In Stellis Memoriam
Hum... Les personnages ne sont pas à moi, l'ordinateur et FFnet non plus...
Dois-je encore répéter que sans Alixe et Alana, ce chapitre ne serait pas ce qu'il est ? D'ailleurs Alana a un bon sous-titre pour ce chapitre : « la bande à Cyrus »… spéciale dédicace !
9- Beaucoup de bruits dans les couloirs
« Tu crois que j'ai une chance ? »
« Si tu continues à t'entraîner, oui », assura chaleureusement Harry.
Ron et lui revenaient d'un entraînement de Quidditch. Les tests d'entrée dans l'équipe allaient avoir lieu la semaine prochaine et Ron voulait y participer.
« Cyrus se présente ? », demanda encore le jeune Weasley.
« Je sais pas... Je pense, oui. »
« Pfff... il est meilleur que moi », remarqua sombrement Ron.
« Ecoute, c'est pas la question... y aura des tas de candidats... et Olivier veut remodeler l'équipe alors, tu as toutes tes chances. »
Une explosion interrompit leur conversation. Rien d'ampleur à faire trembler les murs mais quand même. L'odeur leur parvint tout de suite après. Une bombabouse. La cavalcade arriva sur eux la seconde suivante. Trois jeunes élèves apparurent au fond du couloir : un blond, un brun et une rousse.
« Ginny », souffla le premier Ron, médusé.
« Cyrus », soupira Harry, moins surpris.
« Restez pas là », répondit l'interpellé « Rusard est à nos trousses ! »
« Génial », répliquèrent sombrement les deux deuxième année en suivant précipitamment les trois plus jeunes dans les dédales de couloirs. Mais les pas de Rusard continuaient à retentir derrière eux.
« Passage du Soleil », souffla brusquement Cyrus.
« Ça, ce serait signé », jugea Harry sur le même ton.
« Alors quoi ? »
« La sorcière bossue », répondit l'aîné en accélérant encore. « Il ne le connaît pas... »
Les cinq ne ralentirent que devant la statue. Harry qui était arrivé le premier murmura le mot de passe : « Dissendium »
« Mais... », objecta Ron. « Ton père avait dit... »
« Il ne le connaît pas non plus », répondit sèchement Harry en faisant signe à Ginny de se glisser derrière la statue.
« Si », répliqua Cyrus en poussant Archibald derrière Ginny.
Le regard de Ron alla de l'un à l'autre.
« Ah », répondit Harry froidement. « Et bien, je prendrais pour tout le monde... cette fois.»
Ron hésita une seconde puis se glissa à son tour dans le sombre boyau, et Cyrus le suivit. Harry eut juste le temps de refermer le passage quand ils entendirent Rusard jurer en passant devant leur cachette.
« On a eu chaud », commenta Archibald.
« Archibald, mon frère, Harry, et le frère de Ginny, Ron », présenta Cyrus, très mondain tout d'un coup.
« Tu... tu es Harry Potter ? », demanda Archibald avec une curiosité non dissimulée.
Mais rien a voir, dieu merci, avec l'air idiot que prend cet autre camarade de Cyrus, Colin je crois, à chaque fois qu'il m'entrevoit, pensa Harry qui répondit pourtant d'un ton à peine aimable : « Sans doute ». Il ajouta ensuite les sourcils froncés : « Qu'est-ce que vous fichiez à jeter des Bombabouses devant Rusard ? »
« On visait Percy », expliqua Ginny doucement. Ron leva les yeux au ciel.
« Mais Rusard est arrivé », compléta Cyrus. « Pourquoi vous avez vos balais ? »
« Entraînement », répondit toujours aussi sèchement Harry.
« On fait quoi maintenant ? », demanda timidement Archibald.
« On attend », répondirent les frères Lupin d'une même voix. Ils échangèrent ensuite un regard amusé. Se cacher de Rusard les ramenait à leur passé commun de 'fils du directeur'. Leur complicité revint, intacte.
« Il risque de revenir sur ses pas », expliqua Cyrus.
