Tadam Tadam voilà le chapitre tant attendu lol !!!

Pour info, l'auteur a terminer l'histoire (j'ai déjà dit mais bon je répète), elle a finit avec 13 chapitres, mais vu que son histoire est très appréciée (355 reviews) ; elle a décidé de faire une suite qui raconte donc la septième année d'Angelina, elle s'intitule 'What I Like About You

' et compte actuellement 4 chapitres mais il y en aura encore d'autre car l'auteur adore vraiment cette histoire !! Donc voilà, si après avoir finit de traduire celle-ci et que j'ai le temps je traduirai la suite, mais bon y a encore le temps !!

P.S. : je sais que ce n'est pas mon histoire mais bon je me permets quand même de dédier ce chapitre à un big loser (encore pire que Fred lol), les mecs vraiment…y en a pas un pour rattraper l'autre…

Bon je ne vais pas vous embêtez plus longtemps, bonne lecture….


Could you whisper in my ear

The things you want to feel

I'll give you anything

To feel it comin'

I wanna wake up where you are

I won't say anything at all

So why don't you slide- Goo Goo Dolls


2 Novembre

Grande Salle

Désolé au fait. Je suis tombée endormie ! Quoi qu'il en soit, laissez-moi continuer sur ce sujet. J'ai ouvert la bouche devant Fred comme un poisson qui sort de l'eau et il m'a juste fixé, impassible, avec une expression neutre qu'il porte depuis le petit désastre de la salle commune. Tout le monde faisait un silence de mort, excepté George, qui suffoquait de rire.

J'ai eu la gorge serrée et Fred a murmuré avec anxiété, « Et bien, faisons le, hein ? »

Mes yeux se sont élargis et je pouvais seulement l'observer pendant qu'il avançait jusqu'à moi. J'étais dans un état de panique absolue. Devais-je le laisser m'embrasser et me faire découvrir ? La salle tournait violement et Fred me regardait curieusement, comme si je bredouillait quelque chose qui ne voulait rien dire.

Il s'est tenu devant moi, puis s'est un peu abaisser, nos yeux se sont rencontrés. C'était comme si le monde entier avait arrêté de tourner.

Et c'est arrivé. L'idiote gaffante Angelina a remplacé l'Angelina sensible et pleine d'esprit dans mon corps. Murmurant une certaine excuse débile que je n'ai même pas compris, je me suis rapidement mise sur mes pieds et j'ai couru hors de la pièce et ai descendus les escaliers vers la salle commune. Je savais que je ressemblais à une idiote mentale mais je n'ai pas pu faire autre chose. Je savais que si Fred m'embrassait, tout aurait dégringolé dans une énorme boule glorieuse et géante de flammes.

Je pouvais entendre le cri de Katie et d'Alicia derrière moi mais je n'y ai pas fait attention. Elles ne comprennent pas ce que c'est de vouloir quelqu'un que vous ne pourrez jamais avoir. Katie était pratiquement contre Lee et Alicia et George avaient enroulé leur petit doigt l'un autour de l'autre, à quoi ça sert de le nier ? Et moi qu'est ce que j'ai ?

Rien.

J'avais été la seule à penser ardemment à cet acte frivole et ça m'étais retomber dessus. Je voulais tellement que Fred tombe amoureux de moi ; pour être une fois CELUI qui chasse au lieu de moi courant après lui. J'étais simplement une marionnette sur une corde, accusant la dictature du maître de la marionnette, une demande me donnant de pouvoir mais rien me laissant inutile.

Je me suis jetée sur un divan vide, mon dos d'affalant d'un air fatigué dans les coussins. J'aurais voulu courir jusqu'où mes jambes le pourrais, mais il était minuit passé et je ne voulais pas être interrogée par Rusard.

J'ai regardé fixement dans la cheminée, me demandant comment j'allais faire demain. Mes oreilles ont piquées au bruit de pieds descendant doucement les escaliers.

J'ai su que c'était lui avant même qu'il n'aille plus loin. Mon cerveau avait mémorisé son type de pas. Forts et vaillants, puis lentement légers. Il s'est assis à côté de moi et je n'ai pas pris la peine de lui faire face. Je n'ai pas voulu

Comment est-ce que je pourrais encore le regarder dans les yeux ? Il était silencieux et je pouvais dire qu'il cherchait ses mots. Je n'ai pas su commencer non plus.

