Disclamer : Émalia Blackbird, son père le capitaine Blackbird , Marina Carlson, et quelques membres de l'équipage son à moi. Ah ! Pourquoi Jack et Commode ne sont pas à moi ? C'est la question qui hante mes nuits…!!
Genre : Angst, Fantaisie, Action/Aventure, DramaUn autre chapitre de terminé! Je sais que cette fois j'ai été EXTRÊMEMENT lente à le composer et je m'en excuse! L'inspiration me manquait, comme d'ailleurs, quelques autres très bons auteurs de FanFiction . ;) Je vous promets de finir bientôt le chapitre 9! Enfin, plus vite que deux mois! Loll. J'espère que même si je ne remets pas mes chapitres à temps régulier, vous continuerez à lire mes fics! Bonne lecture et REVIEWS please. ( Peut-être que si j'en reçois bcp je loderais le 9 plus vite! MHUAHAHA!!! )
Chapitre 8
-Qu'est-ce que tu fais Émalia ? C'est bien trop long t'habiller ! Tu es une pirate ou quoi ? Tiens, mets ça, dit-il en lui lançant une jupe noire et une camisole blanche, qui s'attachait avec un cordon bleu pâle faisant plusieurs fois le tour du ventre.
-Oui oui, je suis prête ! S'écria-t-elle en enfilant tous ses vêtements.
-Bon, enfin ! S'exclama l'homme, il n'en pouvait plus d'attendre. Pourquoi toutes les femmes prenaient-elles autant de temps ! La prochaine fois, continua-t-il, que Jack m'humilie, il va goûter à mon fer !
-Commode, ne t'énerve pas ce soir et ne le provoque pas, sinon ce ne sera pas de sa faute. Le jeune homme se retourna rapidement pour prendre un couteau et le glissa dans sa manche bouffante sans que son amie ne s'en aperçoive et marcha à sa suite.
Sur le pont, il y avait un merveilleux couché de soleil. Les cheveux normalement blonds de la jeune femme étaient devenus d'une belle couleur orangée teintés de reflets rosés. Il faisait très chaud et il n'y avait aucun nuage. Presque à regret, ils se rendirent dans la cabine du capitaine. Lorsque Jack les aperçut, il remarqua qu'Émalia avait changée…Il voyait qu'on son regard s'était endurci et qu'elle agissait autrement…Il s'inquiétait beaucoup pour elle à vrai dire.
-Salut Jack, ça va ? Demanda-t-elle, sans vraiment se soucier de lui.
-Bien sûr trésor ! Menti-t-il sans quitter des yeux le nouveau. Passons à table, je meurs de faim ! Au menu, il y avait beaucoup de poissons, des fruits de mers en abondance et environ six bouteilles de bon rhum. Commode se dit, que même si Jack ne l'aimait pas, il n'avait pas fait attention à la dépense.
Durant le dîner, le capitaine Sparrow ne parla pas beaucoup et ne faisait que jeter des coups d'œils discrets à Commode. Celui-ci sentait son regard mais ne lui dit rien d'autre que quelques banalités ou du moins, au début de la soirée. Le repas était bon, le rhum excellent, mais le temps n'était pas à la fête. Ils ne bavardèrent pas beaucoup.
Vers la fin du souper, l'atmosphère se tendit encore un peu plus entre les deux hommes, car ils étaient de plus en plus enivrés. Aucun des deux ne se rendait vraiment compte de ce qui se passait. Commode, n'étant pas gêné de nature, se mit à parler à Jack d'une façon dédaigneuse :
-Sparrow…Es-tu aussi richhhhhe qu'on le dit? Demanda-t-il en baillant.
-Avec tous les navires que j'ai pillés durant ma vie, les personnes que j'ai escroquées…J'crois en avoir bien plus que toi. Après tout, tu n'es qu'un jeune.
-Tu serais surpris que je suis sûrement bien plus aisé que toi. Ma famille est très riche. Depuis plusieurs siècles, peut-être même un ou deux millénaires, nous avons régnés sur plus d'un pays. La tienne, par contre, n'a pas dû faire grand chose d'important, dit le jeune Commode en passant une main dans ses cheveux bruns se qui les dépeigna et lui donna l'air plus arrogant et selon Émalia, encore plus beau !
