Disclamer: ben non, les persos sont toujours pas à moi... snif.... alors, rien que pour ça ben... je vais me venger (sourire sadique).
Cain: vi idril, ça a marcher! une semaine qu'elle a oublier de mettre la fic a jour! hihihihihihihi!!!!
Riff: Lord Cain...
Cain: super idée Idril!!! bravo!
Riff: Looordd Caaaiiiinnn....
Cain: en plus, elle a arrêter de nous torturer....
Riff (à bout): LORD CAINNNNNN!!!!
Cain: QUOI!!!
Riff(désigne l'ordi d'un air affolé)...
Cain:'affolé) Quoi! Mais mais mais....
Riff: c'était vous qui deviez lui remettre une dose hier soir!
Cain, non! c'était toi!
Riff: non, vous!
Cain: Non, toi!
Riff: non (bruit d'un clavier que crit sous les coups féroces de l'auteuse pour mettre la fic à jour)
Cain: Gloups! (regarde nienna qui bave en écrivant, les yeux exhorbités)
Nienna: Fic... mettre fic à jour...
Cain: (en larmes) Non! c pas vrai! non seulement nienna va mettre à hjour, mais en plus idril va nous massacrer!
Arrive un homme en noir, qui tapote sur l'épaule de cain: Je te comprends fiston, elle est pire que moi, je te comprends...
cain: (sursaut): Père!
Nienna: vi! je l'ai inciter aussi pour qu'il m'aide à remplir mon formulaire pour Delilah... Moi aussi veut en faire parti! comme Idril! ça a l'air sympa!
Riff et Cain: là, on a plus le choix! Idril! HELP!!! On fera ce que tu voudras!
Nienna: ho là! dans la limite du raisonnable! déjà que vous me devez obéissance. (brandit son clavier magique) mwouhahahahahaha!!!
XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX
Généralité sur le chapitre et excuses: (ben vi, gomen!!)
Alors, d'abord, je sais que ce chapitre est court est écrit depuis plus d'une semaine, mais... j'ai pas eu le temps ni la motivation de faire une maj pour la raison suivante... j'ai du tout me retaper le dernier chapitre! j'ai fais une erreur de manip et je l'ai supprimer... ou plutot, je suspecte grandement un petit comte et un majordome d'avoir tripoter mon ordi. (jette un regard mauvais a cain et riff qui s'en vont en sifflotant) . bon, mais faute de preuves (les analyse d'empreintes igitales sur le clavier son en cours..) je vais quand même les torturer encore un peu.
d'avoir tout perdu mon dernier chapitre m'a fait mal au coeur, surtout que c'était mon préféré, alors, je l'ai réecrit plus vite, mais du coup il est moins bien... (snif!)
voilà! donc là, je vous laisse avec l'avant dernier chapitre!!
gros bisous! mais d'abord, réponses aux reviews du chapitre 7.
XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX
(j'espère que j'oublierais personne, si c'est le cas, pardon!!!)
Gayana: désolé... je suis toujours obligé de tuer quelqu'un... mais bon... là, c'est vrai que je suis cruelle.. enfin, tu veras.. en tous cas, je suis d'accord avec toi pour jézabel, mais je compte bien le faire remonter dans ton estime... enfin, tu verras à la fin. c'est un personnage que me fascine et me fais de la peine dans le manga... une sorte de méchant malgrè lui, sur le fil de la folie, voilà comment je le vois dans cette fic. mais je peux pas t'en dire plus, sinon je vais révèler le dernier chapitre et comme je l'ai pas encore publié! je sais pas vraiment si j'arriverais à faire plus triste, mais disons que j'en remets une couche... en tous cas, garde les mouchoirs à proximité! voilà! merci pour tes reviews et tes encouragements! j'appécie beaucoup!
bisous!
