Bonsoir à tous !!!
Je sais, ça fait un bail que vous n'avez pas eu de chapitre, mais le site a pas mal bugué ! En tout cas, j'espère que cette suite vous comblera !
Pas de répose aux reviews aujourd'hui, car j'ai le bras gauche complétement bloqué... Désolée ! En tout cas, bisous à tous !
* * *
CHAPITRE 15 : Une haine insurmontable.
Quand Hermione arriva dans la salle commune des préfets en chef, elle était d'humeur exécrable. Drago l'avait remarqué, et une seule personne était capable de rendre un gryffondor aussi morose : le professeur Rogue.
- Que se passe-t-il ? demanda le serpentard en haussant les sourcils.
- Il se passe que je dois encore supporter la réincarnation du démon originel pendant le repas. Et après on s'étonne que je ne mange pas. Rien que ces cheveux me dégoûtent de toute friture pour le restant de mes jours. C'est dans une demi heure... Veux-tu faire ton devoir de mangemort et me tuer s'il te plait ?
Drago réprima un rire : un Malefoy ne riait jamais, sauf à ses propres blagues. Il fallait qu'il s'habitue à être un personnage froid et sans âme, sans quoi il serait perdu. Il sortit sa baguette et la pointa sur la gryffondor.
- On a trente minutes pour réviser l'occlumancie. En garde, Hermione. LEGILIMENS !!!
Hermione n'eut pas le temps de se préparer. Elle s'écroula au sol, sous la violence du sort. D'autres souvenirs refirent surface, comme la fois ou elle n'avait que 17 de moyenne. Ses parents l'avaient violemment disputée, et ses camarades de classe battue. Mais la gryffondor ne voulait pas que Drago en sache plus. Elle rassembla son courage et commença à le repousser. Elle y parvint au bout de quelques minutes, sans avoir recourt à la magie.
- C'est bon, tu es prête... dit le serpentard en rangeant sa baguette.
- Si tu le dis... grogna Hermione en se relevant.
- Après ton repas, nous travaillerons tous les deux, si tu n'y vois aucun inconvénient, enchaîna le préfet.
- Si Rogue ne m'a pas tué, aucun... Bon, j'y vais...
- Il ne te faut pas un quart d'heure pour aller aux cachots !
- Si, quand on fait deux pas en avant, puis trois en arrière... A tout à l'heure !
Hermione sortit de la pièce et avançait dans les couloirs, chantant et mimant une superbe comptine.
- Trois pas en avant, trois pas en arrière, trois pas sur le côté, et trois pas de l'autre côté. Il était une bergère, qui allait au marcher. Elle portait sur sa tête trois pommes dans un panier. Les pommes faisaient rouli roula, les pommes faisaient rouli roula ! Stop ! Trois pas en avant...
Pendant le trajet, quelques élèves la regardaient bizarrement, tandis que d'autres émettaient des réserves quant à l'état mentale de leur préfète en chef. Cependant, la bonne humeur de la gryffondor chuta en même temps qu'elle descendait les marches et se trouva trop vite à son goût devant la porte du bureau de Rogue. Elle déglutit, mit sa baguette à portée de main, au cas où, et frappa doucement.
La porte s'ouvrit brutalement sur un maître des potions visiblement furieux et désappointé
- Granger... siffla-t-il. Entrez, j'ai faim !
Hermione ne se le fit pas dire deux fois et pénétra dans la pièce froide et humide.
« Merlin ce que je hais cet endroit et son propriétaire. Mais pourquoi s'acharne-t-il sur moi cette année ? Ah oui, je suis gryffondor, sorcière d'ascendance moldue et meilleure amie d'Harry sur qui il ne peut plus déverser sa rage pendant des leçon d'occlumancie... » pensa la jeune femme en s'asseyant à table.
Le professeur s'assit à son tour, et le repas apparut, repas aussi copieux que la première fois.
- Et cette fois, vous me ferez le plaisir de rester jusqu'au bout et d'ingurgiter plus qu'une feuille de laitue sans vinaigrette ! grommela Rogue en attirant un plat à lui.
La gryffondor ne répliqua pas et se servit le nécessaire pour éviter les remontrances de son tortionnaire. Ils mangèrent en silence, la jeune femme ne levant pas les yeux de son assiette, et Rogue ne décollant pas son regard de son élève.
- Granger... J'ai décidé de vous retirer deux semaines de retenue. Vous resterez donc encore cette semaine avec moi, et ce sera fini.
De surprise, la préfète en lâcha sa fourchette.
- Pourquoi ? demanda-t-elle, soupçonnant un piège.
