Disclamer : Rien ne nous appartient, excepter ce que nous avons créé et qui ne se retrouva pas dans les livres de Rowling! (Qu'est-ce que ça peut être barbant à écrire comme phrase, ça me fait morfondre à chaque fois -___-)
Le loup Solitaire
Réponse au review :
loumiolla : Bonjourno!!! Harry, mort? Nannnnn jamais ^^ On avait bien d'autre chose en tête pour faire ça maintenant héhéhé!!! Allez, voilà la suite très chère!
Baby_Chang : Héhéh! Contentes que tu aimes ;) Voilà la suite :p
Lisia : Mort! Nannnnn y'es pas mort... Jamais on le fera mourir... menfin, pas tout de suite ;)
thegirloftheshade : Bonjour très chère! (dit ça avec un accent anglais) Et bien je vais t'expliquer un petit truc, un elfe ça peut mourir! Pas d'une mort naturelle... Mais d'une blessure oui! Prend le Seigneur des Anneaux, y'en a des elfes qui meurt de blessures dedans! Héhéhé... Menfin, on a trouver quelque chose, mais je ne t'en dis pas plus :P @+
potter-68 : Tu vas savoir ça dans ce chapitre héhéhéhé!!! Jten dis pas plus! @+
pimousse fraise : Ben là! On peut pas finir ça à 5 chapitre voyons lol! Y'en a encore beaucoup de prévus @+
enora de wesdaigle : Héhéhé!!! C'est rien ;) Nous on est pas bien bien mieux! Le chapitre est super en retard! Menfin... Allez, bonne lecture ;)
FannyMJV : Salut Fanny! Oh, c'est pas grave héhéhé! Mais chui, ou plutôt on est contente que ça te plaise, car je fais cette fic avec mymym (mymy1, elle fait : Le fils de Voldemort partie 1 et 2, Solstice et quelques traductions aussi héhé!!!) Menfin... Allez, @+ et et si tu postes un prochains chapitre avant nous ;) Et bien on se revoit sur ta fic :P Bonne lecture!
kamy (le_ranger@hotmail.com) : T'inquiète, y'a beaucoup de chose qui vont changé, et j'affirme ce que je dis, parce que le chapitre 12 est déjà en cours d'écriture lol! Menfin, bonne lecture et à bientôt!
Voilà, merci à toute les review, et a tous ceux qui nous lisent, et qui ne laissent pas de message, car je suis sûr qu'il y en a! Menfin... On devrait poster le prochain chapitre d'ici 1 jour ou 2!!!
À bientôt!
Laika&Mymy!
Chapitre6 : La larme du loup
Lacerta et Severus sortirent de la forteresse, un peu préoccupé.
Personne n'avait vu Harry depuis deux heures, et le Seigneur des Ténèbres, qui
le demandait, était dans une rage folle.
-Harry va se faire punir, cette
fois-ci... murmura Severus.
Lacerta lui fit un sourire
encourageant.
-Il va trouver un moyen de se
défiler, vous le connaissez bien!
Ils s'approchèrent lentement de
la falaise, et Severus, n'y voyant rien, allait repartir, lorsque Lacerta
poussa un cri.
-SEVERUS!
Le Mangemorts s'approcha, et, en
regardant en bas, il pu voir le corps sanglant et déchiqueté de l'adolescent,
qui était tombé sur les rochers. Lacerta tomba sur ses genoux, pleurants toutes
les larmes de son corps, et Severus resta debout, sans rien dire, mais d'amères
pensées défilaient dans sa tête.
« Pardonne-moi, Harry... Pardonne-moi... »
Il prit Lacerta dans ses bras et l'obligea et le suivre, refusant qu'elle contemple plus longtemps le triste spectacle.
-Viens Lacerta, il n'y a plus rien à faire, c'est fini... Il a choisit et il n'en pouvait plus... dit-il doucement, bien que lui, ne croyait pas réellement à ses propres paroles.
Pendant ce temps, un jeune homme ouvrit les yeux. Il se trouvait au beau milieu d'une clairière à l'herbe extraordinairement verte et scintillante, entouré d'arbre aux feuilles argentés et au tronc bleuté, tirant sur le gris. Il se releva et contempla l'endroit dans lequel il se trouvait, fronçant les sourcils, un sourire pourtant, apparaissant sur son visage.
Une femme assez étrange, plutôt petite, vêtu d'une longue robe bleue, ses cheveux bruns retenues en une simple queue de cheval apparut devant lui. Le jeune Arwel soutint un moment son regard intense. Finalement, la jeune femme se retourna vers une autre personne qui venait d'arriver.
-Comment est il arrivé ici ?
-Heu... C'est à vous de me l'expliquer! J'ai... sauté d'une falaise et je suis arrivé ici!
Elle se retourna, et dévisagea un instant le jeune homme.
-Tu as sauté d'une falaise ? Et pourquoi ? demanda-t-elle d'une voix douce, assez chantante, qui était en tout cas apaisante.
-Si vous aviez vécu à ma place... vous sauriez...
-Normalement, aucun humain ne peut pénétrer ici.
-Je ne suis pas un humain, mais un Arwel!
Elle le regarda, surprise.
-Qui sont les Arwels ? Font ils partie des Anciens Peuples?
Altaïr la regarda, assez étonné.
-Ce sont des Elfes...
-Mais les Elfes n'existe pas voyons... Ce ne sont que des légendes mon enfants!
-Ils ne sont pas une légende, mais bien vivant! déclara Altaïr, les yeux étincelants de colère.
-Je n'en ai jamais vu, et croyez-moi jeune homme, Merlin sait combien j'ai pu en voir des choses de mon vivant!
-Eh bien vous devez être aveugle, car les Elfes ne sont pas une légende! s'emporta Harry.
Une lueur de colère passa dans les yeux de la femme.
-Comment oses tu m'insulter, moi, Viviane d'Avalon ?
-La Dame du Lac? Non désolé... Mais ça, c'est une légende!
-Les Prêtresses de Ceridwen, une légende ? Pour qui te prends-tu ?
-Pour qui je me prends ? Pour un Elfe qui a perdu ses parents à l'âge d'un an, qui a vécu pendant onze ans avec des gens qui le détestaient, qui a découvert à onze ans qu'il était sorcier, et qu'il avait un mage psychopathe à ses trousses, qui a vu mourir deux personnes par sa faute... Je continue ?
-Tu es... jeune pour avoir vécu autant de chose! répondit la femme, en fronçant les sourcils.
-Et alors ? En plus je n'ai pas fini! ajouta sèchement l'adolescent.
-Doucement petit, je ne t'ai pas attaqué que je sache, donc calme toi un peu...
Un homme entièrement vêtu de verts arriva. Il avait une longue barbe, et un visage sévère.
-Viviane ? Qu'est ce que...
Il posa ses yeux sur Harry.
-Que fait un humain ici ? demanda t'il d'une voix vibrante de colère, légèrement sifflante.
-Serpentard... ! murmura Harry. Vous pourriez peut être me le dire ! ajouta-t-il en Langue des Serpents.
-Tu parles le Fourchelang! s'écria Salazard, fronçant les sourcils.
