Disclamer : Rien ne nous appartient, excepté les personnes et les lieux, et tous ce que nous avons créé, qui ne se trouve pas dans les livres de Rowling!
Réponse aux review :
MikaChan2andKochka : Désolé pour le retard, on a eu quelques bogues! Contentes que ça te plaise ;) Bonne lecture!!!
loumiolla : Oh et bien, Severus, il est pas bien loin dans ce chapitre, tu vas voir ;) Pour ce qui est de la suite bah, je crois que tu as ta réponse! Bonne lecture ;)
cedric-potter : Hé, hé ,hé, on nous donne pas des ordres Monsieur Cedric-Potter, C'EST COMPRIS????, lol non je plaisante, la voilà la suite, bonne lecture ;)
Suppy : C'est super que tu aimes ;) Bonne lecture et merci pour ta review!
enora de wesdaigle : Toujours aussi de bonne humeur enora, à ce que je vois ;) Allez, bonne lecture :p
Marie-Jo : Disons que... Toutes tes espérance ne se réaliseront pas... Tout de suite, mais avec le temps ça viendra! Bonne lecture ;)
kamy (le_ranger@hotmail.com) : Lol, nous non plus on l'aime pas Dumby, mais Severus, il fait partit principalement de l'histoire ;) Alors on peut pas le tuer... Enfin pas tout de suite ;) Aller bonne lecture ;)
KTK : Désolé... Mais comme toi, ce genre de personnage là, j'en suis plus vraiment capable, fuat donner un peu d'agressivité aux histoires voyons ;) Allez bonne lecture :p
Pierre de Lune (audreaevans@hotmail.com) : Contente que tu aimes :) Voilà la suite :D Bonne lecture ;)
math : Non, Harry a pu ses cicatrices! Menfin... Bonne lecture et merci pour ta review ;)
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Désolé à tous, pour le retard que ce chapitre à pris, mais nos deux PC à moi et Mymy ont vraiment, mais littéralement planté! Menfin, on est de retour, et en force!
Bonne lecture à tous
-xxx-
Laika&Mymy!
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Le loup Solitaire
Chapitre3 : Révélation
La rentrée avait eu lieu deux jours auparavant, et Harry n'avait pas été présent. Ron s'inquiétait énormément, et Hermione culpabilisait, certaine qu'il était mort à cause d'elle. Mais une autre personne s'inquiétait. Severus. Il ne mangeait plus, ne dormait plus... Toutes ses pensées étaient tournées vers le jeune homme. Il était même plus irritable avec ses élèves, ce qui n'était pas peu dire.... Les deux portes de la Grande Salle s'ouvrirent avec violence, et un élève entra. Severus tourna la tête... Une à une, toutes les têtes se tournèrent, et le silence se fit dans la Salle. Une personne, vêtue d'une tunique blanche, un capuchon sur la tête qui cachait son identité, et à la silhouette assez imposante s'avançait en direction de la table des professeurs. Un autre être, à quatre pattes, aux allures élancés et fière, la tête droite et aux yeux ambre, perçant, s'avançait en compagnie de l'homme. Un loup!
Une voix fusa, froide et mystérieuse, s'adressant à Dumbledore:
-Bien le bonsoir Mr Le Directeur! annonça-t-elle, avec une pointe de sarcasme.
Dumbledore resta un moment immobile, incertain de la décision à prendre. Finalement, au bout de quelques minutes, il parla de nouveau.
-Qui êtes vous ?
-Et je vous donne l'adresse avec? répliqua du tac au tac la personne. Si j'ai un capuchon, c'est pour une bonne raison... ajouta-t-il.
-Toute personne, n'étant pas identifiable dans ce château est dans le droit de subir les lois de notre ministère et de notre école... Donc, je vous prierai de nous donner un nom, sur le champ! répliqua le directeur.
-Ce sera Damien, dans ce cas. Et j'apprécie votre politesse hors du commun! déclara la forme encapuchonné, sèchement.
Dans la Grande Salle, personne ne parlait. Tous les élèves étaient étonnés par cette élève étrange, en retard, et qui en plus se permettait de se moquer du Directeur. Les yeux de la personne se posa sur le nouveau professeur de DCFM, et une étincelle étrange passa dans ses yeux.
-Maintenant, pourrais-je savoir votre motif pour cette intrusion dans mon école avec...
Dumbledore posa ses yeux sur le loup qui se mit à gronder, mais qui s'arrêta aussitôt au contact de la main de son maître sur sa tête.