« D'ailleurs, le mieux serait de ressortir ailleurs », compléta Harry – oubliant sa mauvaise humeur.
« Où ça ? », s'enquit Ron.
« C'est en mauvais état, mais un passage mène au troisième étage. Allons-y... Lumos », décida Harry. Cyrus et Ron le suivirent immédiatement. Ginny et Archibald échangèrent un regard indécis puis les rejoignirent.
Ils progressèrent en silence un moment. La galerie était en partie effondrée et il leur fallut escalader des blocs et ramper sous d'autres. Ils arrivèrent ensuite dans une section presque intacte du passage.
« Tu sais Harry, je trouve que ton frère a une mauvaise influence sur ma sœur », remarqua soudain Ron faussement sérieux.
« Vraiment ? », demanda Harry, amusé.
« Hé, Ron, je fais bien ce que je veux ! », s'insurgea immédiatement Ginny.
« Jeter des Bombabouse n'est pas une activité convenable pour une jeune sorcière », rétorqua Ron en contrefaisant si clairement Mme Weasley que tout le monde rit – même Archibald qui voyait bien que c'était une blague.
« Bon sang ne saurait mentir », grommela Ginny faussement fâchée à son tour.
« Chut », intima alors Harry. « On n'approche de la sortie... y'a jamais personne par là mais quand même... »
« Dommage qu'on ait pas LA carte », grommela Cyrus.
« Cyrus », soupira Harry.
« Oh... le GRAND frère », grogna l'interpellé en réponse. Ron pouffa.
« Bon, vous allez vous taire ? », demanda Harry en collant son oreille contre la porte de sortie du corridor.« Momentum », murmura-t-il avoir soigneusement écouté. Le clic qui lui répondit leur apprit que le mot de passe n'avait pas changé. Il se glissa précautionneusement dehors, vérifia que personne n'était en vue, puis fit signe aux quatre autres de le rejoindre.
« On est où ? », demanda Ginny.
« Troisième étage », répondit Cyrus.
« Super alibi », reconnut Archibald avec un sourire malicieux. « Vous en connaissez beaucoup comme ça ? »
Cyrus consulta Harry du regard avant de répondre – et ce regard ressemblait bien à un renouvellement de son allégeance, quoiqu'il ait pu dire quelques secondes plus tôt, à son GRAND frère.
« Oui, mais on est pas censé faire partager... pas trop en tout cas » - répondit-il finalement, avec une grande honnêteté.
« Ok », accepta gravement Archibald.
« Bon, ben, y reste plus qu'à se taper tous les escaliers en sens inverse », soupira Ron.
Le petit groupe se dirigeait doucement vers le Grand Escalier quand soudain Harry se figea.
« Vous entendez ? », souffla-t-il d'une voix angoissée.
Les quatre autres partagèrent des regards d'incompréhension.
« Vous entendez ? », répéta Harry devenu très pâle. « Il est là... »
« Rusard ? », s'alarma Ron.
« Le serpent... Il est là... Il s'en va... » Il se mit brusquement à courir, comme s'il suivait un son, d'un couloir à l'autre.
« C'est une blague ? », s'enquit Archibald. Les trois autres le foudroyèrent du regard avant de s'élancer à la poursuite de Harry qui venait de s'arrêter tout aussi brusquement.
« Je... je l'ai perdu », murmura-t-il en secouant la tête.
Cyrus posa sa main sur son épaule.
« Harry, ça va ? »
« Le serpent, Cyrus... Il est à Poudlard ! »
Cyrus sembla ravaler les premières paroles qui lui vinrent à l'esprit.
« Je vais t'accompagner chez Popy », murmura-t-il finalement.
« NON ! », refusa Harry. « Non ! Elle va prévenir Papa ; tout le monde va me regarder comme une bête curieuse... Non, Cyrus, non ! »
« Mais Harry, tu peux pas continuer à entendre des serpents », remarqua presque timidement Ron. « Les rêves sont une chose mais là... »
« Il a fait d'autres cauchemars ? », demanda abruptement Cyrus. Ron acquiesça.
