Me revoilà avec un new chapitre traduit où y se passe plein de choses mais bon… zavez ka lire !

L'auteur a fini l'histoire avec 13 chapitres donc je vais essayer de gazer mais je promet rien…surtout que j'ai 4 exams de repêche à étudier !

Je remercie aussi tous ceux qui ont envoyé une (ou plusieurs) reviews, c'est vraiment très gentil ! Mais j'aimerais tout de même signaler que je ne suis que la traductrice…pas l'auteur du texte, que je félicite d'ailleurs car son histoire est géniale !

Bref : bonne lecture…


Well baby I surrender

Well I didn't mean to do it

But there's no escaping your love-Counting Crows


18 Octobre

DCFM

Ainsi, nous voilà tous en Octobre, nous sommes à seulement quelques jours de mon anniversaire. Ce matin après le petit-déjeuner, Fred m'a promis que son cadeau serait 'meilleure que l'année passée'. Vu que l'année passée, il m'a jeté dans le lac, je me prépare au pire.

D'un autre côté, en plus de ce réveil forcé très tôt le matin, il m'a également acheté une boîte de chocogrenouilles et un collier vraiment joli. Je le porte en ce moment, en fait. Il a une mince chaîne argentée avec un double pendentif. Les pendentifs sont un cœur argenté avec une minuscule clef d'or.

J''étais tellement surprise quand il me l'a donné. Je lui ai fait une grande étreinte quand j'ai ouvert la boîte et il a rougit d'une ou deux nuances plus foncées que ses cheveux. Il a marmonné que « Ce n'était rien » comme je le répandait de compliments. En premier lieu, je n'ai eu aucune idée qu'il avait beaucoup réfléchis à se qu'il allait m'offrir. En second lieu, j'ai été assez étonné que le cadeau ne soit pas une des inventions de lui, Lee ou George.

La seule chose que je pense pourrait être meilleure pour cette année serait de pouvoir décrypter ses pensées. Ou peut-être un nouveau balai.

Attendez… Qu'est-ce que je viens de dire en premier choix ?

Oh et bien. Qu'est ce que ça fait. Ca n'arrivera jamais. Hier, j'ai vu Fred marché avec la Meilleure Amie de Maria Quoi-Ma-Gueule vers Etudes de runes. Je pense que son nom est Olivia. Mais de toute façon, je revenais de la Grande Salle parce que j'avais laissé mon ensemble de Plumes à table. J'ai repéré Fred et allais marcher vers lui quand j'ai vu la Fille-squelette. Je lui ai donné ce surnom étant donné qu'elle est environ aussi lourde qu'une plume. Elle est si maigre que je parie que si je la pousserais elle se casserait quelque chose!

Il avait en vain son bras posé sur les épaules osseuses d'Olivia comme s'il l'a possédait, et il avait murmuré quelque chose à son oreille, grimaçant tout le temps comme le chat de Cheshire. Chaque fois qu'Olivia gloussait, elle couvrait délicatement sa bouche de sa main. C'était si vachement agaçant mais c'était comme un train bon à mettre à la casse. Je n'ai pas put regarder plus longtemps. Quand ils ont finalement atteint la porte, Fred l'a attiré dans ses bras et l'a embrassé de la seule façon dont j'imaginerais qu'il m'embrasserait. Elle a laissé sortir un petit gémissement de béatitude, puis il l'a laissé partir et lui a fait un clin d'œil.

Je n'ai pas voulu avoir l'air de le suivre, du coup j'ai été un peu en retard pour Métamorphose. McGonagall était en colère, mais j'ai inventé une excuse comme quoi Peeves avait caché mes plumes dans une armoire et qu'il ne voulait plus me les rendre. Tristement, elle m'a cru.

La seule place libre était à côté de Fred et à contrecœur je l'ai prise. Je n'ai pas voulu avoir des ennuis avec lui cependant, cette image de lui et de la Fille-squelette brûlait dans mon esprit. Ca m'a fait mal au cœur. Pourquoi Fred ne peut pas me regarder comme ça ? Est-ce que je suis destinée à être considérée en tant que « Meilleure Amie » et jamais « Petite Amie » ?

