Titre : " 3 démons et 2 anges ", et ça dure depuis 33 chapitres ^_^
Auteur : Un fantôme et un dragon ? Shin Maxwell et Shiroi ^o^ !
Genre : Yaoi, shônen ai habituel, angst, beaucoup de parlotte, l'action arrive ENFIN au prochain chapitre, tout est en place ^o^ * va se cacher derrière son bouclier * frappez pooooo !
Couples : 1+2+1, 3+5 ?, 5+3 ?, 4+3, 13+11+13, K+13
Disclaimer : Ca fait un moment que je le sais : ils ne m'appartiennent pas et ne m'appartiendront sans doute jamais ^^o. Je garde quand même Kalara, la base, mes ailes, et mon nouveau système zéro ^^ le cadavre de F, j'en fais cadeau à qui voudra
Note : Un mois pour accoucher de ce chapitre * sigh *. Mais je l'aime assez même si j'ai encore dérangé mes plans ^^o L'action aurait du revenir dans ce chapitre normalement, mais bon le 34 devrait être le plus riche en action ^_^. Bonne lecture et merci à toutes les personnes qui m'envoient des reviews (pardon aux personnes auxquelles je n'ai pas pu répondre) et merci aux personnes qui m'ont encouragée et soutenue durant ma récente déprime et mon syndrome de la page blanche ^^.



" Trois démons et deux anges "
Acte III : Nouvelles alliances


Chapitre 33 : Nuits blanches

Au beau milieu de la nuit, l'orage, qui semblait pourtant s'être calmé, était reparti de plus belle, et les éclairs fendaient le ciel noir au dessus de la base Amazonienne. Ecroulés, morts de fatigue, épuisés physiquement et psychologiquement, les cinq pilotes dormaient à poings fermés, et rien ne semblait pouvoir les réveiller. Il en était de même pour les soldats affectés à cette base, ayant dû surmonter de nombreuses pertes militaires, et les opérations suivant l'activation accidentelle du Wing Zero ayant achevé de leur pomper leur énergie. Mais il y avait dans cette base, encore quatre personnes réveillées.
Dans un bureau au rez-de-chaussée, le lieutenant Zechs se laissait aller à une paisible méditation, en compagnie du lieutenant Noin, lovée dans un fauteuil, un roman à la main, contemplant son collègue de temps à autres du coin de l'il.
Dans une chambre au premier étage, le colonel Treize veillait sur le sommeil de Lady Une, qu'il avait bien cru ne jamais revoir vivante. Ses deux mains agrippées à celle de sa compagne, il ne se lassait pas de la regarder, une étincelle de tendresse dans le regard. Enfin, quelque chose semblait s'améliorer dans ce quotidien fait de stress et de violence.
Dans un couloir, une silhouette vacillante se déplaçait à petits pas, semant derrière elle quelques gouttes carmines.
L'ombre s'arrêta devant une porte, puis sembla hésiter, plongeant sa main dans sa poche.
Elle fixa la poignée plusieurs secondes, puis se ravisa et reprit sa marche.
La porte s'ouvrit silencieusement quelques minutes plus tard, sur une autre ombre qui se mit en quête de suivre la première.

A l'aube, lorsque la première personne regagna sa chambre, la deuxième s'autorisa un soupir de soulagement et baissa l'arme avec laquelle il tenait sa proie en joue depuis plusieurs heures.
Il fit passer sa main dans son col, libérant ainsi sa natte prisonnière depuis trop longtemps, et s'empressa de regagner sa chambre, priant pour qu'un certain japonais de sa connaissance dorme encore, histoire d'éviter de s'exposer à divers reproches, pourtant amplement mérités.