Nelja: Merci, c'est gentil... j'aime bien ce passage aussi du coeur. pour les inséparables, ben, c'est un hommage à mes oiseaux qui sont morts y'a pas longtemps (pleure, snif!) mais moi, riff il est pas venu me consoler! grrrr!
j'espère que la suite te plaira aussi, on touche presque à la fin. encore un chapitre après celui-là et... plus de fic! j'essaie d'en faire d'autres mais j'ai pas tellement d'idées et je les arrete à la moitié. je te laisses lire ce chapitre, un peu confus par instants. (au début en fait, avant le flash-back) donc bonne lecture et pardon pour le retard! et merci aussi pour ta reveiw! bisous!
Idril: je sais, je suis sadique! je peux entre à délilah aussi! dis voui, dis voui!!! déjà, je serais meilleure apprentie que les deux autre (désigne cain et riff de la tête qui sont encore en train de se disputer pour savoir lequel de deux à oublier de donner le hopless memory) tes reviews me font très plaisir, même si encore une fois, tu as tenté de me tuer! lol! que pourrait bien être ton arcane chez delilah? merci beaucoup pour ta review, je suis contente que ma fic te plaise, même si là, c'est bientot là fin. (snif! vais pleurer) encore un chapitre et j'ai fini! désolé pour le retard, mais cette histoire de chapitre supprimer.. grrrr! j'ai voulu le corriger et sans faire exprès j'ai tout perdu... tout ça pour le rallonger un peu... je telaisse lire celui-ci en attendant. bonne lecture et encore merci pour ta review et tes encouragements! bisous!!!
et maintenant, place à la fic...
XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXx
Le phoenix de nacre...
Une page de journal tachée de quelques larmes. Un peu de sang parsème le papier jauni. Ce journal, c'est ce que j'ai de plus précieux. C'est tout ce qui me reste de toi. Des années, ou peut-être seulement quelques heures m'ont arrachées de ton étreinte. Qu'il est dur de redescendre sur terre, quand on a vu un ange s'envoler...
Mes yeux parcours un instant quelques lignes de ce qui reste à présent de mon passée. La demeure des Hagreaves est si grande, je m'y sens si seule. Je sens que j'ai besoin de te rappeler à moi. J'espère que ça ne te dérange pas, mais la solitude, toi mieux que quiconque doit le savoir, ronge le cœur et l'esprit. Tu me manques tellement.... Enfin, vous me manquer tellement... Tous les deux...
A travers les rideaux tirés, j'aperçois l'ombre de quelques oiseaux qui s'ébattent sur la mer. Dire qu'il y a à peine quelques heures, c'était toi qui te tenais là, impassible, rêvant à la mer ou à ta chute prochaine. Ça fait si mal... Mais oui, c'est pourtant bien ça, je me suis trompé, cela ne fait que quelques heures que tu es parti, mais dans mon cœur, le temps me semble si long, et ma solitude me parait remonter à une éternité...
Petit à petit, je m'aperçois que je ne lis plus les lignes qui s'effaceront avec le temps, tout comme ma mémoire. Mais ce journal, oui, est magique. Car je replonge dans le passé, et je vis à nouveau cette scène déchirante qui m'obsède. Je suis de retour dans le temps, auprès de toi, avec la douleur de n'avoir rien su faire pour éviter ça...
Oui, je me souviens...
(flash back)
L'aube allait bientôt se lever. Depuis la mort de Riff, je n'avais pas été très gentille avec Cain. Mais aujourd'hui était un nouveau jour, et je comptais bien en profiter, pour tout recommencer. Les vers de cette comptine me revirent en mémoire:
Et c'est dans les ténèbres d'une nuit sans lune quand les étoiles s'éteignent dans le firmament que sur les deux amants d'infortune l'aube verse ses larmes de sang...
Je soupirais. Désormais, cette chanson ne quittait plus mon cœur, et de plus, j'avais un mauvais préssentiment. Des bruits de pas résonnèrent dans le couloir. Qui pouvait bien être debout à cette heure?
Hélas, si seulement, je l'avais moins aimé... J'aurais su l'en empêcher... Mais on ne garde jamais longtemps, les oiseaux en cage...