Pendant longtemps, j'ai gardé secrets et confessions, comme un message dans uns bouteille de Coca jetée à la mer. Je cachais ces révélations depuis tellement longtemps, que bientôt, je n'aurais plus rien à dire. J'ai eu tellement de remue-ménage à l'intérieur de moi que je n'ai plus de mots pour l'exprimer.

Sa main était seulement à quelques centimètres de la mienne et bien que j'aurais voulu la tenir, j'ai grincé des dents et j'ai continué à fixer le feu. Peut-être que je jouais à l'imbécile. Peut-être que si je sortais en marchant simplement hors de cette salle commune maintenant, je serais toujours libre de mon penchant stupide à aimer Fred Weasley. Peut-être que c'était tout ceci. Juste se lever et partir loin, laissant tout derrière soi.

« Angie, qu'est ce qu'il y a ? » A demandé Fred.

J'ai entendu les coussins se froisser et se frotter les uns contre les autres, car il s'était tourné pour me faire face. Mon Dieu, savait-il même ce qu'il me faisait ?

Est-ce qu'il le sait et qu'il s'en moque ?

J'ai obstinément résisté à ses soucis et ai fixé le feu, mon bras se reposant sur l'accoudoir du divan, mes doigts battant la mesure contre le doux, usé, tissu de velours. J'étais trop embarrassée et affamée pour même l'informer de ce dilemme.

Il a émit un grognement frustré.

« Angel, parle-moi. » A exigé Fred.

J'ai gesticulé, mes yeux devenant glacial et apathique.

« Angel, tu es stupide. Parle-moi juste, c'est bon ? » A-t-il persisté.

J'ai reculé au commentaire 'stupide' mais n'ai pas manié battre un cil. Fred m'a atteint et a placé ses mains sur mes joues, tournant ainsi ma tête et donc de rencontrer son regard. J'étais silencieuse, le feu jouant dans ses cheveux, ses mains s'attardant sur mes joues, qui atteignaient la température du feu.

« Qu'est ce qui se passe entre nous ? » A-t-il délicatement interrogé, laissant tombées finalement ses mains à ses côtés.

Je savais exactement ce qui se passait entre nous. J'étais tombée amoureuse de lui et il était dans un style de vie 'sors avec et jette la' qu'il n'avait même pas pris la peine de remarqué. Tout avait changé, pourtant la plupart des choses étaient restées les mêmes.

Fred était toujours Fred, le 'dragueur' officiel de Poudlard et j'étais toujours Angelina Johnson, la poursuiveuse de Griffondor, meilleure amie d'Alicia et de Katie, les yeux remplis d'étoiles, l'esprit concentré sur le succès.

Je bloquais toujours, oubliant quoi dire près de lui. Je riais toujours de toutes ses plaisanteries, même les nulles. J'étais toujours nulle en Potions. Mais quand je l'ai regardé…je ne l'ai pas vu comme l'espiègle googy {c koi ca ?} que j'avais l'habitude de détester. J'ai remarqué ces petites choses.

Les fossettes.

Le sourire infâme qui s'étendait toujours d'une oreille à l'autre.

Son rire.

Et tout a changer. Et je ne pouvais revenir en arrière et le fixer.

« J'ai grandit. » J'ai solennellement chuchoté.

C'était vrai. Excepté que maintenant je ne savais pas tout à fait qui j'étais. J'avais été 'un des mecs', me moquant des taches d'herbe, riant la bouche pleine ? Et maintenant je voudrais être la fille qu'il a remarquée. Bien sur, je n'étais pas encore effrayée d'être un peu sale.

Mais je voulais qu'il me voie comme jolie. Je voulais être jolie. Et dans ses yeux, j'étais seulement l'amie et rien de plus.

Il s'est mordu la lèvre, frappé de sérieux. C'était si rare de le voir sérieux, c'était du style à m'effrayer.

Ca ne signifie pas que nous avons grandis séparément, hein ? » A-t-il demandé.

J'ai secoué la tête.

« Non. Je pense juste que… » Je me suis arrêtée.

Il a haussé un sourcil.

« Que…? »

J'ai regardé au loin et par-dessus la table.

« Et bien. Je-je ne sait pas. Mon Dieu, Fred. Tu n'est jamais fatiguez de tout ça ? » J'ai brusquement interrogé.

