Hello à tous !Alors me revoilà pour l'avant dernier chapitre (et oui c'est bientôt finit) !

Bon alors moi vu que je suis de très bonne humeur (allez savoir pk…je le c pa moi meme!)je tiens aussi à m'excuser du temps que prend cette traduction, j'ai l'impression de mettre de plus en plus de temps pr publier les chapitres…dites-moi que c'est k'une impression !Je vais 'essayer' de m'améliorer pr le prochain, je vais 'essayer' je répète !

Bon (j'adore ce mot lol) je vais répondre à vos petites reviews que vous avez pris la peine de m'écrire et que j'adore ! Meme si c'est juste pr dire 'j'aime bien (ou pas)' dites le et si vous voulez me raconter votre vie n'hésitez pas non plus j'adore lire vos états d'âmes !Miss 3615 Ecoute est la !

bubblegum712:Kikoo alors cmt ca va ti depuis le temps ?J'tiens encore a te remercier pr tes reviews ca me fi plaisir trop fort ! Et c'tait sympa de me remonter le moral quand j'étais malade !Gros bzou et bonne lect'

Gody :Hello toi alors je dois d'abord te dire que je suis raide dingue de tes fics et je veux que tu les continue viiiiiiiite, mes préférées sont (y en a bcp) : 'L'amour est un sentiment très proche de la haine', 'Journal d'une Serdaigle', 'Lycan VS Vampire'(tu la arrêter celle la ?dis que non please !) Bon y en a encore plein mai bon je vais pas tt citer !Gro bzou a toi ossi et a la prochaine !

Bee Orchid: Alors merci d'avoir reviewé car c'est grâce à ca ke j'ai pu retrouver ta fic 'une vie au couleur de lune' que j'aimais bcp mais vu que je ne me souvenais plus du tout du titre, je n'avais pas pu continuer à la lire, j'atend impatiemment le prochain chapitre !Bisouuuuuuuuuu

Ky()ko : oui c'est vrai que ce couple n'est pas très populaires, dans les fics françaises du moins car il y en a beaucoup en anglais (pas une tonne, mais y en a déjà beaucoup plus qu'ici !) Continue ta traduc, elle est très bien bzou.

U.$.Hermy: Saturne?y a internet la bas au moins?mdr…

Sindra : COURT ?tu trouve ça court ?ce chapitre-ci est hyper long (quand on doit traduire ca paraît 2X plus long) alors si jamais je revoi ce mot dans une review je t'étripe, je te coupe en petits morceaux et je jette des sorts sur tes restes, capish ? (fo pas faire attention, ca m'arrive des folies meurtrières quelques fois mais rassurez vous ça passe après un moment lol)

Je remercie tous les autres qui ont reviewé, merci encore et déso de pas vous avoir fait un petit mot perso, mais promis je vais essayer d'en faire un pour tous ceux qui m'ont laissé un ptit mot tt au long de la publication de cette histoire dans le dernier chapitre !

Bon (je vous l'ai dit je l'adore ce mot) je vais arrêter mon blabla la et bonne lecture à vous tous !

P.S. : j'ai créer une communauté C2 (faut aller voir dans mon profile pour l'adresse), si vous voulez vous inscrire n'hésitez pas !C'est une basé sur Fred et Angelina !Mais au fait quelqu'un pourrait m'expliquer précisément à quoi ca sert…j'en vois pas trop l'utilité (fallais pas en créer une je sais mais je savais pas quoi faire d'autre à ce moment là…lol) J'espère que vous pourrez m'aider !

……………………………………………………………………………………….

And you're my good feeling, I'm kneeling

Inside her room she paints me blue

And you are my reason for breathing

Inside her room she paints me blue- Something Corporate

………………………………………………………………………………………

Le même jour

Quelques heures plus tard

Donc, on penserait qu'être emprisonné avec l'amour de sa vie dans un petit placard serait spécialement chanceux ? Prenons une deuxième hypothèse. J'étais au delà d'être nerveuse. Ce qui était tout a fait bizarre, car en dépit du fait que parfois je me trouve appréhensive près de Fred, je reviens habituellement l'aise après un moment.

Peut-être que c'était parce que le placard était aussi petit que la taille de guêpe de Calista Flockheart, j'étais hors de moi. Il n'y avait qu'un peu de lumière, bien que mes yeux se soient rapidement habitués à l'obscurité.

Fred m'a fait un sourire timide.

« Par Lucifer comment as-tu atterrit ici ? » J'ai demandé, montrant mon meilleur sourire espiègle.

