leva puis se tourna vers Zechs.
-
Vous avez quartier libre. Retrouvons-nous ici dans une heure.
- Bien mon colonel vous me donnerez des nouvelles de Lady Une.
- C'est d'accord.
*****
Quatre volait au-dessus de la base, regardant avec une moue étrange la photo qu'il avait gardé avec lui sans y prendre garde. La scientifique avait beau avoir 27 ans, elle paraissait 5 ans de moins. Elle n'était pas particulièrement belle, ni horrible, elle se situait dans un juste milieu tout en restant agréable à regarder. Elle avait des cheveux noirs aux reflets bleutés qui retombaient sur ses épaules en rebiquant un peu vers le haut, une peau si pâle que l'on n'aurait eu aucun mal à la croire malade, et ses yeux d'un bleu profond semblaient voilés comme si quelque chose la tracassait. Quatre étant très sensible aux états d'âme des gens avait tout de suite décelé cette ombre dans le regard de la jeune femme. Un fantôme qui planait au-dessus d'elle comme un vautour sur une carcasse abandonnée. Tout ce qu'il espérait, c'était que cette ombre ne vienne pas se mêler de l'amas suffisamment conséquent de problèmes dont les pilotes de Gundams étaient déjà accablés. Détachant son attention de l'image, Quatre regarda distraitement Trowa se poser avec grâce sur le toit de la seule partie du hangar n'ayant pas été ravagée par les bombes. Un peu plus loin, Wufei fendait l'air en direction du cimetière. Un étrange sourire, à la fois serein et mélancolique étira les lèvres du jeune blond tandis qu'il descendait vers le sol, vers les ruines calcinées en contrebas.
*****
Zechs s'étouffa en ouvrant la porte de la salle de repos, assailli par les fumées des cigarettes. Se frayant un chemin à travers les soldats survivants, il atteignit finalement la machine à café pour constater qu'elle était encore en panne. Soupirant à en décapiter un Gundam, le jeune homme s'apprêtait à quitter l'endroit, bien décidé à dénicher ailleurs sa dose de caféine réglementaire, lorsqu'une voix pourtant bien connue le fit sursauter.
-
Tu as de la chance, je t'en ai pris un juste avant qu'elle ne nous lâche.
- Merci Noin, souffla le jeune homme, soulagé, en saisissant le gobelet
rempli de liquide noir encore chaud. Je ne sais pas comment je ferais sans toi.
- Bonne question, ricana t-elle en portant son gobelet à ses lèvres.
Ils sont partis chercher le docteur ?
- Qui ça ? Les pilotes ?
- A ton avis ?
- Oui, ils viennent de se séparer pour la chercher.
- Et Son Excellence ?
- Dans les appartements de Lady Une.
- Il se fait du mal, soupira Lucrezia en secouant la tête.
- Si elle ne s'en sort pas, ils mourront tous les deux. Il n'a pas mangé
aujourd'hui encore.
- Tu n'as rien fait pour le raisonner ?
- Tu le connais, encore plus buté que 01 dans ses grands jours, grogna
le blond en empoignant une chaise.
Un court silence s'installa entre les deux soldats, uniquement rompu par les quelques bavardages des autres hommes. Bavardages d'ailleurs si peu nombreux et si discrets par rapport à avant avant les bombes. Avant que la parcelle de terre située derrière le QG ne se change en tombeau.
- Lieutenant Noin ! Lieutenant Zechs ! appela une voix à l'entrée.
Les deux interpellés se regardèrent brièvement, puis se levèrent.
-
Que se passe t-il ?
- C'est le colonel Treize ! répondit le jeune soldat, essoufflé
par sa course folle à travers les couloirs de la base. Il le colonel
Une
Il n'en fallut pas davantage pour Zechs et Lucrezia ; ils lâchèrent leurs gobelets et sortirent en courant, la peur leur broyant les entrailles, seule une petite lueur d'espoir les empêchant de céder à la panique.
*****
Duo
soupira en enjambant une énième carcasse d'ordinateur. Les ruines
du bâtiment informatique, Heero en avait de bonnes ! L'endroit était
gigantesque, et sa progression était sans cesse ralentie par des pans
de murs écroulés, du matériel explosé, des bureaux
calcinés, et autres choses qu'il préférait ne pas tenter
d'identifier.
