Me revoilouuuuuuuuuuu !!!!
Bon je le fais rarement mais comme je suis motiver d'avoir eu autant de reviews pour le chapitre précédant, je vais répondre à certaines :
Gody : la violence ne résout rien ma chère lol...et puis c'est pas sa faute à Christian si c'est un conard...
U.$.Hermy: Alors comme ça ma question était débile???? Wouaw tu me brise le coeur lol!! La fic est basé sur le relation Fred/Angie mais ça ne veut pas dire qu'elle ne peut pas sortir avec quelqu'un d'autre...
skyblack4 : Moi aussi je trouve qui sont trop mignons !! En tout cas j'espère quand lisant cette fic, certains auteurs auront envie d'en écrire !!
ninou : j'ai pas tout capish avec ton truc sur Fred, mais vu qu'elle se rendait déjà compte dans le chapitre précédent que ce mec n'était pas M. Parfait, ca devrais plus tarder pour qu'elle réagisse un peu, qui sait...p-e dans ce chapitre...
sushi-powa :Et oui que ferais tu sans moi pour tout te rappeler lol !!! Et bon courage pour l'histoire que je t'ai passée, allez du nerf !!
corndor : Alors là, question morale c'est pas trop ça, mes exams de seconde sess me font chier...
Moi aussi j'aime bien les supers batailles entre mecs jaloux, c'est si romantique (et à toutes les filles qui prétendent le contraire, c'est pas bien de mentir !!)
Bee orchid : J'espère que j'ai traduit assez vite ??? Et oui pour vous les chapitres sont longs c'est mieux, mais pas pour moi lol!!
Elsa, Solar, Alfa : Merci !!!!!!!!!!!!!!
Merci aussi à tous les autres qui ont reviewés, déso de pas répondre personnellement mais ça ferais beaucoup, je me suis contenté du dernier chapitre (flemarde, je sais...)
Bon je vous laisse, bonne lecture...
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Tell me that we belong together
Dress it up with the trappings of love
I'll be captivated, I'll hang from your lips
Instead of the gallows of heartache
That hang from above
I'll be your cryin' shoulder
I'll be love suicide
I'll be better when I'm older
I'll be the greatest fan of your life-Edwin Mccain
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24 NovembreSoin aux Créatures Magiques
Fred et moi avons dû être partenaires aujourd'hui. Je pense que c'était une sorte d'arrangement tordu d'Alicia et de Katie. Mais ça n'a pas fonctionné. Fred et moi ne nous sommes pas parlés, à moins que nécessaire. Sa vois était très directe et glaciale, bien que chaque fois que j'ai capturé son regard, j'ai eu l'impression qu'il voulait que tout ça finisse.
Mais c'était certainement une bataille de fierté. Nous sommes tous les deux trop têtus pour nous excuser en premier. D'ailleurs, je pense qu'il me doit des excuses. C'est une évidence, non ?
Qui a déguerpit après le baiser ? Fred. Qui a évité l'autre après le baiser ? Fred. C'est lui qui a incité à la dispute.
Il est juste dérangé parce que je ne prendrai rien de lui. A la différence de toutes ses autres subordonnées de petites amies, elles s'asseyent et place sur leur figure un sourire parfait et disent, 'Tu as raison, Fred. Si tu le dis ! »
Moi-même, d'autre part, ne lui ai pas laisser la tâche facile.
Ne dites à personne que j'ai dit ça, mais il est vraiment mignon quand il se concentre. Et dans ce cas-ci, il se concentre très dur pour m'ignorer.
J'ai vu Christian plus tôt dans la journée. Je lui ai fait signe chaleureusement de la main, avec ce grand sourire d'hypocrite, juste pour faire enrager Fred. Christian m'a fai signe et m'a fait un clin d'œil. A ma grande joie, Fred s'est renfrogné et à commencé à murmurer des injures.
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26 Novembre
Bibliothèque
Je pense que la meilleure façon de récapituler la journée d'hier serait une citation de mon cher Lee.
« Je déteste dire ça, mais je te l'avais dit. »
Mes doutes ont été confirmés ce soir et man plan de la jalousie m'a explosé au visage comme une mauvaise réaction chimique. Mais laissez-moi commencer par le commencement. Je pensais que les cours ne finiraient jamais. Chaque professeur semblait vouloir nous faire un discours d'une année et un nombre énorme de notes à nous donner.