-Cet animal... fini Albus.
-Cet animal est à moi et ne fera de mal à personne tant que je ne lui en aurais pas donner l'ordre! répliqua la personne. Quant à mon intrusion, qu'est ce que pourrait bien faire quelqu'un de seize ans dans une école?
Une lueur de crainte passa dans les yeux de Dumbledore, mais elle fut bientôt remplacée par de la détermination.
-Vous voulez donc vous inscrire...
-Ce serais perte de temps, puisque j'ai déjà un dossier dans cette école, depuis ma naissance en fait! dit mystérieusement l'homme, cachant dans l'ombre, le sourire qui s'était afficher sur son visage.
La surprise se lit sur le visage de Dumbledore. L'homme se tourna vers Severus, et, en un éclair celui-ci comprit. Sans même penser un instant à ce qu'il faisait, il sortit de table précipitamment, se précipita vers l'homme, et l'étreignit avec force.
-Je te croyais mort... déclara-t-il sur un ton joyeux.
L'homme éclata de rire, avant de regarder Severus en souriant.
-Moi aussi je suis content de te revoir! Dit-il en riant.
Dumbledore se leva, et regarda l'adolescent de façon assez dure.
-Vous êtes en retard, Harry Potter!
Le garçon abaissa son capuchon, révélant un visage changer, sans cicatrice, sans douleur, des yeux remplis de vie... Et un tatouage en forme d'empreinte de loup sous l'oeil gauche. Dumbledore eut un sursaut que surprise en voyant cela, que heureusement personne ne remarqua, excepté Harry.
-Oh, j'en suis navré mais j'avais des choses plus urgentes à régler! répliqua sèchement Altaïr.
Cette fois ci, le Directeur, toujours sous l'effet de la surprise, ne trouva rien à répondre. Altaïr se dirigea donc vers la table des Gryffondor, mais tous s'écartèrent de lui en le voyant. L'adolescent haussa les épaules, et s'assit en bout de table, son loup couché à côté de lui. Il sentait les regards de toute la Grande Salle sur lui, et les gens qui se demandaient pourquoi le Survivant était comme ça. Finalement, Hermione n'y tint plus, et elle se précipita, suivie de Ron, vers son ami. Altaïr vit que la jeune fille pleurait.
-Harry... Pardon, pardon, pardon! Tu ne m'excuseras probablement jamais... C'est de ma faute si...
-Ne t'inquiète pas, Mione, je suis passé au dessus de tout ça... Mais toi, comment ça va? Tu suis quand même les cours de Potions?
La question sembla la surprendre, car elle fronça les sourcils, plus qu'étonné.
-Qu'elle est le rapport avec les cours de Potions? le questionna-t-elle, en s'assoyant devant lui.
Altaïr jeta un regard vers le Professeur Rogue, qui s'était rassis à la Table des Professeurs, et regarda de nouveau la jeune fille. Mais celle-ci hocha négativement la tête.
-Je ne vois pas de quoi tu parles...
Altaïr lui fit un sourire, heureux que son amie n'est pas reconnue Severus Rogue. Ron l'observait, et il semblait assez pâle.
-Harry... Tu es vraiment allé chez Voldemort ? demanda-t-il d'une voix blanche.
L'adolescent hocha affirmativement la tête, ses yeux prenants une teinte remplie de douleur. Mais il se ressaisit assez vite.
-On peut parler d'autres choses, s'il te plaît ?
La conversation en fut coupée-là, puisque Dumbledore se leva et regarda la Grande Salle.
-Maintenant que le dîner est terminé je vous prierais de déserter la Grande Salle, j'ai quelques petites choses à y faire...
Alors que Harry et ses amis se levaient pour partir, la voix du directeur résonne à nouveau.
-Pas vous Mr Potter, vous restez ici... j'ai à vous parler... seul!
Hermione et Ron haussèrent les épaules et sortirent avec le reste des élèves, laissant Altaïr seul, face au reste des professeurs qui étaient tous rester.
-Reste, Kendra! murmura-t-il à la louve, qui l'avait accompagné jusqu'à la table des professeurs, devant laquelle il était maintenant posté.
Altaïr regarda ses Professeurs un à un, une menace clairement présente dans ses yeux.
-Qu'est ce que tu as finalement fait ? Qu'est ce que veut... dire ce ... tatouage ?
Altaïr regarda son Directeur dans les yeux.