Je me retournais alors, et je vis mon frère s'approcher de moi. Délicatement il posa sur mon front un long baiser d'adieu. Les larmes brûlaient mes yeux. Il se retira et commença à s'éloigner de moi. D'un geste vif, je le rattrapais par le poignet. Il me sourit tristement, mais son regard était vide. Il ne pleurait même plus. Je comprenais alors, qu'il était déjà loin de moi. Il me murmura tendrement:
« Je t'aime, Mary, pitié, ne me retiens pas, ne pleure pas. »
Il ôta ensuite ma main de son bras, et me tourna le dos. Je ne fit plus rien pour le retenir. C'était inutile. Il était déjà mort. Je retenais difficilement mes larmes, je ne voulais pas qu'il me voit pleurer, mais elles s'échappaient malgré tout de mes yeux voilés par la tristesse. C'est difficile, de ne pas pleurer, quand ceux qu'on aime s'en vont, et qu'on sait qu'on ne les reverra jamais.
"Cain, ne pars pas." Voilà les mots que j'aurais dû prononcer, mais qui n'ont jamais osés franchir mes lèvres. Mon cœur se déchirait, mais je ne pouvais rien faire. J'avais lu son destin dans les cartes. Je l'avais vu, la Dame noire, emportant ceux que j'aimais le plus au monde. Je maudis alors mes dons de médium. Comment lutter contre la fatalité? Comment Cain aurait pu vivre sans Riff?
A ce moment précis, j'ai hais Riff de toutes mes forces.
Riff, tu n'etais qu'un idiot. En mourant, tu as emporté avec toi le cœur de Cain. Celui qui ne devait jamais plus pleuré t'as offert ses dernières larmes. Comment un homme peut-il vivre sans cœur? Cain s'en va, il veut mourir seul. Telle avait été sa malédiction, déjà enfreinte pas ton amour à son égard. en vérité, tu ne lui appartenais pas. tu ne lui as jamais appartenu. Cain a toujours été ton jouet, ce petit Pierrot ridicule, qui ne bougeait qu'au son de ton rire mélodieux... Il vivais pour toi, mais ça, vous ne l'avais comprit que trop tard...
Contrairement à ce que vous pensiez, j'avais très bien vu, je vous avez très bien vu, ce jour là, ou tout a faillit basculer... et toute la haine que je ressentais envers Riff n'était rien d'autre que le miroir de ma propre culpabilité... Car c'est à cause de moi, que vos lèvres n'ont pu s'éffleurer, et que Riff est parti...
J'entendis alors là porte criait. mon frère se tenait dans l'embrassure, immobile, comme hésitant encore... Je savais très bien, que si je l'avais rappelé à ce moment là, il serais revenu. Mais, en avais-je seulement le droit? Je repprochais sans cesse à mon frère de me traité comme un animal de compagnie, aurai-je pu supporter de voir cet ange aux yeux d'or subir le poids de sa vie brisée? Ces chaînes étaient trop lourdes, je le savais. Cain l'était déjà plus.
Il franchit enfin le pas de la porte, sans un mot. Et tout fut fini. Je compris alors, que je ne devais jamais plus le revoir.
Je m'en voudrais toujours, de n'avaoir même pas pu trouver en moi le courage, de lui dire combien je l'aimais. Je n'ai même pas osé lui dire au revoir... j'étais cruelle... je suis sure que ces mots auraient rendus son départ... plus facile. Car je n'ose même pas imaginer sa souffrance à ce moment là... Au fond, je comprenait maitenant enfin, pourquoi Cain avait laissé Riff partir...
Le goût de mes pleurs me rappelaient le parfum cuivré du sang. Oui, je pleurais bien des larmes de sang.
"tu es méchant, tu es un criminel! Je te déteste Grand-frère. Je te déteste! » les derniers mots que j'avais jetté au visage de mon frère me revenaient sans cesse en mémoire... Pardon, Cain... Pardon grand-frère, cela sera mon regret éternel à moi, la ronce épineuse de mon jardin secret ou seule une rose rougit par ton sang s'épanouira à jamais...