-Ah oui ! Tu m'en diras tant. Et quels pays gouverniez-vous ? S'informa Jack en retenant un rire.
-Tu as souvent voyagé, n'est-ce pas ? As-tu déjà traversé l'océan ?
-Je crois en avoir assez vu pour tout reconnaître, si tu me décris ces pays.
-D'accord. Je suis un descendant des plus grands empereurs romains. Mon père m'a nommé en l'honneur de l'un d'eux, l'empereur Marcus Aurelius Commodus, c'est pourquoi, disons, que j'ai un nom plus rare. Mes descendants viennent de Rome. Une ville fabuleuse, avec le Colisée, un grand fleuve qui passe dans la république…Enfin une cité de merveilles et de grandeur. Étonné ? Demanda Commode avec une pointe d'arrogance dans la voix.
-Tu dis que Rome a été gouverné par ta famille durant un certain temps… Alors je ne m'en étonnerai pas qu'elle ne soit plus ce qu'elle était auparavant, répondit Jack en éclatant de rire. Commode prit un air hautain. Les deux hommes ne se reparlèrent plus de tout le souper, qui de toute façon était presque terminé. Une demi-heure plus tard, Éma et son amant quittèrent les appartements de Jack pour aller se coucher.
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-L'as-tu vu ? Fit le capitaine à son amie. Je suis un descendant de l'empereur…et je suis riche, gnagnagna…et quoi encore !…Je déteste ce type. Encore plus qu'avant, ce que je n'aurais jamais cru possible !
-Jack, voyons, je te croyais plus intelligent que ça. Peut-être bien que c'est vrai ce qu'il dit, mais il fait cela pour te faire enrager. Je suis sûr qu'il trouve cela très drôle de voir que tu perds tes moyens et ne plus savoir quoi dire. C'est exactement ce qu'il veut que tu fasses. Tu tombes dans son piège, comme il l'espérait, devina la belle Marina.
-Je sais mais…Bon enfin, tant pis pour ce soir. Tu restes avec moi trésor ? Demanda Jack en sachant très bien la réponse.
-Mais oui ! Quelle question ! On reste dans les même appartements, répondit Mary. Il s'approcha tout doucement et enleva la chemise de la jeune fille. Elle frémit au contact de ses mains…Ces mains si douces qui explorait son corps avec plaisir. Leurs lèvres se rencontrèrent pour plus d'un baiser et elle détacha le pantalon corsaire de Jack. Marina se jeta sur le lit et le capitaine vint la rejoindre, un tendre sourire illuminant son visage…
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Dans les appartements d'Émalia…
-C'est quoi le problème de ce Jack Sparrow ? Grogna Commodus.
-Je ne sais pas ! Que veux-tu que je fasse ? Jack ne t'aime pas, tu dois l'accepter. Je sais que quand il s'y met, il peut être agaçant, mais c'est un bon capitaine. On a besoin de lui et je ne veux plus en entendre parler.
-Mais pourquoi ? Demanda Commode, déposant brutalement son glaive sur une petite table de chevet et enlevant sa cape bleue marine. Je sais ce que tu vas dire! Enfin on en reparlera demain. Tu viens, demande-il un léger sourire aux lèvres, en pointant le lit.
-Tu as toujours peur du noir ? Plaisanta-t-elle. Oui, je viens. Elle se coucha contre lui et pensa aux événements des derniers jours, tout cela était arrivé tellement vite. La blonde était tout de même contente d'être avec lui.
Très vite Émalia s'endormit dans ses bras. Par contre, son amant ne s'assoupit que plusieurs heures plus tard, tourmenté.
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Le lendemain matin, le soleil du soir précédent avait disparu, le ciel était noir et l'on sentait qu'une tempête se préparait. Jack, sur le pont, criait des ordres :
-Allez bande de fainéants, dépêchez-vous ! La tempête arrive, on a pas toute la journée ! Rangez vite les provisions qui traînent là, disait-il en pointant du doigt les quelques caisses de nourriture, changez les voiles, celles-ci sont trop abîmées, elles ne supporteront pas l'orage. Vite!