-Oui... je le parle, parce qu'un Mage Noir qui aurait dû être détruit m'a transmit son don sans le vouloir...
Les yeux de Salazar se plissèrent.
-Les seuls Fourchelang au monde sont de mon illustre lignée de sang...
-Le mage en question a du sang moldu! répliqua Harry, légèrement agacé. Tom Elvis Jedusor, si ça vous dit quelque chose!
-Je le connais en effet... Car, il a déjà reçu ma visite, forcé... Il croyait qu'il était mon héritier et, il a eu besoin d'une bonne gifle psychologique!
Altaïr ouvrit la bouche de surprise.
-Il... Il n'est pas votre héritier ?
-Non... répondit Salazard, fixant Harry. Non, car Jedusor n'a pas de sang elfique contrairement à moi...
-Attendez, là... Vous êtes en train de me dire que VOUS avez du sang elfique dans les veines, et que Tom N'EST PAS votre Héritier ? s'écria Harry, surpris.
Cela n'avait aucun sens. C'était illogique, irrationnel... Voldemort était l'Héritier de Serpentard, ce n'était pas possible autrement.
-Mais il a ouvert la Chambre! Il était le seul à pouvoir contrôler le Basilic!
-Il n'est pas le seul, car tous ceux qui parlent le Fourchelang le peuvent, à condition d'avoir assez de volonté, plus que celui qui utilise la bête au même moment, car il faut pouvoir briser le pouvoir de l'autre et prendre l'emprise sur l'esprit de ce serpent!
-Mais... Qui est votre Héritier, alors ? demanda Altaïr.
Brusquement, il se dit qu'il ne valait peut être mieux pas savoir... Si jamais c'était quelqu'un dans son entourage...
-Il se trouve devant moi, d'après l'aura que cette personne a! répondit Salazard.
Harry fut frappé par la couleur des yeux de l'homme, cette couleur pure. La même que celle des yeux de Harry, argent.
-Impossible, souffla Harry. NON! Je ne peux PAS être votre héritier! Ma mère a des parents moldus, et mon père est un Arwel ! C'est IMPOSSIBLE! Je suis à Gryffondor! s'écria le jeune homme, cherchant désespérément à prouver qu'il n'était pas héritier.
« Tu devais aller à Serpentard. » lui souffla une voix désagréable dans sa tête.
-Ta mère à peut-être des parents moldus... Mais pourtant, elle est tout de même une sorcière, et a été marié à un Arwel. Et je t'ai dis que chacun des mes héritiers à du sang elfique...
-Mais... Plein de gens ont du sang elfique! Lacerta en a aussi, et...
Salazar s'approcha, et mit une main sur l'épaule de Harry.
-Tu devais aller à Serpentard.
-Je ne peux pas, je ne veux pas! murmura Harry en baissant les yeux.
-Tu n'as pas le choix! déclara sèchement Salazar. Tu es mon Héritier, tu dois poursuivre....
Harry croisa ses bras sur sa poitrine, les yeux flamboyants, et coupa Salazar.
-Ne comptez surtout pas sur moi pour massacrer les enfants de Moldus! Ma meilleure amie en est une!
-Je ne t'ai rien demander de la
sorte, mais ta place n'est pas encore ici, pas maintenant!
-Je refuse de retourner là-bas... Plus jamais, je n'y ai plus ma place! De
plus, j'ai prouvé que j'étais un Gryffondor après toute ces années, je NE peux
PAS être cet héritier!
Salazar releva un sourcil.
-Je ne crois pas me tromper en disant que tes façons de faire relevaient souvent des Serpentard, et en disant que tu n'étais pas toujours à l'aise dans la turbulente maison des Gryffondor! déclara-t-il sèchement.
-En deuxième année j'ai tiré l'épée de Gryffondor du Choixpeau magique! répliqua Harry, cherchant désespérément la sortie de secours à cette situation.
-Et tu as compris que tu étais un elfe parlant le fourchelang cet été, répliqua de nouveau Salazar.
-Mes parents ont été à Gryffondor, je ne peux PAS être un Serpentard, bien que j'aurais eu y être destiné, mais seulement pour mes aptitudes!
-Les maisons n'ont rien à voir avec les héritiers! Un Héritier de Serdaigle peut très bien se retrouver à Gryffondor!
-Dite ce que vous voulez, mais je ne suis pas cet Héritier...
Une lueur de colère passa dans les yeux de Salazar Serpentard.
-Très bien! Puisque tu refuses de voir la vérité, je vais te forcer à le faire!
-Je ne vous le conseil pas...
-Parce que tu crois que tu pourras faire quelque chose contre moi ? Il s'agit tout simplement de laisser sortir ton aura!
-JE NE VEUX PAS ÊTRE CET HÉRITIER! JE NE VEUX ÊTRE RIEN DU TOUT! hurla Harry, le sol se mettant légèrement à trembler.
Salazard eut un sourire.
-Jeune pour être capable d'utiliser tes pouvoirs de la sorte!
-Je ne suis PLUS jeune! déclara amèrement l'adolescent.
Il se tourna brusquement, refusant de craquer devant des étrangers.
Il aura presque pu être surpris de tomber sur un homme aux cheveux blond et aux yeux vert, un visage marqué par un sourire moqueur, si il n'avait pas déjà eu droit à ce genre de choses bien des fois.
-Tiens Godric, tu es venu admirer les éternels talents butés de mon élève?
-Ton élève ? Tu parles de ce jeune homme ? dit l'homme en désignant Altaïr du menton.
-J'ai un nom! répliqua furieusement Harry.
-Et bien donne-le dans ce cas.
-Je n'ai pas à donner quoique ce soit à un pur inconnu! répondit sèchement le Gryffondor, croisant les bras sur sa poitrine.
Godric regarda Salazar, une lueur de malice dans les yeux.
-On voit que c'est ton héritier, il a ton caractère! Je suppose que tu étais à Serpentard ?
-Gryffondor! répliqua Harry, un sourire moqueur aux lèvres.
L'homme qui se trouvait face eut un air crispé, et un peu contrarié.
-Je ne te crois pas!
-Et pourtant... Demandez-moi n'importe quoi, que seul les Gryffondor peuvent savoir, je vous le dirais...
-Quelle est l'entrée ?
-Le portrait de la Grosse Dame, répondit sans hésitation Harry.
-Qu'est-ce qu'il y a dans le Choixpeau magique?
-Votre épée, marqué de votre nom, et vous l'y avait caché puisque c'était votre propre chapeau... dont les quatre fondateurs ont dotés d'un cerveau.
-Tu aurais pu trouver cette information dans un livre... Ça ne prouve rien!
-Alors c'est de votre faute, puisque VOUS m'avez posé la question...
-Bon, t'as bientôt fini Godric, de vouloir lui trouver le plus petit des défauts, prouvant qu'il n'était pas à Gryffondor? coupa Salazard.
-C'est un Serpentard, ce n'est pas possible autrement!
Une détonation magique retentit, et les deux hommes se retournèrent pour voir un Harry assez énervé.
-C'est pas bientôt fini tous les deux ? Je me fous de savoir dans quel maison je devrais être, je me fous de savoir si je suis héritier ou pas, JE VOUDRAIS JUSTE SAVOIR POURQUOI JE SUIS ICI!