- Parce que je ne supporte plus votre présence ! répliqua violemment le maître des potions.
Hermione serra sa serviette de rage et, n'en pouvant plus, la jeta à terre. Rogue observa ce petit manège d'un œil amusé.
- Vous avez déjà fini ? Faite donc votre rot, et ensuite, au lit ! ajouta-t- il, odieux.
- Je vous hais, je vous déteste. Vous représentez tout ce qui me rebute en ce bas monde. J'espère, qu'à la fin de cette année, j'aurais la félicité de ne plus jamais vous revoir de ma vie, articula froidement Hermione.
- Oh, mais on joue à la petite serpentard, à ce que je vois. Laissez tomber ce rôle, il ne vous sied pas, tout comme votre maquillage. C'est quoi votre marque ? Ripolin, marchand de peinture pour mur ?
- Je ne me maquille pas. Et de toute manière, comment le pourrais-je ! hurla Hermione, qui perdait son sang froid.
Elle souleva brusquement sa manche droite et exhiba son moignon.
- Allez, dite-moi ? Comment pourrais-je le faire ?
- Vous avez bien des amies qui seraient mieux en études de visagiste qu'à Poudlard. Je fais évidemment référence aux deux commères de Gryffondor, Brown et Patil. En tout cas, vous auriez bien besoin d'un ravalement de façade. Je dois avoir un sceau et du plâtre dans ma salle de bain. Ne bougez pas, je reviens... répliqua-t-il, un sourire mesquin aux lèvres.
La jeune fille perdit toute retenue. Elle prit rapidement sa baguette.
- LEGILIMENS ! hurla-t-elle, en faisant un geste sec du poignet.
Rogue ne s'y attendait pas. Il s'accrocha à la table pour ne pas tomber sous la violence de l'attaque de son élève. Ses pensées défilèrent à une allure impressionnante. Il paniqua au moment où son rêve érotique de la veille passait dans son esprit.
« Vous ne devez pas voir ça... SORTEZ !!! » cria le professeur intérieurement.
Le sort s'interrompit et Severus ouvrit les yeux. Devant lui se trouvait Hermione, pâle comme un linge. Ils se regardèrent un moment. La préfète en chef était effrayée. Rogue ne savait pas quoi faire. Il s'approcha doucement, mais Hermione recula vivement, puis partit en courant.
- Et merde... grogna le maître des potions en tapant sur la table.
* * *
Et voilà, c'est tout pour aujourd'hui !! L'action va se précipiter au cours des prochains chapitres, mais pour le savoir... REVIEWS ! lol
Bisous,
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CHAPITRE 15 : Une haine insurmontable.
Quand Hermione arriva dans la salle commune des préfets en chef, elle était d'humeur exécrable. Drago l'avait remarqué, et une seule personne était capable de rendre un gryffondor aussi morose : le professeur Rogue.
- Que se passe-t-il ? demanda le serpentard en haussant les sourcils.
- Il se passe que je dois encore supporter la réincarnation du démon originel pendant le repas. Et après on s'étonne que je ne mange pas. Rien que ces cheveux me dégoûtent de toute friture pour le restant de mes jours. C'est dans une demi heure... Veux-tu faire ton devoir de mangemort et me tuer s'il te plait ?
Drago réprima un rire : un Malefoy ne riait jamais, sauf à ses propres blagues. Il fallait qu'il s'habitue à être un personnage froid et sans âme, sans quoi il serait perdu. Il sortit sa baguette et la pointa sur la gryffondor.
- On a trente minutes pour réviser l'occlumancie. En garde, Hermione. LEGILIMENS !!!
Hermione n'eut pas le temps de se préparer. Elle s'écroula au sol, sous la violence du sort. D'autres souvenirs refirent surface, comme la fois ou elle n'avait que 17 de moyenne. Ses parents l'avaient violemment disputée, et ses camarades de classe battue. Mais la gryffondor ne voulait pas que Drago en sache plus. Elle rassembla son courage et commença à le repousser. Elle y parvint au bout de quelques minutes, sans avoir recourt à la magie.
- C'est bon, tu es prête... dit le serpentard en rangeant sa baguette.
- Si tu le dis... grogna Hermione en se relevant.
- Après ton repas, nous travaillerons tous les deux, si tu n'y vois aucun inconvénient, enchaîna le préfet.
- Si Rogue ne m'a pas tué, aucun... Bon, j'y vais...
- Il ne te faut pas un quart d'heure pour aller aux cachots !
- Si, quand on fait deux pas en avant, puis trois en arrière... A tout à l'heure !