Mon dernier cours du jour était défense contre les forces du mal, avec Fol-Œil. Fred était assis derrière moi avec les garçons et je savais qu'il fixait l'arrière de ma tête.
J'ai voulu me retourner et lui tirer la langue ou un autre truc désagréable, mais j'étais terrifiée que Fol-Œil...me coupe en petits morceaux ou me jette une malédiction étrange. Christian m'a demandé pour se retrouver dans la Grande Salle, vers 4h30. En ce moment, il était 3h50, ce qui me laissait très peu de temps pour être prête. Alicia, Katie et moi nous sommes précipités jusqu'à mon dortoir et m'ont donné tous les conseils possibles.
Nous avons optés pour 'l'écolière pas salope, mais pourtant mignonne et sexy, et dont le regard est en passant irrésistible'. En dépit du fait que je portais ma robe par-dessus mes vêtements, ça n'importait pas. Alicia a finalement choisit l'équipement parfait. J'ai changé mon jeans et ma chemise contre une minuscule jupe bleue Ralph Lauren (compliments de Katie) et un top de dentelle blanc avec bretelles spaghetti.
Au-dessus du top, j'ai mis un chandail blanc. J'ai débattu au sujet de mettre les talons hauts de 15cm Stella Mcartney d'Alicia, mais j'ai décidé qu'ils n'étaient pas pratiques. J'ai pris une paire de basquets Converse.
J'allais mettre mes cheveux en queue de cheval, mais Katie a insisté sur le fait de mettre un bandeau. Après quelques coups de baguettes sur comment combattre les frisottis dans 'Teen Witch Weekly' et d'une partie de l'apprivoisement abondant de Katie en produits capillaires, cela semblait assez présentable.
Je déteste vraiment avoir de tels cheveux épais et onduleux. Les filles les aiment et je leur propose souvent d'échanger. Je préfère plutôt les mèches lisses d'Alicia au fouillis que j'ai habituellement.Quoi qu'il en soit, après les vingt minutes passées à décider sur le changement de mes habits, les filles m'ont maquillé à la vitesse de l'éclair. C'était seulement un peu de blush, de gloss à lèvres, d'ombres à paupières et de mascaras. Nous n'avons pas voulu donner l'impression d'avoir passé trop de temps à décider de ce que j'allais mettre.
Il était 4h35 quand nous avons finalement eu fini. Les filles m'ont souhaité bonne chance et j'ai dévalé les escaliers et si sortie par le portrait si vite, que je n'ai pas vu que quelqu'un essayait de rentrer. Et avec ma chance, c'était Fred Weasley en personne !
Nous étions tous les deux debout, se tenant devant la porte ouverte, la Grosse Dame maugréant sur elle-même au sujet des étudiants indécis.Ni l'un ni l'autre n'avons bougé. Il y avait comme une force magnétique qui nous réunissait. Fred a étudié silencieusement mes habits, mes cheveux et mon visage, l'expression impassible.Je l'ai regardé fixement, n'offrant aucune allusion quand à ce que je pensais.
« Où est-ce que tu vas ? » A-t-il brusquement demandé, regardant mes habits d'un ai curieux une fois de plus.
J'étais étonné qu'il ai décidé de me reparler. « Et bien, Frederick, je suis étonné que tu prenne de ton temps précieux pour parler à une pute glaciale et égoïste comme moi. » J'ai répondu d'un air glaciale.
Fred a soupiré, ses yeux brillant d'anéantissement. Voulait-il une trêve ?
« Ecoute, Angie. Je sais que nous ne sommes pas en bons termes en ce moment, mais je me sentirais vraiment mieux si tu n'allais pas voir ce misérable Christian. » A-t-il dit d'un air fatigué.
Ca m'a blessé. D'abord il me traite de pute et refuse d'agir avec moi civilement. Et ensuite il agit comme si la dispute l'avait tuée ? Et puis quoi encore ?J'ai haussé un sourcil et ai croisé fermement mes bras sur ma poitrine, le lorgnant.
« Pourquoi est-ce que je t'écouterais ? » J'ai protesté d'un air provoquant.
Fred s'est renfrogné.
« Parce que je viens juste de rencontrer cet bâtard et qu'on a parler de toi. » A-t-il commencé, d'une voix tendue.
Je l'ai cru. Mais je ne l'ai pas montré. Je savais que Fred était fâché sur moi mais je savais qu'il n'inventerait pas un mensonge juste pour que je revienne.