-J'ai été récupéré par la police moldu, et on m'a mis dans une famille d'accueil. Ils m'ont laissé faire ce tatouage, et changer mes lunettes en lentilles, déclara Harry d'un ton convaincant.
Mais Dumbledore restait sceptique.
-Tu ne serais pas, par hasard, allé chez les Arwels, ces créatures maléfiques qui hantent les bois.
A ces mots, Kendra se mit à gronder, et Altaïr lui même eut du mal à maîtriser sa colère.
-Je ne vois pas de quoi vous parlez.
Dumbledore s'avança vers Harry, en croisant les bras, ses yeux bleus reflétant la colère.
-Dis-nous-la-vérité-Harry! siffla-t-il.
-Potter, cracha celui-ci.
Dumbledore resta surpris. Cet adolescent qu'il avait toujours tutoyé venait de lui interdire de l'appeler par son prénom.
-Je vous ai dit la vérité, et je ne vous permets pas de me traiter de menteur! reprit froidement l'adolescent.
Une étincelle menaçante s'alluma dans les yeux de Dumbledore.
-Tu sais ce qu'il arrive aux Arwels lorsqu'ils sont découverts! siffla-t-il... Si tu refuses de nous dire la vérité, très bien... Mais tu le regretteras!
-C'est exactement ce que m'a dit Voldemort lorsque j'ai choisi de ne pas lui dire la Prophétie répliqua l'adolescent. Et je suis encore là. C'est la dure loi de la vie Dumbledore, de ne pas pouvoir avoir toujours ce que l'on veut. Maintenant si vous voulez bien m'excuser, j'ai d'autre chat plus intéressant à fouetter!
Stupéfaits, les Professeurs laissèrent partir Altaïr sans rien dire. Lorsqu'il fut sorti de la salle, Dumbledore se tourna vers Tonks.
-Je veux que tu le gardes à l'oeil, Nymphadora!
Elle acquiesça.
Le lendemain matin, Altaïr se réveilla à quatre heures. Cela faisait partie de son caractère d'Arwel: ils dormaient très peu. Altaïr, sachant qu'il ne pourrait pas se rendormir, se leva, et se dirigea, suivi de Kendra, vers la Salle des Demandes. Il avait besoin de s'entraîner. En chemin, perdu dans ses pensées, ce fut le grondement sonore de Kendra qui le sortit de sa torpeur. Au bout du couloir approchait Rogue, le visage contracté un peu par la fureur et l'inquiétude. Dès qu'il fut devant Harry, il le gifla, mais celui-ci ne réagit pas.
-Qu'est-ce qui t'as pris hier soir de réagir ainsi devant Dumbledore et tous les professeur! cracha-t-il.
Celui-ci regarda son Professeur sans rien dire, et il croises ses bras sur sa poitrine.
-Tu es complètement fou où quoi ? Il a appelé le Ministère, ils seront là dans la matinée! Et qu'est-ce que tu fous debout à quatre heure du matin?
-Je dois... faire quelque chose. Et de toute façon, reprit Harry. Dumbledore n'a aucune preuve de ce qu'il avance sur moi... Doucement Kendra, donc le ministère ne peut pas m'arrêter pour quoique ce soit sans preuve!
-Tu en es aussi sûr ? cracha Severus.
Il s'inquiétait énormément pour l'adolescent, et ne comprenait pas qu'il ait pu ainsi provoquer Dumbledore. En entendant cela, le visage d'Altaïr pâlit légèrement.
-Qu'est ce je suis supposé être ? demanda-t-il d'une voix qui se voulait assurée.
-Tu connais beaucoup de gens avec une patte de loup sous l'oeil gauche ? Ce sont les Arwels qui portent ce type de tatouage!
-Je t'ai déjà dit que je me suis fais faire un tatouage! répliqua avec fermeté l'adolescent.
Severus hocha négativement la tête.
-Tu ne tromperas pas le Ministère comme ça... Tu peux me dire la vérité, à moi... déclara-t-il doucement.
-Je suis allé chez les Moldus, s'entêta l'adolescent.
-Et les disparitions de tes cicatrices?
-Elles ont dû disparaître avec le temps... répondit Altaïr, en haussant les épaules.
-Harry, il y a deux semaines, elles étaient à peine guérite et toi et moi savions qu'elles ne disparaîtraient jamais! répliqua le maître des Potions du collège.
-J'ai utilisé un sort de dissimulation permanent, si tu veux tout savoir! déclara avec mauvaise humeur l'adolescent.