Commode voyait bien que Jack était énervé, alors pour le rendre encore plus furieux, il ne se dépêcha pas du tout à exécuter ses ordres et traîna sur le bateau sans rien faire de précis. Le capitaine s'en aperçu assez vite mais était trop occupé à autre chose alors, il ne le réprimanda même pas. « Plus tard, j'irai lui parler. Il faudra cependant qu'Émalia soit avec nous sinon, je ne crois pas qu'il le prendra bien », se dit Jack, tout en continuant de tirer sur la corde d'une voile.
Quelques heures plus tard, les pirates rentrèrent dans leurs cabines, car dehors s'était un vrai déluge. Même Jack n'y voyait rien. Mary et lui entrèrent dans leurs appartements en éclaboussant le plancher comme les murs. Tous deux frissonnèrent, la pluie était glacée. Ils se changèrent, mais se sentirent encore humide.
-Jack chéri, tu sembles inquiet...
-Ah trésor, que tu me connais bien ! Je sais, je le suis, c'est encore au sujet de ce blanc-bec de Commode…Il n'a rien fait excepter traîner sur le pont durant toute la journée. Et en plus, il est rentré dans sa cabine bien avant les autres.
-Jack, c'était sa première journée à bord, laisse-lui du temps ! Et en plus je ne crois pas qu'il n'a rien fait ! Il m'a aidé à tendre les cordages et pour bien d'autres choses ! Je crois que la jalousie vous rend aveugle capitaine ! Et elle éclata de rire sous l'œil exclamatif de son supérieur.
-Si tu le dis ! Mais je vais quand même aller les voir. Il remit son manteau, sortit sur le pont et courut jusqu'aux appartements choisit. Sans frapper, se souciant peu de savoir ce qu'il allait découvrir, il enfonça la porte et entra.
Dans la chambre, il n'y avait qu'Émalia en train d'essayer de mettre son corset, ou plutôt de l'attacher. Elle se retourna et sursauta. La blonde ne s'attendait pas du tout à voir Jack apparaître dans son appartement.
-Jack, que fais-tu ici !? S'exclama la blonde après avoir reprit son souffle.
-Eh bien trésor, j'étais venu voir notre nouvelle recrue, mais je crois qu'il n'est pas là!
-Pas de chance capitaine, il vient de partir. Vous pouvez attendre ici.
-Bien sûr trésor ! As-tu quelque chose à boire, du rhum par exemple ? Demanda-t-il dans un merveilleux sourire charmeur qui faisait briller ses quelques dents en or.
-Oui captain' ! Pour sûr que j'en ai. Quel pirate pourrait se passer de rhum ? Et elle ouvrit d'un seul coup une bouteille d'une certaine grandeur qui contenait un liquide doré. Elle sortit par la suite d'une petit meuble deux choppes et versa le rhum dans celles-ci.
Au moment même où ils commencèrent à boire, Commode entra dans la pièce dégoulinant de pluie. Il adressa un vague salut au capitaine Sparrow et lui demanda :
-Que fais-tu ici ?
-Eh bien mon cher ami, en disant au jeune homme « ami » il faillit éclater de rire mais se retint, j'étais venu pour te parler, mais tu n'y étais pas, alors nous avons bu un petit coup !
-Alors qu'as-tu à me dire ? Puisque je suis là, profites-en.
-Très bien monsieur le press ! J'aimerais bien que tu fasses un peu mieux ton travail. En fait ce que je veux dire, c'est : Arrête de te promener par tout pour ne rien faire!
-Capitaine, vous n'avez aucune autorité sur moi, je ne suis là que parce qu'Émalia veut rester alors, laissez-moi tranquille ! Je suis assez grand pour savoir ce que je dois faire. Il prit sur la table son poignard et le tourna entre ses mains comme s'il se préparait
-Tant que tu seras sur mon navire mon gars, je veux que tu fasses ce que je vais te dire sinon on pourrait toujours te laisser SEUL sur une petite île déserte, qu'en penses-tu ?
-Je pense que pour l'instant c'est moi qui mène le jeu ! Dit-il en approchant enfin son couteau de la gorge du capitaine, laissez-nous tranquille pour ce soir et partez ! Jack fit ce qu'il dit mais avant de partir dit :
-Tu le regretteras mon gars, j'le jure !
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-Qui est-il pour me dire comment je dois agir? Demanda brusquement Jack en rentrant, éclaboussant et réveillant Marina.
-Jacckkk!!
-Répond!