Je déteste vraiment ce jeu de 'faire semblant' avec lui. Mais je mourrais s'il la découvrait. En outre, il ne faut pas se duper. Même si Fred et moi sortions ensembles, qu'est ce qui ne l'empêcherait pas de me larguer après une semaine ou deux ?

McG me regarde d'un oeil mauvais. Vaudrais mieux que j'arrête maintenant.


22 Octobre

Salle commune

Demain c'est mon anniversaire! Et ce qui est encore mieux c'est que se sera Samedi! Cela signifie également que cette semaine, les étudiants des autres écoles feront un saut ici, pour s'inscrire pour le TTS. J'y ai pensé et j'ai décidé d'aller m'inscrire pour le tournoi. Je veux dire, le 30 Octobre j'aurais l'âge. Je sais que nous avons été avertis que les tâches seront dangereuses, mais je suis sure que je serais utiliser l'argent.

Mon frère aîné, Holden, est à sa deuxième année à l'université de Cambridge de sorcellerie pour hommes, c'est une prestigieuse école pour garçons. Ma famille n'est pas pauvre ; nous sommes de la grande bourgeoisie. Mais l'université n'est pas bon marché et les livres coûtent à eux seuls ¼ de ce gagne en quelques mois. Il est rédacteur pour le Daily Prophet et maman travaille comme institutrice préscolaire moldue.

Si je gagnais ce prix, je pourrais payer pour toutes les dépenses de l'université de Holden et en laisser un peu pour moi. C'est un plan parfait. Aujourd'hui, pendant Potions, j'ai dit à Fred que je voulais m'inscrire. Il s'est complètement agité et a commencé « Bla bla bla, les tâches seront trop dangereuses, tu pourrais être blessée, se serais mieux si lui, Lee ou George s'inscrivaient, ne veux pas que quelque chose m'arrive, bla bla et encore bla. »

C'était mignon qu'il s'inquiète mais également frustrant qu'il pense que je sois une quelconque deuxième année qui ne peux pas supporter quelques éraflures ou contusions. Je lui ai dit crispée que j'étais une aussi meilleure Poursuiveuse que n'importe quel mec et je lui ai rapidement rappelé toutes les fois où j'ai cogné avec mon balai sur quelques Serpentards et cela pendant un match.

Il m'a ignorée et a protesté avec, « Et bien, c'est différent ! »

Nous aurions probablement donné de meilleurs arguments, mais Katie qui était de l'autre côté, m'a donné un coup de coude et a fait un signe de la tête vers Rogue. Il était à son bureau, mais fixait Fred et moi-même et j'ai su qu'il avait l'idée de nous donner une retenue pour être bruyant.

Je lui ai donc dit d'un ton brusque. « Laisse tomber et va travailler. »

Nous n'avons plus parler beaucoup jusqu'à la fin de la classe, Fred m'a demandé mon opinion au sujet de quelle chemise de polo serait mieux assorties à ses yeux pour sa promenade autour du parc avec la Fille-squelette. Je l'ai regardé fixement et lui ai alors brusquement dit, « Quoique tu mettes, tu auras l'air d'un imbécile. »

Je pense qu'il a été un peu blessé mais il n'y pensera plus. En troisième année, il a décidé de mettre une fausse mouche dans mon verre de jus de citrouille pendant le petit déjeuner. J'ai fini par recracher le jus sur ma nouvelle robe d'école et il s'est juste assis là et a hurlé de rire avec George et Lee. J'ai giflé Fred et je lui ai dit que jamais, plus JAMAIS je ne lui reparlerais, il allait verser une larme ou deux. Je ne lui ai plus parlé pendant le reste de la journée, mais le matin suivant, il a commencé à me parler en Divination comme si rien ne c'était passé.

