Titre : " 3 démons et 2 anges "
Auteur : Shin Maxwell - merde il est court ce chapitre, encore plus que le dernier ! - et Shiroi - en train de finir la bûche -
Genre : Comme d'habitude : shonen, yaoi, angst, angst, angst... angst et reangst.
Couples : 1+2+1 ça c'est sûr, mais le reste...
Disclaimer :
Toujours pas à moi... même après 3 coupes de champagne, j'en suis sûre T___T.
Note : Chapitre 29 ^_^ et Shin va beaucoup mieux grâce à Mel et sa lettre, Elfie et son retour, Kalhana, Sakura, Shiro, Kuro et Neko pour leur soutien ^_^. Merci à tout le monde, et promis je vais essayer de répondre aux reviews cette fois ^^o. Joyeux Noël à tous les lecteurs, et merci aux reviewers de la dernière fois !

A tous les lecteurs qui ont lu ce chapitre avant le 2 janvier :
le chapitre a reçu quelques modifications de dernière minute TRES importantes pour la suite de l'histoire ! C'est la première fois que j'ai à revenir et à modifier ainsi un chapitre déjà publié, et j'espère que ce sera la dernière. Heureusement, c'est uniquement le dernier dialogue du chapitre entre Zechs et Quatre qui a été modifié. Relire cette petite partie du chapitre vous suffira pour saisir la suite, vous n'aurez nullement besoin de tout relire. Je vous fais toutes mes excuses pour cela et vous souhaite une joyeuse année 2004.


" Trois démons et deux anges "

Chapitre 29 :
Aveux

- Trowa ? Je peux te parler ? demanda Wufei en sortant de la salle de bains.
- Hum ? Qu'est-ce qui se passe ?
- C'est que j'ai l'impression que quelque chose ne va pas depuis 2-3 jours.
-
- Tu me caches quelque chose, n'est ce pas ? fit le Chinois en posant son poing sur sa hanche.
- Tu n'as pas confiance en moi ?
- Si, et je sais que si tu ne me dis pas la vérité, c'est pour me préserver. Mais tu n'es pas ma mère ! Je n'ai besoin de personne pour me protéger de quoi que ce soit !
- En clair, tu veux savoir ? fit Trowa en allant se poster devant la fenêtre. Tu es conscient que tu risques d'être déçu ?
- Je n'aime pas les non-dits, rétorqua le pilote 05 en s'asseyant sur le lit avec une moue boudeuse. Ca me fait gamberger et j'ai horreur de ça.
- J'ai fait un rêve.
- Hum ? fit Wufei en levant un sourcil. Quel genre de rêve ?
- Le genre de rêve qui remet toutes tes certitudes en question, commença Trowa, posant ses doigts sur la trace de buée se formant sur la vitre au contact de son souffle et de la pluie froide de l'autre côté. Le genre de rêve dont tu te sors totalement perdu et tu as beau te dire que ce n'est qu'un stupide rêve, continua t-il en traçant du doigt une courbe quelconque sur la buée, tu ne t'en remets pas. Et ça t'influence malgré tout ce que tu peux faire pour t'en sortir.
- Tu aurais dû m'en parler plus tôt, rechigna l'autre jeune homme en sautant du lit.
- Ca te concerne directement, alors je n'osais pas. Et puis, nous n'avions pas le loisir de nous préoccuper de songes insignifiants.
- Ils seraient insignifiants s'ils ne te déstabilisaient pas autant. Nous avons un peu de temps devant nous, alors occupons-nous en avant que cela ne prenne plus d'ampleur.

Trowa prit une profonde inspiration, puis, sachant qu'il ne pouvait plus retourner en arrière, pivota sur ses talons et regarda Wufei dans les yeux.

*****

- Ohlala, j'ai l'impression d'être un légume !

Tels furent les premiers mots que Duo prononça à son réveil.
Amusé, et instantanément soulagé d'un énorme poids sur la poitrine, Heero émit un petit rire et leva la tête de l'écran de son ordinateur pour regarder le jeune homme sur le lit.
Ce dernier se redressa sur ses coudes et posa son regard endormi sur son petit ami.