Rogue le regarda d'un air soupçonneux, mais ne dit rien.
-Tu avais seulement cela à me dire? demanda l'adolescent, de ses yeux vert et brillant, que Rogue remarqua aussitôt.
Celui-ci se pencha légèrement vers Harry et le fixa attentivement, avant d'avoir un regard victorieux.
-Tu n'as pas de lentilles... siffla-t-il, de sa voix doucereuse que Altaïr n'avait pas entendu depuis longtemps.
Harry recula d'un pas, frappé par l'utilisation de cette voix. Puis il regarda son Professeur, une lueur de colère dans ses yeux.
-C'est quoi, ton but ? Me faire exclure de l'école à tout pris? Démontrer par tous les moyens possibles que j'ai tort ? cracha Harry avec colère.
Rogue eut un sourire malheureux.
-Dis-moi la vérité, demanda-t-il d'une voix autoritaire.
Altaïr regarda son Professeur, un combat difficile régnant dans sa tête. Il fallait que Rogue oublie tout ça.
-Je suis désolé, murmura-t-il avant de tourner les talons et de partir au pas de course, vers le hall d'entrer d'où il voulait sortir dans le parc, retourner en pleine nature, dans le calme et la solitude.
Dehors, Altaïr laissa échapper un cri de colère et d'impuissance. Il n'aurait pas du revenir, il aurait mieux fait de rester parmi les siens, plutôt que de retourner dans le monde compliqué des humains.
-Lacerta, pourquoi tu n'es pas là quand j'ai besoin de toi ? murmura l'adolescent.
Il se laissa tomber à genoux au sol, près de la rive du lac et poussa un hurlement de rage, de peine, de douleur et de haine, en levant la tête au ciel.
Une main se posa sur son épaule, et Altaïr, par pur réflexe, plaqua cette personne au sol. Son entraînement l'avait aussi initié aux arts de la défense, et il fonctionnait maintenant par des réflexes purement défensifs. En voyant que c'était Severus, il relâcha sa prise, et lui tourna le dos.
-Laisse-moi tranquille! siffla l'adolescent.
-Tu n'as pas été chez les moldus... murmura Rogue, en se relevant douloureusement. Personne là-bas n'aurait pu t'apprendre ces choses en si peu de temps!
Altaïr se retourna, une expression neutre sur le visage.
-Excuse-moi si je t'ai fait mal... murmura-t-il d'une voix sincère.
Harry regarda son professeur dans les yeux, une lueur de crainte dans les yeux.
-D'accord, je n'était pas chez les Moldus, mais n'en parle à personne, et ne me pose plus de questions sur ce sujet... Sinon, ce sera à tes propres risques...
-Je veux seulement savoir... Harry! Pourquoi ne me fais-tu pas confiance? demanda Severus, un peu blesser dans son orgueil.
-Je te protège des ennuis, imbécile! Le Ministère n'arrêterait pas de te poursuivre si jamais ils se rendent compte que tu sais quelque chose! expliqua rapidement Harry.
Severus hocha la tête de façon affirmative la tête, au plus grand soulagement de l'adolescent qui n'aurait pas aimé avoir a utilisé une solution plus radicale.
-Et maintenant, qu'est ce que tu faisais dehors ? répliqua Altaïr d'un ton moqueur.
-Je te cherchais, pour être franc... expliqua Rogue, détournant le regard, un peu contrarié de devoir répondre si vite à sa question.
Altaïr le regarda d'un air soupçonneux.
-Maintenant, c'est toi qui mens. Pourquoi ne me dis tu pas plus vite que c'est la Marque ?
-Harry, dois-je te rappeler que je suis sur la liste des morts de Voldemort, de ce mois-ci? demanda Rogue. Je n'étais pas dehors pour ma Marque...
-A mon avis, tu y es pour les années à venir... répliqua l'adolescent. Mais sur ce niveau là, je crois que je te bats largement. Je suis numéro un... Il me fait même rechercher par les serpents... Et la Marque t'as réveillé, donc tu es sorti! N'essaye pas de me mentir, c'est impossible! dit l'adolescent avec un sourire.
Rogue baissa les yeux, résigné.
-Maintenant, est ce que je peux faire ce que je voulais faire ? demanda Altaïr.
Rogue releva les yeux, surpris.
-Bien sûr, je ne te retiens pas...
