Voilà la suite !!!!


All I want is someone I can't resist

I know all I need to know by the way that I got kissed

I was cryin' when I met you

Now I'm tryin' to forget you

Love is sweet misery

I was cryin' just to get you

Now I'm dyin' cause I let you

Do what you do - Aerosmith


10 Novembre

Sortilèges

J'ai repéré M. French Model errant dans les couloirs aujourd'hui ! Je n'ai pas pu cesser de le regarder fixement et à quel point je serais embarrassée s'il m'attraperait. Heureusement, il a sourit et a fait signe de la main. Me sentant comme ne imbécile, j'ai lui ai rapidement fait signe et suis descendue vers la hall. Katie et Alicia ont essayé de me suivre, riant comme des folles et se demandant qui j'essayais d'éviter. Quand je leur ai dit au sujet de mon plan et de mon ancienne interaction avec M. French Model, elles m'ont donnée un 'high-fives' chaleureux.

Fred a commencé à me reparler. En fait la seule chose qu'il a dit jusqu'ici était 'passe-moi le beurre'. Mon Dieu, pourquoi ne pourrait-il pas juste grandir pour une fois ? J'aimerais lui dire combien mon meilleur ami me manque mais il me fuirait probablement.

C'est stupide d'être dans cette situation. George ne m'a rien dit tout comme Lee. Ils disent qu'ils ont 'juré le secret'. Stupides imbéciles.

Bien que, George ait mentionné que FRED lui a dit qu'il pensait sérieusement rompre avec Olivia.

N'y aurait-il pas une romance potentielle dans l'air ?


Novembre 15

Soin aux créatures magiques

Et bien, voici la friandise la plus intéressante du jour ! Katie m'a dit qu'il semble qu'il y a une sorte de 'concurrence' entre deux des garçons les plus populaires de l'autre école. Je suis sur que ce n'est pas très galant non plus.

Katie m'a dit m'a dit que Lee lui avait dit que Lavande Brown avait surpris une discussion tout en marchant pour aller en divination avec Seamus. Voyant comme Lavande est la plus grande parleuse et attentive pour le bavardage, je ne suis pas tout à fait sûr que la rumeur soit fausse.


Novembre 18

Dortoirs

Le plan semble aller en pleine puissance maintenant. Aujourd'hui, je marchais autour du terrain toute seule. C'était samedi et naturellement, les filles s'étaient jetées sur 'leurs mecs' comme des ours sur le miel. Katie traînait avec Lee et Alicia flânait autour de George et Fred.

Voyant comme je suis actuellement extrêmement folle de ce cher vieux Fred, j'ai refusé l'offre d'Alicia. Maintenant, qu'est ce qui pourrait m'arriver de mieux ? C'est exact, M. French Model lui-même !

Il flânait avec un de ses amis, qui je dois dire, n'était pas trop moche non plus ! Quoi qu'il en soit, M. French Model marchait derrière moi mais je je l'avais pas remarqué, car j'étais trop occupé à maudire et désirer Fred.

J'ai entendu des pas précipités et je me suis retournée, pour rencontrer la plus grande et la plus lumineuse paire d'yeux couleur chocolat que j'ai jamais vu. Par calcul approximatif, je dirais qu'il mesure environ 1m77 et 1m80. Il avait les cheveux châtains, genre couleur de foin frais.

C'était comme si avait mis une bouteille entière de gel pour cheveux, étant donné que chaque mèche de cheveux était pointue à la perfection {il a des 'spikes' en clair}. Il n'était pas inonder de taches de rousseur mais avait la peau lisse et impeccable comme de l'ivoire qui a été légèrement exposé à la lumière abondante du soleil.

Son sourire était timide et courtois, à la différence du charmant sourire infâme et de rébellion que Fred portait. Il lui manquait les profondes fossettes que Fred possédait, mais son sourire était gentil d'une manière entièrement opposée.