- 'ro ? S'est passé quoi ? J'étais dans les ruines et pouf ! Je ne me souviens plus au fait, tu m'as drogué ou quoi ? Je suis sûr que même une salade déshydratée et abandonnée en plein Sahara serait plus dynamique que moi en ce moment !
- Tu as fait un nouveau malaise dans les ruines et c'est Zechs qui t'a retrouvé. Etant donné que Wufei avait mis la main sur la prof, on t'a fait ausculter.
- Ah, et on m'a fait quoi au juste ?
- Injection de calmants pour éviter une nouvelle crise cardiaque, répondit Heero en quittant son fauteuil après avoir éteint son ordinateur. Et on ne peut pas retirer la puce.
- J'aurais dû m'en douter. J'ai jamais de chance avec les toubibs, fit simplement l'Américain en haussant les épaules avant de se laisser retomber sur le lit.
- Tu nous as fait peur, tu sais ? souffla le Japonais en s'asseyant près du jeune homme.
- Mais ça devient une manie chez moi on dirait qu'est- ce que je peux faire pour guérir ?
- Te droguer aux calmants et éviter de sauter partout jusqu'à ce que tu sois totalement transformé.
- Avec des ailes ?
- Hum.
- On n'a qu'à les forcer à sortir !
- Ce n'est pas aussi simple. On y a pensé, mais ça risque de
- ok, je vois le truc. Accélération du rythme cardiaque à cause du facteur déclencheur ce qui donne un Shinigami prêt à expédier pour l'Enfer, non merci.
- Il ne nous reste donc qu'à attendre que tout se fasse naturellement. Mais même là il y a un risque.
- Je m'en doute j'ai vraiment la poisse avec les docs et à par ça, quoi de neuf ?
- Hum tu as entendu le message de Noin concernant Lady Une ?
- Oui, elle est sortie du coma faudra que j'aille la remercier avec Wu.
- La remercier ?
- Cette femme m'a sauvé la vie. Sur la base lunaire. Sans elle, Wu et moi y serions restés.
- Tu penses sincèrement que Wufei s'abaissera à aller remercier une " onna " qui de plus fait partie du camp de nos ex-ennemis ?
- Fei est borné, mais il n'est pas stupide. Je crois qu'il commence à comprendre que nous n'avons pas d'autre choix que nous serrer les coudes avec Oz si on veut arriver à faire quelque chose. C'est tout pour les news ?
- Pour l'instant oui.
- Et quel est le programme de cet après-midi, chef ?
- Tu as oublié ce que Quatre a dit ?
- Euh interdiction de sortir des chambres ?
- Je ne sais pas si Trowa et Wufei obéiront mais pour ma part je crois que je vais me décider à écouter les ordres de maman-poule.

Duo regarda Heero faire le tour du lit pour aller se coucher de l'autre côté en se frottant le bout du nez.

- Qu'est-ce qui se passe ? demanda le pilote 01 en remarquant l'expression boudeuse de son compagnon.
- Rien, je me demandais juste ce qu'on t'avait injecté à toi.
- Baka.
- Hidoi.
- Cruel, moi ? rit Heero en se penchant au-dessus de Duo.
- Parfaitement, reprit l'Américain en souriant de toutes ses dents. J'ai même pas eu de câlin à mon réveil.
- Réparons ça alors. Mais juste une chose.
- Oui ^^ ?
- Je ne suis pas une peluche.
- Mais oui Hee-chan-nounours !
- Baka.

*****

- Pourquoi m'avez-vous emmené ici, Zechs ? demanda Quatre en examinant sommairement la pièce.
- Ceci est mon bureau et si nous sommes venus ici c'est parce que tout le monde n'est pas au courant pour ce que je vais vous montrer, expliqua le lieutenant en lui faisant dos.

Quatre eut un mouvement de recul en constatant que Zechs était en train de retirer sa veste de lieutenant.

- Qu'est ce que vous faites ? demanda l'empathe en reculant en silence pour se rapprocher de la porte par précaution.
- J'ai déjà déchiré des dizaines de chemises comme ça, je préfère faire attention maintenant.
- Comment ?