Je me suis ajusté dans l'endroit où j'étais, en faisant attention à avoir assez d'espace pour ne pas finir assis sur ses genoux. Bien que, ce n'ait pas été une mauvaise idée…

Quoique l'éclairage fût assez faible, je pouvais facilement détecter son rougissement.

« Alicia m'a dit que tu avais des ennuis. Je n'ai pas eu besoin d'entendre l'histoire entière. Je me suis juste précipité ici aussi vite que je le pouvais. Avant d'avoir compris, Katie a roulé du dessous du lit et elles m'ont toutes les deux attaquées avec du parfum. J'ai commencé à éternuer comme un fou et avant d'avoir pu courir autre part, elles m'ont obligées à rentrer dans ton armoire. » A expliqué Fred.

C'était des nouvelles extrêmement bonne. J'ai été enchantée d'entendre que Fred était aussi préoccupé par mon bien-être.

« Elles m'ont dit que Katie avait son doigt coincé dans une de mes bagues, je suis donc venue à son aide. Et avant de l'avoir compris, elles m'ont toutes les deux attaquées et m'ont poussé ici dedans. » J'ai ajouté.

Fred a sourit, sa maladresse évaporée. Même dans les situations les plus étranges, il est rempli de confiance. Etait-ce possible que ça l'ai rendu encore plus attirant ?

« Je ne peux pas le croire. » A-t-il commencé, riant légèrement.

« Quoi ? » j'ai demandé.

« Que nous sommes tous les deux tombés dans le piège de deux gamines gloussantes comme Katie et Alicia. » A-t-il finit, vraiment incrédule.

A ça, nous avons tous les deux commencé à éclater de rire. Je veux dire, sincèrement c'est assez triste. Fred Weasley, Blagueur et Meilleur Joueur du Siècle avait été victime d'un jeu d'Alicia Spinnet et de Katie Bell. C'était comme dire que le monde entier s'était envolé en morceau et que le professeur Rogue avait été nommé 'Homme de l'Année'.

Nous avons fermé les yeux et son sourire diaboliquement charmant a fait un surmenage dans mon cœur. Je me suis demandé s'il savait ce que je pensais. Je me suis demandé 'il pensait qu'être enfermé avec moi dans un placard n'était pas un des sept péchés capitaux.

« Fred ? »

Il a cessé de rire et m'a dévisagé avec un curieux intérêt.

« Oui, Angie ? »

Je lui ai fait un petit sourire timide.

« Si je devais être coincé dans un placard avec n'importe qui, je suis heureuse que se soit toi. »

Bien que ça puisse paraître bizarre pour moi, je n'ai pas hésité à la dire. Vu la façon dont les choses évoluaient récemment, je ne pensais pas que cela créerait trop de tension non désirée entre nous. En fait je voulais qu'il me renvois la balle.

Pendant trop longtemps j'ai été assis dans l'ombre à attendre que Fred prenne l'initiative. Etant effrayer de m'aventurer dans une situation embarrassante qui était en fait la seule chose que je savais faire correctement. Mais j'étais fatiguée d'être effrayée. Je voulais juste faire un plongeon, quoique je sache qu'il pourrait y avoir des chances pour que je tombe sur le sol froid.

Son sourire a fané, remplacé par une expression sérieuse.

« J'ai l'impression qu'il nous on mit ici pour une raison, tu sais. » A-t-il admis.

J'ai essayé de cacher ce que je pensais.

« Et tu sais pourquoi ? » J'ai interrogé.

Il a rapidement passé la main dans ses cheveux, en soupirant. Je savais exactement pourquoi elles nous avaient mis la dedans. Elles ont voulu jouer les marrieuses. Cette révélation était du genre à faire plaisir, mais j'avais espéré qu'elles m'aient avertis avant. Franchement, j'étais frustrée et gênée à cause de tous les jeux messes basses entre elles.

Mais j'hésitais toujours. Autant que je saute vers l'avant que l'arrière, je me suis dit que m'enfoncé un peu plus dedans ne ferais pas de mal. Je veux dire, j'avais deux heures pour lui dire les mots. Je n'étais pas sur le point de me précipiter dans n'importe quoi trop tôt. D'ailleurs, je savais aussi que c'était maintenant ou jamais pour en finir mais j'étais curieuse quand à ce que Fred dirait.

Il a avalé, ses yeux s'agrandissant bien qu'il gardait son expression nonchalante.

« J'ai le sentiment qu'elles essayent de jouer les marrieuses. C'est fou, n'est-ce pas ? Toi et moi…ensemble comme un couple. » A-t-il bégayé.