Il n'était pas comme ça. Je pourrais toujours dire quand il me guettait et à ce moment-là, c'était plus fort que jamais.
« Qu'est-ce qu'il a dit ? » J'ai demandé indifférente.L'air menaçant de Fred s'est évaporé et il a froncé profondément les sourcils, comme si le sujet le préoccupait beaucoup.
« Il m'a demandé si je te connaissais et je lui ai demandé pourquoi. Il m'a fait un sourire sournois et m'a demandé avec ce stupide accent, qu'il m'avait vu traîner avec toi et il se demandait si tu étais un bon coup. »
J'ai sentit mon visage entier se colorer. Mes bras sont retombés et ma bouche s'est ouverte. Une grosse partie de moi pensait avait inventé ça juste parce qu'il était jaloux. Encore plus que ce que je m'étais dit tantôt.
Quand la jalousie infectait quelqu'un comme Fred, ce n'était pas joli à voir. Mais une autre partie de moi, une petite mais forte partie de moi, disait que Fred avait complètement raison. 9a avait un sens. La rumeur que Kate avait entendue, la manière d'agir de Christian au dîner.Mais d'un autre côté, ce n'était pas comme si j'étais peu enthousiaste devant son charme. Je ne lui avait pas dit d'arrêter et n'ai donné aucune impression comme quoi j'étais une fana de son comportement suave.
J'étais sans voix.
« Quoi ? » J'ai interrogé, incrédule.
Fred a soupiré, ses yeux exprimant un mélange de sympathie et de remord. « Ecoute, Pourquoi est-ce que je mentirais sur un truc comme ça ? Je jure devant Dieu, j'aurais put mettre une droite à cette merde. Je l'aurais probablement fait, mais Madame Maxime est apparut dans le couloir. » A-t-il sincèrement admis.
Je n'étais pas sur de quel côté allé. J'étais coincé au milieu. Je voulais me rebeller contre les souhaits de Fred, parce que j'étais dégoûtée de lui et en même temps si entichée. Je pensais que si je me révoltais contre lui, ce serait une manière étrange de dire, « Ha. Je n'ai pas besoin de toi! »
Une autre partie de moi aurait juste voulu baisser les bras et tout oublié au sujet de Christian. Je connais Fred depuis six longues années et c'était peu probable qu'il ai mentit juste pour le plaisir.Mais d'un autre côté, si Christian essayait de se faire n'importe qui, je pourrais le manipuler. Je n'allais pas m'asseoir là et l'observer dépasser la limite. Même Fred sait qu'habituellement mes gifles font des marques rouges pour plus d'un jour.
« Qu'est-ce que tu lui as dit ? » J'ai sifflé. Je me rendais entièrement compte que les minutes faisaient tic tac mais ça n'était pas important.
Fred a été embarrassé et s'est frotté la nuque.
« Fondamentalement, je lui ai dit de rester loin de toi, ou je ferais de lui de la pête à modeler. Naturellement, mon langage était un peu plus, comment dire, color que ça. Je lui ai également dit qu'un mec comme lui ne méritait même pas de parler à une fille comme toi. » A-t-il doucement admis.J'ai sentit mon expression tendue se ralentir. Ca recommençait. Le cycle. D'abord nous faisons ce jeu malpropre de flirt, puis une grosse dispute et maintenant nous revenions où nous avions commencé. Chaque fois que je lui trouve un défaut, il fait quelque chose et il arrive à se racheter.
« Fred...merci. » J'ai chuchoté.
Il m'a fait un petit sourire.
« Et bien, même si je suis furieux contre toi, tu es toujours ma meilleure copine. » A-t-il répondu franchement, devenant de plus en plus embarrasser.Je lui ai doucement sourit, sachant qu'en dépit de ses avertissements cela ne m'empêcherais d'aller voir Christian.
« Tu es incroyable, tu sais ça ? » J'ai fais remarqué ironiquement.J'ai marché jusqu'à lui et ai enroulé mes bras autour de son cou. Sourire s'est transformé en un sourire rusé et il a enroulé ses bras autour de ma taille, me serrant plus étroitement.
« Pourquoi ça ? » A-t-il demandé, me fixant.J'ai rigolé, puis ai relevé la tête et ai planté un rapide baiser sur ses lèvres.Me retirant, j'ai tranquillement informé, « Parce qu'une minute tu peux être le pire imbécile de toute l'Angleterre. Et la prochaine, tu es l'ami le plus doux qu'une fille puisse rêver. »Je pourrais dire qu'il a été agréablement surpris par le baiser et il m'a regardé fixement, comme dans une transe. J'ai soupiré et l'ai fait sortir de son embarras, à mon grand regret.