Salazar eut un sourire.
-Parce que tu es Héritier.
-Merci... ça m'aide beaucoup! siffla Altaïr, plissant les yeux sous l'effet de la colère.
-Tous aux abris, ça sera pas beau à voir deux Serpentard! s'écria Godric à allant se cacher derrière un arbre.
-Et ça ce dit être un courageux Gryffondor! répliqua Harry, en fixant Gryffondor.
Godric ressortit, souriant jusqu'aux oreilles.
-En nombre supérieur, je préfère faire retraite!
-Qu'est-ce que je disais... marmonna Harry, levant les yeux au ciel.
Les deux hommes se mirent à rire.
-Au fait, comment cela se fait que tu sois ici, toi ? Tu me sembles un peu jeune! déclara Godric, surpris.
-Sauter du haut d'une falaise amène la mort bien vite...
Le visage de Godric perdit toute sa couleur, tandis que Salazar fixa Harry d'une étrange façon.
-Tu.... as essayé de te suicider ?
-Il semblerait, oui! ajouta amèrement l'adolescent. Et je n'ai pas juste essayer, je les fait! reprit-il, constatant qu'il était ou enfin... devait l'être.
-Tu n'es pas mort, c'est ça le problème...
Harry les regarda, très surpris.
-Mais... Mais...
-Tu es dans un monde parallèle à la réalité, un monde atemporel... ajouta joyeusement Godric.
-Et pourquoi je ne peux pas être mort une bonne fois pour toute?
-Parce que... Je pense qu'il a le Don, pas toi ? répliqua Godric.
-C'est la seule explication... répondit celui-ci
-Je pourrais savoir ce que j'ai exactement comme... don?
-Le Don des Héritiers... annonça solennellement Salazar.
-Quelle joie...
-Cela confirme ce que je disais tout à l'heure!
-Malheureusement...
-Ne dis pas ça, ce n'est pas un malheur d'être un Héritier!
-Parle pour toi! s'écria Harry
-Qu'est-ce qui te fait dire que c'est déplaisant être un Héritier? C'est ce que tu seras toujours et tu n'y peux rien...
Altaïr soupira.
-Je ne suis PAS un Héritier!
-Comment peux-tu en être si sûr?
-Si j'étais Héritier de Serpentard, cela se saurait... répliqua Altaïr.
Salazar Serpentard eut un sourire.
-Mais tu l'as prouvé. Ta résistance à la Magie Noire, tes capacités à parler le Fourchelang, tes dons pour transplaner, le fait que tu es ouvert la Chambre des Secrets...
-Le fait que je sois à Gryffondor, que je n'ai jamais été attiré par la Magie Noire et que je n'ai accepté de devenir un disciple de Voldemort que pour sauver celle que j'aime...
-Là, tu te mens avec toi même, mon garçon! Tu voulais te mettre du côté de Voldemort car, en quelque sorte, il était le seul à pouvoir te comprendre. Il a le même passé que toi, et vous le savez tous les deux! Lui seul pouvoir te sortir d'Azkaban!
Altaïr grommela, mais était forcé de reconnaître que c'était véridique.
-Je ne veux pas être cet Héritier!
-TU N'AS PAS LE CHOIX! TU ES BORNÉ OU QUOI ? cria Salazar, qui commençait à s'énerver.
Godric recula prudemment, et un mouvement dans sa poche fit comprendre à Harry qu'il était prêt à prendre sa baguette magique.
-Je ne suis pas borné, je sais seulement ce que je veux... répondit calmement Harry, plantant ses yeux argent, strié de noir, dans ceux de Salazard.
-Tes yeux... murmura Godric. Ce sont ceux d'un Héritier...
-Et ceux d'un elfe... Et ceux qu'avait Voldemort autrefois!
-Très bien... Puisque tu ne veux rien savoir, nous allons te forcer à le faire...
Harry sortit sa baguette, mais vit que les 2 Fondateurs venaient de sortir la leur. Il déglutit, mais ses yeux ne transmettaient aucune inquiétude, même si il savait que les deux hommes étaient plus forts que lui.
-Tu ferais mieux de te laisser faire, Harry... déclara Godric, le ton maintenant grave.
L'adolescent recula de quelques pas jusqu'à saisir une branche d'arbre miraculeusement droite qui se tenait par terre.
-Pas question...
-Ce que tu peux être buté, on veut pas te tuer, alors range ta baguette et laisse nous faire!
-Je vous ai déjà dit que je voulais rien savoir!
Les Deux Fondateurs soupirèrent.
-Désolé, Harry, on ne voulait pas en arriver là, mais tu ne nous laisses pas le choix! déclarèrent-ils sombrement.
-Je ne vous conseil pas de me jeter un sort...
-Qu'est ce que tu pourras y faire, de toute façon ? Un cinquième année n'as pas le niveau pour nous arrêter!
-Je suis en sixième... Pour votre gouverne...
-Tu n'as pas suivi un seul cours de sixième... Pour ta gouverne!
-Parce que j'en avais rien à foutre!
Godric sourit.
-Je croyais plutôt que c'était parce que tu venais de passer deux semaines à être torturé, puis deux autres à souffrir des séquelles, avant de passer deux semaines chez les Elfes et d'être envoyé à Azkaban par le Ministère ?
-Je t'ai rien demander, et surtout pas de ranimé les mauvais souvenirs!
-Tu vas pourtant devoir le souffrir si tu vas faire face à ton futur! répliqua gravement Serpentard.
-Je vous répète que je suis mort...
-Et moi je te répète que tu es dans un univers atemporel, où le temps s'écoule différemment que dans les autres mondes. Il y a plusieurs univers parallèles, et tu devais venir dans celui ci un jour où l'autre, tu as juste... accéléré le processus.
-Et vous n'en semblez pas très heureux, tous les deux!
-Non, vu que tu n'es pas assez mûre pour assurer ta double...
-GODRIC! cria Salazar, plutôt en colère.
Godric baissa les yeux sans rien dire.
-Maintenant que vous avez commencé... Continuez!
-Pas question! Pas avant que tu aies assumer ton héritage! répondit Salzar d'une voix qui ne souffrait aucune réplique.
-Étant donné que vous dites que je suis cette Héritier, et que Godric a ouvert sa grande trappe, j'aimerai bien connaître la fin de la phrase!
-Depuis quand admets tu que tu es un Hériter ? Je croyais que tu ne voulais pas en être un ? rajouta Godric.
-Godric, à ta place je fermerais ma gueule... répondit Salazar.
-J'ai pas dit que j'en était un... Je ne fais seulement que reprendre ce que vous dites et que je n'admets pas!
-Admets le d'abord, ensuite on verra!
-Bon et bien, je vais faire comme si Godric n'avait rien dit tout à l'heure...
Harry tourna les talons et commença à s'enfoncer dans la forêt.
Salazar soupira, et se tourna vers Gryffondor.
-Godric, on ne t'as jamais appris la définition du mot secret ?
-C'est un gosse, répliqua simplement le concerné.
~¤~
-QUOI! IL EST MORT! hurla le Seigneur des Ténèbres, en se levant d'un bond de son trône. Tu dis, Rogue, qu'il a sauté de la falaise, et tu n'as rien fait pour l'en empêcher!