Il y avait quelque chose au sujet de ce mec qui criait à la poétique innocence. Comme un de ces artistes profondément émouvants qui parlent rarement, mais que quand ils le font, c'est si émouvant et magnifique, que tu as peur que ta respiration ne s'arrête à un moment.

C'était tellement différent de Fred, qui dit n'importe quoi et la plupart du temps ce qui lui vient à l'esprit, que ce soit brusquement grossier ou sincèrement doux.

Sa robe était boutonner jusqu'à mi-chemin, laissant voir un cher chandail Armani Exchange au premier coup d'œil. Son pantalon était noir, probablement également un Armani. C'était le genre de mec qui emmènerait probablement son rendez-vous dans un certain restaurant sophistiqué où le menu entier est en français et où tu dois au moins porter des hauts talons pour être admises à l'intérieur.

Je n'étais pas sûr de vouloir faire quelque chose avec ce genre de mec, parce que je n'étais pas non plus dans les paillettes et l'extravagance. Je suis le genre de fille en jeans et en t-shirt, si tu vois.

Mais je veux dire, c'est seulement de l'amusement et j'ai besoin d'un leurre. Si je dois employer quelqu'un, au moins que se soit quelqu'un d'attirant.

Quoi qu'il en soit, je me suis arrêtée et me suis retournée. Son ami et lui se sont aussi arrêtés, M. French Model s'est avancé.

« Bonjour mademoiselle. » A-t-il chaudement salué, avec un léger accent français.

Ce n'était pas aussi mauvais que cette fille Fleur, mais c'était indéniablement corsé avec l'accent.

« H » J'ai impatiemment répondu.

Bien sur, j'avais réfléchit à propose de ce que j'allais lui dire avant, mais maintenant qu'il était bien devant moi, je me suis senti un peu gênée ? Je n'étais pas trop sur de ce qu'il voulait.

Je veux dire, ce n'est pas habituel qu'un certain mec attirant étranger vienne devant vous et commence volontairement une conversation. Peut-être que c'était un défi. Sachant ma chance, Fred l'a probablement établi.

Son ami, qui était également grand et brun, a murmuré quelque chose en français et M. French Model a rigolé, faisant signe de la tête. J'ai légèrement mordu ma lèvre et ai commencé à me dandiner d'un pied à l'autre. Ils étaient probablement en train de parler, riant au sujet de la façon dont mon gloss à lèvres était étalé partout sur mon visage ou autre chose.

M. French Model a toussé, commençant à tripoter un bouton de sa robe.

« Je sais que ceci peut sembler étrange, mais je me demandais. As-tu un petit ami? »

Mes yeux se sont agrandis un sourire apparaissant lentement sur mes lèvres. Wouaw, attendez une minute. A-t-il dit ce que je pense qu'il a dit? C'était si surréaliste!

J'ai laissé échapper un rire bébête nerveux. Il doit y avoir un piège, il y a toujours un piège.

« Aucune offense, mais pourquoi ça t'intéresse ? » J'ai curieusement demandé.

Il valait mieux être sur mes gardes, et ensuite laissé mes espoirs montés. J'ai appris ça d'expérience.

Son ami a laissé échappé un rire profond, et a doucement poussé M. French Model dans l'épaule. M. French Model lui a murmuré quelque chose en français, que je devine comme quelques malédictions, dû à la tonalité caustique de sa voix.

J'ai haussé un sourcil et M. French Model s'est de nouveau tourné vers moi, souriant d'une manière extravagante bien que son sourie ai semblé plus confiant qu'avant.

« Et bien, eh, je me demandais si je pouvais, comment dire, apprendre à mieux te connaître ? Mais je t'ai vu souvent près d'un garçon roux et je ne savais pas s'il était ton petit ami. » A admis M. French Model.

Mon sourire circonspect s'est éclairé et j'ai réellement rigolé. Ainsi il pensait que Fred était mon petit ami. Ha. Quelle plaisanterie ! Le jour où Fred me demandera pour sortir avec lui sera le jour où Hermione Granger échouera à un examen. Ce qui n'arrivera pratiquement jamais.