Et puis, il fallait aussi avouer qu'il aimerait bien ne jamais retrouver ce
docteur. Il craignait son verdict, anxieux à l'idée qu'on ne puisse
rien faire, qu'il conserve à jamais cette puce dans son crâne et
que son cur reste une véritable bombe à retardement, menaçant
à tout moment de l'abandonner pour le laisser mourir misérablement.
Laissant derrière lui une guerre inachevée, trois amitiés
ébauchées, et un amour qui n'aura jamais connu que l'échange
des sentiments.
*****
-
Monsieur Treize Votre Excellence, que vous arrive t-il ?
- Lady Une, ma Lady, vous m'êtes enfin revenue
Zechs
et Lucrezia n'osèrent pas entrer dans la chambre, de peur de briser l'instant
tant attendu des retrouvailles du colonel Une et de Treize, et peut-être
aussi craignant que tout cela ne soit qu'un rêve, une illusion qui disparaîtrait
au moindre mot, au son du plus petit soupir.
Treize était assis sur le bord du lit, serrant contre lui le corps de
Lady Une, affaibli après deux longs mois de coma. La jeune femme ne cessait
de le supplier de se calmer, ses mains posées timidement à plat
sur les omoplates de son supérieur. Et même si ce dernier faisait
dos à ses deux lieutenants, il ne faisait aucun doute que Treize était
en train de libérer toutes les larmes si longtemps retenues, le soulagement
brisant le barrage qu'il avait érigé pour conserver sa fierté.
Son corps tressautait, secoué de sanglots silencieux, tandis que sa main
passait et repassait dans la chevelure brune de la Lady.
Jugeant qu'il leur vaudrait mieux repasser plus tard, Lucrezia et Zechs fermèrent
la porte sans bruit, préservant cet instant de paix, et s'éloignèrent
rapidement avant de laisser éclater leur joie. Explosant de bonheur,
Lucrezia se propulsa au cou de Zechs comme si elle avait été montée
sur ressors.
-
Elle est vivante, Zechs, vivante ! C'est merveilleux !
- La base et nos hommes vont retrouver peu de vie, répondit plus calmement
Zechs avec un léger sourire.
Malgré
le fait qu'ils ne se soient que très peu cotoyés, une solide amitié
s'était tissée entre les deux lieutenants et le colonel Une. Cette
dernière connaissait leurs capacités et savait qu'elle pourrait
toujours compter sur leur force et leur soutient, quelque soit le problème.
Quant à Zechs et Lucrezia, ils éprouvaient un profond respect
et une grande admiration à l'égard de cette femme, pourtant plus
jeune qu'eux, et qui avait si rapidement grimpé les échelons de
la hiérarchie, jusqu'à devenir la favorite de Treize, auquel tous
trois vouaient une loyauté sans limite.
Nul doute que le retour de la Lady mettait du baume au cur.
-
Lou, tu penses à ce que je pense ?
- Envie de retomber en enfance, Zechs ?
- Le dernier arrivé est un résidu d'armure mobile !
Et comme s'ils étaient passés de plus de vingt, à dix ans en un clin d'il, tous deux partirent en courant à travers les couloirs, riant comme ils ne l'avaient plus fait depuis plusieurs mois.
*****
Heero
marchait calmement dans les couloirs de la base, ouvrant toutes les portes et
fouillant toutes les pièces sans pour autant réussir à
trouver le professeur. Il procédait de manière stratégique,
ayant commencé par le rez-de-chaussée et montant lentement, marchant
avec calme, ne laissant à sa proie que le choix de grimper dans les étages
pour finalement la bloquer au sommet. En procédant ainsi, si Kalara se
trouvait dans son bâtiment, elle ne risquait pas de lui échapper.
Son 6ième sens de soldat l'avertissant que quelque chose d'important
était sur le point de se produire, il stoppa brutalement au milieu du
couloir, et tendit l'oreille, regardant du coin de l'il un des haut-parleurs
qui, il en était persuadé, n'allait pas tarder à être
utilisé.