Ugh. Je ne m'inquiète pas. Je m'inscris, qu'il le veule ou non.

Katie dit que je suis stupide et que Fred fait seulement attention à moi. Alicia dit que c'est un signe sûr qu'il m'aime.

Mais qu'est-ce qu'elles en savent? Mais d'un autre côté…j'ai vu George et Alicia main dans la main sur le chemin D'Etude de Moldus peut-être que je devrais écouté leur conseil tordu mais étonnamment sage plus souvent.


23 Octobre

Dortoirs

MON ANNIVERSAIRE

SAINTE MERE DE DIEU.

J'AI QUELQUE CHOSE A TE DIRE!

Il est près de trois heures du matin mais aujourd'hui est un jour si étonnant, que je dois tous écrire avant que je ne l'oublie. Mon dix-septième anniversaire a débuté à exactement huit heures du matin. Katie et Alicia en compagnie des garçons étaient montés dans le dortoir de Leesh et moi. J'étais en plein rêve plutôt plaisant incluant la plage et une certaine tête rousse, quand une fureur d'agitation m'a réveillé. Les visages grimaçants de Fred, George, Lee, Katie et Alicia m'ont salué. Lee état en train de souffler un des ces pétards et les jumeaux avaient charmés les confettis pour qu'ils descendent du plafond. Les filles tenait un gros gâteau au chocolat, noyé de glaçage rose et orné de dix-sept bougies.

Les flammes roses assorties au gâteau se balançaient de la porte d'entrée jusqu'au cabinet comme des drapeaux de victoire.

C'était une chance inouïe que je ne portais pas mon pyjama avec mes petites sirènes. Ma tante Cassie adore étrangement les films de Disney. Mais d'un autre côté, je ne pense pas que, le t-shirt vert vomi avec le logo, Park Lane Pre School et le vieux boxer de plaid de Fred (longue histoire) soit mieux.

(Pour faire de la longue une histoire courte, je l'ai volé l'année dernière de la chambre de Fred comme défi. Il ne l'a jamais découvert. C'est-à-dire jusqu'ici.)

« Hey, les mecs ! Aucune plaisanterie cette année ? » J'ai demandé avec incrédulité.

Fred m'a sourit. Non, pas cet infâme, sournois, sourire de Weasley qui était toujours trempé de rébellion. C'était un chaleureux ; véritable demi-sourire que j'ai rarement eu la chance de voir.

Il a secoué la tête et a regardé nos amis dans la pièce.

« No, pas cette année. Les mecs et moi t'avons épargnées. Je suppose que je te laisse une pause cette année. » A-t-il taquiné, mais pourtant honnête.

J'ai rigolé, me redressant dans mon lit.

« Et bien c'est un soulagement. » J'ai admit.

Alicia a rigolé.

« Oh, ne soit pas trop déçue. Nous avons de grands plans pour tes dix-huit ans. Tu n'y échapperas pas si facilement. » A-t-elle averti avec un sourire bien naturel.

« Oh merlin. » J'ai murmuré, incapable cependant de cesser de sourire.

« Ho merlin est tout a fait bon ! En attendant va te changer, et ainsi on pourra manger. » A ordonné Lee enthousiaste.

Fred a ri sous sa cape et a jeté à Lee un regard moqueur.

« Hé, ce serait bien un peu de remplissage supplémentaires sur l'arrière d'une certaine fille. » A-t-il exprimé, son sourire enfantin remplacé par un sourire effronté qui me visait directement.

Katie et Alicia ont gloussé et je n'ai pus que faire les gros yeux, ma confusion me laissant sans voix. Avant, la taquinerie de Fred ne m'aurait pas atteint. Maintenant, il m'a transformé en plie marchante de bouillie de bégaiement. Et qui veut vraiment sortir avec une fille qui trébuche sur ses propres mots ? George s'est étrangler de rire et lui et Lee ont échangé ce 'regard'.