« Ce ne sont pas des cauchemars, ce ne sont pas des hallucinations... Il y a un serpent, et il me parle », répliqua sèchement Harry, agacé de la coalition inattendue entre son frère et son meilleur ami.
« C'est ça », commenta Archibald s'attirant une nouvelle fois des regards furibonds des autres.
« Alors, va voir Papa », reprit Cyrus très sérieux.
Harry le toisa, secoua la tête, mais Cyrus le prit par le bras. Les yeux gris ne lâchèrent pas les yeux verts jusqu'à que ceux-ci cèdent.
« OK », souffla Harry. « Ok, je vais aller le voir... »
A la fin du dîner, Harry resta assis à sa table, visiblement indécis quant à la marche à suivre. Ron et Hermione, qui avaient déjà commencé à partir, l'interrogèrent du regard. Cyrus remarqua leur manège et ses yeux se posèrent sur Harry avec insistance. Il aurait été illusoire d'espérer que Cyrus laisse tomber, pensa ce dernier. Et au fond de lui, Harry reconnaissait qu'à sa place, il aurait fait pareil. Il se leva donc très lentement.
« Je vais voir mon père », expliqua-t-il à ses amis sur le ton de quelqu'un qui projette de sauter par la plus proche fenêtre.
Ron acquiesça et Hermione fronça les sourcils.
« Je t'expliquerai après Hermione », ajouta Harry.
La jeune fille haussa les épaules, comme pour dire que ça n'avait pas d'importance. Harry se dirigea alors vers la table des professeurs avec des sentiments partagés. D'un côté, il avait très envie de s'en remettre aux certitudes de son père et, d'un autre, il détestait ce statut de fils du directeur qui va voir son papa dès qu'il fait un cauchemar. Il continua pourtant, convaincu que ni Ron, ni Cyrus ne le laisseraient tranquille sinon.
La plupart des professeurs, dont Tonks, étaient déjà partis. Remus discutait avec Severus et Minerva. Harry se sentit un peu intimidé. Pourtant enfant, il allait et venait entre les deux mondes sans y penser. Mais maintenant, ça lui paraissait plus difficile. Surmontant cette nouvelle inhibition, il avança cependant jusqu'à la table, conscient des regards curieux que lui lançaient quelques élèves. Comme aucun des trois professeurs ne semblait l'avoir remarqué, il monta même sur l'estrade et vint tout à coté d'eux.
« Potter-Lupin ? », le remarqua brusquement Minerva en levant la tête.
« Heu... professeur... je ... je voudrais parler à mon père », expliqua Harry bien plus gêné face à eux qu'il l'aurait jamais imaginé. Les trois professeurs le dévisagèrent, mais seul Remus lui répondit.
« Bien sûr, Harry. »
« N'est-ce pas un peu... exagéré ?», grinça alors Rogue.
« Je suis sûr que Harry ne viendrait pas me voir s'il n'y avait rien d'important », intervint immédiatement Remus. Harry hocha la tête. Il aurait voulu disparaître sous terre, arrêter d'entendre des serpents, arrêter de connaître ses professeurs autrement que comme ses professeurs... Mais son père posa une main rassurante sur son épaule. « Allons »
Ils rejoignirent le passage qui derrière la table menait directement aux appartements des professeurs. Une fois dans le passage, Harry ajouta précipitamment
« Je suis désolé... je ne serais jamais venu te déranger, mais Cyrus pense que je dois... »
« Cyrus », répéta Remus sans cacher sa surprise.
Harry haussa les épaules incapable d'expliquer davantage. Ils arrivaient devant leur appartement et Harry attendit que la porte se soit refermée pour reprendre.
« Je... je suis désolé... »
« Tu l'as déjà dit », remarqua légèrement Remus. « Et je ne vois pas pourquoi, sauf évidemment, si tu as quelque chose à te reprocher ? » Harry secoua la tête. «Tous les élèves peuvent contacter leurs parents. Tu n'allais quand même pas m'écrire », insista son père. Harry sourit faiblement, regrettant de n'avoir pas plus tôt envisagé les choses sous cet angle. « Alors ? », demanda Remus.