-Il avait déjà sauté quand nous sommes arrivé, Maître... répondit Rogue d'une voix oppressée par l'anxiété.
A côté de lui, Lacerta tremblait comme une feuille, pleurant des larmes violettes. Elle l'avait perdu, il était mort, elle ne le reverrait jamais plus.
-Dite au mangemort qui se trouve dans le Hall d'entré d'aller chercher le corps... ordonna simplement Voldemort, et retournant s'asseoir.
Ces simples mots suffirent à mettre Lacerta dans une rage folle. Elle, qui avait toujours été considéré comme une jeune fille assez faible, se transforma en une véritable furie. Elle s'avança vers le Mage Noir, la rage perlant dans ses yeux qui étaient devenus sombres.
-C'est tout? demanda-t-elle. C'EST TOUT? Vous allez simplement faire ramenez le corps, puis faire comme si de rien ne s'était passé?
Une leur d'inquiétude passa dans les yeux de Severus, et il s'avança pour la sortir de là, mais la jeune femme avait inconsciemment crée un mur magique.
-JE CROYAIS QUE VOUS, VOUS INTERESSIEZ A LUI! QUE VOUS NE VOULIEZ PAS QUIE SA MAGIE! C'EST POUR CA QUE JE LUI AI DIT DE SE RALLIER A VOUS!
-Je m'intéressais en effet à lui, parce que ce gamin a eu pratiquement la même enfance que moi! Mais que veux-tu Lacerta, je ne suis pas Merlin, je ne suis pas Dieu et je ne ramène pas les gens à la vie!
-JE PENSAIS QUE VOUS AVIEZ DES SENTIMENTS POUR LUI! VOUS NE SAVEZ RIEN DE SA VIE, NI DE SON ENFANCE!
Elle s'arrêta un instant, ses deux yeux devenus maintenant deux points noirs. Derrière elle, des Mangemorts s'amassaient, attirés par les cris.
-Des sentiments?
Le Mage Noir éclata d'un rire froid.
-J'ai dis que je lui portais une certaine attention, mais je ne le considérai jamais comme quelqu'un dont je voudrais m'occuper... siffla Voldemort, ses yeux prenant soudainement une lueur dangereuse.
Mais Lacerta ne s'en préoccupait pas, sachant parfaitement qu'elle pouvait envoyer le Mage Noir au tapis si elle le voulait.
-Vous êtes égoïste. Vous avez détruit sa famille, j'ai fait l'erreur de croire que vous auriez pu l'aider, mais je me suis trompée! Vous n'aimez pas, vous ne savez pas ce que c'est que l'amour, même face à quelqu'un dont vous avez détruit la vie!
Son visage s'approcha encore plus de celui du Lord.
-Vous avez tué Harry...
Un sourire se dessina sur le visage de Voldemort.
-Non... Je ne l'ai pas tuer, il a vendu lui-même son âme aux ténèbres!
Voldemort sortit sa baguette et la pointa sur la jeune fille.
-Endoloris!
Lacerta joignit les deux mains, et un bouclier en sortit. Le sort s'écrasa contre sa surface. Voldemort la regarda, surpris, et elle eut un sourire moqueur.
-Il en faut plus que ça pour piéger une elfe!
-Sort d'ici... Avant que je décide que tu finisses comme Potter...
Lacerta, qui allait repartir, se retourna vivement, les yeux brillants de rage.
-Qu'est ce que vous venez de dire ? demanda-t-elle d'une voix pleine de colère.
-Sors, ordonna glacialement le Mage Noir.
-Pas question! Contrairement à tous ces gens qui jouent aux chiens devant vous, je ne suis pas dénuée d'intelligence, ni de pouvoir! Vous avez joué avec Harry, vous l'avez envoyé à la mort! Savez vous ce qu'est la Malédiction des Elfes ?
-En effet je sais ce qu'est cette malédiction, puisque j'ai vécu dans un Ancien Peuple de ce monde.
-Alors vous savez qu'il vaut mieux faire attention à tous les elfes, car tous ont le devoir de venger Altaïr..... Et je suis une elfe!
Un sourire apparut sur le visage de Voldemort.
-Personne ne va vouloir venger Harry. Il représentait une menace pour son père, il aurait pu prendre le pouvoir!
-Mais il ne l'a pas fait, par respect, et aussi parce qu'il n'en voulait pas, ça représentait trop le passé...
-Donc je n'ai rien à craindre de la Malédiction des Elfes...
Les yeux de Lacerta brillèrent un instant, mais elle repartit calmement devant tous les Mangemorts stupéfaits.
~¤~
Une bête de plus de trois mètres se trouvait devant lui, des crocs coupants comme des rasoirs sortant de sa gueule. La fourrure de la bête sanguinaire était d'une affreuse couleur verte kaki, à la texture rude. La bête de tenait à quatre pattes et sa queue épaisse et touffu battait rageusement l'air, tandis que les yeux injectés de sang regardait fixement Altaïr.
Celui-ci ne lâchait pas non plus du regard la bête, et un bouclier elfique, puissant, s'élevait autour de lui, comme une sorte de bulle translucide, mais pourtant coloré d'un léger pigment turquoise.
Harry voulut utiliser son arc, mais il se rendit compte qu'il ne l'avait pas avec lui. Il sortit sa baguette, et tout changea autour de lui. Son acuité visuelle était extrêmement bonne, il pouvait déceler les parties cachées et sans défenses de la bête. Il ne vit pas les serpents qui l'entouraient, toute son attention concentrée sur le monstre.
Étrangement, sa baguette lui sauta des mains et vola de l'autre côté de la clairière, tandis qu'il éviter d'un bond agile la queue de la bête qui allait le fouetter.
Retombant au sol, un genou par terre, il posa sa main au sol et un violent tremblement de terre commença, faisant tomber le monstre à la renverse, qui fut entouré par un immense cercle de feu.
A côté de la forêt, Salazar souriait.
Le monstre se releva cependant, mais n'eut pas le temps de voir la vague d'eau gigantesque qui s'abattit sur lui, le projetant 10 mètres plus loin. Il tomba violemment sur le sol, et ne bougea plus. En se relevant, épuisé, Altaïr s'aperçut qu'il y avait des serpents tout autour de lui. Levant les yeux au ciel, il soupira.
-Partez... siffla-t-il.
-Bien sûr, jeune Héritier... répondirent respectueusement les serpents.
Harry, surpris, faillit tomber à la renverse.
-Héritier, j'en ai marre! grogna-t-il en tendant la main vers sa baguette qui se trouvait à des dizaines de mètres de lui.
Aussitôt, elle lui vint automatiquement en main, et il la rangea dans sa robe de sorcier.
Il ressortit de la forêt, beaucoup moins soucieux que lorsqu'il y était entré. Il aperçut Salazar, qui souriait, ainsi que Godric, qui riait avec lui.
-Les choses ont bien changées en 1000 ans... dit tranquillement le jeune héritier.
-Qu'est-ce que tu veux dire Harry? demanda Godric.
-Vous ne vous détestiez pas, tous les deux, il y a 1000 ans?