« Merci de nous éclairer, Frederick. ACCIO jeans Miss Sixty et top Bizzar's Sisters ! » J'ai sarcastiquement remercié.

Ma paire d'habits préférés, un jeans Miss Sixty taille basse et une chemise Bizzar's Sister volèrent du placard jusqu'à mon lit. Le t-shirt a une photo du groupe sur le devant, et les dates de concerts de leur tournée 'Chaos called Creation', sur le dos. Les Bizzar's Sisters sont très populaires, une sorte de groupe de punk dans le monde des sorciers. Elles sont…bizarres mais totalement cool. Je les ai vues en concert pendant l'été de ma quatrième année avec Katie et Alicia. Mon frère nous chaperonnait. C'était assez amusant, parce qu'Alicia prêtait plus attention à Holden qu'au concert. Elle l'a nié plus tard mais Katie et moi savons la vérité.

« Je vais me changer dans la salle de bain. Les garçons vous feriez mieux de ne pas avaler le gâteau. » J'ai insisté.

Les filles ont ri naturellement et les mecs ont marmonné quelque chose ayant rapport à 'traitement injuste et idées fausses'.

Je ne savais même pas qu'ils étaient capables de posséder un vocabulaire si étendu!

Avec ça, je me suis levée avec élégance et me suis dirigée vers la salle de bains. J'ai étouffé un petit rire quand j'ai entendu Fred dire soudainement, « J'ai eu un boxer exactement comme ça. Je me où il est. »

Quelques minutes plus tard, après avoir comme par magie redressé mes cheveux indisciplinés et onduleux, j'ai émergé arborant mon jeans et t-shirt bien ajusté. A ça Fred a laissé sortir un bas sifflement. Katie a donné un coup de coude à George et il a haussé les sourcils, ils ont tous les deux sourit à Fred.

Et bien, peut-être que j'ai mis un peu de maquillage aussi.

J'ai fais de gros yeux à Fred, bien qu'il affichait un sourire timide. A-t-il bu l'eau polluée du lac ? Pourquoi filtrait-il sans interruption avec moi ? Et à une heure si matinale, en plus. Peut-être que je réagissait trop et qu'il ne filtrait pas, étant juste lui-même.

Ugh. La vie est si compliquée. Peut-être que je devrais devenir nonne.

« La ferme Weasley. Et maintenant, où en est ce gâteau ? » J'ai demandé.

Katie avait déjà coupé la gâteau en tranches égales. Les filles, y compris moi, ont pris une tranche et les garçons en ont pris trois. Ils sont parvenus à les finir plus vite que nous, en plus. Des porcs, je te dis. Après que nous ayons mangé la gâteau, George a distribué les bouteilles de Bièrraubeurres (sans alcool) qu'il avait pillé des cuisines. Je n'ai pas fini la mienne, je l'ai donc donné à Fred.

Après cela, nous sommes descendus dans la salle commune et avons ouvert les cadeaux. Katie m'a donné un nouveau journal, une boîte de Plumes en Sucres et une barrette de cheveux Burberry. Comme tu le sais, Katie est un phénomène de mode. Alicia m'a donné un cadre vraiment mignon qui dit 'Meilleures amies pour toujours' dessus. A l'intérieur de l'armature il y a une photo de nous trois après un match de Quiddich. Je suis au milieu et mes bras sont placés autour de Katie et d'Alicia, qui tiennent négligemment leurs balais. Nos uniformes et visages sont couverts de saletés mais nous rions comme des folles. En outre enfermée dans un sac il y a un boite de chocolats.

Lee m'a donné une nouvelle écharpe, ce qui est vraiment propice puisque ma vieille a un accro. Elle est rouge et barrée d'or. George ma acheté un TRES gros sac de bonbons de chaque saveur de Bernie Bott et ce vernis à ongles génial qui changent de couleur une fois à la lumière du soleil. J'ai ouvert le cadeau de Fred en dernier.