« Et autant que j'apprécie que tu m'ais averti, si tu veux bien m'excuser, j'ai un rendez-vous. »J'ai vivement tourné les talons et ai commencé à partir, quand Fred a pris mon bras. Ses yeux étaient agrandis de revendication, priant pour que je comprenne son raisonnement.
« Angel, stp. Je ne me le pardonnerais jamais si quelque chose t'arrivais. » A-t-il murmuré d'une voix enrouée.
Il a levé la main et a tendrement caressé mon visage. J'ai sentit mon corps entier remuer, comme de l'électricité allant du bout de mes orteils jusqu'à mon dernier cheveux sur ma tête. Je ne l'avais jamais vu ainsi préoccupé par mon bien-être.
Est-ce que se serait le moment où Fred admettrait finalement ses vrais sentiments pour moi ? Je l'ai attentivement regardé et j'ai rigolé intérieurement. Qu'est je badinais ? Je vais vraiment trop loin. C'est juste un ami, c'est tout.
Un ami et rien de plus.
Je lui ai fait un sourire triste et ai légèrement gesticulé.
« Alors je te promets que rien ne m'arrivera. »Et à ça, j'ai sprinté vers les escaliers laissant Fred dans sa propre piscine de doutes.
J'étais maintenant dix minutes en retard pour voir Christian et une partie de moi espérait qu'il ne se montrerait pas. Mais quand je suis arrivée dans la Grande Salle, il était là, avec ses mains de pianistes et tout.
Quelques autres personnes étaient dispersées autour, travaillant ou causant mais ils n'étaient pas très nombreux. Son froncement de sourcils irrité s'est immédiatement transformé en un grand sourire quand il m'a vu.
« Je suis désolé d'être en retard. Je ne trouvais pas heu...mes chaussures. » J'ai à moitié menti.
Christian a fait signe que ce n'était rien.
« Ce n'est pas grave. Quoi qu'il en soit, il semble qu'il fait un peu brumeux à l'extérieur, don voudrais-tu te promener dans le château ? Je n'ai rien vu excepté cette partie et le hall d'entrée. » A suggéré Christian.
J'ai incliné la tête.
« Sur. »
Il a sourit et m'a donné son bras. J'ai glissé mon bras sous le sien et lui ai montré le chemin. Nous nous sommes promenés et je lui ai montré la bibliothèque, le chemin vers la cuisine et l'infirmerie. Christian n'a pas joué le 'malade de sexe' que Fred et Lee m'avaient décrit.
Il était très poli et attentif, écoutant soigneusement tout ce que je disais, comme s'il le stockait dans son cerveau pour une future référence. Nous avons d'avantage parlé au sujet de nous-même et avons un peu plaisanté. Je commençais à penser que Fred avait vraiment menti, quand j'ai commencé à me sentir inquiète. Nous passons devant quelques classes vides, quand j'ai commencé à remarquer un changement de comportement.Il a libéré son bras et l'a placé autour de ma taille, me serrant plus étroitement, je pouvais sentir son eau de Cologne. C'était vraiment un beau mec...excepté qu'il n'était pas Fred. Il s'est arrêté devant la vieille classe de métamorphose et s'est dirigé vers la porte fermée.
« Et elle sert à quoi ? » A-t-il demandé, essayant de regarder par la vitre.
« Et bien, elle servait pour la Métamorphose avant que je ne vienne à l'école. Ensuite ils ont construit une nouvelle salle de classe, parce que celle-ci était trop petite. » J'ai informé.
Il m'a regardé et a adroitement sourit.
« Pouvons-nous entrer ? » A-t-il demandé.
J'ai hésité.
« Et bien, je ne vois pas pourquoi on ne pourrait pas. » J'ai répondu impatiemment.
Christian a fait un pas en avant et a secoué la poigné de la porte pour voir si elle était verrouillée. Malheureusement elle ne l'était pas. Il a poussé la porte et m'a d'abord laissé entrer. J'ai arpenté la classe, me demandant si c'était grossier de mettre fin au rendez-vous maintenant.