*****

Le soleil emplissait déjà la chambre depuis plusieurs heures lorsque le jeune espion se réveilla. Comme il s'y était attendu, la place à ses côtés était désormais vide, mais son soldat avait signé sa fuite en abandonnant un plateau généreusement garni à l'endroit où il aurait dû se trouver. Maigre compensation dont Duo saurait tout de même se contenter, son estomac ne cessant de crier famine après sa petite filature nocturne.
La surprise avait été de taille pour le pilote 02 lorsque, alors qu'il se prélassait dans les bras de Morphée, le système zéro implanté dans son crâne s'était manifesté, lui signalant brutalement l'approche d'un ennemi en émettant des signaux particulièrement stridents directement dans ses tympans. Un peu déboussolé, Duo avait sauté du lit, récupéré la première arme qui lui était tombée sous la main et s'était plaqué contre le mur, à quelques centimètres de la porte de la chambre.
Le léger claquement de pas sur le linoléum du couloir ne trompait pas ; c'était bien une femme qui se trouvait derrière, et de mémoire, le jeune homme savait qu'il n'y en avait que trois sur la base, les quelques soldats représentant la gente féminine sur les lieux étant mises à part. Lady Une était à éliminer d'office, trop faible pour marcher, et Noin n'était pas considérée comme une ennemie par le Dieu de la Mort. Cette femme était louche, aucun doute là-dessus, mais elle avait bon fond. Aussi ne restait-il plus qu'une seule possibilité qu'il aurait de toute façon choisie, que trois ou cinq cent femmes se trouvent ici : Karente Kalara.
Tenant fermement son revolver, Duo tendit l'oreille. Aucun son, si ce n'était la faible respiration de sa proie. Car oui, il se considérait bel et bien comme le prédateur en cet instant. Quoi qu'il décide de faire, l'effet de surprise jouerait en sa faveur.
Puis sans prévenir, elle avait pivoté sur ses talons et s'était éloignée.
Duo avait suivi son errance à travers les couloirs durant plusieurs heures, avant que la scientifique ne regagne ses appartements.

Baillant à s'en décrocher la mâchoire, Duo décida de laisser de côté ce souvenir pour s'attaquer au déjeuner laissé par son amoureux. Nul doute qu'en ce moment même, la confrontation Heero-Treize devait battre son plein.
Alors qu'il entamait son deuxième croissant, Wufei frappa à la porte en entra sans attendre une quelconque autorisation, vêtu, tout comme ses camarades, d'une chemise et d'un pantalon empruntés dans les armoires de Treize.

- Tu pourrais attendre que je te dise d'entrer, ronchonna Duo. Comment t'aurais réagi si j'avais été en train de me changer ?
- Crois-moi, j'en ai certainement vu d'autres. Trêves de plaisanteries, comptes-tu toujours te rendre au chevet de Lady Une ? demanda le Chinois, croisant ses bras sur son torse.
- Bien sûr. Laisse-moi juste finir de déjeuner et prendre une douche, et j'arrive.
- Heero est parti assez tôt ce matin, déclara le pilote 05 en prenant place dans un canapé, prévoyant que l'attente serait longue.
- Tu m'étonnes j'ai été surpris de constater qu'il a dormi comme un loir cette nuit je l'aurais pourtant imaginé à peaufiner ses arguments sur son ordinateur.
- Si ses pensées sont aussi ordonnées dans son esprit qu'il agit de façon méticuleuse en mission, je ne me fais aucun souci. Une préparation nocturne aurait été superflue, et prendre un peu de repos était la meilleure chose à faire mais comment se fait-il que tu l'aies vu dormir alors qu'au bout de cinq minutes, tu pars déjà dans le sommeil le plus profond que j'aie jamais connu ?
- Ce que je fais de mes nuits ne te regarde pas, Wu-chan, nargua le jeune Américain en bondissant hors de ses draps.
- Il me semblait bien avoir entendu des pas dans le couloir.
- Je t'en parle si tu me racontes comment s'est passée ta nuit chez notre petit Quatre.
- Alors tu peux toujours courir, soupira le jeune homme aux cheveux noirs, appuyant ses bras sur les accoudoirs.
- Quatre me le dira de toute façon, renchérit Duo en récupérant ses vêtements sur le canapé.
- Je lui ai fait jurer sur ses ancêtres de ne rien dire.
- Tricheur.
- Stratège, corrigea Wufei avec un sourire malicieux. Dépêche-toi plutôt de te préparer avant que je ne m'énerve.
- Tu devrais pas, t'auras des rides plus tard, conclut le pilote 02 en s'empressant de fermer la porte de la salle de bains à clé.
- Tu ne perds rien pour attendre, soupira son ami.