-Oh de simple querelle... Mais ce n'était pas au point de tuer l'autre...
Harry jeta un regard entendu à Salazar.
-Suffisante pour que vous quittiez l'école en y laissant un Basilic!
Serpentard eu un sourire gêné.
-Bon maintenant, si je suis dans un univers parallèle, je commence à en avoir marre, je pourrais retourner chez moi?
-Oh non, tu vas d'abord devoir apprendre à maîtriser ton héritage!
-Mais j'en veux pas de cet héritage! D'accord, je suis conscient que je suis ce fameux Héritier, mais ça s'arrête là...
-La Prophétie est incomplète. Il manque une partie essentielle, que je te dirais tout à l'heure. Elle demande que tu maîtrises ton héritage pour vaincre le mal...
-Je fais partie du mal Salazard, j'ai vendu ma liberté à Voldemort...
Une expression de choc apparut sur le visage des deux Fondateurs. Finalement, Godric fut le premier à réagir.
-TU AS FAIT QUOI ?
-Tu as bien entendu...
-Remonte ta manche!
Harry s'exécuta, et les deux hommes purent voir le tatouage de la Marque des Ténèbres.
-Je peux pas y croire! Harry, pourquoi tu as fait ça? Tu te rends compte de ce que ça signifie?
-Oui, et je l'ai fait parce qu'il n'y avec que Voldemort qui pouvait me comprendre!
Les deux hommes éclatèrent de rire. Mais le rire était amer, sans aucune joie.
-Tu crois ça ? Il ne s'intéresse qu'à la puissance qui t'habite, et à ce que tu peux lui offrir!
Harry haussa les épaules.
-Je n'avais plus rien à perdre de toute façon, après la mort de mon parrain... Si il ne serait pas venu me chercher, je m'aurais laisser dépérir à Azkaban sans aucun remord!
Godric et Salazar regardèrent le jeune sorcier.
-Rien, tu m'entends, RIEN n'autorise un sorcier à vendre leur âme aux Ténèbres!
-Vous ne vivez pas dans mon temps tous les deux, vous n'avez pas vu tous les massacres, vous n'avez pas eu un ami et un type qu'on considère comme son mère, mourir devant vos yeux!
-Ce n'est pas une raison! Aucun de nous n'a eu une enfance facile, nous ne nous sommes pas pour autant tourné vers les Ténèbres! Même si on ne vit pas dans ton monde!
Salazar regarda Harry, la colère habitant ses yeux.
-Vous voulez vraiment la vérité? Je l'es fait parce que je ne voulais pas qu'il n'arrive rien à Lacerta...
-Tu l'as pourtant laissée seule, et sans défense!
-Elle sait parfaitement se défendre, le principe était qu'il fallait seulement que je la sorte des cachots!
-A ta place, je ne serais pas si sur de sa sécurité! Elle t'aime, Harry, et essayera de tuer tous ceux qui ont causé ta mort! déclara Salazar.
-Alors pourquoi me garder plus longtemps ici...
-Parce que tu dois maîtriser ta magie... Et faire disparaître cette saleté de Marque de ton bras.
-Je retournerais au service de Voldemort dès que je serais de nouveau dans mon monde!
-Dans ce cas tu ne partiras pas d'ici... La magie que tu possèdes n'est pas faite pour faire le mal!
-Tu ne me retiendras spas ici très longtemps, crois-moi!
-Nous sommes les seuls à pouvoir te faire partir d'ici...
Pour seule réponse, Altaïr sourit. Visiblement, les deux hommes ne connaissaient le talent qu'il avait pour se sortir de toutes les situations possibles et inimaginables...
-Tu finiras bien par comprendre avec le temps... Que ta place n'est pas avec lui, mais je ne suis pas ton père, et ce n'est pas moi qui va t'obliger à faire quelque chose dans ce genre, mais plutôt à t'entraîner...
Godric allait partir, lorsque Salazar le retint.
-Tu peux rester, God' si tu veux... Je crois que je vais bien avoir besoin de ton aide pour maîtriser ce jeune paquet de puissance!
-Drôle de surnom...
-C'est à cause de son alter ego... assez enflé!
-Tu sais ce qu'il dit l'ego enfler? D'aller de te faire...
-C'est bon Harry, j'ai compris, coupa Serpentard, avec un sourire.
Les trois hommes marchèrent jusqu'à un endroit plus dégagé, où le vent s'entremêlait dans les hautes herbes, créant ainsi un paysage charmant.
-Tu as en toi la Puissance des Serpentard, mais il te faut apprendre à la maîtriser, surtout que tu as aussi de la Magie Elfique en toi... Une puissance mal contrôlée peut amener de graves conséquences, comme la mort de plusieurs personnes dans les environs alors que tu voulais simplement désarmer quelqu'un...
-Je vois... C'est plutôt pratique!
-Pas vraiment, en fait. Tu comprendras plus tard... Autant te dire tout de suite que les Héritiers sont craints, donc évite de le dire à qui que ce soit, surtout que tu es l'Héritier de Serpentard...
-Bah... Ça ne sera pas très nouveau de toute façon...
Les deux hommes eurent un sourire indulgent.
-Une fois ta puissance maîtrisée, ne l'utilise qu'en cas de problème majeurs, surtout les sorts spéciaux que tu apprendras un peu plus tard. Je préfère aussi te prévenir que des dons vont se développer chez toi, pour une raison que je t'expliquerais plus tard.
-Plus tard, plus tard! Y'a un vieux dicton qui dit: Ne remet jamais à plus tard ce que tu peux faire maintenant!
-Ton cas est... Comment dire.... Plus particulier...
-J'ai une vague impression de déjà vu... marmonna Harry.
-Bon, revenons en à ton entraînement...
-Mouais...
-Nous allons commencer par des sorts assez simples, que tu maîtrises déjà... Lance un sort de Désarmement!
Altaïr eut un mince sourire, et se prépara à lancer le sort.
-Expelliarmus!
La baguette de Salazar bougea de deux centimètres.
-Hé! s'indigna-t-il.
Il perdit son sourire et se concentra cette fois-ci.
-Expelliarmus!
Mais le sort ne marcha pas plus. Devant l'expression de l'adolescent, Salazar jugea bon de lui donner quelques explications.
-Selon la façon dont tu lances ton sort, il va avoir plus où moins d'impact. Chaque sort a de différentes façons d'être lancée.
-J'ai toujours lancé mes sorts d'une façon bien normal, et ça l'a toujours marcher! Je ne vois pas pourquoi ça changerai aujourd'hui...
-Tu les as toujours lancé normalement, mais sans jamais profiter au maximum de leur puissance! Cela fait partie du début de ton travail... Apprendre à vraiment maîtriser les sorts...
-Je sens que la journée va être longue... marmonna Altaïr.
-Oh oui, est très fatigante! On va commencer par le Lumos, un des sorts les plus simples.....
-Génial... On va éclairer ma lanterne pas un sortilège de lumière...
-Tais-toi un peu et concentre-toi! grogna Salazar.
Godric s'approcha de Harry, et, sous prétexte de l'aider, il lui glissa un petit mot :
-Il n'est pas très patient...