« Fred ? Non, non, il n'est pas mon petit ami. Nous ne sommes même pas proche. Nous sommes de simples amis. » J'ai rapidement ajouté.

M. French Model a émit un rire de soulagement et a arrêter de triturer son bouton, son inquiétude se fanant lentement. Il m'a fait un sourire charmant et m'a tendu la main. Il avait les doigts vraiment longs et minces, comme un joueur professionnel de piano.

« C'est très bon à entendre. Excuse-moi d'être si pressé. Je suis Christian Monet. » S'est-il présenté.

Je lui ai serré la main, remettant une mèche de cheveux derrière mon oreille. Je portais une queue de cheval, mais une partie s'était échappée, étant donné que Lee m'avait pourchassé dans le château, essayant de m'inciter à goûter un Cauldron Cake vieux de trois ans qu'il avait trouvé au fond de son tiroir à chaussette.

« Angelina Johnson. » J'ai ardemment informé.

Christian a montré son ami de la main.

« C'est Pierre. »

« 'Lu, Angelina c'est ça ? » A supposé Pierre, me faisant un léger signe de la main. Son accent était encore plus fort que celui de Christian.
.
J'ai fait signe de la tête. Oh mon Dieu, c'était mon jour de chance ou quoi ? Deux beaux mecs français qui veulent mieux me connaître ? Dieu existe ! Hehe.

« Oui, c'est ça. » J'ai confirmé.

Christian a mis les mains dans ses poches, soudainement frappés d'un excès de timidité.

« Donc, est-ce que tu voudrais te promener avec moi ? Peut-être, me montrer ton école ? » A proposé Christian alors que son sourire s'était affaibli dans une appréhension timide.

J'ai incliné la tête, acceptant immédiatement l'offre. Je serais une idiote de refuser une occasion comme celle-la. Avec de la chance, on va rencontrer Fred et je pourrais le faire réagir. Ouis, cela semble impitoyable mais tout est juste dans l'amour et la guerre.

D'ailleurs, ce n'était pas mon choix de descendre à ce niveau. Mais c'est la façon dont Fred a voulu jouer et c'est la façon a laquelle je me conformerais.

« Cela semble merveilleux. » J'ai véritablement répondu.

Christian a dit quelque chose en français à Pierre. Ca à fait rigoler Fred et avec un rapide coup d'œil ; il battu retraite vers le château.

« Au revoir, Angelina. J'espère que nous nous reverrons ! » A dit Pierre.

Je lui ai fait signe de la main, il s'est ensuite retourné et a continué à marcher.

« Qu'est-ce que tu lui as dit ? » J'ai demandé.

Nous avons commencé à marcher, le rythme de nos pas étant en parfaite synchro et m'a fait un sourire espiègle, ses yeux miroitant.

« Je lui ai dit de nous laissés un moment tout seuls. Tu ne penses pas que je voudrais partager une fille magnifique comme toi avec quelqu'un d'autre, n'est-ce pas ? » A-t-il taquiné.

C'était un peu fort mais j'ai rougit de toute façon. Hey, c'est si rare de se faire complimenter par de beaux mecs! La dernière fois que Fred m'a fait un compliment sincère était ce semestre. Et on ne pouvait même pas le qualifier comme tel.

Je portais un peu de maquillage et Fred a dit, « Qu'est ce que c'est que ce truc partout sur ton visage ? »

Je lui ai fait les gros yeux et lui ai brusquement répondu, « Du maquillage, imbécile. »

Fred a incliné la tête et a feint de se rediriger vers son jeu d'échec version sorcier.