« Cain, tu mourras seul, abandonné de tous, tu ne seras jamais aimé... »
Ce peut-il que la malédiction soit vraie? Après tout, je réalise que jamais de ma vie, je n'avais dit à mon grand-frère ces quelques mots si importants qui auraient pu tout changer ... Et je constate aussi, que personne, ne lui avait murmuré ces paroles rassurantes. Il était celui, à qui on avait jamais dit « Je t'aime »...
D'un pas mal assuré, je sortais sur le balcon. Je vis la silhouette de mon frère se diriger vers la falaise. Il s'en allait, loin... Il était si seul. Il avait peur, j'en étais sûre, je le sentais trembler, et je le sens encore...
Mais un sourire ne tarda pas à illuminer mon visage. Depuis toute petite, je les voyais, les victimes des Hargreaves. Et lui était là. Il l'attendait, patiemment. Il prendrait soin de Cain. Je lui souris au milieu de mes larmes. Il me répond en inclinant légèrement la tête. Il était venu le chercher. Cain n'était plus seul, désormais.
Illusion ou vérité, cette vision était tout ce que j'avais, tout ce qui me restait encore, me sauvant du naufrage de mes sentiments. je voulais croire enfin, que la malédiction avait été brisée, qu'il avait aimé, et avait été aimé en retour. Il avait même réappris à pleurer.
« Je te le laisses à présent, prends bien soin de lui. » murmurais-je tristement.
Je réalise qu'en fin de compte, la malédiction des Hargreaves n'était pas destinée à Cain. C'est moi qu'elle avait frappé. Tous ceux que j'avais jamais aimé sont désormais partis. Maman, Eric, Riff, Cain... Quand viendra mon tour?
Je sus à cet instant précis, que jamais personne ne viendrait me chercher.
Cain s'approcha du vide. Une vision m'apparût soudain. Mon frère ressemblait à un ange, un ange solitaire, prêt à s'envoler. Ou plutôt, un phœnix, un oiseau légendaire, comme celui de cette vieille légende, la seul que Cain connaissait. Le phœnix de nacre... Blanc comme la neige qui s'étend sur l'hiver. Blanc comme la lueur de la pâle lune dans une nuit de ténèbres.
Je le vis basculer en avant. Il allait prendre son envol, gracieux et résigné, comme un cygne sacré. Je retenais un cri. Il lui tendait les bras, et Cain s'y réfugia.
« Vole grand frère, envole-toi enfin loin de ce monde qui t'as tant fait souffrir... »
Une bourrasque de vent m'obligea à détourner un instant les yeux. Quand je les reposais sur le lieu de la scène, je ne voyais plus rien, si ce n'est le vide. Mon frère était parti. Enfin libre. Et je suis certaine, d'avoir pu sentir son sourire et ses yeux d'or s'ouvrir au contact des bras protecteurs de son ange gardien. L'ombre de ses pas. Son éternel souffle de vie, son seul véritable ami, fidèle et loyal serviteur.
Après tout, Quelque part mon frère avait enfin réussit à trouver la liberté à laquelle il aspirait depuis si longtemps...
"Prends soin de lui, Riff. Ne le laisses plus partir. Ne le laisses plus jamais être malheureux. "
Un nouveau souffle de vent vint ébouriffer mes cheveux. Il renversa au passage mon paquet de cartes, posé négligemment sur la table. L'une d'elle vint s'échouer à mes pieds. Je la ramassais et sourit. La carte des amants. Enfin, elle vous protègeait. Vous n'étiez plus maudits.
Ne le laisse plus partir, Riff, ne le laisse jamais plus s'envoler, ton phœnix de nacre...
XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX
voilà... bon, je sais, c'est court! mais bon, j'essaierais de mettre à jour rapidement le prochain. (et sans retard j'espère! lol!) et reviewez svp! merci!
l'avantage d'avoir perdu dernier chapitre, c'est que j'ai un peu rallonger celui là! et aussi que j'ai limité grandement le peu d'optimisme du chapitre! lol! (ben vi, au départ, c'était sur que maryvoyait le fzntôme de riff, maintenant, on doute que ça puisse être en réalité qu'une illusion que s'est creer mary inconsciament pour se déculpabiliser.)
voilà! gros bisous à tous et au prochain chapitre!
nienna.