« Hum... c'est que... c'est que tu voulais savoir si j'avais d'autres cauchemars... »
« Tu as eu d'autres cauchemars ? », s'inquiéta immédiatement son père.
« Oui. »
« Quand ? »
« Presque toutes les nuits depuis la rentrée », avoua Harry, avant d'ajouter précipitamment, « mais ce n'est pas tout ! » Un haussement de sourcil blond l'invita à continuer. « Je... J'ai...j'ai entendu le serpent encore... la journée... cet après-midi en fait... dans un couloir... » Sa voix n'était qu'un souffle à la fin de la phrase. Il attendit avec fatalisme les questions de son père. Où, quand, comment, pourquoi... Hum... ça allait être génial !
« Et il dit quoi ce serpent ? », questionna Remus après quelques secondes de réflexion.
« Oh... un peu toujours la même chose... il parle de mort, de tuer des gens qui me sont chers... »
« Il précise qui ? », intervint encore Remus.
Harry secoua la tête, les larmes aux yeux : « Il... il dit seulement que j'arriverai trop tard ! » Il essuya rageusement ses larmes.
« Trop tard ? », répéta son père.
« Oui. »
« Et aujourd'hui, c'était la première fois ? »
« Oui. »
« Tu étais seul ? »
« Non. »
Remus attendit qu'il complète mais comme Harry restait obstinément silencieux, il eut un petit rire.
« Ok Harry, j'ai bien compris que tu devais être à un endroit où tu n'avais rien à y faire. Est-ce que je peux quand même savoir avec qui tu étais ? Cyrus, n'est-ce pas ? D'autres ? »
« Ron, Ginny et Archibald », souffla Harry, toujours un peu inquiet d'où cette conversation pouvait mener. Le calme de son père lui faisait du bien, mais le risque que le Directeur de Poudlard estime ne pas pouvoir totalement fermer les yeux sur certaines déviances demeurait.
« Archibald ? »
« Un copain de Cyrus », expliqua Harry.
Lupin se leva, alla jusqu'à la fenêtre. Observant les silhouettes des arbres qui commençaient à se dénuder avant de reprendre :« Ça ne peut pas être une blague, n'est ce pas ? »
« C'est la même voix que dans mes rêves », répondit faiblement Harry. « Oh Papa ! Est-ce que je deviens fou ? »
Remus se retourna brusquement et courut presque jusqu'à lui.
« Non, Harry, non... Regarde- moi ! Je suis sûr que non... Tu n'es pas fou ! C'est normal que tu sois le seul à entendre un serpent puisqu'il n'y a que toi qui soit Fourchelang... Peut-être que les expériences de Don Leandro t'ont rendu plus réceptif qu'avant à des prémonitions ou des messages magiques... Je ne sais pas vraiment... Nous savons déjà que tu as des pouvoirs importants, Harry, ça peut être effrayant, mais ça n'a rien à voir avec la folie ! »
Harry se blottit contre lui, rassuré par le contact physique avec celui qui l'avait toujours sorti d'affaires depuis qu'il avait cinq ans. Oui Cyrus avait eu raison, se confier à Remus était la seule chose à faire.
« Est-ce que tu m'emmènerais là où tu l'as entendu ? » demanda encore Remus. Harry hésita. « Je promets de ne pas demander ce que vous faisiez là », ajouta très sérieusement son père. « Enfin... je promets d'essayer »
Harry sourit.
« Je peux te dire si tu veux », répondit-il avec un haussement d'épaules.
«Vraiment ? Et bien ça nous occupera en chemin ! », commenta son père presque joyeusement.
oooo
« Remus ! »
« Bonsoir, professeur ! »
« Hum... je reste pour toujours votre élève, maître », répondit Tonks avec une fausse humilité.
« Idiote », répondit Remus en riant.
Ils s'embrassèrent longuement une fois qu'elle eut fermé la porte derrière lui.