-Tiens j'avais pas remarquer... répondit Harry sur le même ton, tout en faisant mine d'écouter attentivement Gryffondor.
-Bonne chance, mais ne le pousse pas trop à bout.... Il est dangereux quand il veut...
Altaïr eut un sourire.
-Parce que tu crois que je suis quoi, moi ?
-Un gamin de seize ans qui se surestime!
-Et toi tu es un bien piètre professeur!
-Ces jeunes... Plus aucun respect pour leurs aînés... déclara Godric en soupirant.
-Non, tu as raison!
-Salazar attend...
Altaïr se détourna en soupirant, et fit face à son nouveau Professeur.
-C'est bon je suis prêt! déclara Harry sur un ton morne et peu enthousiasme.
-L'enthousiasme n'a jamais tué personne... Mais bon, lance le sort!
-Lumos! dit Harry, le plus naturellement du monde.
Une faible lueur sortit de sa baguette. Salazar eut un sourire, adopta une posture particulière avant de lancer le sort. Une lumière aveuglante sortit de sa baguette, et Altaïr recula.
-Je vais l'étrangler si il continue à se vanter... grogna inaudiblement l'adolescent.
-Les sorts les plus simples sont parfois de grandes armes, comme tu peux le voir... A toi, maintenant
Harry le fixa pendant un instant, et se contenta de lever un sourcil.
-Tiens ta baguette a 45 degrés, et met une jambe plus en avant, en la pliant légèrement.
-Ce que ça peut être compliqué, marmonna Harry, en faisant tout de même ce que lui disait Salazar.
-Bien... Ton poignet doit être plus droit, et, ne laisse pas ta baguette pendouiller comme ça, tu vas blesser quelqu'un! C'est mieux! Maintenant, lance le sort!
-Lumos!
Une plus grosse lueur en sortit, mais elle était loin d'être égale à celle de Salazar.
-C'est mieux je dois l'avouer...
-Ouais et moi ça m'énerve, répliqua Harry à voix basse, toujours pour lui-même.
-Ça t'énerve peut-être mais ça sera utile, tu verras! Recommence!
Harry leva les yeux au ciel, puis se repositionna et lance son sort. Une lumière à peine plus intense sortit de la baguette de l'adolescent. Celui-ci grogna en voyant qu'il n'y avait guère d'amélioration, mais ne dit pas à un mot et se contenta de s'asseoir par terre, en tailleur.
-Lève-toi! déclara sèchement Salazar.
-Ça n'avance à rien...
-Ça avancera si tu te concentres!
-C'est ce que je m'efforce de faire, mais ça ne marche pas...
-Tu n'arrêtes pas de soupirer, concentre toi une bonne fois pour toute! Tu croyais que ça allait te tomber tout cru dans la bouche ?
-Ça l'aurait été bien pour une fois...
-Relève-toi, où c'est moi qui vais le faire!
-Non...
-Harry... Debout!
-Non!
-DEBOUT!
-NON!
-TRÈS BIEN! TU L'AURAS VOULU!
A ce moment, Godric intervint, en se jetant délibérément sur Salazar.
-Tu ne touches pas à ce garçon! déclara-t-il sèchement.
-LAISSE-MOI TRANQUILLE GODRIC! IL A BESOIN D'UNE BONNE LEÇON D'OBÉISCENCE!
Pendant ce temps, Harry était toujours assis et sol et regardait calmement la scène.
-Il n'a que 16 ans, il n'a pas besoin que tu le détruises complètement!
-IL EST PEUT-ÊTRE ARRIVER JEUNE ICI, MAIS C'EST DE SA FAUTE! MAINTENANT IL N'A PLUS LE CHOIX...
-Oh et puis merde, si tu veux le détruire, vas-y!
-Merci...
Salazar se leva et s'avança aussitôt vers Harry qui, instantanément pris sa forme de loup et gronda sourdement en montrant les crocs, avec de s'élancer vers la forêt, et de disparaître dans les ténèbres que procuraient les arbres.
Salazar se retourna, ses yeux brillants de colère. Godric eut un sourire.
-Il tient de toi, celui-là!
-Désolé Godric, mais moi, je ne m'enfuis pas devant le danger! répliqua haineusement Salazar.
Godric éclata de rire.
-Il s'enfuit devant l'ennui, oui!
-Retire ce que tu as dis!
-Y'a pas à dire, pour une fois, ton héritier te ressemble trait portrait, côté caractère!
-Pourquoi, parce qu'avant ce n'était pas le cas ?
Godric se mit à sourire.
-Pourquoi est ce que tu crois que ça marchait entre toi et tes héritiers, avant ?
Salazar ne dit rien, mais ses yeux ne quittaient pas la forêt.
-Je lui donnerais une leçon quand il rentrera!
-Parce que tu crois que maintenant tu vas arriver à l'approcher?
Godric se mit à rire.
-Salazar, ce garçon est futé... Il n'est pas assez fou pour venir se jeter dans la gueule du loup... Puisqu'en fait c'est un loup!
-Futé où pas futé, je vais le rattraper et le faire obéir un minimum, moi!
-Ce n'est pas en le massacrant qu'il va t'écouter... Il l'a dit lui-même, il obéit à Lord Voldemort... Il en a vécu des pires je crois!
Salazar grommela.
-Je vais le chercher avant qu'il ne fasse de bêtises!
Et il se métamorphosa en un magnifique cobra royal.
-Excuse, Sal', mais je suis pas sur qu'un serpent puisse battre un lou...
Gryffondor n'eut droit qu'a sifflement menaçant, avec que le serpent disparaisse dans la forêt.
~¤~
Harry courait toujours, la langue pendant, cherchant désespérément un ruisseau pour s'abreuver. Il y avait déjà une heure qu'il avait quitté Salazar et il n'était pas prêt de retourner là-bas...
Il s'arrêta un instant, laissant ses instincts prendre le dessus. Bientôt, il se sentit presque chez lui, et pu déterminer où se situait les points d'eau. Il continua à galoper, son esprit divaguant quelque peu. Il n'était plus un humain, mais un loup, à l'état sauvage, adapter à cet environnement pur qui pouvait être bien cruel pourtant. Enfin, Altaïr arriva près d'un petit ruisseau et s'en approcha, avant de s'étendre sur la rive et de s'abreuver à son aise. Cependant, quelque chose derrière lui mit ses sens en alerte, et il se retourna vivement, le poil hérissé, montrant les crocs. Voyant le cobra géant, de couleur ébène approcher, son pelage couleur neige se hérissa davantage, créant des vagues sur son échine, et il se mit à gronder d'avantage de façon menaçante. Le cobra se mit à siffler de façon dangereuse, et Altaïr comprit ce qu'il disait.
-Ne joue pas à ça avec moi, Harry!
Pour seule réponse, le loup blanc montra encore plus les crocs Alors que le cobra avançait vers lui, Altaïr fit un bond et se retrouva de l'autre côté du ruisseau, grondant toujours autant par contre.
-Harry, tu ferais mieux de revenir!