*****

Levé peu après l'aube, Heero n'avait pas attendu une seule seconde avant de sortir du lit pourtant si confortable, abandonnant son amoureux qui venait pourtant tout juste de le rejoindre. Malgré ce que Duo devait certainement croire, le Japonais n'avait que très peu dormi durant la nuit, se contentant de fermer les yeux et de faire un peu de vide dans sa tête. La migraine ne le lâchait plus. Comment aurait-il pu s'endormir, alors que tant de mystères le dérangeaient depuis si longtemps déjà ? Et le fait de savoir qu'une bonne partie des réponses lui serait donnée le lendemain ne l'avait pas aidé Même s'il l'avait voulu, il n'aurait pas pu s'endormir, tel le petit enfant attendant avec impatience le matin de Noël. La différence était que la fatigue n'atteignait plus Heero
Bref, il avait passé la nuit à tourner en rond dans ses pensées, et l'escapade de Duo ne lui avait donc pas échappé. Ils en discuteraient le soir venu
Sorti du lit aux aurores, Heero s'était donc habillé après une douche rapide qui acheva de le revigorer, et avait pris le temps d'aller chaparder un croissant dans les cuisines. Ce fut à ce moment là que lui vint l'idée de laisser à son amant de quoi déjeuner dès son réveil, histoire de se faire pardonner cet abandon pourtant prévu.
A six heures du matin, le Japonais sortit du bâtiment, décidant d'aller prendre un peu l'air avant la confrontation. Il comprenait à présent le stress et l'angoisse que devait ressentir Réléna à l'approche de grands discours, négociations, ou autres entretiens politiques
La diplomatique n'était pas le domaine d'Heero et la boule dans sa gorge le lui rappelait cruellement à présent, il regrettait amèrement de ne pas s'être totalement confié à Quatre nul doute que leur habile stratège aurait su trouver mieux que lui les arguments adaptés, et aurait réuni suffisamment de charisme pour faire face à Treize.
Heero soupira. Il faisait vraiment n'importe quoi en ce moment
N'ayant pas prévu d'heure pour le début de la discussion, le jeune pilote choisit de prendre un peu plus de temps avant de se rendre dans le bureau de son opposant.
Il retira la veste bleu sombre, piquée une fois de plus dans les armoires dévalisées par des pilotes qui n'avaient pu conserver de leurs affaires qu'un sac rempli de sous-vêtements, puis la déposa sur un rocher près de l'entrée du bâtiment principal.
Il enclencha le chronomètre de sa montre, puis partit en courant, avec en tête le projet de faire le tour de la base en moins de 10 minutes.
Bonne occasion de tenter d'améliorer son record.

Et quelques secondes après le départ du jeune leader, une silhouette bien connue se dessina à l'entrée du bâtiment.

*****

Le plafond était blanc
Première constatation que fit Trowa en ouvrant les yeux.
Il n'était pas encore habitué.
La place à ses côtés était vide
L'habitude qu'il commençait à peine à prendre se voyait brisée.
Un peu déboussolé, le jeune homme écarta les bras et soupira. Il n'aimait pas ce début de journée
Par automatisme pur, il se leva, se doucha puis s'habilla avant de faire son lit. Ce ne fut qu'alors qu'il s'apprêtait à se laisser tomber dans un fauteuil, ne sachant que faire, que l'on frappa à la porte.