« Je croyais qu'on ne devait pas se voir plus d'une fois par semaine », remarqua la jeune femme.
« Hum... besoin de conversation... Je peux aller voir Severus, si tu préfères », proposa Remus.
Elle préféra ne rien répondre et le conduisit au milieu de la pièce, devant la cheminée, là où deux fauteuils – un jaune et un violet – se faisaient face. D'ailleurs, l'ensemble de la décoration n'avait rien de victorien, et Remus soupçonnait que Tonks concentrait ici toute la fantaisie qu'elle ne pouvait pas afficher dans la vie quotidienne de l'école. Il avait déjà essayé de lui dire qu'elle se compliquait inutilement la vie mais il savait aussi que ce genre de liberté ne vient qu'avec l'âge et la reconnaissance.
« Ce soir, Harry est venu me voir» - dit-il à haute voix, revenant au vrai motif de sa visite. Son regard lui indiqua qu'elle l'écoutait. « Il a eu de nouveaux cauchemars... Le même serpent est revenu plusieurs fois dans ses rêves... disant qu'il détenait des gens qu'il aimait et qu'il allait les tuer et qu'il arriverait trop tard... »
« Oh » Elle ne savait pas trop quoi dire.
« Mais ce n'est pas tout... Aujourd'hui, il a entendu la même voix au troisième étage. Je viens d'y retourner avec lui, mais il n'a pas entendu de nouveau la voix... »
Elle attendit patiemment qu'il termine. « Je voudrais que Alastor et toi, vous alliez y jeter un œil... »
« Bien sûr », articula-t-elle avec difficulté.
Il soupira.
« J'ai écrit à Albus... il connaît ce château mieux qui quiconque... »
« Ça ne peut pas... »
« Harry a des dons que peu de personnes peuvent comprendre », coupa abruptement Remus. « Lui le premier »
Génial, songea amèrement Tonks. Je l'ai encore braqué.
« Je ne remets pas en cause Harry... mais il est si jeune...si... émotif », finit-elle par dire.
« Émotif ? »
« C'est peut-être pas le bon mot mais... Il veut tellement te plaire, être un bon élève, un bon fils, un bon frère, un bon copain... Parfois j'ai l'impression qu'il s'en met un peu trop sur les épaules... »
Remus la dévisagea longuement, impressionné par sa clairvoyance. Et dire que les gens la pensaient frivole...
« Je sais », souffla-t-il finalement. « C'est un angoissé... Malgré tous mes efforts... ou peut-être est-ce ma faute... après tout, JE suis un angoissé... Mais là, c'est plus que de l'angoisse... » Il eut un petit sourire. « Ecoute, la dernière fois qu'il a entendu des voix, on a retrouvé Peter... Alors, fais moi plaisir, va y faire un tour ! »
«J'irai », répondit-elle calmement. Ça va être facile, tiens d'embarquer Maugrey dans une histoire pareille, déjà qu'il est complètement parano ! « On cherche quoi ?»
Remus haussa les épaules.
« Un serpent, j'imagine... sous toutes ses formes possibles... »
Tonks réfléchit quelques secondes avant de reprendre la parole :
« Tu crois pas que c'est à cause des expériences de Don Léandro... Le serpent est peut-être son Animagus ! »
Remus hocha la tête.
« J'y ai pensé... mais pourquoi le menacerait-il ? Ni James, ni Sirius, ni... Peter... n'ont raconté des choses pareilles... Ils en rêvaient... Ce n'étaient pas des cauchemars... De toutes façons, tant qu'il est dans cet état, il n'est pas question qu'il y travaille... Dommage, Minerva venait d'accepter... »Il revint vers elle et l'enlaça. « Je suis désolé de t'envahir avec mes soucis de père » murmura-t-il en enfouissant son visage dans son cou.
« Oh », dit-elle. « Moi qui avait pris ça pour une réunion de prof... »
« Idiote », répéta-t-il en la poussant doucement vers son lit.
ooooooooooooo
Hum... ensuite... ensuite... Je crois que ça va être Halloween... Oui, c'est ça... halloween...