Altaïr lui fit un sourire avant de retourner dans le château. Il traversa plusieurs corridors avant d'arriver devant la Salle des Demandes, et il commença à s'entraîner. Aussitôt, autour de lui un cercle bleuté apparut, ne lui laissant qu'un petit espace à l'intérieur. Peu à peu, la ligne qui créait le cercle s'agrandit, prenant plus d'ampleur dans la pièce, se transformant en eau et inondant la salle. Puis Altaïr pressa ses mains l'une contre l'autre, et l'eau disparut aussi vite qu'elle était venue. La seconde d'après, un feu ravagea la salle, attisé par le vent, puis finalement éteint par une vague d'eau. L'adolescent arrêta le bazar qu'il avait crée, et essuya les gouttes de sueurs qui perlaient sur son front. Regardant le soleil qui brillait à l'extérieur, il ne fut pas étonné de voir que le petit-déjeuner devait être commencé dans la Grande Salle. Il arrêta donc son entraînement, et sortit de la Salle de Demandes. Sur son chemin, il remarqua que tout le monde le regardait bizarrement, mais il haussa les épaules et continua son chemin. Deux mains le happèrent, et, un clin d'oeil, Altaïr les envoya au sol. Puis il regarda ses victimes, et vit qu'il ne les connaissait pas. A côté de lui, Kendra grondait, signe qu'il y avait là un danger.
-Qui êtes vous ? demanda l'Arwel d'une voix assez énervée. J'aimerais bien aller manger!
-Nous sommes deux Agents de Recherche du Ministère. Nous recherchons les Arwels.
-Et bien vous n'êtes pas à la bonne place, siffla Altaïr, continuant son chemin.
Les deux Agents du Ministère rattrapèrent Harry, et le forcèrent à s'arrêter. Maintenant, ils avaient l'air clairement antipathique.
-Nous avons des informations comme quoi vous seriez un Arwel. Vous savez ce qui arrive aux Arwels découverts ? demanda l'un des agents d'une voix menaçante.
Harry approcha son visage de l'homme qui venait de parler, ses yeux reflétant clairement la colère.
-Prouvez-le! chuchota-t-il, d'une voix menaçant et froide.
L'homme en question eut un sourire.
-Ce ne sera vraiment pas difficile... Vous ignorez apparemment les techniques que les Agents sont autorisés à utiliser pour retrouver des Arwels.
-Sans preuve... je ne vous suis pas! Bonne journée Monsieur! répondit Harry, d'une voix mielleuse en les contournant.
Cependant, les deux Agents ne semblaient pas décider à laisser partir leur proie. Un sort de Stupéfixion retentit, et Altaïr s'écarta juste avant que le sort ne le touche. Lorsqu'il se retourna, ses yeux flamboyaient sous l'effet de la colère.
-Vous êtes en état d'arrestation Mr Potter! siffla la voix d'un des deux hommes, qui pointa aussitôt sa baguette sur Altaïr.
La stupéfaction prit place sur le visage d'Altaïr, avant d'être remplacée par une colère sans borne. La Magie des Arwels coulait en lui, mais il ne devait surtout pas l'utiliser. Les vitres situées à côté de l'adolescent explosèrent en morceaux, mais cela n'impressionna pas les gens du Ministère qui saisirent violemment l'adolescent avant de l'immobiliser.
Harry fut plaqué au sol, mais il ne riposta pas. Un des deux hommes lui attacha les main et pendant que l'autre le surveillait attentivement. À ce moment, Dumbledore sortit de la Grande Salle et vint se poster dans le Hall d'entrer, à côté d'un des hommes et demanda des explications, pendant que les autres professeurs accouraient.
-Ce garçon est en état d'arrestation, tout comme vous nous avez demandé. Nous l'emmenons au Ministère pour qu'il y soit correctement interrogé.
A ces mots, Severus se dirigea vers le Directeur et les Agents, ses yeux flamboyants de colère.
-Vous allez QUOI ?
-Nous l'emmenons au Ministère! répondit l'homme d'une voix qui ne présageait rien de bon.
-C'est bon Severus... marmonna Harry en levant légèrement la tête.
-TOI TU NE BOUGES PAS! cria l'homme qui le maintenant, en lui remettant la tête au sol.
Harry serra les dents en signe de colère. Il en avait vraiment marre que tout le monde le remarque, qu'on le donne en spectacle au milieu de tous ces étudiants...
Brusquement, les liens qui le retenaient explosèrent, et Altaïr se releva, les yeux brûlants de colère. Tout le monde regarda l'adolescent, stupéfait.