Un galop se fit entendre derrière le loup. Celui-ci se retourna, et sauta juste à temps pour ne pas se recevoir un superbe lion qui rugissait, les yeux brillants. Puis avec un dernier grondement, il disparut dans les buissons, courant le plus vite qu'il pouvait, sautant par-dessus des troncs d'arbres morts, se glissant sous des buissons de ronce et d'épines, faisant des crochets serrés, feintant à gauche ou à droite pour essayer de faire perdre sa trace. Il finit par déboucher sur une grande prairie. Le loup grogna : il était à découvert. Sans regarder en arrière, il continua à galoper, essayant de rester le plus bas possible. Un rugissement se fit entendre derrière lui, mais il ne prit même pas la peine de regarder, il replongea aussitôt dans les buissons. Le seul problème fut que, il ne s'attendait pas à tomber sur une pente escarpé, qu'il d'éboula, mais heureusement ne se fit rien. Une fois en bas, il reprit sa course jusqu'à se retrouver devant un petit cours d'eau, où il plongea, pouvant ainsi faire perdre sa trace plus facilement, mais pouvant toujours garder un appuis sur les pierres glissantes. Derrière, Godric continuait de galoper, tandis que Salazar glissait le plus vite possible. Altaïr, après avoir fait quelques kilomètres, aperçut de nouveau la forêt. Il allait y rentrer lorsqu'il fut saisi d'une fulgurante douleur à la tête. Une image se formait dans son esprit, d'abord assez flou, mais se faisant de plus en plus précise. Il tenta de l'oublier, mais bientôt la douleur fut trop fulgurante, puis voyant une faille dans un arbre, juste assez grande pour le laisser passé, il s'y glissa, à travers les buissons, et longea le tunnel creuser dans la terre, pour enfin déboucher dans une chambre poussiéreuse et abandonner, mais sécuritaire. Il tomba sur le sol, avec le sentiment que l'image se déroulait dans toute la pièce.
Lacerta était debout, les mains sur les hanches, et faisait face à Severus. Ses yeux étaient noirs de colère, et le Mangemorts semblait visiblement essayer de la calmer.
-Tout a commencer par toi Severus! C'est toi qui l'a ramené, c'est toi qui l'a trahit, et il ne te l'a jamais pardonné! sifflait-t-elle, rageante.
-Il est mort, Lacerta, on n'y peut rien! Arrête de ramener la faute sur les autres, essaye plutôt de voir ce que tu as fait! s'énerva-t-il.
-Moi je n'ai rien fait, je l'ai soutenu! Alors arrête de vouloir te défiler et avoues tes tords!
Severus se leva, ses yeux noirs de colère.
-C'est à cause de toi qu'il a accepté! Lâcha-t-il sèchement.
-Parce que je croyais que c'était bien pour lui! Il n'avait plus rien, si je n'avais pas été là, et qu'il en avait eu la possibilité plus tôt, il se serait tuer, sur le champ!
Severus soupira.
-Tu te mens à toi même, Lacerta!
-Non... Je ne me mens pas! Toi, tu cherches à te mentir, pour pouvoir te laver les mains de toute culpabilité, ce sentiment qui te ronge, et qui t'a toujours ronger, depuis la mort de Lily Evans, parce que tu n'as pas fait ce que tu lui avais promis, tu ne t'es pas occupé de Harry...
Severus s'avança, les poings crispés.
-Qu'est ce qui te fait dire ça ? déclara-t-il froidement.
-Tu ne sais même pas lire dans ton propre coeur!
Une gifle s'abattit sur le joue de la jeune elfe, qui mit aussitôt sa main à l'endroit rougit et fixa Severus, avec un mélange de tristesse et de colère dans les yeux.
-Mêle toi de tes affaires, sale gamine!!! déclara méchamment Severus.
-Harry avait raison, tu ne vaux pas mieux que ces imbéciles du Ministère de la Magie!
Severus recula, la même expression sur le visage.
-Je te déteste! cracha Lacerta en allant s'enfermer dans sa chambre.
La vision s'arrêta là, et Harry rouvrit les yeux, complètement épuiser. L'impression de malaise et flou qui planait autour de lui l'endormait complètement et lui donnais une sensation de nausée. Il reposa sa tête sur ses pattes, se sentant mal. La sensation de nausée se dissipait peu à peu, lui permettant de réfléchir. Lacerta et Severus venait de se disputer... Pour lui, pour sa mort...
« Mais qu'est-ce que je fais encore ici... » pensa-t-il. « Qu'est-ce que je fais encore dans ce monde? »
Il n'eut pas le temps de se répondre que le cobra royal apparu devant lui, ainsi que le lion, qui avait miraculeusement réussi à passer. Altaïr se releva vivement, mais toute animosité semblait l'avoir quitté. Une larme tomba au sol. Il leur jetas un dernier regard, puis tourna dos et se recoucha au sol, en poussant un soupir à en fendre l'âme.
Godric et Salazar s'approchèrent lentement, puis, finalement, le lion donna un coup de museau au loup. Harry releva sa tête blanche, mais ses yeux restaient fixés sur le mur. Le cobra se mit à siffler.
-Harry, retransforme toi, s'il te plaît...
Avec un petit soupir, le loup redevint humain.
-Quoi encore? demanda-t-il d'une voix froide, mais tout de même distante.
Pourtant, il ne les fixait pas, Altaïr regardait obstinément le sol.
Les deux hommes se métamorphosèrent, et Salazar posa une main sur l'épaule de Harry.
-Lâche-moi Salazar... se contenta de demander Harry, sans vraiment conviction ou menace.
Salazar retira doucement sa main. Il y avait une expression de compassion sur son visage.
-Nous allons te montrer où tu vas loger.
-Non merci...
Godric comprit rapidement le problème du jeune homme.
-Harry, on ne peut pas te renvoyer dans ton monde tant que tu ne maîtrises pas ton héritage... Applique-toi, et tu retrouveras vite les tiens...
-Pfff... Ça peut très bien prendre des mois et j'ai pas envies d'avoir des visions de ce qui se passe là-bas à chaque jours...
-Si tu y mets du tien, cela viendra plus rapidement, fais moi confiance!
-Oh bien sûr... J'vais faire confiance à un type qui voulait me massacrer y'a pas plus tard que deux heures!
-Qu'est ce qui te dit que je voulais te massacrer ? Donner une leçon ne veut pas dire mettre en pièce!
Harry le regarda amèrement.
-On m'a toujours appris cette définition l
-J'en suis désolé Harry...
-C'est rien...
Avec un dernier soupira, il se retransforma et sortit à par lent du terrier, avec l'intention de retourner à l'endroit où il avait rencontrer les deux fondateurs.
Les deux autres le suivirent, et, une demi-heure plus tard, ils étaient au même endroit. Altaïr se transforma en humain, et regarda les deux hommes.
-Alors? demanda-t-il toujours sur le même ton las. Je dors où moi?
-Nous allons t'emmener au village...
-Super... J'vais être entouré de débile du moyen âge... Vraiment, ma situation s'améliore!
Godric toussota.
-Ce sont des Atlantes!
-Bah... J'vais avoir droit aux poissons dans ce cas, un ou l'autre...
Ils ne dirent plus rien, et quittèrent la forêt pour se diriger vers le village qui se trouvait à dix minutes de là.
Une fois arriver, Harry découvrit un immense village, à l'aspect plus ou moins moderne, et au loin, il y a avait un grand palais, construit dans le diamant.