Après une minute ou deux, il a rapidement répondu, « C'est bizarre. Mais ça te va heu, bien. »

J'ai seulement répondu avec un petit, « Merci. »

Peux-tu seulement croire que j'ai passé deux heures à marcher avec Christian ? Ca m'a vraiment semblé plus court. Mais c'est si facile de lui parler. Il m'a tout dit à propos de sa vie chez lui et de lui-même en général. Son père est un moldu et sa mère est une sorcière. Sa mère possède un magasin de baguette magique à Paris et son père est avocat.

Ils se sont rencontrés par des amis de sa famille. Son père est connu pour son vif tempérament et ses directives strictes, alors que sa mère est calme, patiente et adore parler. Ils vivent dans une maison de taille normale de style colonial à environ cinq minutes de la ville. Il aime le Quiddich et l'équipe de sa maison, mais en tant que Batteur. Il a un plus jeune frère, Aden, qui a trois ans. Sa famille a également un chien, qui est un golden retriever appelé Picasso.

Christian va à Beauxbatons (évidemment) et est le meilleur de sa classe. Il m'a dit qu'il était un peu stressé pour ses examens et que ses amis le taquinent toujours parce qu'il est perfectionniste.

Sa matière préférée est Défense Contre les Forces du Mal et celle qu'il n'aime pas est Potons. Sa couleur préférée est le rouge et sa nourriture préférée est le chocolat. Et à ma grande surprise, il aime peindre.

Tu vois, je t'avais dit que j'avais raison au sujet de ce flair artistique! En fait, il a plus parlé que moi. Je lui ai parlé de mes parents et de mes amis (hormis Fred), et essayé de ne pas la rendre aussi ennuyeuse qu'elle ne l'est vraiment.

Nous avons quelques choses en commun mais pas beaucoup. J'aime ça. C'est excitant s'être avec quelqu'un que je connais pas depuis les six ans que je suis à Poudlard. Heureusement, il a cassé avec sa petite amie le mois dernier et heureusement, il est près pour une autre relation.

Son sens de l'humour est plus sarcastique, que celui goofy des jumeaux et de Lee. Mais j'aime bien. Après toutes ces farces, c'est bien d'être près de quelqu'un qui est un peu plus terre-à-terre.

Je suis sensée m'asseoir avec lui demain pendant le dîner. Nous étions tous assis dans la salle commune et je l'ai mentionné à Katie et Alicia. J'étais assise sur le divan avec Alicia. Fred jouait au échec version sorcier avec Lee.

George se tenait derrière Lee, attendant de jouer avec le gagnant. Les filles étaient vraiment contentes pour moi. Fred était surpris et vraiment embêter. Ce qui a eu comme conséquence une discussion, bien que j'aie essayé de mon mieux de ne pas sourire. Ce qui s'est transformé plus tard en larmes hystériques.

« C'est quoi le nom de ce mec ? » A-t-il demandé, faisant une pause à son jeu.

J'ai croisé les bras sur ma poitrine et lui ai jeté un sourire suffisant.

« Christian Monet, et ce ne sont pas tes affaires. » J'ai ricané.

Katie a rit sous cape, elle était allongée au travers d'un divan, et a continué a feuilleter son 'Teen Witch Weekly'.

Fred a baissé la tête et s'est gratter le menton, perdu dans ses pensées. Il a entrepris une prochaine démarche, et m'a alors fixement regardé une fois de plus, avec une expression de confusion et de concentration profonde gravé sur son visage.

« Angie, j'ai un mauvais sentiment à son sujet. Pourquoi tourne autour de lui ? »

Je l'ai jauger du regard comme s'il avait quelque chose sur lui de putréfié.

« Pourquoi est-ce que tu t'inquiètes ? » J'ai persisté avec curiosité.

Fred a froncé les sourcils. J'ai remarqué que Lee écoutait la conversation, son expression identique à celle de Fred mais ne dévoilant pas ses pensées.

« Regarde, ne commence pas à t'énerver juste parce que je suis concerné! Quoi q'il en soit, je n'en sais rien. J'ai juste un sentiment bizarre à son sujet. » A vaguement expliquer Fred.