Alors que la pièce s'envahissait d'une intense lueur bleutée, le pilote 04 était toujours bouchée bée, incapable de détacher son regard du spectacle sous ses yeux.

*****

- Si je devais résumer, je rêvais que j'étais à nouveau hésitant devant un choix que j'ai pourtant déjà fait, répondit vaguement Trowa.
- Winner, n'est ce pas ?
- Hum mon cur et ma raison ne semblent pas être du même avis.
- je suis tout de même heureux que tu m'en aies parlé fit Wufei en faisant quelques pas dans la chambre. Cela prouve que j'avais raison d'avoir confiance en toi.
- Et maintenant ? demanda Trowa.
- C'est à toi de voir, tu connais mes sentiments à ton égard, la balle est dans ton camp. C'est à toi de déterminer qui est celui que tu aimes, pas à moi.

Sur ce, le Chinois quitta la pièce, se réfugiant comme il l'avait toujours fait, dans sa solitude.
Trowa, lui, soupira puis s'adossa à la fenêtre, levant les yeux au plafond.

- Et pourtant je suis persuadé d'avoir fait le bon choix
*****

TOC TOC TOC !

- Entrez !
- Je ne vous dérange pas, professeur ? demanda Treize en entrouvrant la porte de la chambre de la jeune femme.
- Oh, pas du tout Votre Excellence.
- Je vous remercie.
- Quelque chose ne va pas ? s'enquit Karente en se levant du bureau sur lequel elle travaillait.
- Je voulais juste savoir si vous aviez toujours la version numéro 5 avec vous.
- Bien entendu, je la conserve en sécurité comme vous me l'avez demandé mais pourquoi cette question ?
- Parce que je pense que nous aurons à nous en servir incessamment sous peu, répondit énigmatiquement le général en regardant la pluie tomber par la fenêtre.
- Ne vous inquiétez donc pas pour le système zéro. Comment va Lady Une ?
- Elle se remet doucement, mais elle est évidemment très affaiblie. Quand pensez-vous qu'elle sera de nouveau apte à remplir ses fonctions ?
- Je pense que forte comme Lady Une l'est, quinze jours suffiront amplement.
- Quinze jours cela ne nous laisse que très peu de temps soupira l'homme en faisant les cent pas dans la petite chambre.
- Que voulez-vous dire ?
- Vous n'êtes pas au courant de la suite des évènements ? J'avais pourtant demandé au lieutenant Merquise de faire passer la nouvelle parmi tous nos soldats.
- Je suppose que je suis passée au travers des mailles du filet, suggéra Karente en ordonnant les papiers dispersés sur la table.
- Nous allons nous allier aux pilotes de Gundams comme prévu pour faire face à Romfeller. Mais nous devons d'abord prendre le temps de négocier, de rechercher de potentiels alliés, d'établir un plan parfait jusque dans ses moindres détails
- Pardonnez-moi Votre Excellence, mais deux semaines ne seront-elles pas suffisantes ? Et pourquoi vouloir attendre le rétablissement de Lady Une ?
- Nous avons perdu suffisamment de temps sur cette base, nous devrons partir le plus vite possible. C'est pour cela que j'attends que Lady Une soit définitivement sur pied cette base n'était qu'un appât pour les pilotes. Quand à ce délai de deux semaines, il sera probablement assez long pour nous permettre d'achever notre travail et de toute façon, je me doute bien que nous aurons besoin de rencontrer les supérieurs de nos pilotes pour tout mettre au point. Mais ce que je redoute
- Oui ?
- C'est que deux semaines ne suffiront peut-être pas à convaincre notre tête de mule d'Heero Yuy qu'il doit lui aussi recevoir le système zéro.
- vous devriez peut-être recourir à la force ?
- Et détruire le peu de confiance qu'ils ont finalement accepté de nous accorder ? Autant abandonner le projet.
- Hum vous avez raison vous devriez peut-être en parler avec le lieutenant Merquise ? proposa la jeune femme en retirant ses lunettes. Après tout, Heero Yuy est son ennemi personnel, peut-être qu'en simulant un petit différend entre eux
- Vous pensez que Zechs pourrait lui injecter le système dans le feu de l'action durant un duel ?
- Ce devrait être à la portée du lieutenant. Je peux lui préparer une dose de système sous forme de balle, ce qui lui permettra de tirer pendant le combat.
- C'est bien possible, mais là aussi cela met en péril notre fragile lien, soupira Treize. Je ne sais plus trop où donner de la tête avec tout cela. Mais je retiens votre proposition. Si nous n'arrivons vraiment pas à le raisonner, nous utiliserons cette dernière alternative.
- Bien compris Votre Excellence. Je commencerai à travailler sur ces balles dès ce soir.
- Prenez votre temps, professeur Kalara. Et reposez-vous, conseilla l'Allemand en posant sa main sur la poignée de la porte.
- Faites attention de votre côté, Excellence, vous vous surmenez