Ses yeux ont regardé le plancher et je lui ai fait un faible sourire.

J'ai sentit mon cœur s'ébranler comme si on lui avait donné un coup de pied avec une chaussure au bout d'acier. D'abord, il m'envoyait tous ces signaux et prétendais s'inquiéter pour moi, et ensuite il se contredisait lui-même ? A quoi jouait-il ?

Mais il avait pesé ses mots, comme s'il voulait se rassurer et faire partir ses doutes.

« Pourquoi c'est fou ? » J'ai chuchoté, incapable de masquer ma douleur.

Il a rigolé nerveusement. Ensuite il a placé sa main sur ma joue, son pouce frottant affectueusement ma peau.

Mes yeux se sont fermés pendant un moment, savourant son contact. Il semblait essayer de cacher son regret, comme si l'émotion le dérangeait.

« Tu ne voudrais pas d'un mec comme moi en tant que petit ami. Toi t moi savons tous les deux que je suis horrible comme tel. Tout le monde est d'accord, tu ais. Je ne peux pas maintenir une relation pour plus d'une semaine ou deux. » A-t-il dit doucement.

J'ai immédiatement secoué la tête, mes yeux s'ouvrant immédiatement. Je ne m'inquiétais pas qu'il soit le pire petit ami de la terre. Tout ce qui m'importait était qu'il m'aime. Il pourrait oublier la St-Valentin, mon anniversaire et chaque Fête.

Cela me faisait mal de ne pas être avec lui. Ne pourrait-il pas le voir. Ca ma tué de le voir avec une autre fille. Je l'ai connu de cette façon, au fond de lui-même, il a dut ressentir ce désir ardant. Son journal montrait clairement l'évidence.

« Je n'y ferais pas attention. » J'ai honnêtement avoué.

Il a laissé tombé mollement sa main près de lui. Sa décision était ferme maintenant, trop têtu pour voir ma version de l'histoire.

« Si tu le feras. Je te connais. Ca te brisera le cœur. Et je ne pourrai pas supporter de te briser le cœur, Angel. Tu mérites mieux que moi. » A-t-il violemment répondu.

J'étais fâchée maintenant. Tout ce qu'on avait partagé ces derniers jours ne signifie rien du tout pour lui ? Quand comprendra-t-il que je ne m'intéresse pas à tout ce qui s'est produit dans le pass ? J'étais concentrée sur le futur.

Je ne m'intéressais pas à sa réputation et aux radotages. J'avais ma propre vision de lui d'expérience personnelle. Et mon instinct m'a dit que la seule erreur stupide serait de laisser passer ça entre-nous.

« Je me moque de ce que tu crois penser ! Tu es parfait pour moi, Fred. Tu ne peux pas le voir ça ? » J'ai critiqué.

A ce jour, ma crainte de passer pour une imbécile s'était envolée. La conversation avait pris un nouveau tournant, dans lequel il n'y avait pas de place pour l'inquiétude, dans tous les sens. Nous parlions, mais cette fois-ci, ce n'était pas du à un commentaire idiot ou insignifiant.

Nous étions au bord de quelque chose d'important.

« Je te briserais le cœur. » A-t-il avertit d'une voix rauque.

Ses yeux étaient remplis de remords ; ses lèvres étaient serrées.

Mais je ne voulais pas croire en sa prévision. La manière dont il agissait autour de moi était différente de la manière dont il flirtait habituellement. Dans mes yeux, ses faiblesses le rendaient même plus parfait. En fait, je ne savais pas ce qu'était une personne parfaite. Christian avait semblé parfait, avec ses manières parfaites et ses habits parfaits. Mais en réalité, c'était seulement un leurre devant ses défauts.

Fred n'était pas une personne parfaite. Mais j'étais disposée à tentée ma chance, quoi qu'il en soit. Je ne savais pas exactement comment l'expliquer. Peut-être parce qu'il possédait des défaut, je ne me suis pas sentie bloquée. Je ne me suis pas sentie bloquée parce qu'il n'essayait pas d'être quelqu'un d'autre. D'une certaine manière, il y avait quelque chose de bien dans toutes ces imperfections.

« Cela ma briserais encore plus le cœur d'être sans toi. Ce n'est pas ça l'amour, prendre des risques ? Aimer s'est se sentir vulnérable. » J'ai fermement philosophé.

Je pensais que je l'avais vraiment convaincu, jusqu'à ce que j'aie jeté un coup d'œil à son visage. Fred dégageait l'impression d'être en face de sa plus grande peur.