J'ai fait les gros yeux.

« Bien. Ainsi je dois rester loin de lui juste par ce que tu réagis exagérément ! » J'ai proclamé d'une voix perçante.

L'attention de Fred était maintenant complètement partir du jeu d'échec.

« Non ! Je n'ai jamais dit ça. Ne dis pas que j'ai dit ça ! Tout ce que je dis c'est qu'il y a quelque chose de spécial avec lui. » A-t-il énoncé rouge de colère.

Soudainement, Lee a eu l'air de réagir.

« Attend, Christian Monet, tu as dit ? Un français avec les cheveux et les yeux foncés ? » A-t-il soudainement interrogé.

J'ai incliné la tête, incertaine de ce qu'il voulait.

« Oui, c'est lui. »

Lee s'est renfrogné.

« Et des mains vraiment osseuses. Ouais, je savais que j'avais déjà entendu ce nom quelque part. Je n'ai rien voulu dire dans la crainte que tu m'hurles dessus. Quoi qu'il en soit, Fred raison. Ce type n'est rien d'autre qu'un ennui. J'étais au toilette hier après-midi et je l'ai surpris en train de parler à un de ses amis. Je n'y ai pas prêté trop d'attention, mais il me semble qu'ils discutaient à propos d'une sorte de pari. »

J'ai haussé un sourcil, râlant sur Lee. Ouais, bien sur que je vais le croire. C'était totalement absurde.

Tout à coup, juste au moment où je commence à parle de Christian, Lee invente une histoire débile pour m'éloigner de lui. Quel con.

« Oh, quel genre de pari ? » J'ai demandé ironiquement.

Lee a gesticulé et Fred étai sur le bord de son siège, le saisissant durement, ses articulations devenues blanches.

« Je ne connais pas tous les détails, mais c'était un pari pour voir quel mec pourait dormir avec le plus de filles de Poudlard. » A-t-il expliqué, un dégoût royal orienté vers Christian.

Fred a rougit, mais pas d'embarras.

« Je le savais ! Ce bâtard. Angie, ne sort pas avec lui. » A maugréé Fred.

J'ai émit un grognement frustré.

« Fred, je n'ai plus onze ans. Je n'ai pas besoin que tu me surveilles. Et puis d'ailleurs, comment savoir si c'est de Christian dont nous parlons ? Peut-être que c'était son ami, Pierre. Comment tu as dit qu'il était encore, Lee ? » J'ai demandé.

Lee m'a regardé fixement surpris, peu disposé à devenir trop impliqué dans un conflit entre Fred et moi.

« Hum…et bien, il a les cheveux et les yeux bruns. Il portait des vêtements chers. Et…il a des doigts étranges et longs. Comme un joueur de piano. » A-t-il timidement décrit.

J'ai émis un rire victorieux, dirigé vers Fred.

« Ha ha ! Tu vois ! Ca pourrait être n'importe qui ! Des cheveux et des yeux bruns ? C'est juste la moiti des mecs de l'école. » J'ai déclaré d'un air provoquant.

Fred a secoué la tête, son froncement de sourcil transformé en un air menaçant.

« Ouais, mais la moitié des mecs de Poudlard ne sont pas français avec des mains de pianiste ! » A-t-il déclaré.

Je l'ai fixé, souhaitant que les boules de feu dans mes yeux soient vraies.

« Fred, tu es un tel abruti, tu sais ça ! » J'ai hurlé, me levant.

Fred émettait de la vapeur maintenant. Il s'est aussi rapidement levé, en prenant presque la table avec lui. La chaise sur laquelle il était assis étant tombé sur le sol. A ce moment, tout le monde a fait un silence de mort. Les seuls à parler étant Fred et moi-même.

« Oh, oh donc maintenant je suis un abruti juste parce que je m'inquiète pour toi ? Ca te semble sensé, Angel ? Tu sais, les regards peuvent changer ! le fait que ce mec porte des vêtements de marques et feint d'être M. Right, ne signifie rien ! » A-t-il crié.