Pour dire la vérité, je ne savais pas à quoi m'attendre. C'était une boîte longue, rectangulaire, enveloppée en papier d'or. J'ai regardé Fred, pensant que peut-être ses yeux le diraient mais il a seulement jeté ce demi-sourire gamin qu'il avait dévoilé plus tôt. J'ai avalé ma salive, bien que mon expression neutre ait masqué mon inquiétude et j'ai arraché le papier. J'ai ouvert la boîte, et ait été si surprise que j'ai retenue ma respiration et j'ai fait face à son contenu.

J'en ai eu le souffle coupé, comme Katie et Alicia.

A l'intérieur était une douzaine de centimètre, une longue tige, des roses couleur pêche. Tout d'abord, je n'avais jamais vu des roses couleur pêche. Et je suis heureuse de dire que maintenant j'en ai, parce qu'elle sont absolument magnifiques. En second lieu, je ne savais pas que Fred pouvait être si gentil ! J'ai sentit mes yeux devenir brumeux pendant que je regardais fixement ce cadeau adorable, rayonnante d'une oreille à l'autre.

« Fred…c'est si gentil de ta part. Merci beaucoup. » J'ai dit.

« Il y a UM…une note, tu sais. Tu ne dois pas la lire maintenant, pourtant. » A timidement répondu Fred.

« Fred c'est la chose la moins égoïste que j'ai vu que tu as faite de toute l'année. » A roucoulé Alicia.

Fred a promptement tourné rose flash.

Katie a profité du moment que c'était.

« George, pourquoi tu ne fais jamais quelque chose de pareille pour moi ? A-t-elle exigé chaleureusement, frappant légèrement l'épaule de George.

George a fait les gros yeux, puis s'est tourné vers Lee.

« Aww ? Frederick, tu n'aurais pas du! » A raillé George d'une voix haut perché, aigue. Il a attrapé l'avant-bras de Lee, comme si il essayait de retenir une ancre à flot.

Fred s'est renfrogné.

Lee s'y est joint et a dramatiquement placé ses mains ensembles comme un prêtre, et a alors battis ses longs cils foncés.

« Freddie, c'est siiiii gentil de ta part ! Je ne peux pas croire que tu- »

Mais les pleures de Lee ont été coupé par un oreiller rose flash frappé avec force contre son visage, par un Fred contrarié et embarrassé.

Tout le monde a rigolé, à l'exception de Fred. Il rougissait devant son jumeau et Lee. La tête rouge fâchée s'est posée sur moi, le forçant à me faire un sourire qui semblait semblé…oserais-je le dire, timide ?

« J'ai quelques Plumes en Sucres, aussi. J'ai l'impression que tu en auras beaucoup à manger par jour. » A taquiné Fred, ignorant ses amis masculins.

Mais j'étais trop étonnée par les roses pour l'entendre vraiment. Je n'avais jamais reçu de fleurs d'un mec avant. C'était si surréaliste. J'ai regardé les roses une fois de plus, et j'ai alors fixement regardé Fred, au comble de ma joie. Nos yeux se sont accrochés et j'ai senti comme si ma confession d'avoir le béguin pour lui dansait sur le bout de ma lèvre mais je les ai maintenues scellées. Quelque chose à remuer à l'intérieur de moi, comme la nuit après notre détention. Fred était sur le point de me parler à propos de 'la bonne fille' quand cette fichue Grosse Dame nous a interrompus.

Au lieu de renverser les haricots et de lui paraître insensée, j'ai chuchoté, « Merci. »

Après ça, nous sommes descendus vers la Grande Salle pour le petit déjeuner. En fait, les garçons étaient les seuls à avoir de l'appétit. J'ai seulement bu deux verres de jus de potiron et ai pris la moitié de la grappe de raisin d'Alicia. Katie a pris un petit pain aux myrtilles. De l'autre côté les garçons…et bien disons juste qu'ils ont mangé assez pour alimenter suffisamment une petite armée pour trois mois pendant une excursion d'hiver.