- Bonjour 03, je ne vous dérange pas ? s'enquit Zechs en entrouvrant la porte.
- Non, je me demandais justement quoi faire, vous tombez à pic, avoua l'adolescent. Que se passe t-il ?
- Et bien, j'ai vu 02 et 05 se rendre chez Lady Une, quant à 01 il est en train de faire le tour de la base en courant 04 semble l'attendre à l'entrée. J'en ai conclu que vous deviez vous trouver ici, et je voulais savoir comment vous alliez depuis ce qui s'est passé hier.
- Comme vous pouvez le constater, je suis en pleine forme, et Quatre m'a expliqué comment me débarrasser de mes ailes, déclara Trowa en prenant place dans un fauteuil. Asseyez-vous.
- Je suppose que c'est un soulagement pour vous
- Pour l'instant ces ailes ne m'ont été qu'un fardeau supplémentaire que fait Treize ?
- Il est dans le hangar. Quand il s'est aperçu que 01 évacuait son stress dehors et que 04 ne manquerait pas le coacher quelque peu, il a décidé d'aller mesurer le moral de ses troupes les mécaniciens et les quelques soldats qu'il nous reste ne doivent pas être au mieux de leur forme après l'incident d'hier
- Cela se comprend mais dites-moi, vous n'êtes pas avec Lucrezia ? demanda soudainement Trowa, sa curiosité à nouveau piquée.
- Elle est également au hangar. Quand ses hommes ne vont pas bien, elle est dans un état terrible.
- Déprime ?
- Je dirais plutôt qu'elle est à cran. La regarder de travers revient à signer votre arrêt de mort dans ces situations là.
- Je pense que je vais m'abstenir alors, plaisanta Trowa avec un léger sourire.
- Vous ferez bien.
- vous êtes " ensemble ", n'est-ce pas ?
- je suppose qu'on ne peut pas dire " ensemble " pour le moment, nuança Zechs avec un vague geste de la main nous avons nos obligations, nous sommes soldats avant tout même si je ne nie pas éprouver des sentiments pour elle, et que je suis conscient que ceux-ci sont réciproques.
- Votre empathie ?
- Il n'y a vraiment pas besoin d'empathie pour s'en rendre compte vous en êtes la preuve, soupira l'homme en regardant par la fenêtre.
- Je suppose que vous n'attendez que la paix pour cesser de tourner autour du pot
- La paix sera une libération pour beaucoup d'entre nous je

Zechs s'interrompit alors qu'un bruit sourd retentissait dans le couloir. Sur leurs gardes, Trowa et le lieutenant sortirent de la chambre en coup de vent, pour découvrir devant la porte, Karente Kalara, agenouillée en train de tâter le sol à la recherche de ses lunettes, tombées quelques mètres plus loin. Comment la scientifique avait-elle pu chuter dans un couloir au sol recouvert de linoléum, sans aucune rainure, et portant des chaussures à talons plats, mystère, toutefois Zechs alla la redresser tandis que Trowa récupérait les lunettes carrées.

- Merci souffla Karente en remettant en place ses cheveux ébouriffés.
- Vous sentez-vous bien ? demanda Zechs en fronçant les sourcils. Vous avez l'air exténuée, et vous avez des cernes.
- Oh je n'ai pas très bien dormi cette nuit un cauchemar
- Vous devriez prendre un minimum de repos, cela vous évitera de chuter n'importe où, déclara froidement le pilote 03 en tendant ses lunettes à la jeune femme.
- Je tâcherai de me reposer
- Vous feriez mieux d'y aller tout de suite nous allons vous accompagner
- NON ! s'écria Karente en cessant d'essuyer ses verres avec le coin de sa blouse.
-
- Je veux dire ce n'est pas la peine je dois aller au cimetière de toute façon à plus tard

Trowa et Zechs regardèrent plusieurs secondes la silhouette vacillante avancer dans le couloir à petits pas hésitants, Zechs tressaillant alors que la scientifique, manquant chuter à nouveau, se rattrapa au rebord d'une fenêtre avant de continuer sa progression. Une fois la doctoresse disparue de leur champ de vision, Trowa se tourna vers le lieutenant.

- Elle nous espionnait.
- Aucun doute là-dessus, acquiesça Zechs.
- Vous l'avez sentie avec votre empathie, n'est-ce pas ?
- Vous saviez aussi. Elle respire si fort que je l'aurais entendue dix mètres plus loin, soupira le grand blond en levant les yeux au ciel.
- Son comportement est des plus suspects qu'en pense Treize ?
- Sachez qu'il n'a aucune confiance en elle. Il n'aurait jamais pris la responsabilité de garder sur une de ses bases les plus secrètes un être aussi instable si seulement
- Si seulement quelqu'un d'autre possédait les mêmes compétences, compléta le brun.
- F mort, elle est notre seul espoir de connaître véritablement nos capacités
- Et pourtant elle est sans doute le pire danger qui plane au-dessus de nos têtes conclut Trowa en s'accoudant à l'une des fenêtres.