La salle de classe était petite et étouffante et sentait le pollen. Un tableau était à l'avant de la salle, sali d'une épaisse poussière et un groupe de bureaux en bois étaient poussés contre le mur arrière. Les fenêtres étaient fermées, les abat-jour cassé ou fendus.Je me suis assis sur un bureau, pliant mes mains sur mes genoux. Christian a sourit, comme s'il cachait quelque chose, puis a fermé la porte. J'ai eu un frisson quand j'ai entendu le 'déclic' clair d'une serrure.Il est venu d'un pas nonchalant vers moi, découvrant cette confiance que je ne lui avait jamais vue. T pour la première fois depuis que j'étais avec lui, je paniquais vraiment.
« Tu sais, Angelina, c'est très chanceux que nous soyons tous les deux célibataires, parce que je ne pense pas que j'aurais pût résister plus longtemps. » A-t-il avoué.J'ai agrippé le dos du bureau plus fort, avalant. Est-ce que j'avais fait un pas dans la mauvaise zone ?
J'ai laissé échapper un rire nerveux, le regardant alors qu'il se tenait en face de moi. Il a enroulé ses bras autour de ma taille, me faisant un sourire effronté.
« Vraiment ? » J'ai demandé d'une voix rauque.
Je veux dire, qu'est-ce que j'étais supposé dire ?
« Vraiment. » A-t-il murmuré.
Et à ça, il a doucement pressé ses lèvres contre les miennes. J'ai VRAIMENT été étonnée. Il dégageait l'impression d'un type psychopathe et maintenant il m'embrassait comme si j'étais de la porcelaine chinoise qui se briserait si j'étais manipulée trop rudement.
Peut-être que j'avais laissé allé mon imagination trop loin. Peut-être qu'il n'était pas aussi mauvais que tout le monde voulait le croire.
J'ai répondu à son baiser et j'ai placé mes bras autour de son cou.
Dès que j'ai répondu à son baiser, Christian a semblé penser que c'était un signal pour sauter à la deuxième étape, parce qu'il a augmenté la pression sur mes lèvres et a laissé ses mains remonter et a tripoter un peu, au bouton de ma robe, actuellement attaché.
Avant d'avoir pût l'arrêter, ma robe était par terre, ses mains sous mon chandail et sur mon top.
J'ai brisé la pression de ses lèvres, brillante de colère.
« Qu'est ce que tu penses faire bon sang ? » J'ai grogné.Christian a sourit et a joué avec l'attache de mon soutien-gorge. Mes yeux se sont élargis sous le choc et j'ai pris son moment de confiance à mon avantage.
« Je ne crois pas. » J'ai rapidement dit.En utilisant mes deux pieds, je lui ai donné un coup de pied sur sa poitrine et l'ai poussé loin de moi. Il a reculé vers l'arrière et a trébucher sur le bord de sa robe, tombant sur le plancher ? J'ai laissé échapper un soupir de soulagement, ai vérifié que tous mes vêtements étaient à l'endroit approprié, puis j'ai commencé à marcher vers la porte.Mais Christian avait récupéré de sa chute et me tenait le bras. Nous nous tenions au milieu de la classe vide, à mi-chemin de la porte. « Non, tu vois ce n'est pas comme ça que ça fonctionne. Nous allons faire ce que j'ai dit de faire. » A-t-il sifflé.
Sa poigne était si serrée que j'ai grimacé. Il y aurait probablement un bleu demain.
« Laisse-moi sortir ! » J'ai hurlé.
C'était trop mauvais que je n'avais pas ma baguette magique, parce que je l'aurais exilé au Zimbabwe.
Il a secoué la tête et a pressé de nouveau ses lèvres sur les miennes. Qu'essayait-il de faire. Avaler mon visage ?
« J'ai dit, LAISSE MOI PARTIR CONNARD ! » J'ai hurlé hors de moi.
Il a rigolé, essayant de me faire un suçon plutôt grand sur mon cou.
J'ai soule vé ma jambe et l'ai frapper dans, comment dire, l'endroit où le soleil de brille pas. Il a émit un cri de surprise et de douleur, se renversant sur le plancher. J'ai ri amèrement et lui ai donné un coup de pied dans les côtes moyennement fort. Il a roulé, se saisissant ses 'bijoux de famille'.
« Sale pute ! » A-t-il gémit.
J'ai haussé un sourcil.
« Avec toi c'est MADAME la pute ! » J'ai ironiquement corrigé.Juste après, la porte s'est ouverte dans un énorme fracas alors qu'un ALOHOMORA retentissais. Fred Weasley se tenait là, son visage cramoisi de colère qui s'opposait terriblement avec ses cheveux, et ses doigts saisissant durement sa baguette magique.
