Par amour… pour toi

Bonne ou mauvaise nouvelle, je ne sais pas comment vous allez la prendre. Alors voilà, il ne me reste plus qu'un seul chapitre à mettre après celui-là. Youpi ou sorry, je ne sais pas vraiment lequel vous attribuer.
sinon, comme vous le savez puisque c'est le cas pour la plupart d'entre nous, et ben, on retourne en cours. Et moi, aussi comme vous, donc toute la semaine, je suis à l'internat ce qui veut dire pas d'ordinateur, ni d'Internet ou quoi que ce soit d'autre. Donc les mises à jou seront faite le week-end si j'ai le temps de répondre aux reviews.

Maintenant voilà les réponses :

Infinitylight :C'est vrai que ce chapitre est super triste mais je te promets que les suivants ne seront pas mieux, elle vient quand même de perdre son amour. Pour la lettre, merçi beaucoup, ça fait plaisir surtout que j'en avait écrit deux au départ et j'avais perdu la première qui était aussi bien que celle-là donc fallait que je sois à la hauteur.

Et aussi, je suis contente que ma fic attire de nouveaux lecteurs, ça fait super plaisir !

Koconut : T'adore et moi aussi, c'est pas génial ! sinon et ben vlà la suite !

liline1996 : j'ai un petit problème, je viens d'être atteint de flaimingite aigüe et la suite je ne peux donc pas l'écrire car sinon faudrait que je recommence tout le travail que j'ai déjà fait et ma maladie m'en empêche. Amis t'inquiète pas, ce n'est pas quelque chose de grave c'est juste la forme évolué de la fainéantise, c'est juré. Mais si ça peut te rassurer la suite et fin est déjà écrite, promis.

Bisous

Elissia : et ben, ravi que ce soit ton préfér ! et je crois aussi que ta phrase a bien tout résumé, les autres chapitres sont nuls !!!! MERCI BEAUCOUP moi qui croyait que ma fic était géniale. LOL, je rigole, j'ai bien compris. A plus !

marie-anne : Si je te dis la suite, ce serait pas drôle vraiment alors CHUT !!!!

slydawn : Moi j'ai repris les cours Samedi ! Et oui, une rentrée le samedi, c'est pas le top, c'est mon lycée en faite. mais bon, j'ai plus qu'une seule année à suivre et je pars. ENFIN !!! Et toi, ta rentrée c'est bien pass ? T'es en quelle classe ?

Sinon, maintenant, je reprends la déviation sur ma fic, c'est vrai que ce chapitre est super triste mais je pense que les suivants ne sont pas mal non plus. Et pas besoin de sortir les mouchoirs pour ce chapitre promis, il est moins triste que l'autre, c'est le final qui déchirera tout !

zeeve lelula : Une solution, une solution, une solution …. Euh, oui je sais plus où j'en étais, si une solution c'est bien ça, je crois qu'il y en a pas ! mais confirmation dans les prochains chapitres … A SUIVRE !

stephanie : et ben si, elle est bientôt fini, désolé. EN ce qui concerne Drago, je crois que j'ai été assez clair sur ce qu'il allait devenir et Hermione, et ben, on verra bien. C'est pas drôle si je dévoile tout aujourd'hui.

Chap. 10 : Je te haïs

Elle arpentait les couloirs lugubres qui menaient vers les cachots, avec pour seule compagnie, la haine. Elle allait à présent devenir son alliée, son autre, sa moitié, la seule qui pourrait la faire braver les dangers, la faire oublier sa peine. Elle haïssait tout le monde et personne à la fois, chaque personne qui avait une cause dans la perte de Drago. Elle s'arrêta devant le cachot de Rogue, ayant un besoin de déverser sa haine sur quelqu'un.

- Miss Granger siffla-t-il en levant la tête.

- Vous êtes satisfait ! cracha-t-elle. Votre maître a accueilli un nouveau sbire.