Le sujet était vieux mais semblait en même temps nouveau.

Son front était ridé de confusion.

« De quoi tu parles ? »

J'ai agité ma main, comme si la réponse apparaîtrait dans les lumières lumineuses et la fumée épaisse.

« Ca ! Aller de fille en fille ! Tu n'as jamais voulu une vraie relation et pas quelque chose d'une nuit ? Tu ne veux pas tomber amoureux ? » J'ai à moitié crié.

Mes yeux glacés ont commencé à être embués de larmes, bien que je n'ai pas su pourquoi je voulais pleurer. J'avais gaspillé trop de larmes pour Fred. Il n'en valait pas la peine.

Il commençait à devenir gêner.

« Bon sang qu'est-ce que ça vient faire avec TOI courant à cause du jeu de la bouteille ? Est-ce que j'ai manqué quelque chose ? » A-t-il rudement lancé.

Tout. Rien du tout. Aussi longtemps que je garderais les mots ces mots sur le bout de ma langue et que Fred continuera à ignorer ce qui se passe autour de lui, notre relation est aussi bonne que des défunts. Parce que les mots non-dits seront toujours entre nous, planants dans le ciel, au-dessus de nous et renversé sur le plancher en dessous de nous.

« Oui, Fred. Tu as tout manqu ! Tu es tellement borné, tu le sais ça ! »

Je hurlais maintenant, mes mains avec les points serrés sur mes hanches, me tenant haute et fière devant lui.

« Très bien, ainsi je suis borné. Au moins moi je me comprend ! Tu parles de choses qui ne veulent rien dire ! Je suis descendu pour vois si tu allais bien et maintenant tu es en train de me critiquer ! » A-t-il hurlé.
Il s'est vite levé et s'est tenu de toute sa hauteur, me dominant.

« Tu n'a pas répondu à ma question. » J'ai grogné.

Il a émit un rire abrasif, jetant ses mains en l'air dans un signe de reddition.

« Tu veux la vérit ? Non, je ne suis pas fatigué de ça. Je suis parfaitement heureux et pas déprimer, ok ? Nous avons quoi, trente cinq ans ? J'ai seulement seize ans, Angie. Tu t'attends à ce que j'aie une épouse et des gosses et une maison avec une jolie barrière blanche ? Pourquoi dois-tu toujours me châtier à ce sujet ? Ce ne sont pas tes affaires bon sang, de tout manière ! » A-t-il ricané.

Une larme m'a échappée et a glissé sur ma joue. Mais elle était si minuscule qu'il ne l'a pas remarquée.

« Et bien, si tu l'a oublié, je suis une de tes meilleures amies ! Naturellement que se sont mes affaires ! Je dois t'écouter te vanter de toutes tes conquêtes chaque foutue semaine ! » J'ai crié.

Il a secoué la tête, me faisant face.

« JE NE T'AI JAMAIS FORCEE à écouter, si ? Jésus, où diable est le problème ? Si je ne te connaissais pas mieux, je dirais que tu es jalouse ! »

J'étais silencieuse, comme s'il m'avait giflé. Il m'avait découverte. Ma voix était précaire quand j'ai reparlé, manquant de force et de tonalité dans laquelle elle était précédemment baignée.

« Jalouse ? Tu es fou ? Pourquoi est-ce que je serais jalouse ? » J'ai dit bouillonnant de rage.

Il a gesticulé, me souriant bien qu'il n'y a eu aucune plaisanterie amicale à ce sujet.

« Oh, je ne sais pas. Peut-être que tu n'as toujours pas digéré que Davies t'a largué l'année dernière. Tu n'a jamais oublier, n'est-ce pas ? Tu es toujours aigre parce que contrairement à nous qui avons de vrai relation amoureuse, tu passée tes samedi soir à pleurer dans ton dortoir. Peut-être que si tu avais une vraie relation au lieu d'une imaginaire, tu comprendrais ! »

A ça, j'ai commencé à brailler. Je n'ai pas pu m'en empêcher. J'ai à peine pleuré devant Fred. La seule fois où je me rappelle avoir pleurer devant lui était quand Roger m'avait larguer quand j'étais revenue des vacances de Noël. C'était en cinquième année.