Cain: vi idril, ça a marcher! une semaine qu'elle a oublier de mettre la fic a jour! hihihihihihihi!!!!
Riff: Lord Cain...
Cain: super idée Idril!!! bravo!
Riff: Looordd Caaaiiiinnn....
Cain: en plus, elle a arrêter de nous torturer....
Riff (à bout): LORD CAINNNNNN!!!!
Cain: QUOI!!!
Riff(désigne l'ordi d'un air affolé)...
Cain:'affolé) Quoi! Mais mais mais....
Riff: c'était vous qui deviez lui remettre une dose hier soir!
Cain, non! c'était toi!
Riff: non, vous!
Cain: Non, toi!
Riff: non (bruit d'un clavier que crit sous les coups féroces de l'auteuse pour mettre la fic à jour)
Cain: Gloups! (regarde nienna qui bave en écrivant, les yeux exhorbités)
Nienna: Fic... mettre fic à jour...
Cain: (en larmes) Non! c pas vrai! non seulement nienna va mettre à hjour, mais en plus idril va nous massacrer!
Arrive un homme en noir, qui tapote sur l'épaule de cain: Je te comprends fiston, elle est pire que moi, je te comprends...
cain: (sursaut): Père!
Nienna: vi! je l'ai inciter aussi pour qu'il m'aide à remplir mon formulaire pour Delilah... Moi aussi veut en faire parti! comme Idril! ça a l'air sympa!
Riff et Cain: là, on a plus le choix! Idril! HELP!!! On fera ce que tu voudras!
Nienna: ho là! dans la limite du raisonnable! déjà que vous me devez obéissance. (brandit son clavier magique) mwouhahahahahaha!!!
XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX
Généralité sur le chapitre et excuses: (ben vi, gomen!!)
Alors, d'abord, je sais que ce chapitre est court est écrit depuis plus d'une semaine, mais... j'ai pas eu le temps ni la motivation de faire une maj pour la raison suivante... j'ai du tout me retaper le dernier chapitre! j'ai fais une erreur de manip et je l'ai supprimer... ou plutot, je suspecte grandement un petit comte et un majordome d'avoir tripoter mon ordi. (jette un regard mauvais a cain et riff qui s'en vont en sifflotant) . bon, mais faute de preuves (les analyse d'empreintes igitales sur le clavier son en cours..) je vais quand même les torturer encore un peu.
d'avoir tout perdu mon dernier chapitre m'a fait mal au coeur, surtout que c'était mon préféré, alors, je l'ai réecrit plus vite, mais du coup il est moins bien... (snif!)
voilà! donc là, je vous laisse avec l'avant dernier chapitre!!
gros bisous! mais d'abord, réponses aux reviews du chapitre 7.
XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX
(j'espère que j'oublierais personne, si c'est le cas, pardon!!!)
Gayana: désolé... je suis toujours obligé de tuer quelqu'un... mais bon... là, c'est vrai que je suis cruelle.. enfin, tu veras.. en tous cas, je suis d'accord avec toi pour jézabel, mais je compte bien le faire remonter dans ton estime... enfin, tu verras à la fin. c'est un personnage que me fascine et me fais de la peine dans le manga... une sorte de méchant malgrè lui, sur le fil de la folie, voilà comment je le vois dans cette fic. mais je peux pas t'en dire plus, sinon je vais révèler le dernier chapitre et comme je l'ai pas encore publié! je sais pas vraiment si j'arriverais à faire plus triste, mais disons que j'en remets une couche... en tous cas, garde les mouchoirs à proximité! voilà! merci pour tes reviews et tes encouragements! j'appécie beaucoup!
bisous!
Nelja: Merci, c'est gentil... j'aime bien ce passage aussi du coeur. pour les inséparables, ben, c'est un hommage à mes oiseaux qui sont morts y'a pas longtemps (pleure, snif!) mais moi, riff il est pas venu me consoler! grrrr!
j'espère que la suite te plaira aussi, on touche presque à la fin. encore un chapitre après celui-là et... plus de fic! j'essaie d'en faire d'autres mais j'ai pas tellement d'idées et je les arrete à la moitié. je te laisses lire ce chapitre, un peu confus par instants. (au début en fait, avant le flash-back) donc bonne lecture et pardon pour le retard! et merci aussi pour ta reveiw! bisous!