Après quoi, Treize quitta la chambre et poussa un nouveau soupir. Il avait besoin de repos, évidemment, mais n'avait pas le loisir de prendre sur son temps libre ne serait-ce qu'une heure pour faire la sieste.
Il n'avait pas fait deux pas dans le couloir qu'un adolescent typé chinois le percuta de plein fouet. Treize ne dût qu'à ses excellents réflexes de ne pas se casser magistralement la figure.
Les yeux gros comme des ballons, Wufei le regarda quelques secondes avant de le repousser violemment et de s'enfuir en courant.

- Eh bien ces pilotes sont bien agités souffla Treize en réajustant sa veste.

Dix mètres plus loin, le pilote 05 ouvrait une fenêtre et s'envolait à tire d'ailes dans le ciel noir de l'Amazonie, sans se soucier de la pluie battante qui ne semblait pas près de s'arrêter

*****

Ici commence le paragraphe modifié après le 2 janvier :

- Alors ce que nous a dit Heero était vrai vous avez, vous aussi, reçu le système zéro, souffla Quatre en saisissant une des plumes blanches qui volaient à travers la pièce.
- Vous êtes bien renseigné, nota Zechs en repliant ses plumes blanches. Treize, Kalara, F et moi étions les seuls au courant.
- Mais vous avez reçu un prototype
- Oui, j'ai une puce électronique implantée dans la nuque, tout comme 02.
- Il paraît qu'il y a eu un problème pour vous aussi
- C'est exact. Sans compter ce flagrant défaut, fit Zechs en désignant ses plumes, la puce a quelque peu dérangé mon empathie.
- Ah, mais
- Vous aussi, n'est-ce pas ?

Quatre hocha la tête puis s'assit sur un fauteuil.

- J'ai eu quelques problèmes, et certaines choses que je ne comprends pas d'ailleurs mais puisque vous êtes new type, je compte sur vous pour me renseigner.
- Le système zéro crée des interférences avec les ondes de l'empathie. Notre pouvoir est une sorte de récepteur sensible aux ondes dégagées par ses sentiments humains. Zéro augmente la sensibilité de ce récepteur, ce qui peut créer de gros problèmes si le sujet n'est pas habitué.
- Notre pouvoir est donc amplifié ?
- Oui, confirma le lieutenant en s'asseyant sur son bureau. Vous avez dû percevoir des sentiments très violents les premiers jours, non ?
- Si violents que j'étais sans cesse assailli de migraines et de nausées. Mais je m'y suis rapidement accoutumé.
- Je n'en attendais pas moins de la part d'un pilote de Gundam, s'émerveilla Zechs, apparemment ravi. Mais je pense que vos crises étaient moins fortes que les miennes. Le système zéro injecté est moins puissant que le système zéro sous forme de puce.
- Il y a autre chose qui m'embête continua Quatre en grattant une poussière sur ses ailes.
- Je suis tout ouï.
- Qu'en avez-vous fait tout ce temps ? interrogea le jeune homme en regardant intensément une plume entre ses mains.
- Je me doutais bien que vous me le demanderiez. Ce n'est pas très pratique pour dormir, n'est ce pas ?
- " Pas très pratique " ? C'est un euphémisme. Je dirais plutôt que c'est l'enfer.
- Tout est une question de temps et de concentration. Si vous voulez pouvoir manipuler correctement vos ailes, il faut attendre qu'elles soient " mûres ", commença Zechs en ouvrant les rideaux pour regarder la pluie tomber.
- Qu'entendez-vous par là ?
- Vous vous doutez bien qu'avec une telle extension, et si soudaine, le corps n'est pas immédiatement habitué. Il y a des problèmes d'équilibre, de sensibilité, ou de manipulation. J'entends par " mûre " à partir du moment où vous pouvez utiliser vos ailes sans difficultés, où vous en aurez acquis le total contrôle.
- Combien de temps cela prend-il ? demanda Quatre en faisant quelques mouvements avec l'une de ses ailes.
- A peu près deux semaines. Vous devriez pouvoir y arriver.
- Une question de concentration, hein ?
- C'est cela même.