Je n'avais vraiment rien projeté pour mon anniversaire, ainsi quand nous avons découvert que le professeur McGonagall organisait une excursion à Pré-au-lard, nous avons sauté sur l'occasion. Les jumeaux et Lee se sont immédiatement dirigé vers Zonko et se sont amusés avec les nouveaux produits. Les filles et moi sommes dirigées vers plusieurs magasins de robes. La rumeur était, qu'il y aurait une sorte de bal cette année. Nous n'avons rien trouvé que nous aimions, cependant.

Nous avons retrouvé les garçons pour manger. Assez tôt, il a été temps de revenir à l'école. Au finale, c'était un jour normal gambadant dans Pré-au-lard avec mes meilleurs amis les trois plus immatures étant pourtant des garçons de sixième année indéniablement hilares. Oui, jusqu'ici rien de vraiment hallucinant ne s'était produit, mais j'y arrive.

Après le dîner, où j'ai pratiquement du étrangler Fred qui chantait trop fort la chanson 'joyeux anniversaire', nous nous sommes traîné dans la salle commune, riant au sujet des horribles coupes de cheveux, gémissant au sujet des quantités exagérées de travail et taquinant Fred au sujets de ses admiratrices. Les jumeaux ont fait exploser des pétards Flibusier et vers minuit, ont déclarés que j'avais 'officiellement dix-sept ans'.

Un à un, nous nous sommes dirigés vers nos dortoirs séparés. Je me suis changée en pyjama qui était moins repoussant que la nuit passée (un short gris en coton et une chemise pourpre qui n'était pas cinq tailles trop grandes), je me suis alors glissée dans mon lit. J'étais sur le point de tombée endormie quand j'ai entendu un tapement à ma fenêtre.

J'ai pensé que j'avais des hallucinations, je me suis donc retourné et essayer de dormir, quand c'est devenu plus fort. Me maugréant, j'ai traîné les pieds jusqu'à la fenêtre, l'ai ouverte et ai fait face à un Fred Weasley rayonnant, sur son balai, comme si les balades en balai la nuit étaient monnaies courantes chez les moldus et les sorciers.

« Fred ? Qu'est-ce que tu fais bon sang ? » J'ai sifflé.

Fred a rit sous sa cape. Il portait encore ses habits de la journée, qui étaient un jeans baggy et un pull avec une encolure en V, couleur vert mousse et qui d'une étrange manière, mettait en valeur ses yeux. Il semblait absolument adorable, particulièrement depuis que ses longues et broussailleuses mèches étaient soulevées par le vent.

« Qu'est ce que j'ai l'air de faire ? J'attends que tu montes dessus ! » A informé Fred impatient, comme s'il parlait à une vieille du troisième âge avec un problème mental.

J'ai soupiré.

« Fred, je suis en pyjamas. » J'ai argumenté.

« Aucune plainte de ce côté-là. » A-t-il immédiatement répondu avec un sourire effronté.

J'ai immédiatement rougit mais l'ai fixé.

« Fred, il est presque deux heure du matin ! » J'ai rapidement hurlé.

Il a gesticulé.

« A ce point ? »

J'ai croisé les bras sur ma poitrine, le fixant avec un air menaçant. Fred a rit sous sa cape et a jet ses mains en l'air comme s'il se rendait. J'ai été immédiatement effrayer qu'il tombe mais il est rester fermement en place et j'ai sentit ma fréquence cardiaque redevenir à la normale.

« C'est bon Angie. C'est le grand 1-7. Vis un peu. Je te promets que je ne te ramènerais pas trop tard. » A-t-il persisté.

J'allais lui dire qu'il pouvait trouver quelqu'un d'autre, mais un regard à son corps et je n'ai pas pu résister. J'ai pris un sweat-shirt étendu près de mon lit et je l'ai rapidement passé par ma tête et mes bras. La partie la plus dure était d 'aller sur le balais. Je n'ai nullement peur de la hauteur mais regardé 15m plus bas a titiller mes nerfs. J'ai dévisagé Fred, mordant ma lèvre et il a rigolé, repoussant ses cheveux de ses yeux. Mouvement qui était très sexy, si je peux ajouter.