J'ai marché vers lui, poussant un doigt dans sa poitrine. Bien que j'étais véritablement hors de moi, j'étais heureuse de voir que Fred réagissait avec tant de passion. L'idée de la jalousie était meilleure que je ne pensais.

« Tu est bien pour parler, Fred ! » J'ai crié.

« Qu'est ce que ça veut die ? » A-t-il hurlé.

Je lui ai fait un sourire, le regardant de haut en bas.

« Tu à l'ai d'un mec gentil, mais en fait, tu n'est qu'un farceur immature, qui n'en a rien à foutre de l'école et qui baise tous ce qui a deux jambes et est une femelle ! »

Katie a haleté, les joues de Katie étaient vides de toutes couleurs et George était près de pisser de rire dans son pantalon. Lee observait simplement la charade, sa tête allant d'un à l'autre.

La bouche de Fred s'est ouverte, ses bras retombant.

« Est-ce que c'est ce que tu penses vraiment de moi ? » A-t-il à moitié chuchoté, comme si on l'étranglait.

La colère sur mon visage est devenue de l'indifférence glaciale. J'aurais voulu revenir en arrière, mais c'était trop tard maintenant. Et d'ailleurs, a-t-il même pris soin à ce que j'ai dit, ou a-t-il seulement pensé à lui ? Il a beaucoup d'admiratrices. Il pourrait ce consoler avec l'une d'elles.

« Et bien, comme tu as dit. Les regards peuvent tromper. » J'ai confirmé d'une voix venimeuse.

Son visage est immédiatement allé de l'expression blessée à exaspérée en une question de secondes.

« Tu penses ça, ok ! Je ne sais même pas pourquoi je me tracasse ! Je pensais que tu m'appréciais réellement renonçant aux rumeurs ! Mais j'avais mal devin ! C'est bizarre parce que tu me semblais réellement douce, attentionnée, drôle et étonnement bellede l'extérieur. Pendant ces six dernières années, je l'ai crus. Mais je suppose que pour une fois, la plaisanterie est pour moi. Par ce que maintenant je vois que tu n'es vraiment qu'une PUTE glaciale et égoïste! »

Mes yeux se sont élargis et je l'ai fixé complètement choquée et déprimée. Je ne l'avais jamais vu aussi furieux sur moi. Mon Dieu, quelle idiote je suis. Je voulais seulement le rendre jaloux et maintenant il me déteste. Est ce que je pourrais faire pire ?

Mais je ne pouvais pas le laisser voir mes remords. Donc j'ai joué la carte de la colère une fois de plus.

« Je te déteste ! » J'ai déclaré.

Naturellement je n'ai pas voulu dire ça, mais s'est sortir tout seul. Pourquoi ça m'arrive toujours à moi ? Une minute il pouvait être si doux, la prochaine il m'incitait à vouloir le gifler environ quatre-vingts fois.

Fred a ouvert sa mâchoire crispée, l'air méchant de son visage oublier pendant qu'il serrait les lèvres dans une ligne mince et rouge. J'ai pensé q'il allait jeté sa chaise par la fenêtre ou un truc du genre, quand il m'a regardé fâché.

« Tu as vraiment grandis. Je suppose que je ne pourrais pas te rattraper. » A-t-il doucement grogné.

Il a promptement tourné les talons et est partis vers le dortoir des garçons, claquant la porte avec une telle force, qu'elle a fait écho dans la salle. J'ai continué à regarder la place où il était, même s'il était complètement parti.

Mon cœur m'a fait mal et je me suis sentie brisée. Si seulement je m'étais arrêtée avant même d'avoir commencé. Une larme s'est échappée furtivement de mon œil ; alors que mon esprit était seulement concentré sur le fait que Fred Weasley m'avait trouvée 'belle'.