*****

Après avoir fini le tour de la base en un temps record, légèrement essoufflé, ce qui était d'ailleurs étonnant après avoir réalisé une telle performance, Heero ne fut guère surpris en voyant Quatre assis sur le rocher où il avait précédemment déposé sa veste.

- Bonjour ! salua l'empathe avec un sourire chaleureux.
- Pourquoi ne suis-je pas étonné de te voir ? demanda Heero.
- C'est ce qu'on appelle une intuition. Prêt pour la confrontation ? s'enquit le petit blond en envoyant sa veste à son coéquipier.
- A quoi bon me poser la question, ton empathie te donne la réponse.
- Tu stresses. Faut te détendre, Treize n'essaiera certainement pas de te piéger. Si tu commences à baliser maintenant, je ne veux pas voir dans quel état tu seras lors de notre face à face avec Dermail.
- Je doute encore de la bonne foi de Treize, avoua le Japonais en enfilant sa veste bleue.
- Au sujet de Karente, je sais. Mais je pense que si ç'avait été possible, il se serait volontiers passé d'elle. Elle n'est qu'un boulet si l'on exclue ses compétences et son savoir.
-
- Allons, un peu de courage ! Où est donc passé notre Soldat si parfait ? plaisanta le petit blond en se levant.
- J'aimerais bien le savoir
- Aie un peu plus confiance en toi. Je sais que c'est difficile, tu es en train de changer et tu ne te reconnais plus. Tu es complètement déstabilisé, fatigué, irrité, et tu n'as qu'une seule envie : rentrer en Europe. Dis-toi juste que le dénouement approche en ce qui concerne cette partie de notre mission du moins
- Ce n'est que le premier tournant, je le sais bien j'espère juste avoir quelques jours de liberté après notre retour à la civilisation
- Que comptes-tu faire si ce n'est pas trop indiscret ? demanda Quatre alors que les deux jeunes hommes retournaient à l'intérieur du QG.
- Aller hiberner quelques jours dans les sous-sols du palais de Sank.
- Réléna doit te manquer.
- Elle aurait espéré plus, mais elle ne sera jamais autre chose que ma meilleure amie
- Comment va-t-elle prendre ta mise en couple avec Duo ? s'enquit Quatre en se mordant les lèvres.
- Elle va sortir le champagne et danser la samba sur son bureau.
-
- Tu ne VEUX PAS en savoir davantage !
- OK, je ne demande plus rien ^^o.

Les deux jeunes hommes stoppèrent. La porte du bureau de Treize était grand ouverte.

- Cette fois c'est la bonne


A suivre


Notes de Shin à 23h00 :
Shin : VICTORYYYYYY !
Duo : Paix à l'âme du blocage
Heero : Paix à l'âme de la déprime
Wufei : Paix à l'âme de sa première PS2
Trowa : Paix à l'âme de la vingtaine de tablettes de chocolat passées dans son estomac
Shin * attrapa Quatre par le col * : J'AI VAINCUUUUUUUUUUUUUUUU T'ENTENDSSSSS ???
Quatre : Je vois ça
Shin : j'ai encore pris du retard sur le scénar la gamelle de Karente était pas prévue normalement l'explication avec Treize était dans ce chapitre, et il se terminait en beauté sur une magistrale intervention de Karente
Karente : * sort la bannière " Perso inventé opprimé " *
Shin : Pas grave, ton design est pitoyable ma vieille ^^.
Karente : Est-ce une raison pour me faire passer pour une psychopathe ?
Shin : Mais t'en es une.
Karente :
Shin : Pour ce chapitre, merci à Kuro, Séraph' et Kymoon qui ont réussi à me remonter le moral et me remotiver après un mois de blocage et de déprime ^^ SHIN MAXWELL REBOOOOOOOORNNNNSSSSSSSSSSSS !
GBoys : Tasukete kudasai
Shin : Je signale au passage que la nouvelle version du prologue a été postée ^_^ !

A suivre...