Son visage est devenu complètement rouge, ne séparant plus les tâches de rousseur et les multiples petites bouches d'incendies lumineuses de son visage.

Pendant que Fred est resté silencieux, j'ai vraiment réalisé ce que je venais de dire. J'avais employé le mot amour. A quoi je pensais mon Dieu ? Tout allait vers le mieux et maintenant que j'ai ouvert ma grande bouche tout s'est effondré.

« L'amour, hein ? » A-t-il fait écho, comme s'il n'avait jamais entendu ce mot.

J'ai essayé de me tirer de là. Mais mon cerveau a eu un court-circuit.

« Je ne sais pas. » J'ai simplement énoncé.

Il a secoué la tête.

« Depuis la quatrième année, j'ai sentit quelque chose de différent entre nous. Je ne pouvais pas mettre le doigt dessus, mais je savais que quelque chose avait changé. Et puis, il y a quelques jours, quand tu as commencé à voir cet imbécile de Christian, j'ai réalisé ce que c'était. Tu n'es pas la seule qui a changé, moi aussi j'ai changé. » A-t-il sagement admis.

J'ai sentit mon cœur commencer à marteler dans mes oreilles, me faisant penser un train en mouvement. Il s'est rapproché de moi, nos souffles se mélangeant ensemble. Je me suis tenue raide de choc, comme congelée, soutenue contre le mur de l'armoire.

Et alors là la chose la plus merveilleuse s'est produite.

Fred m'a regardé fixement, ni en souriant ni en fronçant les sourcils.

« J'ai attendu trop longtemps pour dire ça. Je ne sais pas pourquoi, non plus. Ca a été la chose la plus facile à admettre mais la chose la plus difficile à dire. »

J'haletais silencieusement. Ce pourrait-il que… ?

Le temps tournait toujours.

« Angel, je t'aime. »

Mes yeux se sont agrandis. J'ai sentie mes genoux flancher et mon cœur faire un saut faible dans mon estomac. Je croyais que je rêvais. Cela ne pouvais pas être vrai, n'est-ce pas. Tout était trop beau pour être vrai. Mes mains ont commencé à trembler, des mots incohérents sortant dans ma bouche et tombant sur le plancher.

Je pleure rarement devant les films tristes et je n'ai pas versé une larme quand Katie m'a forcé à regarder 'A Walk To Remember' avec elle. Mais alors que ces mots se répétaient dans ma tête, mes yeux ont commencé à devenir humides, un bout de larme piquait le coin de chaque paupière. Tout ce que j'avais voulu était en train de se produire devant mes yeux. Dans un état second, j'étai allé du 'meilleur ami' à quelque chose de plus fort.

« Tu as vraiment dit ça ? » J'ai chuchoté, dans l'incertitude totale.

Il a enroulé ses bras autour de ma taille. Comme il l'avait fait beaucoup de fois avant, mais en raison de sa confession, c'était d'une manière nouvelle et spéciale.

Me faisant un sourire rapide, il a demandé, « Rogue est toujours un connard huileux ? »

Je me suis empêché de rigoler, les larmes trouvant leur sortie de secours et cascadant aléatoirement en bas de mes joues. Elles partaient pour laisser place à la blague de Fred dans un moment comme celui-ci.

« Et bien c'est facile. Oui, il l'est naturellement. »

Le sourire taquin de Fred s'est transformé en un demi sourie chaleureux. Il s'est penché en avant, laissant assez de distance pour que nos nez soi l'un contre l'autre mais pour que nos lèvres ne soient pas reliées. Quelque chose a remué à l'intérieur de moi et je me suis laissé entraînée dans la magie du moment.

Mon tordu, non conventionnel, hors du temps et confus conte de fées se réalisait. Mes bras ont trouvé leur endroit légitime autour de son cou. C'était la vérit ; cela avait un sens. Il n'y avait personne d'autre comme Fred. Et pour cette raison, personne d'autre ne le sera.

« Si tu ressens ça depuis si longtemps, pourquoi ne me l'a tu pas dit ? » J'ai doucement demandé.

« J'avais peur. Stupide, je sais. Mais je n'étais pas sûr si tu ressentais la même chose. Je n'ai pas voulu t'effrayer pour rien. J'avais également peur de voir trop haut. Comme tu le sais, je n'ai pas la meilleure expérience professionnelle quand il s'agit de relation. Je ne suis pas le Prince Charmant. » A-t-il franchement avoué.

J'ai sourit, me rapprochant de lui, serrant ma joue contre la sienne et laissant mes lèvres à côté de son oreille.