20 Novembre

Charmes

Ainsi, m'asseoir avec Christian n'était pas si mauvais. Je pensais que tous les étudiants de Beauxbatons mangeaient dans leur carrosse, mais je devine que Christian s'est fait quelque amis chez les Serdaigles qui l'a prié de s'asseoir avec lui la nuit passée. Je me suis sentie comme une présence étrange à la table des Serdaigles. Je n'ai pas vraiment d'amis dans cette maison.

Je veux dire que bien sur, je connaissais l'équipe de Quiddich mais je n'étais pas vraiment proche d'eux. Je me suis assis à côté de Christian et Pierre s'est mis en face de lui. Avec reconnaissance, Christian m'a parlé la majeure partir de la soirée. J'étais un peu nerveuse qu'il n'aille converser avec quelques Serdaigles et ne me laisse assis à ne parler avec personne.

Mais nous avons mangé et parlé, Pierre jetant quelques commentaires par-ci par-là. Christian m'a parlé au sujet de Beauxbatons et je l'ai informé au sujet de Poudlard. Mais malgré que je l'appréciais, je n'ai pas pu faire sortir Fred de mon esprit. Plus d'une fois j'ai regardé par-dessus mon épaule vers la table de Gryffondor, regardant fixement l'arrière de sa tête.

Je n'ai pas pu m'empêcher de penser que ce jeu de la jalousie était allé trop loin. Ou au moins, la discussion était allée trop loin. Habituellement, quand Fred et moi nous disputons, nous finissons par oublié au bout d'un jour ou deux.

Mais c'était sérieux. Fred ne me regardait même plus dans les couloirs. Il avait arrêté de me parler depuis la nuit de la dispute.

Lee nous a appelé tous les deux 'extrêmement et absolument idiots' et George a gesticulé, disant que ' Fred oubliera ça bientôt'. Je savais que les deux arçons ne voulaient pas devenir trop impliqués, donc ils agissaient comme si la bataille ne s'était jamais produite.

Katie et Alicia ont joués le parti des amies fidèles et se sont vouées à détester Fred, si je le détestais. Mais je leur ai rit au nez et leur ai dit que ce n'était pas nécessaire. C'était entre Fred et moi.

Bien que, j'avais le sentiment que cette prise tête projetait une certaine forme de réconciliation entre Fred et moi.

Je finissais d'ailleurs mon dessert, quand Christian m'a poussé du coude dans l'épaule.

« Qui regarde tous en particulier ? » A-t-il poliment demandé.

Je lui ai fait un sourire timide.

« C'est si évident ? »

Il a rigolé.

« Non, mais après la dix-huitième fois j'ai commencé à m'inquiété. » A-t-il taquiné.

J'ai rigolé, me sentant toujours cependant légèrement idiote.

« Ce n'est personne. » J'ai rapidement informé.

Il a levé un sourcil, puis à regarder par-dessus mon épaule. Il a rétrécit les yeux quand sa vision à débarqué sur une certaine tête rousse.

« C'est ce mec, n'est-ce pas ? Franck ? » A-t-il demandé soucieux ?

Je ne pouvais pas dire s'il était gêné mais d'un autre côté, je ne le blâmais pas. C'était grossier de s'être fait invitée à dîner par quelqu'un et de lorgner ers un autre mec toute la soirée. Bien que je ne lorgnais pas sur Fred, je suppose que c'était la même chose.

J'ai secoué la tête, tripotant ma serviette. J'ai jeté un coup d'œil à l'expression impatiente de Christian et ai regardé mon plat.

« Fred. Il s'appelle Fred. Et pardon d'être dans les nuages mais Fred et moi nous sommes disputés l'autre jour. J'ai peur du fait que nous ne sommes toujours pas réconciliés et ça m'ennuie. » J'ai brièvement récapitulé.

Christian n'avait certainement pas besoin de savoir l'histoire entière.

« Et bien, je ne suis pas sur des circonstances mais ce Fred est vraiment un loser de se battre avec toi. » A-t-il expliqué doucement.