Après, je ne me suis plus inquiété au sujet de Davies me larguant, réellement. Mais alors, j'ai senti comme si le monde entier me tombait dessus. Je ne savais pas pourquoi je pleurais, cependant. Je n'aimais certainement pas Davies. Peut-être que c'était juste ce sentiment que tu as quand tu viens de te faire larguer.

Tu sais ; le sentiment que personne ne te demandera plus jamais pour sortir avec et que tu es destinée à devenir l'une de ces vieilles petites dames qui vivent avec dix mille chats parasites.

J'espère qu'il ne pensait pas que je pleurais à cause de Davies, parce que ce n'était pas ça DU TOUT. Mais la façon dont Fred m'a cassé, le choix de ses mots, s'en était trop. Ca m'avait tué, discuté avec lui et être si proche, repoussant ce que je ressentais pour lui depuis si longtemps. J'aurais voulu que tout ça passe.

Je n'ai pas voulu…je ne savais pas ce que je voulais.

Son visage s'était radoucit pendant que je pleurais, sensibles pleures qui me faisait hoqueté. Il m'a pris dans ses bras, a lissé mes cheveux et m'a légèrement embrassé sur la joue.

« Angel, stp ne pleure pas. »

C'était inutile.

« Angel, stp. Si tu n'arrêtes pas, je te ferais défilé devant Rogue dans une robe extrêmement serrée. » A-t-il taquiné dans mon oreille.

Je n'ai pas pu m'empêcher de rire nerveusement et j'ai reposé ma tête sur son épaule, les bras enroulés solidement autour de sa taille. Nous étions parfaitement ajusté. Excepté que nous n'étions pas ensemble.

« Ah, j'ai eu un sourire. » A-t-il observé, souriant.

Il a baissé la tête vers moi et j'ai relevé la mienne.

Et avant d'avoir pu enregistrer entièrement ce qui se passait, nous avons tous les deux (ou était-ce moi ?) assemblé nos lèvres dans un baiser taquin. C'était le genre de baiser dont vous n'êtes pas sur. Je me suis un peu reculée et nous sommes regardés dans le blanc des yeux, attendant que l'autre réponde.

J'étais tout à fait sans voix.

Il m'a attirée contre lui et j'ai fermé les yeux. Le baiser a commencé lentement et est ensuite devenu féroce et passionné, cherchant une réponse, cherchant une raison, les mains sur ses hanches, mes doigts tirant sur le bord de sa chemise, et lèvres contre lèvres.

Nos respirations étaient courte et rapide, tous les deux effrayer de perdre cet instant. J'ai juré avoir vu des étoiles quand sa main a remonté et a atteint mes cheveux. Mes lèvres se sont ouvertes et sa langue s'est glissée à l'intérieure et au fond de mon esprit, je me répétais 'TU ES EN TRAIN D'EMBRASSER FRED WEASLEY. TU ES EN TRAIN D'EMBRASSER TON MEILLEUR AMI, CE MISERABLE ! »

Bien sur, j'avais perdu tout contrôle de mes émotions et avait promptement ignoré ce fait alarmant et passionnant apporté à ma courtoisie de mon subconscient. C'était l'un de ces baisers que tu peux seulement imaginé ou voir dans certaine comédie romantique, qui en dépit de la mauvaise action, vous aimez de tout façon. J'ai eu l'impression de voler. J'étais faible au niveau des genoux, mes doigts agrippant étroitement sa taille, parce que si j'avais relâché l'emprise, je serais partie loin.

C'était vraiment un bon rouleur de pelles. Mais malheureusement, c'est probablement parce qu'il a eu beaucoup de pratique.

Ew.

Il s'est écarté et a laissé une traîné douce de baisers en bas de ma gorge.

« Mon Dieu, Angie, je voulais ça depuis si longtemps… » A-t-il marmonné.

Son visage a encore rencontré abruptement mes lèvres et je ne pourrais dire si c'était un rêve utopique. Je tremblais, son corps serré contre moi, j'ai étonnamment émit un léger gémissement et c'était une preuve claire (que ce n'était pas un rêve).

J'étais complètement réveillée.

Quand nous nous sommes séparés pour prendre un peu d'air, ses yeux ont attentivement étudié mon visage et se sont agrandit avec le choc, comme s'il réalisait soudainement ce qu'il avait fait. Il s'est reculé, les yeux remplis de surprise, les oreilles rougissantes.

« Je-…putain. Je ne peux pas faire ça. » A-t-il dit.