-Ça suffit! Maintenant, je commence à en avoir assez! Vous m'attaquez en plein couloir, et sans aucune raison, soit. Vous voulez m'emmener au Ministère, passe encore. MAIS QUE VOUS M'ATTACHIEZ EN ME TRAITANT COMME UN CHIEN, NON! Vous savez quoi ? Vous ne valez pas mieux que Voldemort! cracha-t-il aux deux hommes.
-Taisez-vous, ou tout ce que vous dites pourra être retenu contre vous... le moment venu! répliqua l'Agent du Ministère. Maintenant suivez nous sans discuter, Mr Potter...
L'Arwel regarda un instant les Agents du Ministère, et décida qu'il valait mieux les écouter. De toute façon, les deux hommes ne savaient visiblement pas que l'adolescent était extrêmement résistant et têtu.
-Sauf que Severus ne sera pas là pour te sauver, cette fois... siffla une voix dans sa tête. Et tu ne pourras pas utiliser de magie pour faire disparaître les cicatrices...
Altaïr fit semblant de ne pas écouter cette voix, et suivit sans rien dire les deux agents. Ceux ci lui firent toucher un Portoloin, et, quelques minutes après, il était au Département de Recherche des Arwels.
-Bon si vous pouviez vous dépêchez, j'ai pas toute la journée! cracha Altaïr.
-La ferme! aboya l'un des deux hommes. A ta place, je ne serais pas aussi pressé...
Altaïr haussa les épaules, et s'enferma dans un silence buté. Le jour où cela serait pire que ce que Voldemort lui avait fait subir. L'un des deux hommes mit une gifle à Altaïr, mais celui ci ne dit rien.
-Réponds quand on te parle! Nom, Prénom, et lieu de résidence!
Les deux hommes se mirent à sourire, et Altaïr se rendit brusquement compte de son erreur. Il avait dit Privet Drive... Et les Dursleys étaient morts. Il se tourna vers eux et fronça les sourcils.
-Arrêtez moi ces têtes d'idiots, j'ai dis Privet Drive puisque c'est mon lieu de résidence officiel...
-Je croyais que vous résidiez chez d'autres moldus ? demanda l'un des hommes, un sourire carnassier sur le visage.
-Et merde! pensa Altaïr, se promettant d'étrangler Dumbledore dès son retour à Poudlard.
Hélas, cette fois ci, il ne pu répondre.
-De toute façon, en quoi ça vous regarde où j'habite?
Harry fixait les deux hommes de son regard vert. Celui-ci était froid à voir même glacial et donnait des frissons dans le dos des deux hommes
-Pour vérifier que votre histoire est vraie! répliqua froidement l'un des deux hommes.
-Vous changez de question oui?
-Oh non, Mr Potter! Je ne crois pas... Arwel!
Altaïr regarda l'homme, ses yeux se remplissant d'une rage difficilement contenue.
-Alors ?
-Severus Rogue, et je ne me rappelle plus de l'adresse, donc vous irez lui demander! répondit l'adolescent avec effronterie..
-Très bien, répondit l'Agent en notant le nom sur un bloc-notes.
Un silence lourds vint planer dans la pièce, aucun des trois personnes présentes ne parlant.
Vous pouvez retourner à Poudlard, et nous vous contacterons lorsque l'enquête sera finie! maugréa l'un des hommes, apparemment déçu de ne pas avoir pu torturer sa proie.
Harry allait tourner les talons, lorsque les deux Agents remarquèrent enfin l'étrange tatouage de Altaïr.
-Pas si vite... reprit un des deux hommes.
-Eh merde! Ils l'ont vu...
L'un des deux hommes sortit une fiole de sa poche. Une fiole contenant du Veritaserum. En la voyant, Altaïr crut qu'il allait défaillir. Avec ça, il avouerai tout... Il fut forcé de se rasseoir, et, cette fois ci, des chaînes entourèrent ses bras.
-Maintenant, on va jouer franc jeu... Endoloris!
Harry ouvrit la bouche comme si il allait crier, mais aucun son de ne sortit, le seul signe de douleur fut ses pupilles qui se dilatèrent légèrement. Il finit pas serrer les dents et baisser la tête vers le sol.
-Vous n'avez pas le droit... réussit-il à dire enfin.
-Notre contrat stipule clairement que nous avons tout à fait le droit de faire ça! déclara joyeusement le deuxième homme. Est ce que c'est assez pour que vous nous disiez quelque chose, où il vous en faut encore plus ?