Idril: je sais, je suis sadique! je peux entre à délilah aussi! dis voui, dis voui!!! déjà, je serais meilleure apprentie que les deux autre (désigne cain et riff de la tête qui sont encore en train de se disputer pour savoir lequel de deux à oublier de donner le hopless memory) tes reviews me font très plaisir, même si encore une fois, tu as tenté de me tuer! lol! que pourrait bien être ton arcane chez delilah? merci beaucoup pour ta review, je suis contente que ma fic te plaise, même si là, c'est bientot là fin. (snif! vais pleurer) encore un chapitre et j'ai fini! désolé pour le retard, mais cette histoire de chapitre supprimer.. grrrr! j'ai voulu le corriger et sans faire exprès j'ai tout perdu... tout ça pour le rallonger un peu... je telaisse lire celui-ci en attendant. bonne lecture et encore merci pour ta review et tes encouragements! bisous!!!
et maintenant, place à la fic...
XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXx
Le phoenix de nacre...
Une page de journal tachée de quelques larmes. Un peu de sang parsème le papier jauni. Ce journal, c'est ce que j'ai de plus précieux. C'est tout ce qui me reste de toi. Des années, ou peut-être seulement quelques heures m'ont arrachées de ton étreinte. Qu'il est dur de redescendre sur terre, quand on a vu un ange s'envoler...
Mes yeux parcours un instant quelques lignes de ce qui reste à présent de mon passée. La demeure des Hagreaves est si grande, je m'y sens si seule. Je sens que j'ai besoin de te rappeler à moi. J'espère que ça ne te dérange pas, mais la solitude, toi mieux que quiconque doit le savoir, ronge le cœur et l'esprit. Tu me manques tellement.... Enfin, vous me manquer tellement... Tous les deux...
A travers les rideaux tirés, j'aperçois l'ombre de quelques oiseaux qui s'ébattent sur la mer. Dire qu'il y a à peine quelques heures, c'était toi qui te tenais là, impassible, rêvant à la mer ou à ta chute prochaine. Ça fait si mal... Mais oui, c'est pourtant bien ça, je me suis trompé, cela ne fait que quelques heures que tu es parti, mais dans mon cœur, le temps me semble si long, et ma solitude me parait remonter à une éternité...
Petit à petit, je m'aperçois que je ne lis plus les lignes qui s'effaceront avec le temps, tout comme ma mémoire. Mais ce journal, oui, est magique. Car je replonge dans le passé, et je vis à nouveau cette scène déchirante qui m'obsède. Je suis de retour dans le temps, auprès de toi, avec la douleur de n'avoir rien su faire pour éviter ça...
Oui, je me souviens...
(flash back)
L'aube allait bientôt se lever. Depuis la mort de Riff, je n'avais pas été très gentille avec Cain. Mais aujourd'hui était un nouveau jour, et je comptais bien en profiter, pour tout recommencer. Les vers de cette comptine me revirent en mémoire:
Et c'est dans les ténèbres d'une nuit sans lune quand les étoiles s'éteignent dans le firmament que sur les deux amants d'infortune l'aube verse ses larmes de sang...
Je soupirais. Désormais, cette chanson ne quittait plus mon cœur, et de plus, j'avais un mauvais préssentiment. Des bruits de pas résonnèrent dans le couloir. Qui pouvait bien être debout à cette heure?
Hélas, si seulement, je l'avais moins aimé... J'aurais su l'en empêcher... Mais on ne garde jamais longtemps, les oiseaux en cage...