« Ici, je vais rapprocher le balai. » A-t-il annoncé.

Il a balancé le balai vers la fenêtre, et s'est ensuite mis à côté d'elle. En dépit du fait qu'il étreignait pratiquement la vitre, j'étais toujours un peu nerveuse. Je veux dire, c'était autre chose que de filer comme un éclair sur un balai pendant un match de Quiddich. La bonne chose était que quand tu montes du sol sur un balai et que tu entre dans le jeu, rien ne peut briser ton intense concentration.

« C'est bon, Angie. Met juste une jambe à la fois. Tiens-toi à l'appui de fenêtre. » A-t-il enjôlé.

J'ai pris une grande respiration, puis de façon précaire me suis tenue sur le rebord. Retenant mon souffle, j'ai balancé une de mes jambes, une main agrippant la vitre pour ma chère vie, et l'autre était accroché à l'épaule de Fred. Je suis parvenue à balancer l'autre jambe et à me placer sur le balai.

Je me suis agrippé à la taille de Fred et je suis remontée plus près de lui, mon menton reposant presque sur son épaule. J'ai pu sentir ses muscles se tendrent, bien que je n'ai aucune idée pourquoi. La nuit était vive et rafraîchissante, entre modérément chaud et vivement piquante. Fred a donné un coup de pied sur le mur et a plané pendant un moment.

Il m'a regardé fixement, l'excitation rayonnant dans ses yeux.

« Tiens bon ! » A-t-il ardemment proclamé.

Avant d'avoir pu dire quoi que se soit, Fred s'est retourné et s'est élancé vers le haut à grande vitesse. Le vent déchaîné a hurlé dans mes oreilles, mes cheveux volant et fouettant derrière moi, mes doigts ont serrés encore plus sa taille. J'ai su que Fred souriait de tout cela.

Nous sommes montés au-dessus du terrain de Quiddich, puis à l'extérieur du château, puis avons rasé le lac ; mes orteils caressant la surface, créant des millions d'ondulation. Je savais que Fred était un voleur exceptionnel mais les mouvements qu'il faisait auraient pu être passée comme des scènes supprimées de ce film moldus, 'Top Gun'.

Il a exécuté d'impeccables tonneaux sur tonneaux, suivi de paresseux huit et de tour autour des tours. J'ai été surprise de ne pas dégager tout l'oxygène de mon corps. Nous n'avons pas beaucoup parlé pendant la durée du tour mais ce n'était pas important. C'était une des grandes choses au sujet de notre amitié. Nous n'avons pas toujours besoin d'avoir besoin de conversations prolongées. Parfois nous pouvons nous asseoir en silence et se comprendre parfaitement bien.

Quand nous sommes sans risque revenus à mon dortoir, Alicia marmonnait quelque chose d'incohérent à propos de George qui ne lui achetait jamais de fleurs et sa crainte des mites. Fred et moi avons sourit. Il était en fait à l'intérieur, le balai paresseusement placé dans sa main droite. J'ai gesticulé et ai regardé autour de moi.

« Bien. Ca y est. » J'ai fait remarqué, regrettant la fin de l'escapade.

Il a grimacé.

« Donc ça y est. »

J'étais silencieuse, mes yeux ne quittant jamais son visage. Ses joues étaient d'une jolie teinte de rouge et ses cheveux étaient en désordre une fois de plus. Quelques mèches intraitables devant ses yeux, frôlant juste le bout de ses sourcils. J'ai résister à la grande envie de les replacés. L'étincelle de ces yeux était plus lumineuse que n'importe quelle étoile située dans le ciel. Ses yeux que j'ai essayé de connaître tellement bien étaient peints maintenant d'une émotion dont je ne peux mettre le doigt dessus. Ils étaient si larges et bourdonnants avec l'électricité contenue dedans que je me sui sentie facilement glisser.