Quatre se leva, puis s'assit en tailleur au sol. Après quoi, le jeune homme étira ses ailes au maximum avant de les détendre totalement et de les laisser mollement retomber au sol, loin dans son dos. Il posa ses mains sur ses genoux, puis ferma les yeux, se plongeant dans un profond état de méditation sous le regard curieux de Zechs.

******

Il avait eu du mal à contenir sa colère jusqu'à ce que la porte de la chambre se ferme doucement dans son dos.
Une vague de chaleur immense, brûlante, qui ravageait tout sur son passage, et qui montait en lui comme la lave d'un volcan prêt à entrer en irruption.
Il savait que sa colère pouvait exploser d'un instant à l'autre, que cette rage folle qui l'envahissait quelques fois, ne tarderait plus à prendre possession de lui. Aussi fit-il la chose qui lui paraissait la plus sensée en cet instant :
courir droit devant lui et rapidement trouver un endroit où se cacher, où s'enfermer pour protéger le monde de sa furie.
Il avait couru pendant dix minutes, tête baissée, poings fermés, dents serrées à l'extrême, les yeux brouillés par un liquide dont il aurait voulu ignorer le nom.
Il continuait sur sa folle lancée lorsqu'il percuta une personne de stature imposante, se retrouvant dans ses bras alors que celle-ci parvenait tant que mal à rétablir leur équilibre.
Se retrouvant nez à nez avec son pire ennemi, Treize Kushrenada, le jeune homme le repoussa avec violence avant de reprendre sa course folle.
Essoufflé, il finit par atteindre le bout du couloir.
Les pupilles dilatées, il se tourna instinctivement vers la fenêtre qu'il ouvrit en grand, et s'élança dans les airs, avec en tête l'unique objectif de voler le plus loin possible.
Le plus loin possible de ses amis.
Le plus loin possible des innocents.
Le plus loin possible de Treize.

le plus loin possible de Trowa.

Notes de Shin à 8h13 :
Shin : * essaie d'ignorer le flingue d'Heero sur sa tempe * c'est bon, j'l'ai fini ton chapitre, j'ai le droit d'aller déjeuner ?
Estomac de Shin : Grrraaaouuuuuum
Heero : * lève le flingue * Hn
Shin : Yatta ^___^ !
Wufei : * soupir de la taille d'un Gundam *
Trowa : * soupir de la taille d'un Gundam *
Shin : Oooohh z'avez l'air tout tristounet ça va pas ?
Wufei : ONNA ! Tu te sens obligée de me faire fuir dans ton chapitre ?!
Shin : C'était au programme ^_^ !
Trowa : Je suis un salaud.
Shin : Nan, t'es franc et honnête.
Trowa et Wufei : * soupir *
Shin : Allez j'vais manger ! * à Heero * le chapitre 30, je veux pas en parler jusqu'au cours d'italien tu pourras attendre ¾ d'heure ?
Heero : Hn
Shin : PETIT DEJEUNEEEEER J'ARRIIIIIIIVEUH ! BANZAIIIIIIIIIIIIIII !
Heero : Cinglée
Duo : A bientôt pour la suite XD !



A suivre...