-Je t'avais bien dit de te méfier de lui, répondit sagement Marina, pas du tout surprise de la réaction du capitaine Sparrow.
-Nous devrions le laisser ou non, peut-être les laisser, sur une petite île et les oublier, dit Jack songeur, il ne devrait n'y avoir que toi, moi… et l'équipage.
-Jack, voyons, tu sais bien que maintenant c'est impossible. Il est très utile, même si tu ne peux t'en rendre compte nous l'avons remarqué! Peut-être ne faisait-il pas vraiment ce que tu lui avais demandé mais…essaya de défendre Marina. Au fond d'elle, la brune ne croyait pas vraiment ce qu'elle racontait à Sparrow, c'était plutôt pour protégé son amie que d'autre chose. Et d'ailleurs Émalia est ton second, alors comment peux-tu penser une telle chose d'elle!
-Ah je sais mais ce n'est quand même pas un gros problème qu'elle soit mon second! Je te nommerai à sa place.
-Jack elle ne nous laissera pas tomber, ne t'inquiète pas. Elle même aurait bien aimé être aussi importante que Jack mais s'était sa meilleure amie, après tout elle n'avait pas le droit de « lui-jouer-dans-le-dos » comme ça. Pendant un court instant la belle brune se demanda comment Éma avait réussit à convaincre Jack de la nommer…Non c'était absurde.
-Nous devons les garder. Un point c'est tout, continua-t-elle.
-Je sais, je sais, dit-il en voyant le regard que celle-ci lui adressa. C'est étrange, jamais je n'aurais pu penser, penser une chose pareille d'Émalia. Elle qui semblait toute gentille, tout et tout…
-Les apparences sont parfois trompeuses. Tu ne la connaissais pas assez bien pour pouvoir la juger, mais je dois avouer que je suis quelque peu surprise. Jamais je n'aurais pensé qu'il viendrait la rejoindre, je croyais qu'on en était débarrassé, une bonne fois pour toute, mais non! Bon, arrêtons de parler de cela puisque ça nous déprime. Passons à autre chose, dit-elle un petit sourire en coin de ses ravissantes lèvres.
-Hum…Je suis fatigué…Tu veux ma mort trésor? Marina lui sourit malicieusement.
-Oh! On dirait que c'est la première fois que le capitaine Sparrow refuse ce genre d'offre, peut-être devient-il trop vieux pour ça? …Bon, tant pis. Elle fit mine de vouloir partir mais Jack se leva et entoura ses bras autour de sa taille. Elle eut un sourire de satisfaction. La jeune femme se retourna vers le torse de son amant, toujours entouré de ses bras et demanda :
-Alors?
-Je suis si vieux que ça? Demanda-t-il, une petite moue sur le visage. Marina éclata de rire devant son visage de chien battu.
-Mais non…Enfin, je sais pas…Prouve-moi le…Jack lui sourit et posa doucement ses lèvres sur les siennes. D'un geste synchronisé, ils se rendirent jusqu'au lit. Jack retira la chemise de la belle et celle-ci fit de même avec lui. Son corps était brûlant et lorsqu'elle le toucha, elle frissonna une seconde fois car Jack était encore tout mouillé.
Sous les rires amusés de Mary, ils passèrent une agréable nuit.
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Dans la chambre d'Émalia et de Commode.-Éma, je suis fatigué de ne rien faire. Tantôt, j'aurais dû tuer Jack, dit Commode.
-Tu ne pouvais pas, je pense bien qu'il avait dit à Marina qu'il venait nous voir, alors elle l'aurait dit à tout le monde et nous aurions été dans de sales draps, expliqua son amante.
-Bien, nous aurions pu la tuer elle aussi, ça n'aurait été que plus distrayant.
-Je ne sais pas si j'aurais eu le courage de la tuer. Elle et moi, on s'entend bien ensemble et on s'amuse tout le temps. Marina est ma meilleure amie Commode, j'espère que tu peux comprendre. Elle s'est occupée de moi dans les moments où j'étais déprimé -car je croyais ne pas te revoir- et lorsque je suis tombé malade, elle était là.
-Voyons Émalia, dans le temps tuer ne te causait pas de problème, peu importe qui se mettait en travers de ton chemin.