« Fred, quoi ? » j'ai haleté, toujours étourdie de la puissance de ses baisers.

« Angelina, écoute, je-je suis désolé. »

Et à ça, il a sprinté au loin vers les escaliers qui mènent aux dortoirs des garçons.


5 Novembre

Botanique

Ainsi. Fred m'a évité comme la peste noire depuis que nous nous étions embrassés dans la salle commune. Chaque fois qu'il me voit, il part dans la direction opposée. Est-ce que j'ai 'BIG LOSER' écrit sur mon front en lettres énormes et noires ? Je suis même allé dans la salle de bain après métamorphose pour vérifier.

Heureusement, mon front est exempt de toutes obscénités. Mais ça n'explique pas pourquoi il fait tous ce qui est en son pouvoir pour éviter d'être dans un rayon 3m de moi.

Qu'est-ce que j'ai fait de mal ? J'ai à peine dit quelque chose après que nous nous sommes embrassés. Il était le seul à avoir eu peu et être partit. Putain d'enfer. Est-ce que ça peut être pire ? Oh, attend, OUI CA LE PEUT ! Splendide.

Ainsi, depuis que Fred et moi nous sommes embrassés, il est collé à Olivia le squelette. Partout où je vais, si Fred n'est pas en train de courir à la vitesse d'un Sprinter olympique, il bécote Olivia, ses mains partout sur elle. Dans quel but le fait-il ? Es-ce que j'embrasse mal ou quoi ? Est-ce que mon haleine puait la purée de pommes de terre du dîner ?

QU'EST CE QUE C'EST ? ? !

Tôt ou tard, je savais que je devrais faire face à la colère de Katie et d'Alicia, je leur ai dit hier pendant Histoire de la Magie. George, Fred et Lee se reposaient curieusement dans la deuxième rangée, et nous étions toutes les trois assises dans la dernière rangée. Katie et Alicia m'ont félicitée jusqu'à ce que je leur dise la réaction étrange de Fred. Ca leur a fait perdre leur calme.

« Quel abruti ! Quel genre de pauvre type part après t'avoir embrass ? « A sifflé Katie, lançant des regards noirs sur l'arrière de la tête de Fred.

Alicia a rigolé, fortement troublée cependant par mon information.

« On parle de Fred Weasley, l'unique. C'est tout ce qu'i a dit, 'je suis désol ?' Rien d'autre qui aurait pu laisser entendre du pourquoi il avait agit comme James Bond ? Pourquoi a-t-il fait ça à la fin ? » A demandé Alicia.

J'ai gesticulé, écrivant distraitement quelques notes sur ma feuille, me disant que c'était une mauvaise idée de les avoir informer. Je savais qu'elles avaient seulement de bonnes intentions mais tout ce que je voulais c'était oublier.

D'ailleurs, qu'en savent-elles ? Elles n'ont jamais eu de problèmes avec les mecs, seulement glousser le soir sur la façon dont George a embrassé Alicia sur la joue et de la façon dont Lee a écrit un petit mot à Katie.

Elle n'ont jamais eu a traiter avec la moiti de ce à quo j'ai affaire.

« J'en ai mare. C'est Fred, c'est la seule explication que je peux offrir. Peut-être que j'embrasse mal ? Est-ce que vous pensez qu'il est partit parce qu'il n'a pas voulu me blesser en me disant que je bavais en embrassant ? » J'ai demandé, en sachant bien au fond de moi que ce n'était pas logique.

Katie a immédiatement secoué la tête.

« Si tu embrassais horriblement, il ne t'aurais pas embrassé deux fois et pendant si longtemps. » A-t-elle doucement proclamé.

Alicia a incliné la tête.

Elle a entièrement raison. Je ne pense pas que ce soit une question de mauvais baiser, mais plus au sujet de la peur. »

« Qu'est ce que cela à avoir avec ça ? » J'ai interrogé, stupéfaite.

Katie a fait les gros yeux.

« Qu'est-ce que nous t'avons déjà dit ! Fred est effrayé l'amitié qu'il a avec toi. Je veux dire, que vous êtes tous les deux vraiment proches. Fred n'est pas un parfait idiot. Il ne veux pas risquer de tout bousillier et de te perdre. C'est assez gentil, en fait. » A-t-elle brusquement informé.