« Tu ne te souviens pas de ce que je t'ai déjà dit ? Je me moque que tu ne sois pas le Prince Charmant. Tu es Fred Weasley. C'est le mec dont je suis amoureuse. »

Quand je me suis retiré, il souriait d'une oreille à l'autre. Excepté que ce n'était pas le sourire standard auquel j'ai droit habituellement. C'était différent. C'était du bonheur pur et total, rempli d'affection. Mes doigts ont voyagé vers le haut de sa nuque et dans ses cheveux, les tordant tendrement.

« Je ne peux pas te promettre le toujours, tu sais. Je ne sais pas ce qui va se passer. Tout ce que je sais c'est que quand je suis avec toi, le reste du monde se fane. Je peux seulement te promettre que quoi qu'il arrive, je n'échangerais ça pour rien au monde. » A-t-il chuchoté, impatient de voir ma réaction.

Je me suis sentie comme si je flottais parmi les étoiles.

« Fred, je t'aime de tout mon cœur et tu n'avais pas besoin de ce discours pour m'avoir encore plus. Tu m'as depuis toujours. »

Son sourire s'est approfondit, avec ses fossettes adorables rien qu'à lui. Je me suis finalement sentie entière. Je n'ai plus pu cacher mes sentiments et je n'ai pas pu continué à prétendre que je ne m'inquiétais pas. J'étais vraiment vivante.

J'ai attiré sa tête vers la mienne et le baiser qu'il m'a donné m'a directement envoyé dans la lune. Comme si on revenait finalement à la maison après une absence prolongée.

Il n'y a vraiment rien qui ressemble à ce que l'on ressent lorsque l'on tombe amoureux pour la première fois.

Il y a quelque chose de fascinant dans le fait de fermer les yeux et de se laisser aller, parce que vous ne savez pas si l'autre personne sera là pour vous rattraper. Vous mettez littéralement votre cœur sur le bord et l'autre personne a la contrôle total de son destin. J'étais très chanceuse que Fred passait par le même dilemme que moi. Je ne pense pas que j'aurai été capable de faire tout ça si les choses ne s'étaient pas déroulées de cette manière.

Nous aurions probablement continué les baisers jusqu'à l'année prochaine, mais Katie et Alicia ont ouvert l'armoire. Damnez-les !

En fait non, je devrais les remercier pour nous avoir finalement mis ensemble. Si elles n'avaient pas été là, je me déchirerais probablement toujours en morceaux, me demandant si je devais lui avouer ou pas. Alors, félicitation ! Haha.

Elles ont commencé à couiner de bonheur à notre vue. Fred a fait les gros yeux et a essayer de fermer la porte mais je lui ai rappelé que nous ne pourrions plus sortir, donc nous avons suivis les filles en bas.

Quand nous sommes descendus dans la salle commune, George et Lee ont commencé à siffler et ont applaudit. Quelques autres personnes ont rigolés et se sont joint à eux. Mais je ne m'en occupais pas beaucoup. Je ne pouvais pas m'empêcher de regarder Fred, qui souriait comme s'il avait gagné un million de Gallions.

Fred et moi avons parlé de tout et de rien. Nous sommes revenus sur toutes les fois où nous avions mal interprété les signaux de l'autre et nous avons rigolé de notre propre stupidité.

Nous étions étendus dans les bras l'un de l'autre, regardant fixement et silencieusement le feu brûler. Laissez-moi vous dire une chose.

Vous savez que c'est pour du vrai quand vous pouvez vous asseoir en silence avec quelqu'un et avoir la meilleure conversation de votre vie.

Il était presque une heure du matin quand nous avons commencé à devenir somnolant. Fred a marché jusqu'à mon dortoir et m'a embrassé pour me dire bonne nuit. Ses baisers ne manquent jamais de me laisser faible aux niveaux des genoux.

Il a dit qu'il n'était pas le Prince Charmant, mais je suis très bien sans prince. En fait, je ne pense pas que j'en voudrais un. Le prince ne serait sûrement pas aussi drôle que Fred l'est. Ou intéressant.

Oui, je mettrai mon batteur aux cheveux de gingembre dans un battement de cœur.

…………………………………………………………………………………………

22 Décembre

Dortoirs

Aujourd'hui c'était le dernier jour. Les cours ont finis une demi-heure plus tôt aujourd'hui. On est seulement à quelques jours du bal de Noël ! C'est assez bizarre de penser que chacun dans note cercle d'amis sort avec un autre. Cette année pour Noël, nous avons décidé de faire un Secret Santa. Nous étions tous dans la salle commune, en parlant des cadeaux.