-Je sais, mais ça fait trop longtemps que je n'aie pas exécuté quelqu'un. Je me souviens presque pas de la sensation que l'on ressent, s'excusa la jeune pirate. Décris-moi, explique-moi, comment l'on se sent. Elle s'approcha et l'embrassa tranquillement. En se détachant –à regret- de ses lèvres, il lui dit :
-Ce serait bien trop long. Pourquoi ne pas le redécouvrir pas toi-même? S'il te plait, mon amour, je m'ennuie moi aussi de cette sensation !
-…Bon d'accord ! Mais comment allons nous trouver quelqu'un ? Fit-elle.
-J'ai pensé à tout. Toi, tu attireras un des pirates ici, en lui faisant croire que tu veux je ne sais pas … enfin, invente quelque chose de plausible. Prends un ivrogne sinon, je ne crois pas qu'il te suivra et rendu là je te montrerai. C'est d'accord ?
-Oui, c'est d'accord. Puis-j'y aller tout de suite ?
-Oui, vas-y, c'est une bonne heure. Mais avant, viens ici. Émalia lui sourit et approcha. Il l'embrassa en lui disant de se dépêcher. La blondinette descendit encore un étage pour se rendre dans les chambres des pirates, elle choisit de piéger un certain Cottons.
-Viens ici toi, lui demanda-t-elle en détachant un peu son corset pour l'inciter à la suivre, viens, viens, dit-elle en prenant sa main. Il la suivit sans se douter que ce serait les dernières heures de sa vie et qu'il les passerait dans la douleur et la souffrance.
Émalia le fit entrer en premier dans sa chambre et lorsqu'il passa la porte Commode l'attrapa par le bras, en le lui cassant, ce qui fit un bruit sourd et le bâillonna à toute vitesse pour ne pas que le jeune puisse demander de l'aide. Ensuite, ils le couchèrent par terre et sans se presser, Commodus lui cloua les mais sur le plancher. Cottons se débattait sur le plancher mais cela ne faisait qu'empirer ses blessures, déchirer un peu plus ses mains. Le sang coulait sur le plancher mais personne ne semblait sans soucier.
Après, Commode (comme démonstration à Émalia) prit son glaive et fit une profonde coupure dans la jambe du jeune corsaire. La jeune femme sortit un petit couteau de sa table de chevet et le lança sur le jeune pirate, qui pleurait de douleur. Les deux prirent leurs ceintures se mirent à fouetter le malheureux, des traces rouges apparaissaient partout sur son pauvre corps meurtri.
Pour finir, car il le soleil allai bientôt se lever et qu'il fallait remettre le corps dans sa chambre et nettoyer un peu, Commodus prit son glaive d'or, coupa la peau du front jusqu'au cou du marin. De là, il enfonça lentement son glaive dans la chair et se fut terminé du marin.
-Alors, ça ta plu ma douce? Demanda-il en essayant la lame d'argent devenu rouge avec un petit linge.
-Bien sûr. Maintenant je me souviens comment c'était… À Rome, répondit la blonde avec un grand sourire, essayant de retirer son couteau prit dans les omoplates de Cottons. Par contre avant, nous n'avions pas besoin de tout nettoyer !
-Il faut faire des sacrifices dans la vie ma chérie pour avoir du plaisir ! Mais nous devrions nous dépêcher à aller le porter dans sa chambre, avant que les autres ne se réveillent. Tiens, prends le par les pieds.
Rendu dans la chambre du pirate ils le couchèrent sans faire de bruit sur son lit et repartirent comme si rien ne s'était passé dans leur chambre.
Durant environ une demi-heure, Émalia frotta le plancher pour effacer toutes les traces du massacre. Elle y repensait mais ne ressentait aucun autre sentiment que la joie. Les deux pirates se changèrent et montèrent sur le pont à l'heure habituelle, tous les corsaires étaient là sauf un, Cottons. Jack demanda à Gibbs d'aller voir dans sa cabine s'il y était…
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Alors j'espère que ce chapitre vous a plus ! Je m'excuse si je ne réponds pas « personnellement » aux merveilleuses reviews que vous m'avez envoyé en grand nombre, le temps me manque ! Mais je vous remercie du fond du cœur ! ''verse un petite larme'' ;)
À bientôt au prochain chapitre !! Reviews please !!
Amé Phoenix