J'ai rigolé de surprise.
« Fred ? Qu'est-ce que tu fais ici ? » J'ai interrogé, Fred a immédiatement secoué la tête, marchant vers moi et Christian, qui luttait pour se mettre sur ses pieds.
« Est-ce qu'il t'a blessé, Angel ? Parce que si cet imbécile ne touchait qu'à un seul cheveu de ta tête, j'emploierais tant de sortilèges sur lui qu'on ne verrait plus la différence entre son visage et son coude ! » A grondé Fred.
J'ai rigolé et ai fait un saut jusqu'à Fred, abaissant sa baguette magique.
« Désolé prince Charmant mais tu arrive un peu tard. J'ai dû supporter quelques baisers mouillés et une minute ou deux des mains errantes, mais je vais bien. Je t'avais dit que je pourrai prendre soin de moi. » J'ai informé avec reconnaissance et un petit sourire espiègle.
Fred a sourit de soulagement. C'était comme si un énorme poids avait été enlevé de ses épaules. Il s'est ensuite placé près de Christian et a sourit. Avant d'avoir pu l'arrêter, (comme si je l'avais vraiment voulu), il lui a jeté le sort de Jambencoton. J'ai commencé à partir et ai mené la tête rousse hors de la salle et vers la salle commune. Christian, agresser à l'entrejambes, maudissait maintenant le fait qu'il ai pu marcher constamment.
Fred et moi avons été muets alors que nous marchions, son bras autour de ma taille d'un air protecteur, ma tête reposant légèrement sur son épaule.
« Désolé j'ai failli à mon devoir de chevalier à l'armure étincelante. Est-ce que tu me pardonnes ? » A-t-il taquiné après quelques moments de silence.
Je l'ai regardé pendant que nous approchions de la Grosse Dame.
« C'est bon. Tu es Fred Weasley. C'est encore mieux. » J'ai chuchoté d'un air rusé.Il a ri doucement et m'a tendrement embrassé le front. Et j'ai su que nous étions tous les deux excusés, sans même avoir dit un mot.
J'ai découvert plus tard que Fred m'avait suivi tout le temps. Il avait attendu dehors de la classe et avait violemment ouvert la porte de la classe après qu'il m'ait entendu hurlé sur Christian.Ainsi presque tout est redevenu à la normale.
Signification normale, Fred est toujours un dragueur et en dépit du fait que nous revenons d'une dispute colossale, je l'aime toujours comme mon meilleur ami et (secrètement) un peu plus.
Après que Fred et moi sommes rentrés dans la salle commune, il m'a fixé maladroitement, et a alors parlé au sujet d'aller parler à George au sujet de leur magasin. Tout secouer, il m'a fait un câlin d'au revoir, et je suis alors allé trouver les filles, qui étaient dans la chambre de Katie. Je leur ai tout dit et elles ont roucoulé au sujet de la preuve d'affection de Fred.Lee et George ont été au courant au sujet de ma petite extravagance avec Christian, L'Attaqueur Français, au petit-déjeuner aujourd'hui. Lee et George ont maugréés des mots de malédiction et après qu'Alicia et Katie les aient calmé ; Lee m'a fait la citation avec laquelle j'ai commencé à écrire.
George, Lee et Fred m'ont offert d'aller coincer Christian et d'aller le frapper, mais je leur ai dit à contrecœur que ce n'était pas la peine. Nous l'avons vu marcher dans la Grande Salle aujourd'hui, Pierre et un certain Poustsouffle à ses côtés.
Fred lui a jeté le regard le plus mauvais que j'ai jamais vu. Lee a commencé à déchirer son petit pain comme si c'était réellement la tête de Christian et George a copié Fred. Christian a fait les gros yeux, allant cependant de la table des Poustsouffles plus rapidement que nécessaire.
Il s'est assis troublé et à ça ; nous avons tous éclatés de rire.Katie et Alicia ont décidé de jouer les marrieuses et de mettre Fred et moi ensemble, comme un couple. Elles l'appelle, 'Project the British Are Coming'
Il y a seulement une chose que je peux dire à ça.
J'ai peur.
Et voilà un petit chapitre de plus !!!! J'espère qu'il vous a plut ????
Ha oui et dernière petite chose : bravo à corndor et U.$.Hermy qui avait 'plus ou moins' deviner ce qui allait se passer !!!