Il était le genre de mec qui ne se rend pas compte qu'il est vraiment beau. Et c'est ce qui le rend bien plus attirant. J'ai mordu ma lèvre, mon béguin au maximum. Il se tenait là, si confiant et en équilibre. Et je me tenais là, faisant mon plus beau sourire, quand à l'intérieur de moi, j'étais une boule ne nerfs.

Je me suis rapprochée, comme tirée par une certaine force magnétique et il m'a regardé, baigné d'ombre. A 1m68, j'étais assez grande pour mon âge. Mais pendant la quatrième année, Fred a semblé avoir une poussée de croissance. Maintenant, il faisait au moins 1m87. Ces yeux étaient hypnotisant…je me sentais attirée par cette force, entichée de leur aspect espiègle, l'étrange romance qui vient avec la rébellion, la sottise et le chaos.

J'ai cru que j'allais l'embrasser, et bien. Je l'ai vraiment cru.

Mais Alicia en ronflant fort a brisé le silence épais. Fred a cligné des yeux, comme s'il sortait d'une transe profonde.

« Bien, je ferais mieux d'y aller. Il est trad. » A annoncé Fred d'une voix rauque.

J'ai pensé que c'était étrange, car il a insisté pour partir en balai en dépit du fait qu'il était presque deux heures du matin. J'ai incliné la tête, toujours absorbée par ces yeux bleus magnifiques, comme un océan pendant un orage terrible.

« Très bien. A demain. » J'ai dit.

Il m'a fait un sourire.

« Fais de beaux rêves, Angel. »

Il a alors fait quelque chose qu'il n'avait jamais fait ?

Il m'a embrassé sur le front.

Après ça, il est monté sur son balai et a volé loin, probablement vers son dortoir, jusqu'à ce qu'il soit un point minuscule.

Je l'ai regardé partir jusqu'à ce que je puisse plus voir le fantôme de son contour dans le ciel gris pâle, m'enfonçant à nouveau dans mon lit, j'ai touché l'endroit où ses lèvres avaient rencontré ma peau.

Je me suis alors rappelé la note jointe avec les fleurs. J'avais oublié de l'ouvrir, j'ai donc fouillé dans l'obscurité et ai trouvé la boîte. J'ai jeté le couvercle à travers la pièce et j'ai farfouillé dans la boîte, jusqu'à ce que j'aie trouvé la note. Rampant de nouveau vers mon lit et sortant ma baguette magique du tiroir supérieur de la table de nuit, j'ai déroulé le rouleau de parchemin.

« Lumos. » J'ai sifflé.

Je pourrais dire que Fred a eu des difficultés a l'écrire, parce qu'il y a beaucoup de mots barrés. La note disais ceci :

Chère Angel

Ainsi. Il semblerait que tu ais finalement 17 ans. Je m'en souviens comme si c'était l'année dernière. Tu m'appelait 'imbécile immature' pour avoir fait un combat de boue avec George après un match de Quiddich très pluvieux. Oh attend, c'était l'année dernière. Haha. Non mais, ce que j'essaye de te dire c'est que tu es l'une de mes meilleures amies. Et comme tu sais, je n'ai habituellement pas beaucoup de filles qui sont strictement et seulement des amies. Je te suis reconnaissant de m'avoir supporter si longtemps. Ce que j'essaye VRAIMENT de dire, c'est que tu comptes beaucoup pour moi. Plus que je ne puisse le dire. Passe une brillante journée, parce qu'on a 17 ans seulement qu'une fois.

Love,

Fred

J'ai refermé la note et ai laissé échapper un petit soupire. Mes yeux allant en flèches de la ligne 'tu comptes beaucoup pour moi' et 'Love, Fred'. Je ne pouvais pas croire ça.

Et à exactement 2 :45 du matin, je n'ai plus su le nier. J'étais vraiment, follement et malheureusement tombée amoureuse de mon meilleur ami, Fred Weasley.


A SUIVRE…………………...