J'ai rigolé et l'ai regardé. Christian m'a fait son sourire bien à lui et a délicatement placé une main sur mon genou. Maintenant, je ne peux pas dire que j'ai protesté mais je me suis rattrapé en souhaitant que ce soit la main de Fred et pas celle de Christian.

« Donc, ce vendredi. Tu aimerais qu'on se voie après les cours ? » A-t-il chaudement interrogé.

Maintenant la main sur mon genou avait commencé à le masser tendrement. De nouveau, je n'ai certainement pas protesté mais si vous voulez la vraie vérité, je commençais à sentir ça inconfortable.

Je me suis décalé sur le banc, espérant que peut-être il enlèverait sa main. Pendant un moment il a cessé de maser mon genou. Mais deux secondes plus tard, il avançait autour de mon genou et rampait petit à petit vers le haut de ma cuisse.

Et cet à ce moment que quelque chose que Lee avait mentionné m'es venu à l'esprit, allumé en haut-parleur.

« Je ne connais pas les détails spécifiques, mais c'est au sujet d'un pari pour voir quel mec pourrait dormir avec le plus de filles de Poudlard. »

Pouvait-il avoir raison ? Je pensais au départ que Christian était un gentleman. Mais ses actions récentes me prouvent le contraire.

J'ai hésité. Est-ce qu'il avait raison et qu'il s'avère être un obséder complet ?

« Bon… »

Christian a agrandit son sourire, me faisant ses yeux de chiens battus.

« Stp. Je comprends si tu as d'autres engagements, mais j'aimerais vraiment passé du temps avec toi, Angel. » A-t-il admis, mon surnom fortement trempé dans son accent français.

A mon surnom, les mots de Lee sont partis de ma tête et ont été remplacés par l'image de Fred. D'abord la lueur fiévreuse dan ses yeux et ensuite le baiser. Je pouvais encore sentir le goût de ses lèvres.

« Mon Dieu, Angie, je voulais ça depuis si longtemps… » Avait-il marmonné.

Ma mémoire s'est fanée comme l'extrémité d'une bobine de film et s'est transformé en scène de notre dispute. Il a été le seul à prendre immédiatement Christian en aversion. Il m'a traité comme une petite fille, requièrant que je reste loin de lui.

D'ailleurs, de quoi s'inquiète-il ? Ce n'est pas comme si nous sortions ensembles. Non mais vraiment, ce n'étaient pas ses affaires que j'avais un rendez-vous. J'ai jeté u n coup d'œil à la main de Christian, qui se reposait sur le milieu de ma cuisse.

D'ailleurs, je l'ai déjà dit, Fred ne vaut pas mieux que Christian. Bien sur, Christian n'était pas un parfait gentleman mais Fred ne traitait certainement ses petites amies comme des princesses de contes de fées. Pourquoi est-ce que je devrais écouter des conseils d'un mec comme lui ?

Ainsi, allant à l'encontre de mon meilleur jugement, j'ai rencontré le corps de Christian et j'ai délicatement posé ma main sur la sienne qui était sur ma cuisse.

Lui souriant, J'ai di d'une voix enrouées, « Ca serait génial. »


Tadam tadam, j'espère que ce chapitre vous as plus !!!

A votre avis : - qu'est-ce qui va se produire ?

- Angie choisira Fred ou Christian ?

- Que projette de faire Katie et Alicia ?

- Comment Fred et Angie finiront-ils par allés au bal ensemble ? (faut respecter l'histoire quand même)

- Katie et Lee sortent ensembles, mais quand est-il de George et Alicia ?

Voilà des petites questions qui sont en train de vous triturer l'esprit, je n'en doute pas !!! Dites-moi ce que vous en pensez et essayer de faire des hypothèse et pas de tricheuse svp !!!(bè oui l'histoire est déjà faite vu que c'est une traduc !!)

Merci à tous ceux qui m'ont fait des reviews MERCI MERCI MERCI