Hermione sortit de la pièce et avançait dans les couloirs, chantant et mimant une superbe comptine.
- Trois pas en avant, trois pas en arrière, trois pas sur le côté, et trois pas de l'autre côté. Il était une bergère, qui allait au marcher. Elle portait sur sa tête trois pommes dans un panier. Les pommes faisaient rouli roula, les pommes faisaient rouli roula ! Stop ! Trois pas en avant...
Pendant le trajet, quelques élèves la regardaient bizarrement, tandis que d'autres émettaient des réserves quant à l'état mentale de leur préfète en chef. Cependant, la bonne humeur de la gryffondor chuta en même temps qu'elle descendait les marches et se trouva trop vite à son goût devant la porte du bureau de Rogue. Elle déglutit, mit sa baguette à portée de main, au cas où, et frappa doucement.
La porte s'ouvrit brutalement sur un maître des potions visiblement furieux et désappointé
- Granger... siffla-t-il. Entrez, j'ai faim !
Hermione ne se le fit pas dire deux fois et pénétra dans la pièce froide et humide.
« Merlin ce que je hais cet endroit et son propriétaire. Mais pourquoi s'acharne-t-il sur moi cette année ? Ah oui, je suis gryffondor, sorcière d'ascendance moldue et meilleure amie d'Harry sur qui il ne peut plus déverser sa rage pendant des leçon d'occlumancie... » pensa la jeune femme en s'asseyant à table.
Le professeur s'assit à son tour, et le repas apparut, repas aussi copieux que la première fois.
- Et cette fois, vous me ferez le plaisir de rester jusqu'au bout et d'ingurgiter plus qu'une feuille de laitue sans vinaigrette ! grommela Rogue en attirant un plat à lui.
La gryffondor ne répliqua pas et se servit le nécessaire pour éviter les remontrances de son tortionnaire. Ils mangèrent en silence, la jeune femme ne levant pas les yeux de son assiette, et Rogue ne décollant pas son regard de son élève.
- Granger... J'ai décidé de vous retirer deux semaines de retenue. Vous resterez donc encore cette semaine avec moi, et ce sera fini.
De surprise, la préfète en lâcha sa fourchette.
- Pourquoi ? demanda-t-elle, soupçonnant un piège.
- Parce que je ne supporte plus votre présence ! répliqua violemment le maître des potions.
Hermione serra sa serviette de rage et, n'en pouvant plus, la jeta à terre. Rogue observa ce petit manège d'un œil amusé.
- Vous avez déjà fini ? Faite donc votre rot, et ensuite, au lit ! ajouta-t- il, odieux.
- Je vous hais, je vous déteste. Vous représentez tout ce qui me rebute en ce bas monde. J'espère, qu'à la fin de cette année, j'aurais la félicité de ne plus jamais vous revoir de ma vie, articula froidement Hermione.
- Oh, mais on joue à la petite serpentard, à ce que je vois. Laissez tomber ce rôle, il ne vous sied pas, tout comme votre maquillage. C'est quoi votre marque ? Ripolin, marchand de peinture pour mur ?
- Je ne me maquille pas. Et de toute manière, comment le pourrais-je ! hurla Hermione, qui perdait son sang froid.
Elle souleva brusquement sa manche droite et exhiba son moignon.
- Allez, dite-moi ? Comment pourrais-je le faire ?
- Vous avez bien des amies qui seraient mieux en études de visagiste qu'à Poudlard. Je fais évidemment référence aux deux commères de Gryffondor, Brown et Patil. En tout cas, vous auriez bien besoin d'un ravalement de façade. Je dois avoir un sceau et du plâtre dans ma salle de bain. Ne bougez pas, je reviens... répliqua-t-il, un sourire mesquin aux lèvres.
La jeune fille perdit toute retenue. Elle prit rapidement sa baguette.
- LEGILIMENS ! hurla-t-elle, en faisant un geste sec du poignet.
Rogue ne s'y attendait pas. Il s'accrocha à la table pour ne pas tomber sous la violence de l'attaque de son élève. Ses pensées défilèrent à une allure impressionnante. Il paniqua au moment où son rêve érotique de la veille passait dans son esprit.
« Vous ne devez pas voir ça... SORTEZ !!! » cria le professeur intérieurement.
Le sort s'interrompit et Severus ouvrit les yeux. Devant lui se trouvait Hermione, pâle comme un linge. Ils se regardèrent un moment. La préfète en chef était effrayée. Rogue ne savait pas quoi faire. Il s'approcha doucement, mais Hermione recula vivement, puis partit en courant.
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Bisous,
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