-Bienvenu à Araël, Harry... Là où tous les grands de notre monde viennent, à leur mort!
-Je ne suis pas mort, aux dernières nouvelles!
-Tu es Héritier, c'est différent...
Ils se promenèrent dans les rues, les gens se retournant en voyant ce garçon étrange, qui avait des oreilles pointues et qui parlait la Langue des Humains. À chaque fois que quelqu'un le regardait avec un peu trop d'insistance, il avait une incroyable envie de leur cracher une réplique cinglante en pleine figure, incapable de se faire fixer comme une bête de foire... mais il se retenait.
Il se contentait d'admirer le paysage sans y porter aucune réelle attention, celle ci étant tournée sur ce qui ce passait dans son monde. Harry fut étonné lorsque Salazar l'obligea à continuer en direction du palais, quand il avait voulu tourner dans la dernière rue du village. Il ne l'avait pas continuer et avait continuer à avancer, sans dire un mot.
Il pénétrait maintenant dans la structure de diamant, et Altaïr s'aperçut que l'intérieur était aussi beau que l'extérieur. Du marbre d'Italie recouvrait le sol, tandis que les murs transparents montraient tout ce qui se passait au dehors. Il y avait des sièges de velours vert où rouge dans tous les recoins, et des feux magiques brûlaient sur des tables d'acajou. Des gens discutaient par petits groupes, et Harry reconnut certaines grandes célébrités magiques. Il y avait, entre autre, Merlin. Salazar et Godric conduisirent toutefois Harry au sommet d'un grand escalier, d'où tous les trois ils empruntèrent un magnifique, mais gigantesque couloir, pour enfin aboutir dans ce qui semblait être une salle de trône. Là était assis un homme de grande stature, à l'aspect noble.
La bouche d'Altaïr s'ouvrit lorsqu'il reconnut le Roi Arthur. Il le regarda, ne sachant pas trop quelle attitude adoptée. Des gens rentrèrent dans la salle, se plaçant en cercle autour du Roi, et Harry les reconnut bien vite : les Dames du Lac, qui était Viviane et Morgane, la Reine, nommée Guenièvre, l'Enchanteur, communément appelé Merlin et les 4 Fondateurs. Tous le regardaient, attendant visiblement une réaction de sa part. Au moment où il allait ouvrir la bouche, Arthur se mit à parler.
-Bienvenue parmi nous, Harry... ?
Le jeune homme eut un sourire.
-Je ne connais pas ton nom de famille.
-Et je ne tiens pas à ce qu'on le sache... Il y a suffisamment de gens de mon monde qui le connaisse... Si ce n'est pas trop vous demandez, j'aimerais qu'il reste confidentiel!
Le Roi sembla gêné.
-C'est un peu... Inhabituel d'être présenté à la Confrérie sans nom de famille, mais enfin...
-Vous finirez par le savoir... Le temps venu!
-Qui es tu pour me donner des ordres ? s'exclama Arthur.
A sa plus grande surprise, Harry éclata de rire.
-Je suis bien plus que ce que vous pensez!
-Tu ne sais pas ce que je pense alors je te conseillerai de te taire, jeune impertinent!
-Comme vous voulez... Je ne dis plus un mot, et vous laisse discuter entre adulte... Je vais rester dans le fond de cette salle! annonça Harry en alla s'asseoir contre un mur, plus loin.
Arthur regarda Salazar, qui comprit.
-Harry, relève toi! déclara-t-il sèchement.
-Nae, aquile emberet! (Non, je dérange) déclara-t-il, sans le vouloir en Langue Elfique.
-Relève-toi! répéta son mentor.
-Nae, mié ofaëw lérolias, gyméroïles, embrëla maë werboles! (Non, c'est un monde d'adulte, je n'ai rien à y faire, je suis un petit impertinent!)
Dans l'Assemblée, personne, excepté Salazar, les Dames du Lac et Merlin, ne comprenait les paroles de l'adolescent. Le quatuor souriait, amusé de la réaction de l'adolescent. Finalement, Viviane se tourna vers son neveu.
-Vous l'avez vexé, Arthur! dit elle en pouffant de rire.
-Vexé? Comment un gamin de cet
âge peut-il être vexé?
Harry le fixa de ses yeux noir et argent puis se leva.
-Heléas jéoïs méoal drow felowal Araël! (Si vous me cherchez je vais être perdu dans le village d'Araël!)
Merlin, Viviane et Morgane se dirigèrent rapidement vers lui en entendant cela.
-Naome elbereem! (Tu ne vas nul part!)
Avec un sourire, Harry se transforma en un superbe loup blanc, et glaopa jusqu'à la porte.... qui se ferma sur son museau.
Ses brillèrent étrangement et il s'approcha de Merlin qui avait fermé la porte, puis se retransforma.
-Mëlos giëw! (Laissez-moi sortir!)
-Nae! (Non!)
-Terlew? (Pourquoi?)
-Meleoere bigenaes guelir! (Parce que tu vas faire une bêtise!)
-Nae, kelios moralène foä! (Non, c'est mal me connaître!)
Merlin sourit, tandis que Morgane s'approchait de jeune homme.
-Hioe quiarie guiaelie... (Nous te connaissons...)
Harry se tourna vers elle, les yeux remplis de colère.
-Holéas gréole semios jowlia maléos! (Je n'en serai pas si sûr, à votre place!)
Elle lui fit un sourire mystérieux.
-Haiele aelliem guimal... (Je suis toi)
Harry la regarda, sans comprendre. Morgane s'éleva doucement de terre, tandis que tout le monde la regardait, éberlué.
-Jaoie hueare (Mon coeur est le tien)
Harry leva les yeux au ciel et bailla sans retenu.
Cependant, même si il ne l'aurait jamais avoué, il avait une impression de déjà-vu. Il connaissait déjà ces paroles, malgré le fait qu'il ne les avait jamais entendu.
-Kierie hueare habalat... (Nos âmes ne font qu'une...)
« Je me demande combien de temps elle compte vouloir m'impressionner... » pensa Harry tout en la regardant.
Il regarda la tête des autres, et vit qu'ils étaient tous stupéfaits. Tous la regardait, sans comprendre ce qui se passait. Une lumière traversa soudainement Morgane, avant de se diriger vers Harry, qui, sans trop savoir pourquoi, se laissa faire.
« Je suis idiot » pensa-t-il, avant que la lumière le touche, et s'infiltre à l'intérieur de lui.
Puis il perdit connaissance, en même moment où Morgane, elle, touchait de nouveau le sol.
-Emmenez-le dans ses appartements! dit simplement Morgane, avec un petit sourire, tout en s'agenouillant à côté de Harry et en lui touchant le front.
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Salut gang!
Alors tout va bien? Le chapitre vous a plus? Enfin... Nous on l'a trouver plutôt bien! :p
Aller à bientôt et une dernière petite chose, si vous voulez être un peu gentil, sympathique, généreux, avoir du coeur, un amour, et bien cliqué sur le petit bouton à votre gauche en bas de la page nommé « Go! » et laissez-nous une petite REVIEW!!!!!
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Laika&Mymy!