Je me retournais alors, et je vis mon frère s'approcher de moi. Délicatement il posa sur mon front un long baiser d'adieu. Les larmes brûlaient mes yeux. Il se retira et commença à s'éloigner de moi. D'un geste vif, je le rattrapais par le poignet. Il me sourit tristement, mais son regard était vide. Il ne pleurait même plus. Je comprenais alors, qu'il était déjà loin de moi. Il me murmura tendrement:
« Je t'aime, Mary, pitié, ne me retiens pas, ne pleure pas. »
Il ôta ensuite ma main de son bras, et me tourna le dos. Je ne fit plus rien pour le retenir. C'était inutile. Il était déjà mort. Je retenais difficilement mes larmes, je ne voulais pas qu'il me voit pleurer, mais elles s'échappaient malgré tout de mes yeux voilés par la tristesse. C'est difficile, de ne pas pleurer, quand ceux qu'on aime s'en vont, et qu'on sait qu'on ne les reverra jamais.
"Cain, ne pars pas." Voilà les mots que j'aurais dû prononcer, mais qui n'ont jamais osés franchir mes lèvres. Mon cœur se déchirait, mais je ne pouvais rien faire. J'avais lu son destin dans les cartes. Je l'avais vu, la Dame noire, emportant ceux que j'aimais le plus au monde. Je maudis alors mes dons de médium. Comment lutter contre la fatalité? Comment Cain aurait pu vivre sans Riff?
A ce moment précis, j'ai hais Riff de toutes mes forces.
Riff, tu n'etais qu'un idiot. En mourant, tu as emporté avec toi le cœur de Cain. Celui qui ne devait jamais plus pleuré t'as offert ses dernières larmes. Comment un homme peut-il vivre sans cœur? Cain s'en va, il veut mourir seul. Telle avait été sa malédiction, déjà enfreinte pas ton amour à son égard. en vérité, tu ne lui appartenais pas. tu ne lui as jamais appartenu. Cain a toujours été ton jouet, ce petit Pierrot ridicule, qui ne bougeait qu'au son de ton rire mélodieux... Il vivais pour toi, mais ça, vous ne l'avais comprit que trop tard...
Contrairement à ce que vous pensiez, j'avais très bien vu, je vous avez très bien vu, ce jour là, ou tout a faillit basculer... et toute la haine que je ressentais envers Riff n'était rien d'autre que le miroir de ma propre culpabilité... Car c'est à cause de moi, que vos lèvres n'ont pu s'éffleurer, et que Riff est parti...
J'entendis alors là porte criait. mon frère se tenait dans l'embrassure, immobile, comme hésitant encore... Je savais très bien, que si je l'avais rappelé à ce moment là, il serais revenu. Mais, en avais-je seulement le droit? Je repprochais sans cesse à mon frère de me traité comme un animal de compagnie, aurai-je pu supporter de voir cet ange aux yeux d'or subir le poids de sa vie brisée? Ces chaînes étaient trop lourdes, je le savais. Cain l'était déjà plus.
Il franchit enfin le pas de la porte, sans un mot. Et tout fut fini. Je compris alors, que je ne devais jamais plus le revoir.
Je m'en voudrais toujours, de n'avaoir même pas pu trouver en moi le courage, de lui dire combien je l'aimais. Je n'ai même pas osé lui dire au revoir... j'étais cruelle... je suis sure que ces mots auraient rendus son départ... plus facile. Car je n'ose même pas imaginer sa souffrance à ce moment là... Au fond, je comprenait maitenant enfin, pourquoi Cain avait laissé Riff partir...
Le goût de mes pleurs me rappelaient le parfum cuivré du sang. Oui, je pleurais bien des larmes de sang.
"tu es méchant, tu es un criminel! Je te déteste Grand-frère. Je te déteste! » les derniers mots que j'avais jetté au visage de mon frère me revenaient sans cesse en mémoire... Pardon, Cain... Pardon grand-frère, cela sera mon regret éternel à moi, la ronce épineuse de mon jardin secret ou seule une rose rougit par ton sang s'épanouira à jamais...
« Cain, tu mourras seul, abandonné de tous, tu ne seras jamais aimé... »
Ce peut-il que la malédiction soit vraie? Après tout, je réalise que jamais de ma vie, je n'avais dit à mon grand-frère ces quelques mots si importants qui auraient pu tout changer ... Et je constate aussi, que personne, ne lui avait murmuré ces paroles rassurantes. Il était celui, à qui on avait jamais dit « Je t'aime »...