Alicia se plaignait qu'elle ne savait pas quoi offrir aux garçons, y compris George, parce qu'ils possédaient pratiquement tout Zonko. Moi-même, d'autre part, avait une très bonne idée sur quoi offrir à George et Lee mais était larguée concernant Fred. Je veux dire que…habituellement je lui offrais des bonbons ou peut-être un produit pour polir son balai ; quelque chose de pratique que je savais qu'il emploierait.

Mais maintenant après l'épisode de l'armoire, j'étais complètement confuse. Lui offrir un polissage de balai n'exprimait le 'je t'aime' aussi bien que je le voudrais. Katie a proposé l'idée. Elle a dit que sa sœur et ses amis l'ont fait pendant les vacances.

Nous avons tous noté nos noms sur un morceau de parchemins. Katie a alors emprunté le chapeau de Lee et a mis tout les papiers dedans. Après qu'elle les ais mélanger un peu, nous avons tous sélectionner un nom. J'ai eu George.

On ne peux pas dire à quelqu'un qui ont a pêché, même si ce n'est pas cette personne. La veille de Noël, nous laisserons un petit cadeau pour la personne, comme un petit sac de bonbons ou quelque chose du genre. Puis le jour de Noël, nous leur donnerons notr gros cadeau et nous dirons notre identité. C'est vraiment une bonne chose, parce que je me suis dit que ne n'avais vraiment pas d'idée si je le pêchais.

Je peux demander à George s'il sait quelque de ce que Fred voudrait vraiment. Il n'y a pas de but de lui donner une bouteille d'eau de Cologne qu'il ne portera jamais. Fred et moi nous promenions dans le parc, quoi qu'on ait l'impression d'être dans des conditions arctiques.

Je portais mon écharpe, mes gants, deux pantalons, une longue chemise gainée et un chandail d'ouatine au-dessus de la chemise. Et au-dessus de tout ceci, j'avais ma robe longue d'école. Mon corps avait assez chaud mais mon visage et mes oreilles étaient devenus rouges. Je regrettais vivement de ne pas avoir apporté mon chapeau parce qu'il m'aurait un peu réchauffée.

Fred portait un jeans, un t-shirt, un chandail épais, une écharpe et des gants. Au-dessus de ceci, il avait sa robe d'école. Nous regrettions également le fait d'avoir décidé de porter des espadrilles, parce qu'une partie de la neige était si profonde, qu'elle descendait dans nos chaussures. Mais ni l'un ni l'autre n'avions voulu revenir et aller à l'intérieur. A son avantage, Fred avait été futé et portait une de ces chapeaux qui réchauffent les oreilles.

Sur la plupart des gens, ça les rend ridiculement goofy mais pour certaines raisons, Fred semblait tout à fait mignon. Peut-être que c'était parce qu'il était sacrément grand et que tous ces cheveux roux brillants sortaient de son chapeau. Quoi que ce fût, j'ai pensé qu'il paraissait franchement adorable.

Nous marchions main dans la main vers le lac. Je me suis penché vers lui pour rester au chaud. Nous avions été silencieux pendant un moment, jusqu'à ce que Fred commence à parler.

« Tu as froid ? » A-t-il demandé.

J'ai fait les gros yeux.

« Non, je sue. » J'ai légèrement ricané.

Il a sourit.

« Hé, je demandais seulement parce que tes oreilles ont une belle nuance de rose. J'allais donc te demander si tu voulais mettre mon chapeau, mais puisque tu te noies dans tes eaux, je ne me tracasserais plus. » A-t-il taquiné.

J'ai rigolé chaleureusement. Vous voyez quel genre de sarcasme je dois supporter ?

« Maintenant que tu le mentionne, c'est un peu enneigé dehors. » J'ai répondu, entrant dans son jeu.

Il a sourit.

« Je vais arrêter ici, mais aimerais-tu avoir mon chapeau ? » A-t-il offert.

J'ai incliné la tête avec gratitude, appréciant sa taquinerie.

« Je t'en remercierais volontiers. » j'ai sincèrement admis.

Il a rigolé et nous nous sommes tous les deux arrêté pendant un moment. Fred a enlevé son chapeau, faisant tenir ses cheveux en l'air. J'en ai rigolé nerveusement et il a rapidement tapoté ses cheveux vers le bas, mais sans vraiment y arriver.

« Oh, la ferme. » A-t-il plaisanté.