- Je ne vois pas de quoi vous parlez miss.

- Drago, je vous parle de Drago. Vous n'auriez pas pu l'empêcher, faire quelque chose. Vous étiez son professeur, son directeur de maisons. C'est votre rôle de leur faire différencier le bien et le mal, de les empêcher de signer avec Voldemort, de les sauver ! Vous n'aviez pas le droit de le laisser faire.

- Vous ne savez pas de quoi vous parler.

- Vous savez ce que c'est de vivre la peur au ventre chaque jour de votre vie et de savoir que cette peur ne s'effacera que quand vous verrez son visage inerte, quand son cœur ne battra plus. Avoir plus peur pour la vie de l'autre que pour la sienne, que pas une seule minute ne se passe sans que vous n'espérez qu'il ne lui soit rien arrivé. Ne me dîtes pas que je ne sais pas de quoi je parle, je vous en supplie, ne faîtes pas comme si je ne savais pas. Je viens de perdre l'homme de ma vie, je suis supposé me battre contre lui et le tuer car on a choisi des camps opposés.

- Vous savez ce que vous ressentez, Miss, alors vous pouvez très bien savoir ce que lui est en train de vivre, ce qu'il a dû ressentir quand Voldemort a posé sa marque sur sa peau, quand il a dû vous quitter en pleine nuit n'ayant ni la force ni le courage de vous affronter une dernière fois et de vous dire adieu, quand il lancera son premier sortilège sur une gamine qui passera au moment endroit au mauvais moment parce que son maître voudra savoir de quel côté son cœur penche véritablement. Imaginez-le en train de tuer quelque part, un homme qui n'a rien demandé, une famille qui ne reverra jamais son père, sa mère ou un frère par votre faute. Que croyez-vous que vous êtes la seule à souffrir de votre situation, lui aussi a perdu quelqu'un qu'il aimait parce qu'il a cru que vous ne l'aimiez pas. Vous pouvez penser ce que vous voulez Miss, que je n'ai pas fait correctement mon job, que je n'ai pas essayé de l'en dissuader mais ne me rejeter votre erreur, ce n'est à moi de porter votre fardeau.

Hermione lui jeta un regard plein de haine, comment osez-t-il l'accuser de la perte de Drago, elle ne l'a pas poussé dans les bras de ce monstre, elle n'a rien avoir avec son choix. Elle aurait voulu pouvoir haïr encore plus fort mais elle ne pouvait pas, elle n'y arrivait pas. La haine avait atteint un summum en elle, jamais elle aurait cru pouvoir en contenir autant, jamais elle aurait imaginé en emmagasiné autant.

Cinq années s'était écoulées. Cinq années où elle gardait en elle son visage angélique. Elle avait grandi, beaucoup trop vite au goût d'Harry. La seule compagnie qu'elle daignait ne pas rejeter était la haine. Comment une fille comme elle avait pu emmagasiner autant de haine. Elle avait respecté son choix, c'est tout, elle l'avait haï pour pouvoir mieux se préserver, pour mieux se préparer à la bataille qui aurait lieu entre eux.

Cinq années qu'elle avait passé à arpenter les rayons de toutes les bibliothèques de Londres, lisant tout ce qui lui avait permis aujourd'hui de devenir une puissante sorcière. La plus puissante sorcière de ce monde capable de rivalisé avec le puissant mage noir. Une puissante sorcière élevé au même stade qu'Harry Potter maintenant, elle était la meilleure d'entre eux, elle l'avait toujours été mais maintenant c'était plus que jamais. Première à Poudlard, première en potion, première dans le cœur de Drago. La première place, elle l'avait toujours eu seulement aujourd'hui, malgré cette réussite que tous lui enviait, elle se sentait seule. Tous enviait la femme qu'elle était devenu mais personne ne savait, ne connaissait la haine qui la hantait depuis ces longues années.