D'un pas mal assuré, je sortais sur le balcon. Je vis la silhouette de mon frère se diriger vers la falaise. Il s'en allait, loin... Il était si seul. Il avait peur, j'en étais sûre, je le sentais trembler, et je le sens encore...
Mais un sourire ne tarda pas à illuminer mon visage. Depuis toute petite, je les voyais, les victimes des Hargreaves. Et lui était là. Il l'attendait, patiemment. Il prendrait soin de Cain. Je lui souris au milieu de mes larmes. Il me répond en inclinant légèrement la tête. Il était venu le chercher. Cain n'était plus seul, désormais.
Illusion ou vérité, cette vision était tout ce que j'avais, tout ce qui me restait encore, me sauvant du naufrage de mes sentiments. je voulais croire enfin, que la malédiction avait été brisée, qu'il avait aimé, et avait été aimé en retour. Il avait même réappris à pleurer.
« Je te le laisses à présent, prends bien soin de lui. » murmurais-je tristement.
Je réalise qu'en fin de compte, la malédiction des Hargreaves n'était pas destinée à Cain. C'est moi qu'elle avait frappé. Tous ceux que j'avais jamais aimé sont désormais partis. Maman, Eric, Riff, Cain... Quand viendra mon tour?
Je sus à cet instant précis, que jamais personne ne viendrait me chercher.
Cain s'approcha du vide. Une vision m'apparût soudain. Mon frère ressemblait à un ange, un ange solitaire, prêt à s'envoler. Ou plutôt, un phœnix, un oiseau légendaire, comme celui de cette vieille légende, la seul que Cain connaissait. Le phœnix de nacre... Blanc comme la neige qui s'étend sur l'hiver. Blanc comme la lueur de la pâle lune dans une nuit de ténèbres.
Je le vis basculer en avant. Il allait prendre son envol, gracieux et résigné, comme un cygne sacré. Je retenais un cri. Il lui tendait les bras, et Cain s'y réfugia.
« Vole grand frère, envole-toi enfin loin de ce monde qui t'as tant fait souffrir... »
Une bourrasque de vent m'obligea à détourner un instant les yeux. Quand je les reposais sur le lieu de la scène, je ne voyais plus rien, si ce n'est le vide. Mon frère était parti. Enfin libre. Et je suis certaine, d'avoir pu sentir son sourire et ses yeux d'or s'ouvrir au contact des bras protecteurs de son ange gardien. L'ombre de ses pas. Son éternel souffle de vie, son seul véritable ami, fidèle et loyal serviteur.
Après tout, Quelque part mon frère avait enfin réussit à trouver la liberté à laquelle il aspirait depuis si longtemps...
"Prends soin de lui, Riff. Ne le laisses plus partir. Ne le laisses plus jamais être malheureux. "
Un nouveau souffle de vent vint ébouriffer mes cheveux. Il renversa au passage mon paquet de cartes, posé négligemment sur la table. L'une d'elle vint s'échouer à mes pieds. Je la ramassais et sourit. La carte des amants. Enfin, elle vous protègeait. Vous n'étiez plus maudits.
Ne le laisse plus partir, Riff, ne le laisse jamais plus s'envoler, ton phœnix de nacre...
XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX
voilà... bon, je sais, c'est court! mais bon, j'essaierais de mettre à jour rapidement le prochain. (et sans retard j'espère! lol!) et reviewez svp! merci!
l'avantage d'avoir perdu dernier chapitre, c'est que j'ai un peu rallonger celui là! et aussi que j'ai limité grandement le peu d'optimisme du chapitre! lol! (ben vi, au départ, c'était sur que maryvoyait le fzntôme de riff, maintenant, on doute que ça puisse être en réalité qu'une illusion que s'est creer mary inconsciament pour se déculpabiliser.)
voilà! gros bisous à tous et au prochain chapitre!
nienna.