Altaïr regarda les deux hommes dans les yeux, les dents serrées.
-Allez vous faire foutre... cracha-t-il.
La douleur s'intensifia à l'intérieur de lui et il laissa échapper un gémissement.
-Allez gamin, ne t'arrange pas pour te faire tuer, dis-nous tout!
Ses anciennes douleurs, qu'il croyait enterrés, commençaient à se réveiller. Cependant, il releva la tête, et les regards.
-Il en faut plus que ça pour me tuer... En trois semaines, Voldemort n'as pas pu le faire, alors vous...
Le sort lâcha brutalement, et les deux hommes saisirent Harry avant de l'enfermer dans un cachot sombre et humide. Puis la lourde porte se referma.
-Severus, quel boulot tu vas avoir pour me remettre en état cette fois ci...
Harry se releva avec difficulté et fit les cent pas dans la pièce. La douleur était partie désormais, le sort n'avait pas duré assez longtemps. Il finit par se rasseoir à même le sol et ferma les yeux, entrant dans son esprit.
-Lacerta... pensa-t-il, essayant de rentrer en contact avec l'esprit de la jeune elfe.
L'esprit de la jeune elfe demeurait cependant fermé, et Altaïr ne comprenait pas pourquoi. Il allait essayer avec Alderamir, lorsque la porte de son cachot se rouvrit.
-Quoi? aboya-t-il, dans le fond de sa cellule.
Il eut la surprise de constater qu'il s'agissait de Cornelius Fudge.
-Quel bon vent vous emmène dans vos superbe cachots, mon cher Ministre? demanda Harry, plus ironique que jamais.
Le Ministre lui jeta un regard extrêmement froid, avant de s'approcher de l'adolescent et de regarder attentivement le tatouage, puis de le toucher. Altaïr tressaillit, et Fudge eut un sourire.
-Continuez à le travailler à un rythme intensif... Il ne faudrait surtout pas qu'il s'ennuie, tout seul... Il finira bien par avouer...
-Ça c'est ce que vous croyez... murmura Altaïr.
-Endoloris!
L'adolescent tomba sur ses genoux, les dents serrées. Un feu traversait son corps, et il sentit de nouveau les séquelles de son passage chez Voldemort. Mais pas un son ne sortit de sa bouche.
Fudge sortit de la pièce, satisfait et plus personne ne vint déranger Harry de la journée.
Une semaine se passa ainsi. Altaïr était à nouveau en transe, cherchant désespérément un contact avec Lacerta.
Un très faible oui se fit entendre dans le cerveau embrumé et fatigué du jeune elfe.
-Lacerta ?
Cette fois ci, le son se fit plus fort, car l'elfe avait rompu ses barrières mentales en entendant la voix de Harry.
-Altaïr ? Qu'est-ce qui t'arrives ?
-Je suis dans la merde jusqu'au cou. Le Ministère m'a chopé, mes bobards n'ont pas marché. J'ai besoin d'aide, et vite!
La jeune elfe réfléchit quelques instants.
-Régénère toi avec tes soins, et brise la porte. Tant pis si ils comprennent, on modifiera leur mémoire après. J'arrive tout de suite!
Le contact se brisa et Harry se releva aussitôt. Il mit se deux main devant lui, formant un vague X et ferma les yeux, se concentrant. Un tremblement se fit sentir sous ses pieds, et quelques minutes plus tard, la porte devant lui sortait de ses gons et allait s'écraser dans le couloir, avec un bruit infernal.
Aussitôt, les deux hommes sortirent leurs baguettes, et se précipitèrent là où se tenait Harry. Mais un immense feu jaillit des mains de l'elfe, empêchant les Agents de s'approcher. Une voix retentit derrière eux, et ils se retournèrent.
-Alors comme ça, on traite mal ceux qui font partie de mon peuple? s'écria Alderamir.
Harry sourit à l'elfe, et avant que les hommes est ait pu réaliser quoique ce soit, il les assomma en lui décochant un coup de pied sauter, derrière la nuque. Puis il abaissa le feu, et Lacerta se jeta dans les bras de son ami en l'embrassant passionnément sous le regard amusé d'Alderamir qui se détourna pour modifier la mémoire des deux hommes.
-Harry, tu es blessé! s'écria la jeune elfe.
-Ne t'inquiète pas, Severus me réparera ça en moins de deux... Non, pour le moment, je voudrais aller `å Poudlard.. J'ai des comptes à y régler!