Ces temps libres, elle les passait à chasser ceux qui lui avait pris tous ses rires, ceux qui l'avait fait pleurer. Maintenant, tous la craignait car personne n'était encore revenu vivant de leur rencontre avec elle, tous craignait une image car personne n'avait pu encore décrire son visage ou entendre le son de sa voix. Elle les tenait pour responsable de l'enrôlement de Drago, à chaque fois qu'elle en tenait un, elle le questionnait, tentant de déceler les plans du mage noire mais également connaître la nouvelle vie qu'il avait fait sans elle.

Ce soir-là, elle allait encore une fois, à une de leurs réunions. Dieu qu'ils n'étaient pas discrets, elle arrivait toujours à savoir leur lieu de rencontre. Elle souffla en se camouflant derrière des buissons, encore une longue nuit en perspective et en plus L'ordre n'était toujours pas arrivé. Elle rajusta son top qui la serrait un peu trop à son goût et releva ses cheveux afin de se dégager le visage, en queue haute. Elle entrouvrit légèrement la veste noire qu'elle avait pris. Puis un à un, elle regarda le visage des mangemorts qui étaient présents. Ils en arrivaient toujours plus, chacun portait une longue robe noire et leur tête était recouverte également d'une capuche ce qui lui empêchait de pouvoir connaître leur véritable identité. Seulement, il semblait manquer celui qui allait présider cette réunion.

Elle regarda le visage blond passé à proximité d'elle, son cœur se serra, des frissons la gagnèrent. Elle rapprocha sa veste de son corps, espérant que le froid cesseraient bientôt mais elle réalisa au bout de quelques instants qu'il faisait 30 dehors et que le froid n'avait rien à faire dans ces frissons. Ce visage angélique, ce corps musclé, ses cheveux bonds parfaitement plaqués, ces yeux bleus-gris. Ca ne pouvait être que lui, lui la cause de ce manque, lui, le responsable de ce surplus de haine, la raison de sa peine. Non, la peine était passé depuis longtemps, la haine avait vite fait de la remplacer, n'était-il pas plus facile pour elle d'avoir agi ainsi, elle avait souffert, elle avait pleuré, elle avait pleuré et puis elle l'avait haït .

Elle tira un peu sur son top rouge qui la collait un peu trop à son goût à cause de la chaleur et sortit sa baguette. Elle lança un sort soporifique enfin d'endormir tous les autres mangemorts puis réveilla seulement Malefoy.

Le jeune homme leva les yeux sur la jeune femme qui se tenait debout au milieu du hangar la baguette pointé sur lui, elle semblait marmonné des paroles qu'il ne comprenait pas mais qu'il ne cherchait pas à connaître non plus. Il se releva d'un coup et sortit à son tour sa baguette.

- Je te le déconseille cracha-t-elle quand il la pointa vers elle.

Il resta médusé par toute la haine qui se dégageait du corps de cette jeune femme, elle ne semblait vivre que pour elle ou par elle. Son visage lui semblait familier mais lointain. Il pensait la connaître mais d'où, est-ce une de ces filles qui étaient passées dans son lit ? Il y en avait eu tellement depuis ces 5 dernières années, qu'il ne devait connaître le nom d'aucune d'elle. Si une seule, c'était la seule qui avait réussi à briser son armure, c'était la seule qui avait percé son cœur et c'était la seule qu'il avait fait pleuré. Mais cette jeune femme n'était pas cette dernière. Non, il se souvenait très bien de son visage doux , de son sourire , de ces yeux marrons. Il se souvenait de tout et n'oubliait jamais rien, pas en ce qui la concernait. Mais elle ne ressemblait pas à cette fille ou non femme debout devant lui, cette femme qui respirait la haine qui la hantait lui aussi, qui avait les yeux froids, dénués de toute émotion.

- Pose cette baguette, Malefoy !

Et ben, maintenant, vous savez ce qu'il faut faire si vous voulez la fin !

A bientôt …