« Et bien, c'est une grande hypothèse Dr.Bell, mais ça ne m'aide pas. Il sort toujours avec la Fille-Squelette. Pourquoi penses-tu qu'il l'aime ? Tu crois que c'est parce que c'est une fille facile ? » J'ai brusquement réfléchi, mes yeux errant pour fixer la nuque de Fred.

Alicia s'est étranglée de rire et a cesser de gribouiller sur son rouleau de parchemin.

« Très probablement. Honnêtement, tu es dix fois plus jolie qu'elle. Bien sur, elle est maigre mais son visage me faire penser à une mouette, tout osseux et maigrichon. D'ailleurs, sa tête est trop grosse pour son corps. Elle est comme une tête de pompon ! »

« Elle est comme, une petite brindille, Angie ! Tu pourrais éternué sur elle et elle s'envolerait. » A rigolé Katie.

« Ouais, et quand ils font la chose, je suis étonnée sue Freddie ne l'a pas encore brisée. » A ajouté Alicia, riant aussi.

Katie et moi avons dirigé nos pensées vers Fred faisant l'amour avec elle.

« C'était une très mauvaise image mentale. » J'ai répondu avec dégoût.

Katie a fait signe de la tête que oui.

« La pire. »

Nous avons alors commencé à chercher des moyens pour se venger de Fred. Un de mes préférés était de prendre une bouteille entière de Nair, qui est une crème qui enlève les cheveux, et de la mélanger dans son shampooing et de voir à quoi il ressemblerait complètement chauve.


8 Novembre

Dortoirs

La première tâche est demain. Fred m'ignore toujours, Katie glousse encore devant Lee et Alicia et George continuent de flirter. Et je pense toujours que parfois, ce n'est pas marrant de souhaiter maladivement quelque chose et que quand ça arrive, tu en veux plus.

C'est si compliquer mais…tu sais, cela me manque vraiment de lui parler.


9 Novembre

Salle commune

La première tâche était aujourd'hui. Les champions des écoles ont dû prendre une sorte d'œuf d'or. Chaque personne a dut prendre l'œuf à un dragon. Cedric a été brillant mais Harry a été le plus intelligent, je pense. Il a prit son éclair de Feu! Je ne crois pas que j'y aurais pensé. Il a été le plus rapide à prendre l'œuf, aussi. Harry et Krum ont obtenu les mêmes points. La deuxième tâche aura lieu à 9H30, le 24 février.

C'était cependant tellement dangereux. Tout le monde s'est pris un bon coup de racloir ou une coupure. Je me suis inquiété que quelque chose arrive à Harry ! Katie n'a pas arrêté de couiner avec effroi chaque fois que l'énorme dragon frappait à toute volée vers lui.

J'ai été étonnée que les filles aient décidé de s'asseoir avec moi. J'étais presque sur qu'elles auraient préférées resté avec George et Lee mais elles ont insisté qu'elles voulaient vraiment s'asseoir avec moi. Bien que, je n'aurais pas été étonnée si elles s'étaient débarrassées de moi.

Il y avait ce mes vraiment mignon français qui était en face de moi. Il me semble qu'il est un peu plus petit que Fred. Il a les cheveux blonds et de chaleureux yeux bruns. Je lui ai fait un sourire et quand il m'a sourit en retour, ses dents étaient parfaitement alignées, d'un blanc nacre. Un allumeur total. Mais quand elles (Katie et Alicia) se sont assises, il est descendu d'une ragée et s'est assis avec deux de ses amis.

C'est du genre à me rappeler, que nous étions tous les six de simples amis et que nous n'avions aucun intérêt ou attachement romantique entre nous.

Soupir

Ouais. Il y a certains jours. Ils semblent tellement lointains. Aussi lointain de quand le professeur McGonagall ne portait pas ces cheveux en chignon serré.


Le même jour

Un peu plus tard

Brillante idée ! Si tu ne peux pas les battre, rend les jaloux !! Ou dans ce cas-ci, Fred Weasley. Par conséquent, je vais faire ce que Fred m'a fait. Demain, ou pendant cette semaine, je vais marquer un point.

Je vais découvrir le nom de ce mec français et je rendrais Fred jaloux, il deviendra vert.

Oooh Frederick Weasley, tu regrettera d'avoir OSER jouer avec Angelina Johnson !


Et voil !!!! Maintenant dites moi ce que vous en avez pensez !!!J'adore les ptites reviews lol !!!