-Je viens avec toi! murmura Lacerta, en resserrant ses bras autour du coup du jeune homme.
-Ce n'est pas une bonne idée... répondit Altaïr, son regard trahissant son inquiétude.
-Et pourquoi ? demanda t'elle, contrariée. Tu crois que j'ai envie de te laisser face à tous ses imbéciles qui insultent notre peuple sans rien faire ?
Altaïr soupira, et prit le visage de son amie entre ses mains.
-S'il te plaît, Lacerta. Ce 'est pas une bonne idée.
-Non tu ne me feras pas changé d'avis! chuchota-t-elle, avant de poser délicatement ses lèvres sur celle de Harry.
-Lacerta! Je suis du même avis qu'Altaïr. Tu n'iras pas à Poudlard!
-Vous ne m'en empêcherez pas! s'écria la jeune elfe.
Altaïr soupira.
-Je n'ai aucune autorité sur toi, Lacerta... Discutes en avec ton père... Quand à moi, je dois partir!
L'adolescent disparut à l'aide de méthodes propres aux Elfes, et réapparut à Poudlard, dans sa Salle Commune. Il consulta son Emploi du Temps, et, malgré sa fatigue, il décida d'aller aux cours... qui n'était autre que celui de Tonks! Il prit rapidement ses affaires, et descendit.
Quelques minutes plus tard, il se trouvait dans la salle de cours de Défense contre les Forces du Mal, assis dans la dernière rangé, écoutant le cours commencer.
Tonks poussa la porte, et regarda ses élèves un à un, et remarqua Harry. Cependant, elle fit semblant de ne pas s'en préoccuper.
-Maintenant que nous avons revu les sorts défensifs, nous allons pouvoir nous attaquer aux Arwels. Est-ce que quelqu'un sait qui sont les Arwels ?
La main d'Hermione se leva immédiatement dans l'air. Avant qu'elle n'ait pu dire quoique ce soit, Harry eut un sourire moqueur.
-Vous voulez vraiment savoir ce qu'est-ce un Arwel, professeur Tonks?
-Mr Potter, taisez-vous, ou sortez de cette classe!
-Très bien!
Harry se leva en rangeant ses affaires.
-Oh et... J'ai passé une semaine dans les cachots du ministère de la magie, car j'ai été accusé d'être un Arwel, et je ne l'ai pas démentie... Alors n'hésitez surtout pas à parler de moi!
Sur ces paroles, il sortit de la classe et il tomba face à face à Lacerta qui avait un sourire paisible au visage.
-Qu... qu'est-ce que tu fais ici?
Pour seule réponse elle l'embrassa tendrement.
-Allez vient... On va se promener!
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-QUOI!
-Écoute Harry... J'aurais voulu te le dire avant... Mais, tu ne m'en as pas donné l'occasion!
-Tu, me dis, le plus naturellement du monde, comme si de rien n'était que... Alderamir-est-mon-père!
-Harry... Je ne croyais pas que tu l'aurais pris ainsi!
-SEVERUS, TU VIENS DE M'APPRENDRE QUE J'AI VÉCU DANS LE MENSONGE TOUTE MA VIE, COMMENT T'ATTENDAIS-TU À CE QUE JE RÉAGISSE?
-Écoute... Lors de notre cinquième année Lily a disparut durant l'été... Ne laissant aucune trace, puis lorsque les vacances ont prit fin, elle a réapparut au collège, totalement changé. Ses yeux était violet, ses oreilles pointu, et elle avait cette petite patte de loup sous l'œil gauche... Il n'y eu que moi, James, et Dumbledore qui comprirent, et en un coup de baguette tout fut dissimuler... Mais cette histoire était loin d'être terminé. Deux ans plus tard, elle est arrivé à Poudlard, une bague à l'annulaire gauche, avec un homme... Alderamir! À la fin de sa septième année, elle l'a quitté pour une raison qui m'est inconnu, elle a épousé James et huit mois plus tard, tu es née!
Harry était vraiment furieux, et au plus grand étonnement de Severus, il sortit en claquant la porte, et plus un bruit de ne se fit entendre dans la château.
« Le calme avant la tempête... »
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REVIEW PLEASE!!!!!!
Merci d'avoir lu ce chapitre, et encore désolé pour le retard, il y a eu quelques problèmes, les prochains arriveront plus vite, c'est promis!
@+
Laika&Mymy!