- Partisans de Treize ! Ici Zechs Merquise et Lucrezia Noin ! appela une voix féminine.
Un peu curieux, Heero s'appuya contre le mur pour mieux écouter le message.
- Nous avons une grande nouvelle à vous annoncer ! Le colonel Une le colonel Une est sortie du coma !
Salle de repos :
- VIVE LE COLONEL UNE !
Cimetière :
- Lady Une Je vous avais de toute manière interdit de regagner le monde des morts avant que je ne vous aie remerciée en personne déclara pensivement Wufei en caressant les tombes improvisées du regard.
Ruines des laboratoires :
- Par Allah
Hangar :
- Je comprends mieux à présent l'allusion de Duo à propos de cette vieille amie Heureux que vous restiez parmi les vivants, Une, souffla simplement Trowa avant de reprendre ses recherches.
Ruines du bâtiment informatique :
- Elle est vivante ! Une, vous avez échappé à Shinigami !
Q.G :
- Voilà au moins une chose qui ne tracassera plus Treize.
Ignorant les " vive le colonel Une ! " qui fusaient à travers les haut-parleurs et depuis la salle de repos, au rez-de-chaussée du Q.G, Heero reprit ses recherches.
*****
Il
continuait à marcher à travers les croix de bois, mélancolique,
laissant ses pensées vagabonder.
Il y avait bien longtemps qu'il ne s'était pas trouvé dans un
cimetière. Depuis le jour où il avait quitté L5 en fait
Il n'aimait pas les cimetières un tueur n'a rien à faire
dans un lieu où reposent des morts.
Il était mal à l'aise, et avait l'étrange impression de
ne pas être le bienvenu ici, comme si une présence, une force invisible,
lui était hostile, se concrétisant sous la forme de ce vent glacial
qui lui frigorifiait les oreilles et la nuque.
Il faisait pourtant bon avant
Il stoppa lorsqu'une faible voix se fit entendre, mêlée au mugissement
du vent.
Intrigué, et espérant trouver ce qu'il cherchait pour pouvoir
fuir ce lieu au plus vite, le jeune homme accéléra le pas, regardant
rapidement derrière les croix de bois peint et les pierres qui faisaient
office de stèles, histoire de voir si quelqu'un s'y cachait.
5 mètres plus loin, une petite silhouette était recroquevillée
contre un rocher, face à un énième tombeau parsemé
de fleurs plus ou moins fanées que le vent faisait frémir.
Se remémorant la photo du professeur en voyant les cheveux noirs bleutés
sur ces épaules, Wufei s'approcha d'elle avec un air décidé.
-
Vous êtes Karente Kalara ? demanda t-il en s'accroupissant devant la jeune
femme en blouse blanche.
- Kent
- professeur Kalara ?
La scientifique releva la tête, écarquillant les yeux en remarquant Wufei.
-
Kent ! Kent c'est toi ! s'écria t-elle en faisant un geste pour se relever.
- Il y a erreur, répondit froidement Wufei, reculant d'un pas en se rendant
compte qu'elle s'apprêtait à lui sauter au cou.
- Ne me mens pas Kent ! Tu es revenu !
- C'est pathétique, grogna le Chinois. Kent est mort.
- Menteur s'obstina la jeune femme.
- Professeur Kalara, regardez-moi ! ordonna Wufei, de plus en plus agacé
par la tournure que prenaient les évènements.
- Kent
- ONNA !
Irrité par cette femme qui le prenait pour un autre, et conscient qu'il n'avait pas vraiment le choix, Wufei la saisit par les épaules avant d'abattre sa main sur sa nuque, la plongeant dans l'inconscience.
- Voilà déjà une chose de réglée soupira t-il en renversant la jeune femme sur son épaule avant de s'envoler.
*****
Duo
errait encore à travers les carcasses d'ordinateurs lorsqu'un long frisson
parcourut son corps, soudainement. Inquiété par ce tremblement
qui n'avait aucune raison d'être, le jeune homme s'adossa à un
pan de mur à peu près intact, une sourde angoisse le prenant à
la gorge lorsque ses jambes commencèrent à flageoler.