Il a soigneusement arrangé le chapeau sur ma tête, fixant les bords sur mes oreilles et balayant les cheveux hors de mes yeux. Le chapeau était encore chaud de sa chaleur corporel et j'ai sourit, en reprenant sa main. S'il n'était pas le Prince Charmant, il en ferait sûrement une bonne alternative.

« Tu es un amour. » J'ai taquiné, bien qu'assez sérieuse.

J'ai fait une pause dans ma marche et l'ai rapidement embrassé sur la joue. Il a ri, a secoué la tête et nous tous les deux recommencer à marcher.

« Hé, j'ai une réputation à préserver. » A-t-il badiné.

J'ai fait les gros yeux, serrant plus sa main.

« Ton secret est sauve avec moi, Casanova. »

Il m'a dévisagé du coin de l'œil.

« Quoi ? » J'ai demandé, remuant le chapeau avec ma main libre.

« Ce chapeau te va bien. Je pense que tu devrais porter plus souvent mes vêtements. »

J'ai éclaté de rire, rougissant cependant à son insinuation.

« Ha, dans tes rêves Weasley. »

Il a sourit.

« Ca doit être un beau rêve alors. » A-t-il remarqué, me poussant vivement sur le côté.

J'ai retiré ma main par espièglerie et lui ai fait un faux froncement de sourcils, bin que mes yeux miroitaient de gaieté.

« Si c'est ton rêve, ce doit être mon cauchemar. »

Il a ri copieusement et un silence est revenu. Ni l'un ni l'autre n'étions occupé cependant, parce que se tenir la main était assez pour nous. C'était étrange de penser qu'il y a juste une semaine, je souhaitais que Fred me remarque d'une manière que j'avais envie temporairement envie de hurler, « HI ! JE SUIS TA MEILLEURE AMIE, TU NE DOIS DONC PAS REALISER QUE JE SUIS UNE FILLE ET NE PAS PENSER A SORTIR AVEC MOI, OK ? «

Je ne pense pas qu'il s'est vraiment rendu compte à quel point j'étais enthousiaste d'avoir finalement admis nos sentiment l'un pour l'autre. Une partie de moi que je ne connaissais même pas qui ait été brisé était à nouveau recollé ensemble.

« Donc, qui as-tu eu pour ton Secret Santa ? » A-t-il curieusement demandé.

Je l'ai frappé à l'épaule avec ma main libre.

« Imbécile, tu sais que je ne peux pas le dire. C'est ça l'idée. » Je l'ai grondé, riant de lui.

IL a boudé.

« Aww, c'est bon Angel. Je te jure que je ne le dirais à personne. Je te dirais qui j'ai. » A-t-il ardemment amorcé.

J'ai secoué la tête, rigolant de sa plaidoirie enfantine.

« Non. Mes lèvres sont scellées, cher Frederick. » J'ai fermement énoncé.

Il m'a fait un sourire adroit et s'est arrêté sur place. J'ai été forcé de stopper aussi. Avec sa main libre, il a saisit une poignée de neige. J'ai poussé un cri aigu de surprise et j'ai immédiatement lâché sa main, prenant quelques mesures pour me distancer. Avoir le visage envahit de neige froide n'état pas vision des jeux d'hiver.

« Angelina Yasmine Johnson. Je te donne cinq secondes pour me le dire ou je serai forcé d'utiliser des mesures draconiennes. » A-t-il fortement averti.

J'ai fait signe de le tête et ai reculer de quelques pas.

Je ne dirai rien. » J'ai répété, lui souriant.

Il a haussé un sourcil, souriant toujours.

« Cinq. »

J'ai secoué la tête, riant nerveusement.

« Non c'est non. » J'ai répondu, croisant mes bras sur ma poitrine.

« QUATRE. »

« Désolé, mais tu n'obtiendras rien de moi ! »

« Trois…deux…UN ! » A-t-il allègrement annoncé.

Avant d'avoir pu réfléchir, Fred m'a envoyé dans l'estomac une boule de neige de la taille d'une balle de volley-ball. Incapable de résister, j'ai rapidement emballé ensemble de la neige et lui l'ai lancé dessus. Il a rigolé et s'est facilement cacher derrière un arbre.

« Je t'aurai Fred Weasley ! » J'ai voué, emballant ensemble une autre boule de neige.

Les boules ne neiges ont dégringolés dans les airs comme des flèches. C'était sûr de dire que Fred gagnerait. Ayant assez de mon esprit de perdante, j'ai jeté ma boule de neige que je tenais et j'ai attentivement chassé Fred. Il a hurlé de rire, confiant que je ne pourrais pas l'attraper.

C'est vrai qu'en raison de ses grandes jambes, il pouvait facilement courire plus vite que moi. Mais je suis aussi assez grande, ainsi quand j'étais dans la gamme décente, j'ai fait un mouvement qui rendrait n'importe quel joueur de football américain fier.

J'ai sauté comme un félin et ai entouré mes bras autour de la taille de Fred. Je l'ai entraîné de toutes mes forces et nous sommes tous les deux tombés à terre.

Nous avons tous les deux éclaté de rire, amusés comme des purs idiots. J'avais avec succès poussé Fred à terre mon succès s'est bientôt transformé en défaite. Fred a roulé d'en dessous de moi et je me suis retrouvé sur le dos.

« Ainsi, tu pensais que tu pouvais battre le maître des combats de boules de neige ? Pense-le encore, Angie ! » A-t-il vainement déclaré.

J'ai seulement pu rire comme réponse, mon estomac secouer par l'action, car il avait saisi un poignée de neige et l'avait avec enthousiaste frottée dans mes cheveux. J'ai essayé de me déplacer mais il est resté en place. A ce moment, j'ai totalement oublié à quel point il faisait froid.

« Part Fred ! » J'ai crié, n'arrêtant pas de rigoler.

Il a secoué la tête et s'est assis sur moi, souriant à mon visage amusé.

« Je pense que je préfère ça comme position. » A-t-il admis suggestif, haussant les sourcils.

J'ai fait les gros yeux, mais mon large sourire est resté intact.

« Arête avec ton esprit pervers. » J'ai gentiment ordonné.

Il a rigolé.

« Pour ce petit commentaire, je pense que je devrai te chatouiller. »

J'ai émit un cri aigu de rire.

« Ne me défie pas ! » J'ai hurlé.

« Oh, si. » A-t-il opposé.

Avant d'avoir pu le menacer, Fred s'est penché et a commencé à me chatouiller. Je suis très chatouilleuse des deux côtés de mon estomac pour je ne sais quelle raison. Et une fois que je commence à rire, je ne peux plus m'arrêter pendant quelques temps.

Je me suis tortillé et j'ai haleté des réclamations de reddition mais c'était en vain. Au moment même où je pensais que mes côtes allaient éclater, Fred s'est rassis, ses bars retombant à ses côtés.

« Bien que cela m'amusait, j'ai une meilleure idée. » A-t-il proposé.

« Oh ? » J'ai simplement demandé, reprenant de l'oxygène.

« Une bien meilleure idée. » A-t-il marmonné, se penchant lentement vers le bas.

J'ai sourit et ses lèvres ont rencontré mon sourire. Il a enroulé ses bras autour de moi dans une grande étreinte et j'ai fondu. J'aime quand il me tient. Il n'y a aucun plus beau sentiment au monde.

La neige était partout et des flocons tombaient avec élégance à terre. Ils s'accrochaient à tout et à n'importe quoi, comme des ballerines flottant sur la scène. La neige s'est accrochée à mon nez et à mes cils.

Il les a embrassé et je n'ai plus pu supporter de ne pas avoir sa bouche contre la mienne, j'ai donc mis mes mains sur ses joues rouges et j'ai forcé ses lèvres a rencontré les miennes une fois de plus. Il n'a même pas essayé de résister et les baisers sont devenus plus passionnés sur chaque partie de ses lèvres.

Si je croyais qu'entendre dire 'je t'aime' était l'utopie, c'était comme le septième ciel.

Alors j'ai réalisé que nous nous embrassions dans la neige et je pense que c'était la chose la plus romantique qu'il ai jamais fait.

…………………………………………………………………………………………


23 Décembre

Grande Salle

Quand je mangeais mon petit déjeuner, j'ai réalisé quelque chose. Fred et moi n'avons jamais établit notre relation. Je veux dire, je sais qu'il m'aime mais…est-ce que je suis sa petite amie maintenant ? Je veux dire, je ne veux rien assumer mais il n'a rien dit.

Je dois aller demander conseil aux filles AUSSITÔT QUE POSSIBLE……

……………………………………………………………………………..

Voilà la fin de l'avant dernier chapitre ! J'espère vraiment que ça vous a plut ! Moi j'ai été un peu déçue en le lisant car tout allait 'trop' bien mais j'ai vite été consolée avec sa suite qui montre qu'une relation c'est pas si simple que ça…

Bon n'oubliez pas de me dire ce que vous en avez pensez et à la prochaine !