Il déglutit avec peine, sentant distinctement une perle de sueur glisser
dans son dos. Ses mains tremblèrent alors qu'il réalisait lentement
mais sûrement ce qui était en train de se passer.
Refusant de céder à la panique, il se força au calme, se
contraignant à respirer lentement et profondément, cherchant à
se détendre au maximum.
Malgré tous ses efforts, sa respiration devint bien vite saccadée
alors qu'il n'arrivait plus à inspirer la moindre goulée d'air.
Ses pupilles déjà rétractées sous l'effet du système
zéro se réduisirent davantage, jusqu'à devenir presque
invisibles au milieu des étendues dorées de ses iris.
Et d'un seul coup, la griffe de glace jaillit à nouveau au plus profond
de lui et s'empara de son cur, le serrant dans un étau des plus
mortels.
Suffoquant, le jeune homme tenta d'ouvrir la bouche pour appeler au secours,
mais aucun son ne s'en échappa.
Au lieu de ça, il s'écroula sans pouvoir se retenir, sa main se
décrispant lentement du tissu de sa chemise au niveau de la poitrine,
jusqu'à devenir totalement inerte.
*****
Trowa était revenu devant le bureau de Treize depuis longtemps quand Quatre entra dans le couloir en passant par la fenêtre.
-
Alors ?
- Introuvable, répondit simplement le français en secouant la
tête. Et aucun des ingénieurs ne l'a vue.
- Rien de mon côté non plus, soupira le jeune homme en secouant
ses ailes devenues poussiéreuses après la visite des ruines. J'espère
que les autres auront plus de chance.
- Tu as entendu le message de Noin ?
- A propos de Lady Une ?
- Oui.
- C'est une bonne nouvelle. En tous cas je suis content pour Treize.
Les deux pilotes se tournèrent de l'autre côté du couloir, entendant un bruit de pas que quelqu'un avait volontairement accentué pour prévenir de son arrivée, ce qui n'était guère étonnant venant de cette personne si discrète, et qui faisait depuis quelques temps tant d'efforts pour se mettre un peu plus en avant.
-
Vous ne l'avez pas trouvée ? demanda Heero en arrivant à leur
portée.
- Non tu m'as l'air étonné, nota Trowa.
- Je pensais vraiment qu'elle serait dans les ruines du labo.
Le jeune homme s'approcha de la fenêtre, tandis que les deux autres ne le quittaient pas du regard.
- Wufei arrive. Il porte quelque chose.
Trente secondes plus tard, le jeune Chinois entrait en coup de vent par la fenêtre suivante, et déposa la scientifique au sol.
-
Wufei, elle est
- Non Quatre, elle est évanouie. Je n'avais pas le choix, elle ne voulait
pas me suivre, expliqua t-il en repliant précautionneusement ses ailes.
- Wufei, brute !
- Elle me prenait pour son frère ! Cette femme a complètement
perdu la tête !
- Passons, nous avons autre chose à faire, coupa Heero, mettant fin à
la dispute qui menaçait d'éclater. Elle est vivante, c'est l'essentiel.
- Il ne manque que Duo fit doucement Quatre, ne supportant plus soudain
la tension à couper au couteau qui régnait dans le couloir.
- Hai souffla Heero, cette constatation s'accompagnant d'un étrange
pincement au cur qu'il ne savait pas expliquer.
Notes de Shin Maxwell en cours d'italien à 9h50 :
Shin : YES ! J'ai vaincu le chap27 !
Duo : Y'avait longtemps que t'avais pas fait de chapitre en italien
Shin : Heu, ouais, si on veut je fais que des p'tits bouts de chapitre
en général ^^o ! Faut croire que j'ai été inspirée
!
Duo : Qu'est-ce qui m'arrive cette fois T___T ?
Shin : Tu verras ! De toute façon, vous avez le toubib, alors on va pouvoir
enfin te soigner ^__^ !
Heero : Hn * baisse son flingue *
Shin : A condition qu'Heero te retrouve avant que tu crèves dans les
ruines ^___^ !
Heero : Hn ! * met en joue *
Shin : Peut-être ^^ !
Heero : Omae o korosu.
Shin : A bientôt pour le chapitre 28 ! * merde, déjà 28
??? *
A suivre...
